Avatar : Harley Quinn
Parrain : Freya une chouette arrancar faut pas dire.
Comment avez-vous découvert le forum ?Je dirais bien par hasard mais bon depuis le temps je sais plus.
Shurya
Âge : 250 ans et pas une ride, physiquement seize ans.
Race : Shinigami
Siège demandé :Capitaine
Description de votre personnage : Un corps frêle, semblable à une poupée de chiffon fragile si délicate que la toucher serait comme la froisser. Une poupée chétif, comme impropre à cette réalité, son corps semblable à une esquisse qu'un peintre aurait dessinée avec patience et soin mais sans y mettre tout son engouement. Bien sur le physique de l'adolescente n'est pas à plaindre, au contraire il était enviée lorsque celle dont le sobriquet fait rire la plèbe était encore vivante. Lorsque cette dernière faisait rire la cour Impériale, lorsqu'elle marchait avec toujours un tour en réserve, lorsqu'elle arpentait les palais ancestraux en y laissant son empreinte. A l'époque tout était différent, lorsqu'on est vivant la mort semble si loin. Oui elle avait changée, en mal ou en bien nul ne saurait le dire, au fond qu'importait les changements puisque le caractère enfantin de l'adolescente revenait à la charge. Ce côté enfant, cette immaturité qui la définissait alors qu'elle était encore faite de chair et de muscles est toujours présente. Rien ne semble pouvoir effacé cet attrait de sa personnalité, même dans les pires moments elle reste comme lorsqu'elle glisse une peau de banane sous les pieds d'un de ses pairs. Oui c'est une gamine, oui elle aime bien rigoler et s'amuser et ne parlons pas de faire des blagues. Oui l'adolescente semble être bloquée mentalement sur un âge proche des enfants entrant dans les premières classes, certes elle rigole dès que quelqu'un prononce un mot ayant un rapport avec ce qui sort du postérieur des autres. C'est ce côté gamin qui la définit, personne ne saurait dissocier les blagues lourdes et la plupart du temps foireuses de l'adolescente de la troisième division.
Pourtant si cela peut sembler aux premiers abords une entrave au règlement si sévère des shinigamis et des lois qui en découlent, si le manque de maturité et le manque de sérieux dans les moments forts peut nuire en temps normal à une tel institution il n'en n'est rien. Pourquoi? Pourquoi alors que finalement Shurya décrit parfaitement la définition d'immature, pourquoi cet électron libre en apparence ne pose-t-il pas de problèmes à ses supérieurs? Car comme lors de son vivant elle est tenue en laisse quelqu'un en qui elle voue une sorte de culte, par cette personne et finalement même si cela ne semble pas être flagrant par elle même. Explications, l'adolescente use et abuse des blagues avec un discernement parfaitement exemplaire, chaque peau de banane glissée sous les pieds d'un de ses collègues ou encore n'importe laquelle des boites surprises déposés sous la porte de quelque siège est sciemment contrôlé. L'originalité, c'est ce que recherche la shinigami, et si au début c'était le cas désormais ce n'est plus original alors pourquoi continuer? Parce que même si les tours de passe-passe, ou les blagues restent les même la personne qui les fait ne change pas. Au sein d'une organisation militaire comme la Soul Society elle est unique. Unique et originale malgré la lourdeur de chacune de ses blagues, drôles ou non. En combat ou lorsqu'elle est contraint à avoir le sérieux exigée elle n'hésite pas à utiliser des blagues plus morbides. Des boites surprises contenant la mort et des tours de magie plus glauques. La jeune femme sait parfaitement, et heureusement à son grade, faire la part des choses. Différencier le futile du sérieux, le moment propice à une intervention de sa part et les moments ou sa hiérarchie prend le relais. Et au sein de sa division, faire la part des choses est plus que requis.
Sa division, celle ou elle évolue depuis qu'elle l'a intégrée il y a des années de cela. La troisième, une division ou le sérieux est de rigueur, une division ou l'action est présente quasiment à chaque rencontre avec l'adversaire. Une division ou les gens qui survivent aux combats en ressortent plus forts et changés. Du moins c'était comme ça qu'on décrivait la troisième lorsque encore fraichement débarquée on l'avait admit. Dès les premières missions elle est rentrée dans le rang. Et dès que la tension retombait elle était là pour faire rire la galerie. Elle ne pouvait s'en empêcher, elle faisait passer le temps comme ça et aidait à oublier la monotonie d'une vie à combattre et à protéger. Une vie de guerrier ou le rire était un élément suffisamment rare pour qu'on l'apprécie à sa juste valeur. Oui elle faisait rire, et oui elle adorait cela. Fait rire les gens pour les aider à oublier leurs malheurs. Malheur était également le deuxième surnom des monstres qu'on affrontait à la troisième. Aberrations c'était par ce surnom qu'appelait les Hollows la nouvelle recrue. Elle se souvient que dès le début et la première altercation avec l'un d'eux elle avait jurée de vouer sa vie à les exterminer jusqu'à ce que aucun d'entre eux ne survive. Une promesse impossible à tenir mais qui lui donnerait un objectif à atteindre et une raison pour vivre. La seconde fois qu'elle en avait un alors qu'elle était en mission de reconnaissance, c'était il y a un siècle déjà, elle avait voulue se précipiter sur lui pour le tuer. Elle se souvient aussi de la force de son adversaire, et qu'elle doit encore sa vie au cinquième siège de l'époque qui était venue la secourir.
Depuis les choses ont bien changés, la mentalité au sein de sa division aussi. Elle considère aujourd'hui les hollows comme des victimes, comme des êtres rongés par leurs remords et autre péchés et qu'elle doit les empêcher de nuire. Elle considère que sa division à aujourd'hui plus que tout un rôle à jouer dans l'échiquier politique et militaire de la Soul Society, avec l'arrivée des Reapers de surcroit. A propos de ces derniers elle n'en pense rien, elle se réfère aux ordres de la Capitaine Commandante à qui elle obéit sans limites et aveuglement. Elle considère cette dernière plus engagée et plus sage que le précédent bien qu'elle respectait entièrement le Commandant 'tire au flanc' comme elle le surnommait. Sa confiance est donc sans limite envers l'ancienne vingtième siège de la quatrième. Elle ferait n'importe quoi pour elle, et sort même les plus drôles de ses blagues dans l'espoir de la faire rire. Elle ne comprend pas pourquoi certains ont peur d'elle ou s'opposent à ses choix. A ces shinigamis rebelles elle n'adresse qu'un message: A sa place qu'auriez vous fait? Elle doute fortement qu'une personne meilleur soit capable d'émerger et même si c'était le cas son avis envers Asuna ne changerait pas. Elle est la bouffonne de la Mère, elle est comme il y a des siècles de cela attachée à une personne dont visiblement peu de personnes semble touchés par sa prestance. Comment ça elle en rajoute? Que neni elle transmet sa vision tout à fait objectif quant à la Commandante.
Vous l'aurez vite comprit au travers de cette description, lorsque vous apercevez la silhouette frêle mais non moins vivante de la shinigami attendez vous à rire jusqu'à en mourir.
Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant): L'arme de l'adolescente est un sabre plus long que la normal atteignant les quatre-vingt centimètres de long. Un fourreau noir d'ou dépasse un manche blanc incrustés de bandes noirs. Pour le reste il est pour le moins banal et hormis ces quelques distinctions rien ne le démarque des autres.
Montre la voie Ivy:
Avec cette phrase Shurya active son Shikai, son arme s'élargit et la lame devint d'une couleur ocre/rouille. Fait également notable un semblant d'armure recouvre les épaules et la partie inférieur du visage de l'adolescente. Avec cette forme, la jeune femme axe son combat sur la résistance et l'endurance plutôt que sur l'attaque frontale et bestiale.
Dévore les alentours Ivy:
Le bankai de la bouffonne se matérialise par l'ouverture autour d'elle de divers portails d'ou émanent des ondes électriques qui prennent la forme de longs bras ou de griffes cherchant à déchirer et à arracher la réalité. Shurya les contrôle et peut les utiliser à donc à son envie, la partie métallique de son arme disparait et est remplacée par une lame semi-matériel d'électricité pouvant faire jaillir des éclairs ou pouvant augmenter la vitesse de la femme.
Shurya manipule donc la foudre et les éclairs et plus généralement l'électricité. C'est avec ce pouvoir qu'elle chatie et punit les opposants à la bien pensée de la Mère chacune d'entre elles ayant un monde propre à elles ne demandant qu'à se propager dans cette réalité ou chacun lutte pour sa survie.
Histoire : (
25 lignes au minimum)
La figure sort de l'ombre, trainant des pieds, elle ne traine d'ailleurs pas que sa marche. Elle traine son corps entier, elle semble ne pas bouger. Elle avance en posant lentement et avec une lenteur extrême son pied devant l'autre. La pénombre cache son visage que l'on devine difficilement. Seul ses jambes sortent de l'ombre et toujours avec ce rythme ridiculement lent, toujours avec cette impression de lourdeur et de paresse divine, elle avance. L'ombre avance, à travers l'obscurité, elle continue sa lente marche. Elle semble pourtant bien déterminée, comme si une espèce de délire l'a possédait, elle avance en ne sentant pas la fatigue et l'effort. Elle ne fait rien de plus que d'avancer en oubliant le monde extérieur, elle sait qu'on l'observe et pourtant en a cure. Elle a son objectif invisible aux autres, là au fond de ce couloir, sa liberté l'attend et tandis qu'on l'épie et que les têtes se détournent à son passage, elle avance et le rythme s’accélère à mesure qu'elle se rapproche de son but. Elle enlève son habit, il fait trop chaud. Elle étouffe dans ce manteau de fourrure, elle a encore chaud, elle semble bouillir à l'intérieur de ses vêtements. Elle jette tout ce qui l'empêche de bien voir le bout de ce couloir. La liberté l'attend et elle reste de marbre. Ce n'est pas la première fois qu'elle accomplie ces gestes, tout est préparé minutieusement depuis une semaine. Toute la cour est présente, si elle échoue aujourd'hui elle est finit. Sa carrière s'arrêtera là devant l'Empereur et ses amis d'un soir. Ce soir elle est reine de ce peuple de riches, ce peuple de magnats et de vainqueurs. Ce soir elle triomphera d'eux, au final ce soir elle rejoue le même sketch que les semaines précédentes. Son unique tour, celui qui marche à chaque fois, espérons que ce soir elle y arrivera.
Pourtant quelque chose cloche, non seulement elle se sent mal mais de surcroit elle est irritée et mécontente pour un rien. Elle n'est pas malade mais simplement à fleur de peau, chacun des assistants qui lui parle la dérange et les mots qu'elle prononcent sont comme des vipères aux venins dangereux. Ce soir c'est son dernier tour, elle l'espère du moins. Après une retraite amplement méritée alors qu'elle n'est pas encore mariée. Sa fortune est faite et lui permettra de vivre des jours tranquilles et paisibles si elle réussit. Enfin c'est l'heure. Elle s'élance au bout du couloir, tout est prêt et celui qui la dérangera ne verra pas le lever du soleil. Ils sont tous présents, comme elle l'avait espérée, elle entend leurs murmures et leurs doutes. La jeune femme veut juste vivre tranquillement la fin de sa vie, elle ne se ratera pas, aucune erreur permise. Et la comédienne surgit comme un félin, elle bondit machinalement sur le premier piège qui a été installée. Son métier? Distraire les grands de ce monde en mettant en scène des tours et des pièces pour les amuser. Ce soir elle reçoit la crème de son pays et a donc préparée pour cela son dernier sketch. Elle met sa vie en jeu ce soir, pièges, flèches et animaux. Tout est présent sur scène pour impressionner l'audience et lui permettre d'empocher le pactole, oui ce soir elle doit réussir. Elle évite donc le premier piège, une lance sortant du sol elle rebondit sur les dalles de bois qui composent le sol et sautant sur le second obstacle à juste le temps de se coucher pour esquiver une pluie de flèches venant de l'autre bout de la salle. Tout se déroule comme prévue, encore deux mètres et elle touche le pactole. Elle se relève et se met à courir comme une hystérique en direction de la sortie de la scène, comme elle l'avait prévue un serpent est lâché sur elle. Un cobra, la morsure pourrait non seulement la gêner mais également la tuer. Qu'importe elle sort de sa poche un couteau et avec une agilité étonnante attrape le reptile de sa main droite tandis qu'elle le décapite avec son couteau. Elle ne jette aucun regard à l'audience, elle ne sait que trop bien combien c'est révélateur de son jeu d'acteur, le moindre faux pas et ils s’apercevront de la mise en scène, ils découvriraient que le serpent n'était pas venimeux, que la lance était émoussée et les flèches tirés avec une seconde de retard. Hé quoi? Elle n'est pas une guerrière, simplement une actrice et comme tout acteur elle réserve des tours d'avance pour les grands soirs.
Pourtant ce soir celle qui se faisait surnommée dans toute la région la 'Magicienne écarlate' rencontre un autre magicien prestidigitateur plus fort qu'elle: Le premier ministre, si L'Empereur est crédule et naif ce n'est pas le cas de son proche conseiller qui a bien vu l'ascension trop rapide de cette jeune dévergondée venue de la plèbe. Il n'accepte pas qu'une gueuse sans origines nobles et dont le métier le répugne puisse toucher une aussi grosse somme d'argent. Au nom des anciennes règles et des anciennes familles il doit mettre fin à ceci. Aussi lorsque la comédienne se relève sous les applaudissements des spectateurs et qu'elle marche tranquillement vers la sortie, alors qu'elle croit la pièce finit et qu'elle sent déjà l'odeur des cerisiers dans sa futur demeure. Alors que les illusions deviennent réalité dans son esprit elle est interrompue par un rugissement, elle revient sur terre, trop tard. La bête s'élance sur elle et dans la panique absolue elle recule, l'animal a faim et elle le sait. Le clou du spectacle? Sa mort par un félin. Elle regarde l'assistance, visiblement cela ne les surprend pas. Quelqu'un l'a piégée et maintenant elle va mourir ici comme une moins que rien. Elle ne ressent pas l'impact de la charge du tigre sur elle, pas plus qu'elle ne sent les griffes acérés du prédateur lui lacérée son corps. Elle est déjà ailleurs, ou? Elle ne sait pas elle même mais elle quitte ce monde comme elle y est entrée: par une farce.
Et alors qu'elle se croit déjà avec les kamis elle se surprend à regarder son cadavre encore sous les griffes de l'animal et les spectacteurs applaudissants. Elle ne dit rien, pas un mot, elle s'écroule simplement au sol comme un mort qui découvre que toutes ses croyances sont fausses et que après la mort on reste fantomatique, que l'esprit ne se dissous pas et que les Dieux n'existent pas. Pas plus qu'elle ne voyait la vie après sa mort elle ne voit pas la femme de noir vêtue qui se rapproche d'elle. Elle n'entend pas son discours et lorsque son âme s'envole de nouveau sa dernière pensée sur cette terre immonde est:La vie est une vaste plaisanterie.
En revanche lorsqu'elle entre dans ce monde dont elle n'imaginait même pas en rêves l'existence tout change. Elle se réveille dans le 39 district du Rukongai, un district ou comme lors de son vivant il faut se battre pour survivre. Très vite l'adolescente lutte contre n'importe qui, pour n'importe quoi. Elle observe et apprend en écoutant les ragots, elle apprend que ce monde est là ou vont les âmes sauvés par les shinigamis. Ces êtres habillés en noir et qui luttent contre les Hollows des monstres à l'apparence repoussante; néanmoins rapidement vivre parmi les pauvres la dérange, elle veut faire partie intégrante de cette armée cachée. Elle veut être utile, sa personnalité a complètement changée lorsque sa vie humaine c'est effacée.
Elle attend quelques années avant de tenter sa chance et lorsqu'elle se présente face aux géants gardant les portes elle demande humblement comment rejoindre l'académie. On lui montre le chemin à suivre et avec une obéissance draconienne elle suit.
Avec une rigueur extrème elle suit les cours de l'académie et n'étant ni la meilleur ni la plus mauvaise elle se maintient dans sa position d'élève moyen mais assidue qui suit à la lettre les règles établies. Ce qui la démarque à cette époque c'est son sang froid et son entrainement sans relache qu'elle éxécute dès que possible, oui l'académie ne fut pour elle qu'un passage mais ce fut également un moment marquant qui montra la volonté à toute épreuves de la bouffonne. Elle réussit les différents examens et lorsqu'on lui présenta son zanpakuto elle le prit avec une poigne de fer et avec une ferme intention de l'utiliser pour combattre les adversaires qui se présenteraient.
Elle choisit la troisième division pour être au coeur des combats, pour faire partie d'une compagnie de guerriers passant le plus clair du temps à éxécuter les hollows dangereux. Les premières missions se déroulèrent pour l'adolescente avec brio hormis la fois ou elle fut sauvée par un de ses pairs. Cette expérience la renforça dans son envie de vaincre et de vouer sa vie aux institutions auquel elle avait jurée allégeance. Elle devint rapidement l'instrument et l'arme de ses supérieurs multipliant les opérations aussi vite qu'on les confiaient à sa division.
Lorsque le Vice Capitaine fut tué au combat par un arrancar et sa troupe le comportement de la jeune femme changea, elle réalisa soudainement que elle aussi pouvait y passer sans avoir marquée son temps. Alors son instinct enfantin et l'esprit délirant qu'elle avait lors de son vivant refit surface, et elle commença ses farces et les tours de passe-passe burlesques entre chaque intervention des siens. Au début cela choqua puis dérangea mais quand les membres de sa division prirent conscience de la motivation qui poussait la jeune femme à faire ses blagues ils jouèrent le jeu. Faire des blagues et amuser la galerie était un moyen comme un autre de tromper la mort et de vaincre le chagrin lors de la perte d'un de leurs pairs. Shurya luttait à sa façon contre la déprime et les lois tristes et pourtant bien présentes de la vie.
En revanche lors de sa promotion en tant que Vice Capitaine elle ne fit aucune blague et remercia son chef pour la confiance qu'on plaçait en elle. Devant les supérieurs elle restait le parfait soldat tandis que devant ses subalternes elle enchainait les blagues délirantes et les tours de magie foireux. Un être à deux faces voilà ce qu'était devenu Shurya et elle maniait bien les deux côtés de sa personnalité.
Elle avait également prit avec les années de l'assurance et un niveau qui lui aurait semblé inimaginable lors de son entrée à l'académie. De mieux en mieux elle maniait son arme et découvrait l'esprit de son zanpakuto avec un plaisir toujours plus fou. Ensemble elles s'amusaient et sa moitié la conseillait et lui servait de garde fou, de soeur et de maitre lors des entrainements dans leurs monde.
Tout allait bien pour la jeune vice-capitaine jusqu'au jours tragiques ou des monstres remplacèrent ceux qu'elle connaissait. Les Maho Tsukai lui apprirent le sens du mot défaite et le désir de vengeance également, elle ne prit pas part à leurs combats pas plus qu'elle n'alla dans leurs division pour les combattre, elle était occupée à prendre soin des siens, de sa famille et était aux côtés de son capitaine. Lors de la mort du capitaine commandant elle découvrit son nouveau maitre à penser en la personne de l'ancienne siège de la quatrième. Rapidement et malgré l'arrivée des Reapers elle consacra son temps à convaincre les siens de la bonne parole de la Mère. Elle joua le role du precheur avec tant de conviction que rapidement la division obtempéra et la troisième devint le repère des convaincus de la bien fondée des actions d'Asuna.
Lorsque son capitaine tomba au combat emportée par un cero d'un arrancar fourbe et par la puissance dont l'attaque avait fait preuve la division entière fit son deuil et aucune blague ne fut à l'ordre du jour. Shurya pleura toutes les larmes de son corps et jura de prendre soin des siens. Elle redoubla de volonté et d'ardeur au combat et continua avec un aveuglement sans foi envers Asuna à obéir et à assurer que les actions étaient bien effectués.
Et puis le rôle de sa vie lui fit confiée, une dernière promotion pour celle dont la vie se résumait avec passion et envie à protéger les siens, elle fut nommée Capitaine de la troisième. Elle accepta les nouvelles taches et responsabilités qu'on lui demandait et la confiance que ses supérieurs lui confiaient. A ce jour elle continue de prendre soin de sa division et à combattre les Hollows, aujourd'hui il est temps pour la bouffonne de contacter la Capitaine Commandante et de lui présenter les hommages et les objectifs qu'elle a. Il est l'heure pour la nouvelle Capitaine d'assumer le rôle qu'elle a et de montrer à tous qu'elle en est digne.
Sujet: Shurya. 
Dim 20 Juil - 17:31
