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 Mitsumeru Shigeoki [100%]

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AuteurMessage
Mitsumeru Shigeoki
Mitsumeru Shigeoki
Messages : 9
MessageSujet: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeDim 13 Avr - 12:03

    Avatar : Izaya Orihara [Durarara!!!!]
    Parrain : Aucun
    Comment avez-vous découvert le forum ? Voulant casser avec les forums Naruto pour aller sur un forum Bleach avec des amis.

Shigeoki Mitsumeru

    Âge : 28 ans
    Race : Fulbringer
    Votre précédent rôle : médecin et sous-lieutenant de l'armée nippone

    Description de votre personnage :
    Il marchait d’un pas assuré tandis que le bruit de ses pas se faisait lourd. Ses yeux d’un brun rougeoyant fixaient les alentours continuellement et lentement. Ce regard profond et subjuguant était le terme de ce que lui avait légué ses deux parents et aussi la raison de son surnom « Izaya », « celui qui regarde les foules ». Ce petit surnom, seul sa famille le connaît car il n’est pas très commun et il s’agirait de son second prénom. Il vous a vu à travers la foule et il ne vous lâche plus. Il semblerait que le loup a flairé sa proie. D’un tempérament assez distant aux yeux des gens et semblant éloignés et solitaire il n’en est rien. En fait c’est juste que Shigeoki a toujours préféré être à deux pas de son entourage car il aimait regarder les gens et les jauger. Son sourire large et narquois lui donnerait volontiers un air moqueur et vous avez très certainement l’impression qu’il vous juge de haut mais il n’en est rien. Shigeoki penses que personne n’est idiot et il aime profondément la nature humaine car il est lui-même optimiste. Pour lui il n’y a pas de bonne ou de mauvaise personne et il faut prendre les gens ainsi. Par contre, de par sa nature à jauger les gens de son regard de braise, il s’est avéré pour lui qu’il existait des gens charmants et des gens ennuyants. De ce fait il a toujours cherché parmi ces personnes ceux qui l’intéressaient et vous en faites partie ! Ses cheveux sont assez long et d’un noir éclatant et reluisant à la lueur du soleil qui éclaire aussi sa peau claire. Vous remarquez qu’il a un anneau au doigt mais rassurez-vous il n’est pas marié. L’anneau n’est pas au bon endroit et un simple métal des plus anodins, une sorte de bijoux dont on ne saurait s’intéresser que peu. Il est souriant et avenant durant votre échange puis peu à peu cela tourne au rencard et aux questions. Il a un intérêt et un appétit grandissant pour vous car il souhaite vous connaître mieux que quiconque. Confiant et souriant il est malicieux et terriblement intelligent, analysant la moindre de vos réflexions qu’elles soient pathétiques ou non car, comme cité auparavant, rien est à jeter chez vous pour lui car nous sommes tous un mélange de ce qui se fait de par le monde. C’est en ce sens seulement que nous sommes pareils et que la mort nous reconnait en tas de poussière sur le sol que nous avions jadis jonché. C’est à ses mots mélancolique et emplie que vous prenez peur de lui. Vous vous rendez compte que vous vous êtes dévoilé mais pas lui car il ne dit rien sur lui et il n’a rien à dire sur lui. Shigeoki n’est qu’une coquille vide d’histoire qui vous regarde amusé et intrigué tandis que vous prenez conscience qu’au moment où vous ne l’intéresseriez plus ou ne l’amuseriez plus vous ne seriez rien d’autre qu’une poussière parmi tant d’autre. En ce sens cela est effrayant car c’est sans mal qu’il détache le lien construit avec vous et qu’il se relève. Cela faisait déjà quelques semaines que vous étiez ensemble et vous semblez maintenant l’agacez. Vous tenez fermement ses bras fin mais musclés et alors qu’il tente de se dérober vous ne lâchez pas prise sur les manches noires de son manteau mais il est trop tard c’est fini. Il neige maintenant et vous n’êtes plus ensemble mais ce qui vous fait tant souffrir c’est qu’il ne semble pas en souffrir et remettre sa capuche sur sa tête, cachant par la même une bonne partie de son visage grâce à la laine aux extrémités mais vous ne pouvez donc pas voir son expression à cet instant : celle de l’amertume et de la défaite durant un instant en rictus. Personne ne comprenait ce caractère semi-distant mais il est ainsi ; malheureusement ce n’est pas permis en ce monde et beaucoup le haïsse ainsi. Vous regardez alors une dernière fois son menton triangulaire puis son torse robuste bien qu’assez efféminé dans la globalité. Il se retourne et vous pouvez maintenez apercevoir son dos. Bien que l’heure n’est pas à la coquetterie vous avez jeté un dernier regard à ses fesses petite et ronde ainsi qu’à ses jambes élancés mais maintenant il est trop loin : il vous laisse ici.

    Description de votre pouvoir :
    ..................


    Histoire :
    Je veux m’élever. Je veux toucher le ciel, aller au cœur de la terre, voir toutes les plantes, tous les animaux, connaitre toutes les cultures, toutes les mœurs. Je veux aller le plus loin possible, le plus haut possible. Je veux connaitre tous les sentiments, l’espace, finir l’infini, trouver toutes les formules possibles. Je veux rencontrer tout le monde, répertorier chaque personne, chaque naissance, chaque décès, pleurer avec les uns, rire avec les autres. Je veux sortir de cet enfer que je vis. Je veux vivre, je veux réussir.

    ***


    La neige tombe doucement sur le port d’Ikebukuro. Les lumières éclairaient frêlement les deux amants. Ils s’aimaient passionnément. Il lui avait promis la lune, elle lui avait promis l’amour. Il était menteur, elle était conciliante. Mais il avait la volonté cet homme : Ishin Mitsumeru. L’ouvrier rentrait tard, elle l’attendait sagement. Il parlait, il était doux. Il n’était pas brusque. Elle lui souriait, subissait cette vie dure mais l’aimait encore, elle le soutenait, voulait qu’il réussisse et, un jour il fut contremaître. Il continuait de plus belle, ne s’arrêtant pas, ses yeux rouges d’égocentrisme ne regardant que son avenir, trop fier de sa lancée mais, il ne l’oubliait pas. Elle continuait de veiller, elle travaillait à mi-temps maintenant. Trois ans qu’ils étaient mariés mais toujours pas d’enfant. Il voulait réussir avant tout. L’appât du gain était son vice. Il ne comptait pas changer. Elle rêvait d’une vie de palace, il lui offrirait. Elle voulait que leurs enfants puissent vivre convenablement, ils iraient à l’Académie. Finalement elle lui avoua : enceinte. Cela faisait trois mois maintenant. Il était abasourdi et énervé. Il cacha son mécontentement et elle s’énerva. Ils s’engeulèrent et elle partit. Il continua de travailler sans s’en soucier, il reviendrait la voir, plus riche. Il voulait tenir sa promesse. Elle, elle tenta de l’oublier, vaquant entre petit boulot et travaillant à mi-temps, sans-avenir et enceinte. Elle pleurait parfois, se maudissant de s’être engeulé alors que, lui, ne voyait dans cette dispute que partie remise. Il vînt la voir 4mois plus tard, la vît et lui annonça la nouvelle : il avait la charge d’un chantier. Elle ne souhaitait pas se disputer avec lui, ne voulait pas qu’il sache qu’elle détestait son égocentrisme car elle l’aimait quand même. Elle fit la moue, se maudissant intérieurement. Elle ferma la porte et pleura. Lui, ne comprenait pas. Il ne comprenait pas. Il travailla plus dur. Il revînt un mois plus tard lui montrer sa paye mais elle n’ouvrit même pas. Il tomba dans l’ivresse des soirées, l’alcool, les bouffées de fumées, l’enivrant opium et le ragoût de ses nuits insalubres. Il n’arrivait pas à étancher sa soif et c’est là qu’il comprit ce qu’elle ressentait. Il avait été ingrat. Il revînt un mois avant la naissance. Il était fier, bomba le torse et toqua à la porte. Elle n’ouvrit pas. Il donnait un coup de pieds. Elle eut peur, il fut brusque car elle ne l’écoutait pas. Il l’embrassa. La flamme fut ravivée. Il s’installa chez elle. Il vendit son studio et ne prit qu’une vielle place près du chantier. Il la cajolait, elle se sentait mal à l’aise et troublée. Il s’excusa et reprit son ascension. Il s’inquiétait un peu plus pour elle et tenta de s’intéresser au futur enfant. Ce dernier mois fut le plus important de leur vie de couple, ils le vécurent pleinement.

    ***

    Les feuilles d’automnes tombaient, le mois de septembre était arrivé. L’air frais rappelait à l’ordre et les gens s’habillaient chaudement en cette époque. Ikebukuro ne dort jamais, quel que soit le temps ou les saisons. Le chantier avançait doucement dans le port. Ishiin travaillaient encore en cette soirée, surement comme les autres. Il s’était promis d’arrêter l’alcool ; non, il lui avait promis. Elle ne tenait pas à ce que leur enfant voit leur père sous ce jour-là. Le givre apparaissait et quelques flocons auraient pu faire leur apparition. Ce qui n’empêchaient pas les rues d’être animées et pleine de vie. Les couples virevoltant, les amis s’amusant et certains travaillant. Tous se préoccupaient de leur petite vie ainsi qu’elle, qui sortait de son travail. L’enfant était capricieux, il voulait sortir maintenant. Les paroles des passants semblaient attirer l’enfant. La cacophonie, voilà ce qu’aimait Shigeoki. Elle ne perdit pas les eaux de suite. Un passant l’ayant vu, il lui porta son aide et elle fut amenée à l’hôpital le plus proche. Ishin ne fut prévenu que quelques heures plus tard. Il n’arriva qu’une fois son travail achevé totalement. Elle accoucha finalement à l’aube d’un nouveau jour : à 00 :30~3septembre.

    Le garçon était chétif, petit et frêle, il ne pesait que 2,4kg. Ishin aurait voulu qu’il soit fort. Sa mère, elle, était contente. Shigeoki était nu, il n’avait pas crié. On s’inquiéta. Finalement il n’avait rien. Des analyses plus approfondies du être faites. Il avait les mêmes yeux rouges atypique que son père. Il regardait émerveillé le monde qui l’entourait. Son père était tellement fier et tellement heureux. Il reconnut en lui-même son erreur de l’avoir laissé seul les premiers mois de grossesse. Ishiin la remercia de tout son cœur. Elle souriait, ce sourire que Shigeoki garderait sur lui, ancré dans sa chair. Ce même sourire magnifique qu’elle avait en fit tomber plus d’un, tous la regardant briller. A ses airs, princesse on lui aurait attribué aisément mais, simple boulangère elle était. Finalement, après analyse, le bébé fut rendu à ses géniteurs : aucun problème. Ils allaient l’éduquer du mieux qu’ils le pourraient.

    ***

    Shigeoki grandit. Ils étaient là quand il marcha, quand il les épela ; à chaque instant c’était l’émotion. Il était véritablement choyé dans une famille des plus anodines. Ishiin eut d’autre chantier, il gardait son poste. Elle s’occupait de son fils tranquillement. Il venait avec elle à la boulangerie et ne faisait pas de vague. La gérante était quelqu’un de gentil. Il s’amusait avec les autres, avait une légère tendance à mentir et à piquer les objets de ses copains. Son passe-temps favoris était de regarder les divers passants. Ils étaient de tout genre, tous venant chercher leur pain. Ikebukuro était un grand centre maritime et d’immigration, cité refuge de ses expatriés. Ainsi Shigeoki apprit de nombreuses choses aux contacts de ces personnes. C’est ainsi que lui est venu le goût des autres et du monde. Il aimait qu’on lui raconte des histoires et c’est ainsi qu’il conta ces histoires à de nombreuses personnes. Sa mère n’aimait pas cet aspect bavard qui l’amenait au grès à parler avec toute personne doué d’un minimum de compréhension. Il vaquait et demandait sans cesse, insatiable Shigeoki. Il était le doute personnifié et, très vite il fut connu dans le quartier. Les gens venaient à la boulangerie, achetaient leur baguette et parlait avec Shigeoki durant le court temps d’attente. A chaque fois il ressortait chambouler. Cela amusait le garçon, il prenait un malin plaisir à amener les personnes aux mêmes conclusions que lui. Tant est si bien que le travail de sa mère ne tenait qu’entre les mains de l’enfant.

    En effet la gérante ne la gardait que parce qu’elle était sa mère. Cette situation délicate, sa mère ne l’aimait pas. Elle n’était pas jalouse de son fils, loin de là ; elle était toujours souriante et aimable mais, le fait est que son fils était bientôt en âge d’aller à l’école et que son poste partirait à compter de ce jour. Ishin la supporta le soir, c’était à son tour de l’aider. Il rentrait plus tôt et l’écoutait, la conseillait, en ami, en mari. Malheureusement il aurait mieux fait de s’occuper d’abord de lui et un accident eu tôt fait d’arriver. Ishiin Mitsumeru tomba sur une poutre violemment. Un arrêt d’un mois fut imposé. De l’argent avaient été mis de côté en prévision mais, il fut dilapidé aux jeux. Ishiin s’ennuyait à mourir, il vaquait aux jeux et au hasard des rues et…un jour il ne revînt que le lendemain. Elle lui fit remarquer, il cria. Elle se débattit, il la frappa. Elle pleura. Il s’excusa. Elle l’aimait trop et lui pardonna son acte. Elle le faisait par amour pour Ishiin mais, aussi pour Shigeoki. Ishiin reprit le travail…et l’alcool. Il revenait indéniablement un peu plus tard qu’à l’habitude. Elle ne dit mot, elle accepta pour peu qu’il ne soit pas soûl. Elle n’aimait pas l’odeur qu’il avait. C’était une odeur fade et nacré.

    ***

    C’est à ses 8ans que Shigeoki apprit la nouvelle. Sa mère était enceinte. Elle avait finalement perdu son travail et s’occupait de la maison. Ishiin gagnait maintenant convenablement sa vie pour eux. Néanmoins ce n’était pas une bouche supplémentaire qui risquait d’arriver mais deux. Il travaillait et ne rentrait pas le soir, délaissant sa femme et son fils. Il continuait à boire aussi mais ça, elle n’y pouvait plus rien. Shigeoki n’alla plus à la boulangerie mais, au grand dam de sa mère, continua à parler aux passants. Il quémandait des sucreries en échanges seulement. C’est à cet âge qu’il rencontra Shizuo, Shizuo Heiwajima. C’était un garçon des plus normaux. Shigeoki était jaloux de lui. Il avait beau parler à tout le monde, il s’entendait très peu avec les gens de son âge, trop immature à son goût. Mais ce garçon était différent, facilement irritable et incroyablement fort pour son âge. Shigeoki adorait le taquiner et l’énerver, donnant souvent lieu à des courses poursuites dans le quartier. Au fond c’est ainsi que leur amitié était.

    Sa mère restait à la maison et son père continuer de travailler. Shigeoki avait une parfaite autonomie dans le quartier voir au-delà, s’amusant à énerver Shizuo continuellement ou à lui attirer les foudres de n’importe qui. C’est ainsi que les capacités de Shigeoki fut reconnu. Les enfants aimaient regarder le combat de coq. Des paris étaient même entretenus par les plus âgés de ces enfants du quartier. Shizuo avait la force et Shigeoki l’agilité. Il esquivait aisément les attaques de Shizuo et s’enfuyait souvent, donnant lieu à de vive colère parmi les parieurs. C’est pourquoi il était rejeté des autres enfants. Il en fallait peu à cet âge-là pour isoler un garçon. Cela ne dérangeait pas Shigeoki pour peu qu’il puisse continuer à ennuyer son ami. Tous deux finirent par être remarqué pour une école prestigieuse. Ishiin était fier de son fils et voyait là aussi le moyen de continuer à vivre avec le même train de vie (une bouche de moins). Elle, avait peur pour son trésor mais finit par accepter. Il ne vit donc pas la naissance de ses deux sœurs : Kukuri et Mairu. Elles étaient là, les deux chérubins. Semblable en tout point, criant la vie, se faisant désirer, la grossesse ayant duré plus longtemps. Elles étaient magnifique, l’une avait les yeux de sa mère, d’un bleu carmin, l’autre ceux de son père. Elles étaient deux poupées de porcelaine que Ishiin se devait de protéger et elle, de chérir.

    ***

    Rikugun Shikan Gokko. Tirez. Couchez. Avancez. La lune macabre regarde ces futurs soldats s’empourprer dans la vase. L’enfant se relève. Génie parmi les génies il n’avait qu’à peine 13ans. Ces cours n’étaient pas de ceux qui serait le plus profitable à ce corps frêle mais dans ce voile noir, ayant appris par courrier qu’il avait des sœurs, il se relevait et continuait : Tirez, couché, avancez, se relever, roulade avant, coup de baillonette. L’enchaînement était répété encore et encore. Le lendemain se fut mise en apprentissage du corps à corps puis cours deKendo. Tous ces cours supplémentaires s’ajoutaient à la masse normale des mathématiques et sciences vivantes et physique et très vite il aurait à faire un choix. Deux années s’écoulèrent avant qu’il ne sortent du cœur même de Tokyo pour rejoindre le quartier d’Ikebukuro et sa famille. Son père était présent, fatigué et dans un état insalubre et bien que la flamme de ses yeux soit peu encline à la discussion il était présent et souriant au retour de son fils tandis que sa mère, malade, fut un choc pour le garçon de 15ans. Il n’eut guère le temps de voir grandir ses deux petites sœurs et il n’eut que peu de contact avec elles puisse qu’étant trop occupé par sa mère durant ces 2 mois. Cette période insalubre rajoutait à Ishiin et Shigeoki une dose de pression à chacun d’entre eux et, tandis que l’un était rongé toujours par ses maux d’adulte, l’autre était en proie à ses désirs enfantins et sa crise adolescente. Les disputes entre les deux hommes grondaient et aboutissaient souvent à la sortie de Shigeoki dans les rues mal famées du port. Il y a une heure où la lune brille sur l’éclat des putes et les drogués, les laissant dans un monde fantomatique et translucide. Shigeoki n’était pas impressionné par tant d’erreur et bien que cela puisse le dégoûter il ne pouvait taire son intérêt grandissant. Durant ces vacances Shigeoki devint la première source de revenu pour sa famille. Il n’a jamais véritablement voulu révéler à son père comment il eut cet argent et l’air qu’avait prit le garçon ne laissait nul doutes sur la fleur adulte qui s’épanouissait en lui. L’enfance n’aurait duré qu’un temps et il était temps de repartir travailler. Il avait laissé pas mal d’argent et le liquida pour empêcher sa famille de le gaspiller. Ainsi sa mère aurait accès à pas mal de médicament. Il n’avait pas l’âge légal pour ouvrir un compte et il garda le reste avec lui. Son père ne fut pas présent pour le retour et bien que ses sœurs pleurèrent son départ il ne pouvait pas rester. Le seul avenir valable de cette famille était Rikugun Shikan Gokko.

    ***

    Shigeoki n’avait que peu d’amis parmi Rikugan avec ses deux années d’avances. La solitude porte un coup solide même au plus résistant des jeunes hommes. Il fallait dire qu’avec une bourse amoindris par les récentes sanctions de l’état vis-à-vis d’une montée du chômage et, sachant que cette bourse au mérite n’était accordés que selon ses résultats, il n’avait que peu de temps à se consacrer aux activités. Sa plume écrivait, il n’avait pas d’ordinateur et n’allait que peu sur ceux de la bibliothèque. C’est là que lui vînt une idée ingénieuse…ou presque. Shigeoki voulait s’amuser aussi et il en vînt à devenir dealer, augmentant par la même son train de vie, son carnet de contact dans cette école prestigieuse et surtout lui permettait d’exercer son passe-temps : étudier la vie humaine. Certes ce ne fut pas facile de mettre en place ce réseau au sein de l’école mais avec l’aide au fur et à mesure d’une minorité ce fut vite réglé.

    Lorsque la fourmilière est titillé, lorsque l’on joue sur des plates-bandes et un marché qui n’aurait pas du être le sien on s’expose vite. Shigeoki avait amené le désastre sur un quartier entier. La drogue avait rendus les endroits insalubres et peu sures mais le réseau fut finalement découvert et remonter jusqu’au jeune homme alors que ceci avait prit trop d’ampleur fut aisé. Devant le directeur et un conseil juridique Shigeoki comprit son erreur. Il avait bafoué son honneur mais peu lui importait. Il se défendait tant bien que mal.

    Comment pouvez-vous comprendre la pauvreté ? Vous ne l’avez jamais côtoyé !

    Le jeune homme avait la rage et le directeur et ancien général des armées impériales jaugea le garçon. Le général était un homme intelligent et bien que Shigeoki ne puisse s’insérer dans les rangs d’une armée conventionnel mais qu’il était prêt à tout pour sa famille et son bien-être il pouvait en être autrement. Shigeoki accepta les termes de ce contrat qui lui fut proposé mais pour l’heure nous n’en savons rien de ce qui a été décidé hormis que Shigeoki atteindrait à la fin de l’année la division médicale et se déplacerait sur un nouveau campus de Tokyo. Une lettre fut envoyé à ses parents, ainsi que sur son comportement mais aucun retour ne fut fait ou répercuté sur Shigeoki si ce n’est une lettre de sa mère de la part de sa famille pour le soutenir (très certainement que ce fait lui fut caché).

    ***

    Tengu Muramasa, quel nom étrange et emprunt d’une légende morbide. Le médecin jaugait le jeune adulte qui venait en stage chez lui. Shigeoki avait 20ans maintenant. Le service des urgences n’était pas le plus tendre et le comportement de bon élève de Shigeoki énervait le groupe de Tengu mais Shigeoki n’en prit pas garde. Tengu reconnaissait dans la lueur de cet homme un rouge vif et c’est ce rouge si sublime et d’un ténébreux regard qui entachait l’homme prêt à tout et dont la paix intérieur ne serait être executée qu’après un but accompli. Tengu avait reçut une lettre de recommandation pour ce jeune stagiaire qui allait bientôt rentrer dans sa 5ème Année. Shigeoki était effrayant pour certains de ses collègues. Il les regardait tous de son regard profond et ne les lâchait plus : c’était le regard d’un violeur. Oui c’est ça, Shigeoki violait votre intimité par son simple regard et son sourire à votre encontre lorsque votre regard croisait le sien. Pour la seule femme du groupe, Aya Kuroko, c’était troublant et exaltant tandis que pour les autres cela ne restait qu’au stade de peur. Seule Aya et Tengu n’avait pas peur de lui. Il était bizarre après tout. Pourtant, une fois la confiance inscrite au sein de ceux attiré par cet homme étrange ils n’eurent d’yeux que pour lui. Aya était toujours troublé par Shigeoki et en vînt à se demander ce que son cœur ressentait en sa présence tandis que Tengu, moins naïf à l’égard de cet être omnibulent, ressentait l’intérêt et la curiosité que tout scientifique avait et c’est ce désir commun qui reliait le jeune homme et son maître de stage à l’apparence bourru. Akaito et le reste du service n’était pas d’accord : Shigeoki subissait très souvent des gamineries et des pressions soudaines tandis que la jalousie grandissait lorsque Aya lui proposa de se voir en dehors du service.

    ***

    Leurs doigts se mêlèrent tandis que son corps si doux rencontra celle plus sec de l’homme. Sa tête s’approchait de la sienne et leur regard se croisèrent une dernière fois avant qu’elle ne ferme les yeux et qu’un baiser langoureux vînt rejoindre ses lèvres et l’inonder d’un plaisir certains. Prise dans un tourment amoureux elle serrait très fort cet être qu’elle ne voulait, à partir de cet instant, plus lâcher alors que sa langue même entourait la sienne. Ses doigts rencontrèrent son intimité et c’est un léger cri sublime qu’elle ne put contenir avant que ce ne fut sa langue. Son souffle haletant tapait sur une fleur à peine éclose tandis que bien humidifié mais soucieuse d’un plaisir commun au sein de cet amour qu’elle tenait elle prit la peine de rendre ce même plaisir à cet homme. On aurait pu croire qu’elle prit sur elle-même pour ouvrir la bouche mais ce n’en fut pas le cas. Ce qui était lubrique et pervers ne l’est plus lorsquel’on aime et bien qu’elle n’y ressentait pas un plaisir charnelle, le fait de donner plaisir à l’être que l’on aime permettait de ressentir une certaine fierté. Une fois les préliminaire engagé il ne restait plus qu’une seule chose à faire. Leurs yeux se croisèrent à nouveaux et leurs cœurs battaient la chamade. Dans un susurrement certains ils en vinrent à la même phrase si claire :

    Je t’aime.

    ***

    Shigeoki était un caméléon et Aya l’avait bien compris. Soucieuse de leur relation au service et bien que certains ne furent pas dupes Shigeoki resta le même et ne sourcilla même pas devant elle, gardant un sourire embrun d’un certain sadisme et d’une volonté morbide en première impression. Aya doutait chaque jour en le voyant ainsi bien que ce fut elle qui lui demanda de rester le même. Elle n’avait aucune preuve d’amour de sa part et c’était à croire que ce ne fut qu’une vaste pièce de théâtre où elle avait dansé fabuleusement pour le bon roi Shigeoki. Pourtant elle en eut très vite la réponse. Une opération d’urgence devait être mise en place en pleine rue du quartier insalubre d’Amano. Aya récupérait les informations tandis que Akaito, Tengu et Shigeoki était en train de tout faire pour garder en vie les deux adolescents. C’était dur en attendant que la police arrive de calmer dans le même temps les amis drogués ou soûls qui regardaient cet scène triste et emplie de colère. L’un des jeunes à terre allait faire une rupture d’anévrisme. Il était trop tard et l’annonce de la mort avant même que la police n’arrive fut le coup fatal qui alla dans le cœur de Tengu.

    Contrairement à ce que l’on pensait. Tengu aussi avait eu un rapport très proche avec Shigeoki. Il avait été le père que n’avait pas eu Shigeoki et lui avait enseigné toutes les bases des interventions d’urgence ainsi qu’un enseignement rigoureux sur des principes comme la morale, les amis ou encore la confiance mutuelle. Shigeoki ne bougea pas d’un pouce tandis que la pluie s’abattait et qu’Akaito frappait le jeune de toutes ses forces. C’est là que le regard de Shigeoki fut différent : vide. Il dit simplement et froidement.

    On s’en va.

    Akaito se releva et bien qu’empris d’une colère morne, ayant croisé le regard de Shigeoki, il l’écouta. Aya voulut rester sauver l’autre jeune homme mais Shigeoki lui ordonna de les suivre et elle pleura tout en écoutant forcée les ordres de l’homme. L’aura de Shigeoki était pesante et lourde. Bien que calme sa folie et sa haine était palpable. Ils délaissèrent le second jeune homme convalescent à côté de son ami et bientôt la mort viendrait le chercher lui aussi.
    Shigeoki allait bientôt quitter le service, tout comme Aya et Akaito tandis que les vétérans changeraient de groupes. C’était le terme du groupe de Tengu Muramasa, grand médecin et homme de cœur. A son enterrement, tous furent présent et Shigeoki était venu avec le costume delavé qu’il avait emprunté dans une boutique. Le costume était peut-être sale ou quoique ce soit mais dans cette brume acre ses yeux rouges pétillants absorbaient tout. La tombe resta intact devant ce regard insistant capabled’ordonner aux plus faibles. Shigeoki pleurait ce jour-ci et Aya et lui s’en allèrent, chacun de leur côté. Leur relation avait prit un terme. Elle ne l’amusait plus.

    Shigeoki était ce genre d’homme : curieux des autres et amusé de tout mais alors que s’en va cette enivrance il se retire, lâche et égoïste. Il pense « penser aux autres » alors qu’il ne s’intéresse à eux que « pour lui ». Il était difficile de faire confiance en cet homme mais c’était bien normal. En tout les cas sa mission fut un succès : le groupe de Tengu fut démantelé et leur trafic de drogue mis à mal. En effet leur ambulance servait de cargaison et de transit. Akaito et Tengu était des « transporteurs ». Shigeoki fut récompensé comme il le fallait par le Rikugun. Ses études au Rikugun était terminé et il avait le grade de sous-lieutenant mais ses études en médecine continuait. Une vie morne et paisible l’attendait mais c’était une vie qui serait acceptables pour sa famille. Néanmoins quand il revînt sa mère fut toujours malade.

    ***


    Il retrouva une mère malade et, affaiblies, des conditions insalubres et, un père alcoolique. Ses sœurs portaient des marques de coups. Par amour pour eux il oublia ce qu’ils avaient fait et s’attela à s’occuper de cette famille dans le désarroi. La petite chambre regroupant la famille n’avait été que le seul lieu que ses sœurs avaient pu voir réellement. Shigeoki du changer encore de positionnement et prit le rôle de mère de foyer. Il se fit recruter comme personnel de santé pout un maigre butin par rapport à ses études acquises. Heureusement, il avait économisé mais son père tentait toujours et encore de voler l’argent dans sa caisse pour ce foutu liquide âcre et impure. Shigeoki détestait ce côté de son père alors que sa mère gardait espoir. Ses sœurs étaient trop jeunes encore pour émettre un avis objectif envers leur père mais Shigeoki, ne l’ayant pas vu durant 2 ans, avait du mal à supporter cet homme et bien que de jeune âge, remettait souvent son père dans le droit chemin par des engeulades phénoménale entre les deux hommes. Cet acte de rancœur et de rébellion envers son père avait tout de même eu un effet positif car, suite à une dispute, alors que son père allait lui asséner une claque l’enfant esquiva et mit ce dernier à terre. Ce coup de force eut l’effet le plus incroyable de leur dispute que changer cet homme dont la flamme s’était éteinte car, Ishiin prenant conscience de son incapacité à gérer sa famille, regardant cette moisissure, les marques qu’il avait apposé sur ces filles, tomba en pleurs. C’est peut-être le seul moment où la précocité de Shigeoki se laissa briser, déversant à son tour ses larmes ainsi que celle des jeunes filles. Suite à cela sa mère mourut car ils n’avaient pas à leur disposition les moyens de la soigner. Elle partit heureuse tout du moins, la famille réconcilié et bien qu’Ishiin fut abattu, conscient du poids que ses épaules portait et, de sa fierté mise de côté, il se jura d’élever du mieux qu’il put ses enfants. Pourtant, si Shigeoki n’était pas là, cet équilibre fragile se briserait car l’une des rares fois où ce dernier s’en allait la nuit avec sa soif d’interrogation en bouche questionnant jusqu’aux endroits les plus abjectes, son père but plus que de raison et la violence s’ensuivait quand ses filles voulurent l’en empêcher dans un acte de bienveillance. Le spectacle que vit le garçon en rentrant serait gravé dans sa mémoire à jamais.

    ***

    Shigeoki aimait la nuit, il y allait pour des paris et, les gagnait souvent comme toujours. Même au poker il pouillait les pêcheurs et personne ne lui faisait peur depuis qu’il était passé par le Rikugun. Il allait pouvoir arrondir les fins de mois des filles. Shigeoki allait avoir 22ans quand il rentra voir sa modeste famille. Mairu était en pleure, de l’opium sur la table, des bouts de verres brisés et, la porte menant à la chambre entrouverte. Shigeoki marchait doucement vers la pièce, écrasant les morceaux de verres sur son passage tandis qu’il chuchotait doucement à Mairu d’arrêter de pleurer, que tout allait s’arranger. Il entrouvrit la porte et, il vit l’irréparable blessure que son père venait d’infliger au sien. La pièce était embrumé des vapeurs de l’opium tandis que l’âcre liquide alcoolique coulait légèrement d’une bouteille renversé et, Shigeoki put voir sa sœur, couché, à moitié nu, âgé bientôt de 5ans, saignant à l’endroit si privée et jalousement gardé pour un prince charmant. Le père était là, complètement bourré, ne se rendant même plus compte de ses actes, responsables de sa soif mortelle, en train de vomir à côté puis se relevant, puant le rat et, d’un air vide regardant Shigeoki. C’était le silence. Kukuri ne pleurait pas, ses larmes avaient séchées. Elle ne parlait plus. Elle ne comprenait pas ce qui venait de se passer, elle avait froid, elle avait mal, la jeune fille était désorientée. Encore aujourd’hui l’amertume emplie sa salive suâtre tandis que chaque jour qu’il voit ses sœurs, il espère qu’il saura les protéger. De cette journée, Shigeoki allait grandir et prendre un tournant imminent de sa vie. Durant ce silence court et pourtant qui leur parut si long à tous, la décision du jeune homme déciderait du sort de sa famille. Il s’avançait tranquillement et prit Kukuri dans ses bras lui parlant doucement, la calmant, que sa passerait. Les yeux rouges de Shigeoki, signe distinctif chez le jeune homme n’avait jamais briller d’un éclat aussi grand. Son père voulut lancer une bouteille sur le jeune homme qui l’esquiva aisément, rappelant à ce dernier la réalité et le mettant face au mur de ses actes par cette esquive. L’homme se releva se rendant compte de sa bêtise puis, suivit son fils dehors. Personne ne sait hormis Shigeoki ce qui se passa dehors, pas même moi qui l’ait connu personnellement et, fut l’un de ses rares amis.

    ***

    Shigeoki, suite à cet incident secret, devînt un Fullbringer et apprit l’existence des shinigamis par une intermédiaire. Il s’installa à Karakura une fois ses études finis. Incapable d’avoir la charge de ses sœurs elles furent adoptés entre temps. Il leur envoyait régulièrement de l’argent et rentrait parfois sur Tokyo. Elles étaient dans une bonne famille et grandissait comme des jeunes filles normales. Agé dorénavant de 28 ans, il exercerait au mieux et oublierait peu à peu ses sœurs et son passé. Grâce au concoure d’un quincy, chef d’hopital et de Urahara Kisuke maintenant, il put vivre tranquillement. Il apprit ainsi à avoir quelques contacts et à progresser dans la voie du fullbringer en parallèle.


Dernière édition par Mitsumeru Shigeoki le Ven 18 Avr - 14:17, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeDim 13 Avr - 14:37

Bonsoir et bienvenue sur BBS !

Comme précisé dans les règles, nous demandons aux membres de réserver l'usage de polices différentes de celles de base à leurs dialogues. C'est également valable pour les présentations. Je vais donc te demander de bien vouloir éditer en ce sens.

Merci de ta compréhension.
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeLun 14 Avr - 20:52

Faut-il que je changes aussi le font=Georgia ou le simple fait d'avoir différencié la couleur sera suffisant pour ma présentation?
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeMar 15 Avr - 4:18

Hé.
"Police différente autorisée uniquement pour les dialogues."
Ca me parait limpide.
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeMar 15 Avr - 9:39

J'ajouterai que si Shigeoki est le prénom de ton personnage - ainsi que ton texte semble l'exprimer - il va en ce cas te falloir inverser ton pseudo pour coller au sens japonais. Tu peux le faire toi-même directement dans ton profil.
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeMar 15 Avr - 10:02

Oui je dois être dur d'oreille Esteban.

Pour Melody je comptais t'en parler. En fait j'ai eu bien du mal à m'inscrire et c'est au bout de plusieurs compte créé que j'ai pu réussir à obtenir un message sur l'une de mes boites mails. Quel rapport avec mon nom prénom? En fait l'un des comptes créé dont je n'ai pas accès a pour pseudo "Mitsumeru Shigeoki".


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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeMar 15 Avr - 10:29

J'ai libéré le pseudo, ça devrait être bon.
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeMar 15 Avr - 10:44

Yep Thank you~
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeJeu 17 Avr - 8:31

Je suis au regret de t'annoncer que tu vas devoir revoir ton pouvoir.

Deux raisons à cela :

→ Manier les âmes des objets est une capacité dite raciale, non le fruit d'un pouvoir particulier. Tous les Fullbringers la possèdent par défaut, et elle fait chez nous l'objet de la branche « techniques spirituelles ». Tu ne peux donc en faire une faculté personnelle à part entière. Après, libre à toi de n'avoir pas de pouvoir et de te concentrer pleinement là-dessus, mais c'est un autre débat.

→ Ensuite, si nous n'avons que peu de restrictions au niveau des pouvoirs, le fait d'utiliser le corps d'autrui en fait partie. La notion de possession n'est donc pas envisageable elle non plus, d'autant plus que d'après la description que tu en fais elle te permettrait de contourner les limites de ta propre réserve de reiatsu, ce qui est interdit.

Merci de ta compréhension !
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeJeu 17 Avr - 10:45

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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeVen 18 Avr - 11:54

Salut Mitsu ! Je te dis pas bienvenue, on s’est déjà vu sur la chatbox o/.

Comme Melo, je n’arrive pas à percevoir la chose comme un pouvoir à part entière. Même si c’est voulu par le type avec qui tu pactises, je m’explique mal qu’avec du Reishi, tu sois capable de faire faire un bringer light à un autre. Si on va au bout de la logique, pourquoi pas faire les gestes à sa place aussi ? Voire utiliser ses pouvoirs comme tu le voudrais ? Même si le bonhomme est consentant, je trouve ça assez particulier. Encore, pour le soin, je peux concevoir que tu puisses maîtriser le Reishi au point de t’en servir pour fermer les plaies de ton allié, voire lui insuffler de l’énergie utile à titre de boost. Mais alors, ce serait plus le genre de techniques qui tiendrait pour l’un de la branche soin et pour l’autre de celle des techniques spirituelles.

Je ne saurais trop te conseiller de prendre un pouvoir que tu puisses résumer en une phrase très courte, genre, cinq mots max’. Qu’on en cerne bien la nature. Quelque chose de limpide. Si c’est l’originalité ou la simplicité qui te chagrine, conviens que, à ce sujet, c’est ce que tu en feras qui importera le plus.

Bref, bon courage !
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeVen 18 Avr - 12:13

Ok je vais essayer de chercher 5 mots. Effectivement la simplicité me chagrinent car des combats où il suffit de balancer 1 grosses techniques ou pleins de techniques n'ont pas de valeur pour moi. Néanmoins je peux comprendre que cela puisse rendre la tâche plus ardue pour vous. Je vais tenter de chercher autre chose mais je ne promet pas que ce sera tout aussi simple (même si je le résume en 5 mots).

En tout les cas, merci de votre intérêt pour ma présentation et votre rapidité à répondre.


Edit: Petite réflexion. Le même pouvoir qu'Orihime ? (sauf que elle a 6 petites fées et moi ça serait 2 esprits genre je sais pas un loup et un hiboux ou une connerie du style. Il me servirait pour l'un à soigner et l'autre à attaquer/défendre)
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeVen 18 Avr - 12:43

Le problème du pouvoir d'Orihime, c'est qu'il fait le café. Elle peut attaquer, défendre, soigner, ...

Donc quelque chose d'un peu plus précis ne serait pas mal. Si on accepte bien entendu qu'une capacité puisse avoir plusieurs utilités (par exemple, les miroirs de Tenzen pouvaient tant refléter les attaques que donner vie à leurs reflets ou couper avec leurs rebords) il faut qu'elles restent cohérentes entre elles. Et il va sans dire que l'avoir dans la même proportion qu'Orihime (reconstituer des cadavres en pièces détachées) n'est pas envisageable.

Après, tu peux jouer sur la branche soin en accordant les descriptions pour qu'elles s'harmonisent avec ton pouvoir, ça tient la route. Le problème n'est pas tant d'avoir un pouvoir sophistiqué ou original, ce que nous comprenons parfaitement. C'est surtout qu'il faut le réfléchir en terme de techniques plus qu'en terme de pouvoir pur vu que CHAQUE application du pouvoir (si basique soit-elle) passe par une technique.
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeVen 18 Avr - 13:08

Oui j'ai bien compris que chaque application du pouvoir devra passer par une technique ^^ Alors disons, euh, en termes d'application euh euh euh euuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuh:

Genre 2 Loups rouges: Les deux seraient capables de te sauter dessus, de te griffer (fin tout ce qu'un loup normal pourrait faire)

Le 1er Loup Rouge a une petite aura blanche=>Il servirait à protéger (lever une barrière comme Inoue), à booster (genre une technique "+1PC Endu durant 1Tour" ou encore "augmenter d'un niveau un soin")

Le 2nd Loup rouge a une petite aura noire=>Il serait capable d'exploser ou de lancer comme des "cero"

Après pour les possibilités autres il serait possible genre d'avoir la télépathie entre les loups et Shigeoki voir si possible plus tard augmenter la taille de la meute. Et oui tout ce que je cites passerait par des techniques.
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeVen 18 Avr - 13:34

Yo.

On vient de te dire que les pouvoirs couteaux suisse, c'était impossible. Là, ton pouvoir te permet :
- d'attaquer au corps-à-corps
- de te défendre
- de booster
- d'attaquer à distance
- de faire des attaques de zone

N'oublie pas la nature du pouvoir des Fullbringers. Ils ne contrôlent pas des familiers. On a eu des personnages faisant apparaître des créatures, mais elles étaient orientées attaque/défense, point. Et les créatures devaient être invoquées (comprendre, une technique par créature, à répéter tant que la créature est sur le terrain, ce qui fait consommer un max d'énergie).
Quand bien même, je doute fort que tu saches te modérer sur la question, au vu de ce que tu as proposé plus tôt. Je vais donc répéter ce qu'il t'a été dit : fais plus simple. Pas basique, mais plus simple. Quelque chose dont nous pourrons cerner les limites, que tu pourras appliquer à chaque combat et qui ait une orientation claire (soit attaque rapprochée, soit attaque à distance, soit soin...)
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeVen 18 Avr - 14:18

Ah, c'est con !
J'ai lu ton message avant que tu le supprimes !

Donc à ceci :
Citation :
Moi-vouloir-maîtriser-"sang" ? Est-ce possible ?

(merci encore de vos réponses rapides. Esteban pourrais-tu modérer tes propos sans vouloir t'offenser ^^')

Je réponds cela : toi-pouvoir-aller ailleurs.
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeVen 18 Avr - 14:24

Si je l'ai effacé c'est qu'il y a une raison, c'est que j'ai compris mon empressement à répondre et c'était pour ne pas t'offenser. Néanmoins je comprends que tu puisses être énervé et pour ne pas causer des soucis ultérieur à toi et possiblement à d'autres membres du staff vous pouvez considérer ma présentation comme out effectivement.

Au revoir et bonne continuation.
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitimeVen 18 Avr - 14:28

Bonne continuation.
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MessageSujet: Re: Mitsumeru Shigeoki [100%]   Mitsumeru Shigeoki [100%] Icon_minitime

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