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 On joue à chat ? [Ft. Ganryû]

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Kû Fei
On joue à chat ? [Ft. Ganryû] Hum-ind
Kû Fei
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MessageSujet: On joue à chat ? [Ft. Ganryû]   On joue à chat ? [Ft. Ganryû] Icon_minitimeMar 17 Juin - 17:37

- Ça fait quoi si ..?

J'avais appuyé sur l'écran de ma 3DS, à l'aide de mon stylet. Une vingtaine de mètres plus bas, un individu avait frappé devant lui, coupant le souffle d'un autre individu tout aussi inconnu et l'ayant jeté à bas, créant une certaine agitation autour de lui. Ca criait, ça s'éloignait de lui, et cet individu ne bougeait pas d'un poil. Il avait frappé une personne qu'il ne connaissait de rien, et justement, ça ne lui faisait rien. J'avais tout observé de ma position, avec un sourire satisfait.

- Intéressant ... Mais si ..?

Un nouveau coup de stylet sur l'écran de la console portable. Et un coup de pied, cette fois, volonté que j'avais insufflé dans l'outil, s'abattait sur cet homme au sol, qui souffrait pour la cause de la science. Ou du paranormal. Voir des deux réunis. Une patrouille de la police était arrivée bien vite, et avait interpellée l'individu qui ne se défendait même pas. Même si il aurait été bien marrant de les passer à tabac, mon oeuvre ici était terminée.

- Exit game, confirmation ? Yes. No. You have been disconnected.

La voix pixelisée de ma console avait énoncé ceci avec monotonie, alors que j'avais accompli les actions requises. Le stylet fichu dans la jambe de ma poupée s'était détaché de lui même, traînant sur le sol en laissant une trainée sanglante. Il faudra que je le récupère, pensais-je. Même si il était connu que les japonais étaient stupides (des études chinoises l'avaient prouvé récemment), ils finiraient par faire le lien entre les incidents si de tels instruments étaient retrouvés à chaque fois. Qu'importe. J'avais eu quelques confirmations intéressantes.

Je me laissais tomber du coté d'une ruelle sombre, atterrissant sans bruit, tel un félin. Je regardais à droite. Puis à gauche. Personne n'avait été témoin de mon apparition soudaine. Je souriais, en coin, alors que je rangeais ma console dans la poche. Il aurait été regrettable qu'au nom de la science (ou du paranormal ? je n'arrivais pas à me décider ...) j'eusse à sacrifier un aimable inconnu. Même si l'idée, au fond, ne me déplaisait pas.

Cinquante mètres. La portée de contrôle d'une poupée. Il me suffit de cliquer sur le moniteur avec mon stylet, avec l'ordre que je souhaite insuffler, pour que celle-ci l'exécute. Elle pouvait user de violence, faire des achats, vagabonder, se nourrir, s'abreuver, conduire, dialoguer de façon sommaire ... Mais pouvait-elle se donner la mort ? Il n'y avait pas de raison qu'elle ne puisse. Mais vous savez ... Avec toutes ces séries et autres bandes dessinées avec des personnes aux pouvoirs similaires à ceux dont je faisais preuve, une se méfiait. Je ne connaissais pas ses limites.

Je finissais par déboucher du coté du grand fleuve Sumida. Et un sourire assez inquiétant illumina mon visage. Voilà qui me servirait, oh oui ... Maintenant, qui choisir ..? Je restais occultée dans la pénombre, appuyant mon dos contre le mur, jaugeant les passants du regard. Elle. Une lycéenne en uniforme, écouteurs sur les oreilles, air rêveur, cheveux teintés roses. Roses. Quelle faute de goût horrible. Vraiment, c'était moche. Et rien que pour ça, je pouvais me permettre de juger toute sa personnalité. Personne ne regretterait une fille aux cheveux roses, soyons sérieux.

Avec une précision chirurgicale, j'avais lancé un stylet dans le bras de l'adolescente. Qui l'avait transpercé jusqu'à l'os. Elle avait poussé un petit cri de surprise rapidement étouffé, alors que ma volonté oppressante écrasait la sienne. Et la voilà, bras ballants, immobile au milieu de passants pressés, regard éteint. Elle n'était plus qu'une poupée. Une poupée qui avait l'ordre de monter sur le pont. Sur la rambarde du pont.

Et moi ? Je décide de mettre à une place de choix. Je suis discrètement la demoiselle, me fondant dans la foule. Alors que sous des regards ébahis, elle s'exécute. Alors que sous des cris et des exclamations, elle s'apprêtait à sauter. Il suffisait juste que j'en donne l'ordre.

Oups, c'est fait.
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Kichigai Ganryû
On joue à chat ? [Ft. Ganryû] Hum-ind
Kichigai Ganryû
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MessageSujet: Re: On joue à chat ? [Ft. Ganryû]   On joue à chat ? [Ft. Ganryû] Icon_minitimeDim 22 Juin - 14:48

Tokyo qu'ils disent. Tokyo, la capitale qu'ils ajoutent. Korukura détruite, plus rien à foutre là-bas, sauf bouffer d'la racaille à longueur d'journée. A Tokyo que j'vais alors. Et d'en prendre plein l'yeux, tell'ment ça annonce d'lourd. Et c'tte ville d'tenir ses promesses, et pas qu'un peu. Véritable coin d'paradis pour un type d'mon genre. Tell'ment d'potentiel qui promet des journées entières, des nuits entières, à foutre un véritable bordel. Sérieux, c'est un truc d'fou cet endroit. Vach'ment grand, genre, bien plus que Kerekara, avec forc'ment bien plus d'guignols. Les faibles, que j'les appelle. Ceux qui valent rien, qui voient rien, qui ont rien pour eux.

Leur rôle ? Servir d'gibier pour les autres trucs dégueux, faire l'victimes sans jamais rien comprendre à c'qu'il s'passe. Parlant d'ces monstres blancs, couleur ch'lou si vous voulez mon avis, j'pense que c'machins s'balancent un peu trop d'purée à la tronche. Eux, c'est l'explosion d'nombre dans c'tte ville. Genre, une armée quoi. T'fous pas les pieds dans une ruelle sans qu'un veuille t'éclater la tronche. Des putains d'dalleux qui arrêtent pas d'prendre du nombre. Et les autres gaillards dompteurs d'animaux qui viennent nettoyer les rues à grands renforts d'pouvoirs. C'tellement pas discret qu'les faibles commencent à comprendre dans quelle merde ils s'trouvent.

Une putain d'guerre qui va y avoir. C'tait limite mieux avec les autres glandus habillés à l'ancienne. Même si on leur doit s'merdier, just'ment. Bref, c'le foutoir. J'suis perdu. J'me content donc d'faire c'que j'sais faire d'mieux, foutre ma merde et m'éclater. Aujourd'hui, j'suis en chasse. Pas du Hollow, pas du Shinigami, du faible. Ou plutôt, d'la faible. D'la gonzesse. D'la jeune comme d'la vieille, j'suis pas d'fficile. C'tell'ment facile d'les avoir. Suffit d'tirer dans l'tas. Coincé dans une ruelle, à l'abri des r'gards, des panneaux lumineux, d'tout. C'tte fois pourtant, j'veux une proie qui s'laisse pas avoir facil'ment. J'en veux une avec d'mordant, un semblant d'défense, d'quoi m'résister un peu quoi.

J'traverse l'pont, l'un d'es nombreux qu'ils ont construit ici. Agitation dans tous l'sens, j'mire les potentielles candidates, sans trouver mon bonheur. Bouteille d'sake dans une main, l'autre dans la poche, lunettes plaquées sur l'tronche. J'zieute. Avance, l'pas tranquille. Et final'ment, j'la trouve. Ou presque. J'pensais l'avoir trouvé, à quelques dizaines d'mètres, mais une couille dans l'pâté détourne mon attention. J'crois rêver. Un sourire étire mes lèvres tandis qu'une gamine fait l'grand saut. Ah la jeunesse, c'beau. Sauf que j'décidé d'faire une bonne action et que, d'un bond, j'me jette dans l'vide. Tête l'première, éclatant d'un rire fou. J'toujours rêvé d'faire ça.

Dans l'vide, j'suis plus lourd et tombe plus vite, j'accentue c't'avantage en activant mon pouvoir. Un golem d'pierre, ça chute vach'ment vite face à un poids plume, eh. J'parviens à la prendre dans m'bras, à m'r'tourner pour présenter mon épaule au fleuve, puis c'l'impact. Un gerbe d'eau propulsée dans les airs comme si une bagnole était tombée. J'reviens direct sous forme humaine avant d'nous faire couler. Et on r'monte à la surface, elle qui crache d'l'eau, moitié noyée, moi en sauveur. Plus haut, sur l'pont, c'l'euphorie. L'gens applaudissent fort, crie à s'en décrocher l'poumons et m'félicitent. 'Semblerait qu'ils aient trouvé un n'veau héros à idolâtrer, héhé.

Bon, c'pas que t'avoir trempée et collée à moi m'dérange, mais on va peut-être sortir d'la flotte, j'commence à geler !

Même pas elle m'répond. Genre, pas un mot. Pas un son. Pas un r'gard, à croire qu'elle est morte. Minute d'panique, vérification foireuse du poul, ça l'fait, y'a des batt'ments. C'est qu'ça m'aurait franch'ment fait chier d'avoir fait tout ça pour que dalle ! Après l'effort, d'retour sur l'bitume, j'me débarrasse d'mon manteau d'fourrure qui pèse trois tonnes. J'laisse en plan la gamine, même pas j'profite d'elle, et m'tire avant que la populace s'ramène. 'Faut entretenir la légende d'mystérieux sauveur. Y'a d'ça, et aussi l'fait que j'comme l'impression que ça pue l'coup foireux. J'sais pas si c'est l'jeu d'un Hollow, mais j'pense pas qu'elle s'soit jetée à la flotte pour l'fun.

J'vais trouver l'fumier qui fout sa merde, et lui éclater la gueule. J'vais commencer par fouiller aux alentours, voir c'que j'peux trouver.
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Kû Fei
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MessageSujet: Re: On joue à chat ? [Ft. Ganryû]   On joue à chat ? [Ft. Ganryû] Icon_minitimeMer 25 Juin - 0:28

Ah bah ça. Si je m'y attendais ...

La demoiselle s'était jetée comme prévu. Comme quoi, je pouvais même ordonner à mes mignonnes poupées de s'exécuter selon mon bon vouloir. Cela me réjouissait. Pas parce que je prends plaisir dans la souffrance de mon prochain, même si au fond ça me fait un peu sourire, mais parce que je sais que dans l'éventualité où un de mes jouets serait mieux éteint que vif, je pourrai m'en débarrasser d'un unique mouvement du poignet. Je ne cessais de m'émerveiller face au progrès. Et j'espérais, bien assez tôt, pouvoir y apporter ma contribution.

Même si je doutais que ce que je fasse file droit. Le chemin du progrès ne filait jamais droit, après tout.

Mais voilà l'inattendu. Un homme qui se jette à la suite ? What ? C'quoi le délire ? Ce n'est plus un âge de héros le vingt-et-unième siècle merde ! Pas que je m'inquiète, cela dit. Un individu qui sautait d'aussi haut ? Dans un fleuve aussi pollué ? Si il ne se brisait pas tous les os au contact de l'eau, il attraperait le sida et le cancer du sourcil. Bah. Les précautions avant tout. On exécute la manipulation en quelques tapotements du stylet, et voilà que le stylet fichu dans la chair de cette lycéenne se détachait. Il se perdrait probablement dans les flots, m'épargnant bien des inquiétudes.

Ce que je ne savais pas, c'est que je n'étais pas au bout de mes surprises.

Il ressortait, intact. Avec la gamine dans les bras. Je plissais les yeux, et si vous avez vu un asiatique se faire, vous trouverez ça définitivement drôle. Sauf que ça l'était pas, pour moi. Je sais pas. Avec les courants, les immondices, les déchets, il aurait dû un peu mourir quoi. Tout le monde était émerveillé. Moi j'étais agacée. Ca ne devait pas se passer comme ça. Et je détestais quand des plans simples et efficaces finissaient chamboulaient par des chevaliers ressuscités d'une époque décadente !

Quoi qu'il en soit, je nourrissais quelques doutes, alors que la foule se pressait pour apercevoir le héros. Tout le monde a envie d'une part de héros. Tout le monde sauf moi. Après tout, je suis la Lumière de l'Orient. Une héroïne. Ou une diablesse. En temps voulu, les gens sauront ce que je représente. Mais il me fallait en apprendre plus. Je me laissais emportée par la foule, juste pour constater que le bienfaite avait disparu en laissant derrière lui un manteau de fourrure. Brr. Quel manque de goût ter-ri-ble. La fourrure c'est passé de mode depuis les années 2010, allô.

Mais il ne me distanciera pas, ah ça nan. Je déteste de me glisser en dehors de la cohue, et de bondir, une fois à l'abri des regards, sur les toits. Vue aérienne qui me félicite la chose, alors que je contemple une silhouette solitaire traçant à une rare vitesse. Ca va pas être facile. Mais si ça l'avait été, ça aurait perdu beaucoup de son goût. Lorsqu'il était question de vitesse, rares étaient ceux qui tenaient la route. La tiendras-tu, toi, agaçant paladin ? J'exécutais un Bringer Light de toute beauté, me faisant parcourir des centaines de mètres en l'espace d'une seconde. D'un second, j'étais au-dessus de lui. Et au troisième, je lui barrais la route.

Un petit sourire en coin, ma main refermée sur la sangle de mon étui à violoncelle, je battais des cils alors que ma voix s'élevait, empreinte de mon accent chinois.

- Avoir parlé toi, être vrai ?
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Kichigai Ganryû
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Kichigai Ganryû
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MessageSujet: Re: On joue à chat ? [Ft. Ganryû]   On joue à chat ? [Ft. Ganryû] Icon_minitimeLun 30 Juin - 18:38

Putain d'merde. Ville d'merde. Déglingué d'merde. Comment qu'j'suis censé faire moi, pour trouver un monstre qui existe peut-être même pas ? C'beau d'penser que rien arrive par hasard, c'moins joli d'le prouver, ici, dans c'tte ville immense, nid à choses bizarres. Yollows, Rappeurs, Shinjigami, et nous les Fullbringues, les types d'la night, les types qui aiment la fête. C'qu'on gère franch'ment, même notre nom écrase ceux d'ces autres guignols. J'me d'mande c'lequel qui vient faire chier c'tte fois. D'habitude, c'toujours les mêmes, les autres sont pas si obsédés par le meurtre d'humains. 'Faut dire que les Yollows, c'les seuls qui crèvent d'faim à longueur d'journée.

Hm ?

Y'a une couille dans l'pâté. L'genre à voler, ou traçer sa route dans les airs, 'sont beaucoup à pouvoir l'faire j'ai r'marqué. Maint'nant, c'ptit truc qui flash, c'tte lumière qui claque l'oeil, ça laisse aucun doute, c'est un des nôtres. Un Fullbringueur. Descend un peu que j'puisse mater ta tronche et savoir à quoi r'ssemble l'type qui m'suit. Il m'obéit. S'plante d'vant moi, m'barre l'chemin avec sa p'tite silhouette si frêle. Pfeuh ! T'es au courant qu'j'pourrais t'rentrer dans l'lard pour forcer l'passage ? J'te briserai en deux sans soucis mec. Oh merde, c't'une gonzesse ! Putain d'chieuse, elle m'veut quoi celle-là ? Elle cause. Woh. C'quoi cet accent minable ? Elle vient d'où celle-là ?

Et encore, si y'avait que ça.

Bordel de. T'es au courant t'sais pas parler ? T'es pas la seule Fullbringeuse qu'j'croise et qui cause comme une autiste, à croire qu'les femmes, vous supportez mal l'pouvoirs. Sérieux, si un malade d'mon gabarit y arrive, ça devrait pas être si dur hein !

J'ricanne. Elle m'fait d'la peine la p'tite, et c'est c'qui m'fait marrer. 'Faudra quand même qu'on m'explique comment certains vivent sans être foutu d'aligner une phrase correcte. J'la mire un moment. Vire d'un doigt la flotte sur mes carreaux, plisse l'yeux. Encore une jeune, putain. Pas qu'j'sois contre culbuter une môme hein, juste qu'j'voudrais des formes aussi. Gros seins, bon cul, j'demande pas la lune putain. M'enfin, on fait avec c'qui passe. L'attardée est pas si dégueu' en plus. Une p'tite bouille pas vilaine, l'genre qui vient pas du pays, s'lon moi. Mah, j'vais pas râler, j'suis pas d'ici non plus à la base. 'Fin j'crois. Hm. Bordel de. J'ai foutr'ment aucune putain d'idée d'où j'peux v'nir !

C'sympa comme couleur d'cheveux, t'as d'la chance d'pas être rousse toi. J'suis Ganryû, toi ? J'peux savoir c'que t'foutais à m'suivre comme ça ? Ah et, c'moi ou tu t'crois d'taille à m'empêcher d'avancer ? Question débile, j'sais, t'as pas l'air aussi conne qu'ça, m'enfin.

Y'a quand même un doute, couplée à c'tte impression étrange qui prend aux tripes. Comme si la p'tite n'est pas aussi innocente qu'elle en a l'air. Bordel de. J'pas encore envie d'me foutre sur la tronche avec une f'melle. La chaudière glacée, Blondie, j'crois qu'j'en ai eu assez comme ça. Bon, y'a aucune chance qu'elle soit aussi coriace que Blondie, mais j'préfère m'méfier. Ah ouai, tant qu'elle est là, autant en profiter pour m'renseigner.

T'as vu c'qu'il s'tait passé avec l'suicidaire ? J'crois que c'tait pas si suicidaire qu'ça. J'pense même qu'y'a un malin qui joue avec l'gens. C'pas cool, t'le sais ça ? C'serait un Yollow ou un d'ces glandus d'Shinjigamis, j'dis pas. Mais un humain, d'gens comme nous, juste inférieur en puissance, c'moche. On d'vrait pas toucher aux humains, pas nous. Bref, t'sais quelque chose ?

J'percute final'ment qu'si elle cause comme une autiste, elle doit pas mieux s'en sortir pour piger c'qu'j'dis. Un soupir. Bah putain, j'pas l'cul sorti d'ronces moi...
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