Kraehe, Roi des Serpents

Sujet: Kraehe, Roi des Serpents Mar 27 Mai - 16:22

Avatar :

Parrain :

Comment avez-vous découvert le forum ?

Kraehe

Âge :

Race :

Rang demandé :

Description de votre personnage :

S’étant développé dans les tréfonds de l’obscurité, l'adjuchas représente à la perfection ce qu’il est : un tueur. Mais n’allons pas trop vite en besogne, car son caractère est bien trempée, comme le demande son rang élevé parmi les hollows.
De fait, deux facettes de son caractère transparaissent, selon s’il est menacé de vivre un éventuel affrontement où non.

La première facette est celle de la vie de tout les jours : calme, agréable, et poli, Kraehe fait preuve d’une conversation sereine et d’une apparente zénitude à tout épreuve. Peut-être même trop, d’ailleurs… en effet, si le ton qu’il emploie est d’une exemplaire politesse, on peut également y détester une extrême froideur. Comme si, malgré la situation calme, lui ne se départait jamais de son attention, et se tenait prêt à agir envers et contre tout. De fait, les gestes lents et calculés de façon millimétrés trahissent le parfait contrôle que le spectre à sur son propre corps, et que ses actes ne trahissent jamais, quelque soit les sentiments pouvant faire rage sous le masque de l'adjuchas, et ceux même si un sourire mystérieux est souvent affiché dessous...
Bien que pouvant s’attacher aux gens sans aucun soucis, Kraehe est ce que l’on pourrait appeler quelqu’un de singulièrement têtu : une fois qu’il lui est venu en tête une idée ou un objectif quelconque, il tends à essayer d’y parvenir par ses propres moyens, finissant généralement à considérer ses potentiels compagnons d’être au pire des boulets vivants, au mieux une bonne diversion. Ce côté pragmatique transpire assez quand on discute avec lui, ce qui a tendance à instaurer un sentiment assez angoissant…

Une fois entré en situation de combat, le tueur rentrera véritablement en action, agissant de façon froide et calculée, en parlant généralement très peu. Favorisant le silence et l’obscurité, ses alliées favoris, il tends à se camoufler et à frapper les autres dans l’ombre et le silence le plus absolu. Sans pitié, il n’hésite pas à se glisser derrière et à provoquer ce que l’on appelle généralement un « assassinat ». Sa perfection dans ce domaine, qu’il peaufine en chassant sa nourriture généralement, est sa plus grande fierté, et il attend avec impatience le jour ou il pourra affronter autrui de face… et à les tuer sans qu’ils ne réalisent quoi que ce soit. Il ne parvient pour le moment à exécuter cela que sur le plus faible, mais il cherche encore… De fait, quand l'adjuchas décide de frapper, c'est dans l'unique but de tuer. Le combat ou la bataille sont deux concepts qui lui sont étrangers et dans lesquels il n’espère pas se reposer un jour…

Le plus amusant, c’est que son objectif, dans sa vie, est de trouver, a contrario, l’individu qu’il sait ne jamais pouvoir tuer, pour se mettre à son service. Considérant qu’un vrai assassin ne peut accomplir son art que quand des cibles sont commandités, et que la nécessité n’a donc pas lieu, il attend l’Entité qu’il sait ne jamais pouvoir abattre, quelque soit son développement…
Un détail intéressant, c’est que le Roi est d’une immense loyauté. Une fois sa parole donnée, il ne la reprends jamais, et un être qui récupérerait ses services aurait à ses ordres un implacable serviteur.

Car c’est ainsi que le Roi des Serpents voit les choses : la Liberté est sa suprématie en tant que tel est peu utile et agréable, et quiconque lui prouvant sa suprématie peut devenir son seigneur. Mais il n’acceptera jamais, en revanche, d’être traité comme un esclave. Malgré son immense loyauté, il garde un code d’honneur personnel qui lui est cher, et qui l’amène à ne jamais plier trop. Cette même éthique peut d’ailleurs parfois l’amener à épargner ses proies si ceux-ci l’ont contenté où se sont montré agréable, et enfin, à ne jamais tuer sans raison autre que la demande faite. Malgré sa loyauté naturelle, cela doit être le seul point noir qui fait que l'adjuchas pourrait désobéir.
Car tuer par plaisir gâcherait la jouissance que ses assassinat lui apporte. Ôter la vie est sa source principale de plaisir. Il ne voudrait pas la gâcher, alors qu'il désire en faire un art.

Apperance:
Adjuchas Form:

Human Form:

Physiquement, le hollow est un véritable cauchemar. Un adjuchas de grande taille, personnifiant à lui seul l'une des plus grandes terreur de l'antiquité en devenant un basilique. Un grand serpent, c'est le cas de le dire, puisqu'il fait plus de 30m de longs au bas mot. Avec un tour de taille parfaitement adapté à sa gargantuesque apparence.
Le reptile vous regardant de haut, vous pourrez ainsi noter la couleur de ses écailles, d'un vert si sombre que l'on ne peut percevoir sa couleur que grâce aux reflets de la lumière sur son corps. Mais le plus terrifiant, c'est sans aucun doute son regard, d'un vert brillant tels deux émeraudes incrustés dans de la chair. Son regard, magnifique, hypnotique, qui vous regarde, a la pupille fendue, est parfaitement visible malgré son masque, un masque de hollow si uni à son apparence qu'il n'en parait pas un, hormis façonner son visage d'une façon qu'un humain ne pourrait techniquement point lui ressembler.
Il suffirait juste qu'il ouvre la gueule pour que vous puissiez admirer la magnifique dentition de l'adjuchas, dont les dents aiguisés, tous semblables à de redoutables crochets, suintent d'un liquide transparent... de l'eau? de la bave? si seulement c'était quelque chose d'aussi innocent...
En terme d'aura, l'adjuchas ne dégage généralement pas grand-chose, hormis son énergie spirituelle. mais celle-ci, quelque soit la situation, est d'une sérénité dérangeante. Il serait difficile pour l'ancien Hassan d'être troublé, ou sinon, c'est que la personne qui lui fait face est d'une qualité remarquable, ou incroyablement doué dans ce domaine.

Sous son masque, l’homme aurait pu être beau de visage, si il n’avait pas eu ses balafres, l’un perpendiculaire à ses lèvres et l’autre au travers du visage. Ses yeux verts regardant généralement droit devant lui, et ses cheveux argentés presque brillant. Mais ce visage, aurez-vous la chance de le contempler un jour ?...

Description de votre pouvoir :

Histoire :

Empire Perse, douzième siècle

Dès sa naissance en Syrie l’année 1146 de l’ère chrétienne, le jeune homme était destiné à devenir un Assassiyoun. Un de « ceux qui sont fidèle aux Assas », la loi des Assassins. Un Assassin.
Fils de deux Assassins, Rachid n’a pas eu l’enfance facile, loin de là. Bien au contraire, ses parents, quand ils étaient présent, le voyait comme la continuation de leur plaisir. Cela et rien d’autres. Et le Vieux de la montagne actuel lui-même donna une grande fête à sa naissance. La naissance d’un Assassin de pure souche était une chose inédite… habituellement, hommes et femmes Assassins voyait le sexe comme un jeu, rien de plus. Mais les deux Assassins étaient amants, faisant leurs missions ensembles…
Ainsi, non seulement leur efficacité était double, mais en plus, cela les avaient préservé. Ils avaient développé leur propre stratégie…

Union des techniques

Union des âmes

Union des corps.

Comment décrire mieux que ça la relation quasi-fusionnelle qui existait entre eux deux ? Et faisant du duo l’équipe d’Assashyoun la plus efficace qui soit.
Rachid Al-din Sinan était le résultat de cette union. Une nouveauté, car en soi, de par leur nature, les Assassins s’unissaient rarement entre eux. Et surtout, vivait rarement longtemps. De plus, le duo était réputé invincible. On attendait donc beaucoup de leur progéniture…
Mais celui-ci n’eut, du coup, pas une enfance facile… On le mit constamment à l’épreuve, lui faisant passer des épreuves de plus en plus dures. Quand il réussissait, on lui adressait de petites félicitations, comme si c’était ce qu’on attendait de lui et rien d’autres, et qu’il n’y avait donc pas de quoi s’extasier. Mais quand il échouait, on l’enchaînait, le battait et le fouettait toute la nuit.

Cela dura jusqu’à ses 9 ans.
9 ans de souffrances et de mépris pour lui-même et pour les autres.
9 ans d’entraînement si intense que le jeune homme crut plusieurs fois que sa vie allait s’arrêter.

9 ans durant lesquels il apprit, alors même en étant bébé, à s’habituer à la douleur, aux poisons, aux températures. Mais il apprit aussi la cruauté. La cruauté de la vie, et celle de lui-même. Car à la fin, l’Assassin sombra dans la folie. Il ne trouva du plaisir qu’en souffrant ou en faisant souffrir les autres… A 10 ans, on lui offrit de la drogue pour accroître encore sa folie. Mais comme l’extase qu’il ressentait était bien loin de celle qu’il atteignait grâce à la souffrance, on lui offrit une femme. Une esclave. A cette époque, en ce lieu, c’était un destin classique pour les femmes non Assassin ou de sangs non nobles.
Et il se déchaîna sur cette femme. Elle ne dura pas longtemps, mais le gamin prit son pied à lui faire subir toutes les tortures imaginables pour son esprit tordu. Il la fit souffrir tellement que l’esclave mourût après peu de temps, comme une délivrance.

2 ans plus tard, à 12 ans, l’Assassin dut passer l’épreuve des futurs assassins. Trois épreuves qui feraient en sorte que la guilde l’accepterait. Et dont le niveau de difficulté dépendait de la qualité des maîtres : Rachid avait donc le niveau de difficulté le plus dur. Et était également le plus jeune des aspirants. Les trois épreuves furent les suivantes :

La Danse des piques : l’aspirant Assassin dut faire preuve de son équilibre et de sa souplesse en passant un fossé plein d’épieux. Le jeune homme y parvint en sautant de piques en piques en faisant attention à se servir du bois comme moyen de propulsions plutôt que comme danger. Mélange de techniques et d’agilité.

La Marche à l’Ombre : Commun à tous, il s’agit de la seule épreuve à difficulté variable. Elle consiste à mettre l’aspirant dans une salle plongé dans l’obscurité, avec des objets divers au sol. Pour lui, la salle qu’il dut traverser était pleine de bouts de verres et de divers armes. Il attendit, pour s’habituer un peu à l’obscurité, puis passa, tel une ombre, entre les morceaux de verres et les armes (n’en doutez pas, il y en avait aussi accroché contre les murs)

Pour la troisième et dernière épreuve, il dut affronter son maître. SES maîtres. Ses propres parents. Le Duo parfait. Mais ceux-ci avaient pris soin d’effacer tout amour pour eux dans le cœur de leurs enfants, s’attendant à ce destin. Ainsi, durant l’affrontement, un mélange de fluidité et de puissance, Rachid Al-din Sinan tua ses propres géniteurs pour devenir l’Assassin le plus jeune et redoutable qui soit.

La suite fut sanglante. Car, reprenant le nom de ses illustres parents, le jeune homme les surpassa en faisant seul les missions qu’on lui offrait. Il n’échoua jamais, et reporta même sur ses victimes son désir de voir les autres souffrir. C’était SA drogue.
Même si, au fur et à mesure qu’il faisait souffrir, il ressentait bien moins d’excitation. Il décida donc de faire moins souffrir, et nombre de ses proies tombèrent sans même voir qui les avait tuées.

A la fin, le seigneur des Assassins, le Vieux de la montagne, qui avait entendu parler de lui, demanda à le voir. C’était quelque chose de très rare, et de voulu, tout en étant redouté. Le jeune homme, alors âgé de 17 ans, rencontra ainsi le saint des saints. Il s’entretint longuement avec lui, plus longtemps que n’importe qui l’avait jamais fait jusque-là, puis son interlocuteur lui lança un défi.

« Si tu m’Assassines, alors tu deviendras le chef de Nizarites. »

Le chef des nizarites. Le Vieux de la montagne. C’était la même chose. Et le jeune homme comprit tout de suite de quoi il s’agissait. Il accepta donc avec une intense excitation, et le vieil homme lui expliqua qu’il avait deux jours. Sans quoi, le jeune Assassin perdrait la vie.
Et il fut intensément protéger, durant ses deux jours. Constamment encadré par des gardes du corps faisant tout à sa place, le protégeant du mieux qu’ils pouvaient, le jeune Assassin dut créer un piège avec des fils. Il en récupéra, et, en restant le plus discret possible, prépara un piège astucieux sur la Porte du palais du Seigneur de la montagne. Il lia le fil à un poignard, qu’il planta sur la porte avec un bruit sourd, avant de s’éclipser et de se placer sur le mur au-dessus d’eux. Dès que la porte s’ouvrit, le piège de fil s’activa et lia la porte au mur, l’empêchant de se refermer. Quand, enfin, les gardes réussirent à ouvrir, aider en cela par le jeune homme qui cassa la corde, ce fut pour être éjecté dehors sous l’effet de surprise. Ne perdant pas de temps, l’Assassin se laissa tomber et apparut juste devant sa proie, le Vieux de la montagne, qui s’était approché de la porte. Avec une incroyable vivacité, il abattit sa dague dans le cœur de leur maître à tous. Un intense sentiment de joie prit le jeune homme alors qu’il sentait la vie de sa proie s’échapper…

Ce fut sa perte. Deux secondes de détente, de victoire..

Quand sonne le glas…

Quand il se réveilla, ce fut pour se voir enchaîné au Palais, par une chaîne reliant la porte à la poitrine. Il crut un temps qu’il avait été capturé, et que sa condamnation allait venir, mais en voyant son corps mort, ainsi que celui de sa proie, pendant que nul ne semblait le regarder, il eut un doute. Avec un sourire, il s’approcha d’un de ses anciens compagnons pour lui annoncer son exploit; avoir assassiner le chef. Ils l'avaient eu, certes, mais bien trop tart, son objectif avait déjà été atteint.
Mais l'ignorance reçu, et le fait que tout le monde semblait ne pas pouvoir ni le voir ni l'entendre malgré ses efforts, fit disparaître son sourire. Quelque chose n’allait pas, et il devait trouver quoi, et vite !

L’idée qu’il était mort mit un peu de temps à traverser son esprit et à atteindre son cerveau, où elle dut frapper autant que possible dans les préjugés et les leçons que sa guilde avait insérer dans sa tête… et Allah ? et sa récompense pour avoir suivit la Lois des Assas ? et l’autre monde ? est-ce que cette chaîne le retenait là ?
Partant sur cette idée, l’Esprit Errant prit la chaîne et tenta de la retirer. Prenant la douleur dans son torse et le trou qui se formait comme une nouvelle épreuve que son Dieu lui avait opposé, il n’abandonna pas.
On put sentir son cri dans la Montagne, mais nul ne semblait y faire attention… Il se dit qu’il était seul, devant l’épreuve qu’Allah lui imposait. Il devait réussir.
La défaite n’était pas concevable.

Un an plus tard, la chaîne céda. Le trou fut complet. Et le hollow se forma.
Dès qu’il fut complêtement formé, il ressentit une faim immense, énorme, effroyable. Un immense manque, en lui, abyssale, avait prit forme, et en voyant sa propre guilde en bas, il ne put s’empêcher de se dire qu’il devait récupérer un cœur.
Il en dévora cinq sans aucune pitié… mais, ne voyant pas de changement dans sa faim, il en déduisit que cela serait insuffisant. Partant du fort d’Alamut, il s’engagea dans le désert…
Hollow vagabond, il dévora tout ceux qu’il rencontrait, tentant de trouver ce qui comblerait son coeur. Mais plus le temps passait, plus il ressentait la solitude. Plus il se sentait vide. Même dévorer ses semblables ne faisait que le fortifier sans pour autant le combler.

Incapable d’assouvir les désirs qu’il avait trop longtemps accomplis, inapte à remplir son manque, dans l’impossibilité de se droguer à nouveau, il se trouva mentalement en manque très rapidement.
Toutes les âmes qui croisèrent son chemin subirent ses mâchoires, semblables ou non, dans une frénésie inhumaine pour combler ses manques. Et plus il avançait dans cette existence nouvelle,plus il réalisait que, en réalité, Allah l’avait abandonné. Il était devenu un Esprit Malfaisant, un Djinn…
Incapable de le reconnaître d’abord, il dévora tout, sans pitié ni distinction, jusqu'à changer son nom en Afrit.
Autrement nommé Gillian.
Le savoir de ses proies l’enjoignit à ouvrir un portal vers le monde ou ses semblables vivait. Mais, voyant là des êtres vides d’esprits malgré leur formidables puissances, il les prit en pitié. Eux aussi avaient été rejetés. Eux aussi avaient subit son chemin. Mais la majorité en avait perdu ce qui faisaient d’eux des humains. Dans sa mansuétude, l’Assassin dévora les siens, afin de leur permettre de vivre à travers lui. Le défilé de corps gigantesque ne lui causait aucun soucis, et il put aisément dévorer ses semblables. Jusqu’à ce que...

Changeant à nouveau son nom, en Adjuchas cette fois-ci, il réalisa un peu plus ce qu’il était. Il comprit un peu plus que ce qu’il avait cru depuis si longtemps n’avait jamais existé. Que Allah n’existait point, que seul le plus fort survivait, et qu’il ne devait pas en rester là. Dévorant quelques gillians, il prit la route du désert à nouveau, bien que celui-ci fut légèrement différent. Un monde vide, avec des arbres de quartz, s’offraient à lui. Il est un Marid, un Adjuchas, le rang le plus élevé en ce monde... et condamné à régresser? c'était hors de question.

Le sang des gillans mort refléta l’éloignement d’un serpent noir de jais de plusieurs mètres de long, à la collerette royale. Un animal aussi nommé basilique, dont il avait la forme et la dangerosité.
Le grand avantage de cette apparence fut qu’il put se glisser dans le sable pour attaquer ses proies par surprise et les dévorer. Généralement, en sentant ses semblables approcher, attiré par son énergie spirituelle, il se glissait dans le sable et patientait, qu’ils approchent, avant de frapper avec une violence inouïe, abattant généralement sa proie du premier coup. Pour ceux qu’il ne désirait pas affronter, il en profitait pour fuir de cette façon, sachant que de toute façon il pouvait revenir plus tard. Mais généralement, il dut le faire quand les cibles étaient en groupe, bien que dans ce genre de cas il se cachait et patientait généralement que l’un d’entre eux se démarque.
D’abord une centaine, puis deux, puis trois, il ne cessait de sentir sa propre force s’accroître, mais il sentait également ses sens s’affiner. Sa raison se reforger, à présent. Il n’avait plus besoin de drogue, plus besoin de Divinités, et en questionnant certains de ses victimes, il avait apprit l’existence du stade de Vasto Lorde.

Puisqu’il n’était parvenu à devenir Vieux de la Montagne, alors il serait Seigneur du vide. Ainsi, il ne disparaîtrait pas, et trouverait sens à son existence.
Une existence qui se précisait au fur et à mesure que les jours passaient. Le grand basilik ne cessait de se développer, finissant même par changer de nom. A partir de maintenant, il serait Kraehe. Un prénom aisé pour tous ses semblables, et un nom qui signifiait corbeau dans une des langues occidentales…
Que dire du corbeau de mauvais augure, sinon qu’il était serpent ? une fausse indication, clairement, mais le nouveau nommé Kraehe voyait également cela comme une renaissance ! et, au fur et à mesure, il tenta de faire de sa façons de tuer un art. En revanche, il lui fut bien difficile de s’ôter ce plaisir si intense. Tout du moins parvenait-il à se contrôler. Un contrôle de soit qu’il peaufina également, songeant que c’était à cause de cela qu’il était mort, étant humain.

Il ne devenais cependant pas Vasto Lorde. sa puissance ne faisait que croître avec le temps, mais il n'arrivait pas à percevoir ses limites, et le stade final de son évolution...

Il entendu parler d’Aizen, mais cela ne l’intéressa jusqu'à un certains point. cependant, quand l'on vint le voir pour lui proposer de le rejoindre, il déclina la proposition et parti. Pourquoi? afin d'atteindre d'abord le stade final. Il voulait d'abord atteindre ses limites, avant de les surpasser.
Malheureusement, tout finit avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit.
Il entendu parler des quincys, ce qui le rebuta.
Le nom de Grimmjow Jaeggerjack et d’arrancar finit par le toucher également, et il fut poussé par la curiosité. Comment donc un simple arrancar, adjuchas de surcroît, pouvait-il se proclamer roi? Mais il était arrancar, et cela le réconforta: c'était donc ainsi qu'un simple adjuchas avait vaincu les Seigneurs du Monde Vide...
A présent que ses connaissances étaient aiguisés comme il le devait, il devait accroître encore plus son talent. Il devait prouver au monde que, quand il évoluera, il sera le meilleur.

Le monde avait changé, il le savait. Mais encore plus, le monde allait changer.
Il avait été spectateur discret dans son développement.
A présent le temps était venu d’en être acteur. Il était venu le moment pour Kraehe de monter sur la scène du meurtre et de prouver la pleine mesure de son art, et de s'avancer, enfin, finalement, vers le rang qui lui revenait de droit.

Sujet: Re: Kraehe, Roi des Serpents Mar 27 Mai - 16:25

Rebienvenue.

Ton avatar est trop large, merci de le réduire à la taille réglementaire. Qui plus est, si ton personnage possède un nom de famille, il serait bon qu'il figure dans ton pseudo.

Merci de ton attention.

Sujet: Re: Kraehe, Roi des Serpents Mar 27 Mai - 16:28

Mea Culpa, j'ai remarqué qu'après avoir posté pour l'avatar XD

c'est fait pour les deux cas Smile

Sujet: Re: Kraehe, Roi des Serpents Mar 27 Mai - 20:02

Quelques petites choses :

Tout d'abord, 60 mètres c'est trop. Il te faudra au moins réduire cela de moitié, nous n'autoriserons pas plus. C'est déjà assez énorme.

Ensuite, à l'état d'âme et surtout en venant à peine de le devenir, tu ne risques pas d'avoir pu poignarder qui que ce soit. Je te laisse imaginer le souk si c'était à la portée du premier fantôme venu.

Enfin, es-tu sûr que c'est bien à Las Noches que tu veux aller ?
En l'état, la fin de ton histoire est passablement trouble, si bien qu'elle pourrait aussi bien (voire davantage) convenir à un indépendant vivant au sein du Hueco Mundo. Je te demanderai donc de bien vouloir expliciter les circonstances de ton engagement si tu confirmes vouloir en faire partie.

Merci de ton attention.

Sujet: Re: Kraehe, Roi des Serpents Mar 27 Mai - 20:57

Bon; J'ai retiré prénom/nom pour ne garder qu'un nom unique, c'plus simple ainsi de mon coté.

Pour la taille, j'ai réduit à 30m de long, comme demandé. Je veux vraiment être un énorme serpent XD (oui je sais, bonne chance pour l'esquive...)

J'ai corrigé pour le poignard. je pensais à me la jouer esprit frappeur (vu que les fantômes peuvent rentrer en contact il me semble, avec ce qui n'est pas vivant)

Enfin, désolé effectivement de ne pas avoir signaler, mais oui je partirais plus sur de l'indépendant, vu que je vois mal un adjuchas pur non arrancarisé et tout et tout à las Noches. Pas sans une bonne explication, certes, ce que j'aurai mis si tel était le cas. Je pars effectivement.
Donc oui je partirais plus sur de l'Indépendant pour l'instant Smile

J'espère que tout cela vous conviendra Smile

Sujet: Re: Kraehe, Roi des Serpents Mar 27 Mai - 22:01

Dans ce cas, prends garde à poster dans la bonne section des présentations la prochaine fois. Je te valide donc en tant qu'Adjuchas indépendant avec la perte de tous tes points d'XP ainsi que de 5 points de compétence, te ramenant à 15 au total.

Bon RP avec ce nouveau personnage.

Sujet: Re: Kraehe, Roi des Serpents Mar 27 Mai - 22:21

Bienvenue. Sache que tu n'es pas mon roi ! >: o

Sujet: Re: Kraehe, Roi des Serpents

» Kraehe, King of the Snakes

Kraehe, Roi des Serpents

Kraehe, Roi des Serpents

Sujets similaires

Sujets similaires