23 Décembre 1720 - 10:42
Il y a un peu moins de 300 ans, en 1720, j'étais positionnée à la surveillance du secteur de Rennes, où un hollow avait fait plusieurs apparitions sans être éliminé. C'était plutôt les shinigami qui disparaissait sur son passage. Mes consignes étaient claire, je devais gagner du temps afin de permettre à mon capitaine d'arriver en renfort le jour où il réapparaitrait. Donc j'attendais, de longues journées, de longs mois, qu'il se pointe a nouveau. En l'attendant, il y avait toujours un shinigami avec moi, qui devait cependant être relevé dans la journée par un autre de la 6e division. Je connaissais son nom car, j'avais été prévenue une semaine avant. Si je me souviens bien, se serait une certaine Saiwai Naoko, 20e siège. En attendant son arrivée, je patrouillais dans les environs.
Du coté de la ville basse, les faubourg au delà de la Vilaine, fleuve dont je connais le nom pour l'avoir maints fois entendus de la bouche des rennais, une ou de âme errante avec qui je tapais la discute avant de les envoyer au rukongaï. Un petit hollow tous juste formé qui poursuivait une autre âme. Je tranchais son masque en un seule coup... faible celui là. Puis je libérais l'âme.
Schlouf, schlouf, schouf ...
Le bruit des bottes de cuirs clouté, dans la neige, d'une patrouille de soldats français dans les rues de la villes. Depuis une révolte populaire, la cité avait de nombreuse patrouilles en son sein, afind d'en éviter d'autres. Il est certain que l'armée du pays était prête en cas de besoin, cela ne faisait aucun doute. Mais, je m'inquiétais pour eux et dès que je croisais une âme, je l'envoyais à la Soul Sociéty. Tient, le soldat qui suis la patrouille en est une. Hop, discuter un peu avec lui, lui expliquer pourquoi je suis là et "pouf", un coup du manche de mon zanpakutô et "hop" le voilà qui disparait pour le paradi. Enfin... le paradi... c'est un bien grand mot lorsque l'on connait le degré de pauvreté du rukongaï. M'enfin a coté du degré de pauvreté de la majorité de la population ici...
Bon, celle qui est censé relever mon compagnon actuel ne devrait plus tarder. Direction la place du parlement, c'est toujours là que le seikamon s'ouvre dans le secteur de Rennes, va savoir pourquoi, croiser une autre patrouille... trainant des prisonniers prêt à être jugé et puis, enfin, la porte s'ouvre, les papillon passe et... mon compagnon qui était censé rentrer à la Soul Sociéty n'était pas encore là. Tant pis, je lui ouvrirais un passage plus tard.