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 Eirin Ukitake [terminé]

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AuteurMessage
Ukitake Eirin
Eirin Ukitake [terminé] Shi-cap
Ukitake Eirin
Rang : Capitaine de la 13ème Division

Messages : 132
MessageSujet: Eirin Ukitake [terminé]   Eirin Ukitake [terminé] Icon_minitimeMar 4 Nov - 15:57

    Avatar : Création Déviantart (Kirihara_chiaki_by_unicornchen-d65u1zd)
    Parrain : Aucun.
    Comment avez-vous découvert le forum ? Top-Site.

Eirin Hatsuka Ukitake

    Âge : 22 ans
    Race : Shinigami
    Siège demandé : Osons le Vice-Capitaine de la 8ème Division ou Capitaine de la 13ème Division.


    Description de votre personnage :

    On dit d'Eirin qu'elle est triste, qu'elle est sinistre, errant à travers les couloirs du Gotei 13. Si on oublie le violet de sa longue chevelure, c'est la finesse de son corps, de son visage que l'on remarque. Apparente finesse qui ne fait que la grandir encore plus. Eirin est en effet une grande femme, mesurant près 1m90, à la démarche lente et posée. Elle ne semble jamais se presser et il se dégage ce même sentiment, de tous ses mouvements, et ce, quoi qu'elle fasse. Mais un regard avertit, aiguisé, constatera qu'elle est aussi tranchante qu'une lame et qu'il en va de même pour ses mouvements. Cette sensation de lenteur, cache une vitesse qu'elle essaye de retenir. C'est son regard, quasiment vide de couleur, qui peut la tromper. En effet, ce dernier n'arrête pas de se déplacer, d'aller d'un point de vue à un autre, attentif au moindre mouvement, à la moindre chose qui rentre dans son champ visuel. Ce dernier se fige lorsqu'elle s'immobilise, lorsqu'elle doit se concentrer sur quelque chose ou quelqu'un. On a alors l'impression qu'elle sonde l'âme, la nature profonde de ce sur quoi son regard s'est posé.

    Cette impression de tristesse, de mélancolie, qu'on imagine se dégager d'Eirin, ne vient pas seulement de sa démarche, mais aussi de ce regard presque blanc et du fait qu'aucun sourire ne semble s'épanouir sur ses lèvres au rouge sombre. Il y aussi de l'austérité, chez elle, même si quelques touches de maquillages et le fait qu'elle garde toujours ses épaules et son cou dénudés, démontre une certaine sensualité, lascivité. Lorsqu'on la regarde de loin, oubliant son regard froid, on pourrait facilement l'imaginer dans une taverne s'amusant des paroles des hommes qui lui ferait la cours. Car Eirein est une belle femme, la finesse de son corps souligne ses formes, la douceur de celles-ci. Le léger parfum, qui se dégage d'elle, œuvre aussi pour cette impression. Un parfum légèrement épicé et sucré à la fois, rappelant par certaines fragrances, la terre. Quel homme ne désire pas au fond de lui retourner à la terre, retrouver la sérénité de celle-ci. Oui, derrière cette tristesse, cette mélancolie, cette prévenance, se cache aussi une certaine séduction, légère tel un spectre.

    Par moment, on pourrait penser qu'elle n'est que cela un spectre, une apparition surnaturelle, une créature éthérée, le fantôme d'une autre. Mais il suffit d'un mouvement de sa part, pour chasser cette idée. SI un regard aiguisé, peut voir le tranchant d'une lame dans ses mouvements, une personne sage, décèlera un danger mortel derrière ce masque de mélancolie. Cette beauté, cette langueur, n'est qu'un piège en vue de conduire sa proie vers une mort certaine. Derrière ce masque de douceur, se cache une créature avide et cruelle, ce regard sans cesse en mouvement, ne cherche qu'une proie à dévorer, à guider vers la Terre pour l'y mettre à jamais.

    Eirin ne semble pas porter l'uniforme traditionnel de ceux de sa caste, mais sa tenue est des plus traditionnelle. Elle affiche un kimono noir sans manches, par-dessus lequel elle porte un manteau aux longues manches recouvrant ses mains. La longueur de ce dernier le fait se traîner sur le sol. Une large ceinture mauve, recouvrant la totalité de son ventre, ceint l'ensemble. Elle porte des sandales à semelles compensées, exagérant encore plus sa taille.
    Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant):


    Le Shikai tout comme le Bankai, sont en partit la manifestation des pouvoirs de Vizards de Hatsuka et de ceux propres à Eirin.

    > Sous sa forme de Shikai, Bourei ( spectre), le zanpakuto devient une épée sans garde, à lame droite. Cette dernière mesure 73 centimètres et est totalement noire, à l'exception de son tranchant. Ce dernier tout comme le manche est aussi blanc que le Hierro ou Masque d'un Hollow. On peut apercevoir un trou parfait au niveau de la base de la lame. Sous cette forme, il n'est pas plus tranchant, ou solide. Sous cette forme, il est capable d'absorber l'énergie spirituelle ambiante et seulement celle-ci, afin de projeter une attaque de Kido, similaire à un Céro. La forme de cette dernière et sa puissance dépendent, pour l'un du type d'attaque (forme de boule si d'estoc et tranchant si de taille) et pour l'autre de la quantité d'énergie absorbée.

    > Sous sa forme Bankai, Bourei no Nakigao ( spectre au visage en pleur), ce zanpakuto voit une tête similaire à un masque de Hollow apparaître en lieu et place de sa garde, une chaîne aussi blanche que le masque relie l'arrière de son manche au poignet de son porteur. La totalité de son bras (de l'épaule jusqu'aux doigts) auquel est reliée la chaîne, est recouverte d'une substance similaire au Hierro d'un arancar. La lame quant à elle est similaire sous cette forme, à celle de sa forme Shikai, si ce n'est qu'un spectre en pleur l'entoure. En plus de son aptitude sous la forme Shikai, il peut, au contact de son tranchant, absorber les particules d'énergie spirituelle, et l'énergie spirituelle. Les particules ou énergie ainsi absorbées, lui permettent de se réparer tout ou en partie ou de soigner son porteur, ainsi qu'augmenter la vitesse et la résistance de ce dernier.
    Histoire :

    Je me nomme ou devrais-je dire me nommais, Hatsuka, Toïishy Hatsuka, car comme vous allez l'apprendre, je suis morte. Je ne devrais pas me plaindre, j'ai eu une belle vie, j'ai été aimée. La seconde quant à elle, a été moins facile, mais j'y ai connu l'amour, celui d'une sœur. Par ces quelques mots, je vais essayer de vous raconter mes vies, même si les souvenirs de la première m'ont échappé avec le temps.

    Je suis née durant l'automne 1833, dans la ville de Edo qui deviendra Tokyo par la suite. Ma famille appartenait à la noblesse et servait le shoguna de Tokogawa. Ma vie en tant que membre de la noblesse était assez paisible, je n'avais à me soucier de rien, si ce n'est de satisfaire mon père et lui faire honneur. Comme toutes les filles de mon rang, mon mariage avait été arrangé peut après ma naissance. Ce fut durant ma petite enfance que je fis la connaissance de celui qui devait devenir mon époux, mais cela ne se fit pas. La raison qui fit mettre un terme à cet arrangement, fut mon don, ma malédiction. Ce dernier se manifesta lors de mon cinquième anniversaire. Alors que la fête se déroulait, paisiblement, les enfants des invités jouant avec moi, sous la surveillance de nos serviteurs, les adultes quant à eu vaquaient à leurs occupations. Mon promis était présent, comme il se doit, déjà à cet age, il se dégageait de lui un certain charisme, promesse d'une brillante carrière. Nous nous amusions donc, des jeux d'enfant, ces derniers nous conduisirent devant les tombes de mes ancêtres. Mes parents n'aimaient pas ce lieu, le délaissant. Dès que je fus en age de marcher et de comprendre, ils m'interdirent de m'y rendre, mais aujourd'hui, j'avais 5 ans et je n'étais plus un bébé. Alors que l'on s'amusait, se moquant de ceux qui gisaient sous nos pieds, je le vis. Il était vieux, son regard était empli de colère et de douleur. Des chaines le retenaient à la terre, un trou se formait au niveau de sa poitrine, plus il se débattait, pleurait et criait, plus le trou s'agrandissait. Ce fut lorsqu'il posa son regard sur moi, qu'il tendit son doigt comme un accusation, que le malaise me prit et que je perdis connaissance. Je ne revins à moi que quelques jours plus tard, une terrible fièvre m'avait affaiblit, mes parents avaient craint pour ma vie. Il me fallut une semaine pour me relever et retrouver l'usage de la parole. Je ne me souviens plus des mots que je prononçai alors, mais ils plongèrent mes parents dans la crainte. Un moine me fut envoyé, un Shugenja, il m'ausculta, alla bénir les tombes de mes ancêtres. Il déclara que je possédais le don, celui de voir les morts, de leur parler, que je devais le suivre et quitter ma demeure sous peine d'apporter le malheur en celle-ci. Je crois que ce fut mon père qui résista le plus à cette idée, qui refusa de me laisser. Mais je dus quitter ma maison, emportant avec moi l'amour de mon père et les craintes de ma mère.

    Ma vie au temple ne fut pas malheureuse, même si elle n'avait rien à voir avec celle que j'avais connue. Bien sur, mon mariage fut annulé, étrangement, ce fut les parents de mon promis qui y mirent fin, j'aurais pensé que cela aurait le fait de ma mère.
    Les moines m'expliquèrent le poids de mon don, les risques que j'aurais fait encourir à mes proches, si j'étais resté près d'eux. Ils m'assurèrent que dans l'enceinte du temple, je ne risquais rien, que les esprits malades et colériques, ne pouvaient m'atteindre. Je commençai donc à mener une vie monastique, apprenant la vérité derrière les légendes. J'appris ainsi que le fantôme que j'avais vu était celui de mon grand-père, que le comportement de mes parents à son égard le retenait prisonnier et nourrissait sa colère et sa peine. Lorsque je leur demandais si on pouvait le libérer, ils me répondirent que cela était la tache des dieux de la mort, des Shinigamis. Le moine qui était venu à moi, les avait priés devant la tombe de mon ancêtre, leur demandant de venir libérer cette âme. Ils ne purent me répondre, concernant la venue ou pas de celui-ci. Ils m'apprirent à faire la différence entre les bons et les mauvais esprits, m'apprirent à me défendre contre ses derniers, à dresser des barrières et lire les incantations. Mon enseignement ne fut pas que spirituelle, mais aussi physique et martial, seul un corps saint et fort pouvait permettre d'avoir un esprit fort. Certaines nuits, je pouvais entendre les cris des âmes devenues de mauvais esprits et que l'on n'avait pas pu aider. Mon maître, m'apprit qu'a chaque fois que l'on entendait ce cri, cela signifiait qu'un Shinigami arrivait. Je menai cette vie durant les 14 années qui suivirent.


    Ce fut durant ma 20ème année que J'eus le privilège d'assister à l'oeuvre d'un de ces dieux de la mort. Avec l'âge, j'avais gagné en force et assurance, mon maître avait décidé que je l'accompagnerais lorsqu'il était envoyé sacraliser des lieux, ou prier pour des âmes afin qu'elles soient libérées. Ce fut durant une de ces cérémonies que je vis pour la première fois l'un de ses dieux. L'esprit que mon maître et moi devions soulager avait quasiment brisé toutes ses chaines, ses dernières semblaient se manger elles-mêmes. On pouvait lire la douleur sur son visage, mais aussi de la colère et de la faim. Aucune de nos prières, ne purent le calmer, lorsqu'il se jeta sur nous, la barrière que mon maître avait dressée le stoppa, engendrant encore plus de colère chez lui. Nos mantras ne servaient à rien, c'est alors qu'il apparut, il semblait flotter dans l'air, son Kimono noir accompagnant chacun de ses mouvements. Je ne vis pas sa lame lorsqu'il la dégaina juste un éclair, lorsqu'il trancha le masque blanc qui se formait sur le visage de l'esprit. Durant un bref instant, je perçus le soulagement dans le regard de ce dernier, avant qu'il ne disparaisse dans l'éther. Le shinigami posa son regard sur nous, s'attarda sur moi, je crus percevoir un sourire, une promesse que l'on se reverrait, puis il disparut à son tour accompagné par un papillon noir. Je ne savais pas encore, que cette promesse allait être tenue.

    Je suis désolée, si j'arrête là mon histoire, cette histoire concernant ma première vie, mais les souvenirs sont flous. Je ne rappel même pas vraiment de ma mort, je sais qu'elle eut lieu durant un tremblement de terre et que des milliers d'âmes prirent la même route que moi vers cet endroit où vivent les dieux de la mort, et que l'on nomme la Soul Society.

    Ma vie au sein de la Soul Society ne fut pas malheureuse, juste un peu plus difficile. Malgré mes origines sociales, je ne me retrouvai pas au sein d'une des familles nobles. Je vécus au sein du Rukkogai, quartier populaire, dans l'un des districts les plus riches. Si dans les premiers temps de ma vie, je me retrouvai seule, ma rencontre avec celle qui allait devenir ma sœur brisa cette solitude. Entendons-nous bien, je n'étais pas une ermite, même si ma vie humaine m'avait préparée à celle-ci. J'avais des amis, des courtisans mêmes, mais personne avec qui je parvins à créer un lien, jusqu'à Eirin ...

    Je me nomme Eirin, c'est ainsi qu'elle m'a nommé lorsqu'elle m'a trouvé. Ce nom n'est pas le mien, ce n'est pas faute d'avoir essayé de le lui dire, mais elle ne l'a jamais entendu. Ce n'est qu'une fois au seuil de la mort qu'elle l'entendit, mais il était trop tard. J'ai décidé de garder le nom qu'elle n'avait donné, cachant le mien, le laissant dormir.

    A la différence de ma soeur, mon amie, ma complice, mon âme sœur, je ne suis pas née, j'ai été créé. Je n'étais pas une âme humaine, mais une Asauchi, crée par Nimaiya Ôetsu, afin de devenir un zanpakuto au service d'un shinigami. C'est son appel qui m'a fait venir à elle, m'a réveillé, jusqu'à ce que je l'entende, je n'avais connu que la solitude parmi la multitude. Je lui étais dédiée, liée avant même de la rencontrer. Personne m'empêcha d'aller la rejoindre, alors qu'elle n'était qu'une simple âme, aucunement un Shinigami. La présence de mes frères et sœurs, commençant à me peser, je ne fus plus qu'heureuse de les quitter. Nous nous rencontrâmes sur la place d'un marché, au milieu d'âmes humaines sans grands intérêts. Lorsque mes yeux se posèrent sur elle, je la reconnus et décidai de prendre une forme qui la réconforterait. Je ne vins pas à elle de suite, appelez cela de la timidité, mais je voulais apprendre à la connaitre, voir qu'elle maître, elle pourrait être. Je ne fus pas déçue, déjà son potentiel spirituel, puis son comportement envers les autres. Elle savait faire preuve de force sous son apparente fragilité. Ce ne fut qu'au bout d'un moi, que je m'approchai afin d'elle, me présentant enfin. Je voulus lui dire mon nom, mais je ne pus, pas tout de suite, il n'était pas encore temps. Elle ne nomma, me croyant amnésique, chose apparemment commune pour les nouveaux venus.


    ... Je l'ai rencontré sur la place du marché, je savais que c'était elle que j'avais déjà aperçue. Elle m'avait observé, m'intriguant, mais j'avais décidé de la laisser faire le premier pas, ne voulant pas brusquer sa timidité. Qu'elle ne fut pas ma surprise en constatant que nous nous ressemblions, on aurait pu nous prendre pour des sœurs. Lorsque je lui demandai son nom, elle ne put me répondre, ni me dire d'où elle venait. Quelque chose en elle, une sorte de lien, me poussa à l'adopter, à en faire ma sœur. Je la nommai Eirin, qui signifie joyau éternel. Maintenant que nous étions ensemble, je ne connus plus la solitude, je pouvais parler de tout avec elle, tout partager, mes joies, mes peines, mes doutes. Elle semblait être d'une patience infinie à mon encontre, alors qu'elle pouvait se montrer vindicative avec les autres. Nous vécûmes ensemble dans le Rukkongai durant quelques années, même si je sentais que ma sœur désirait plus, non pour elle, mais pour moi. Elle n'arrêtait pas de me pousser à franchir la limite séparant notre quartier, de celui du Seireitei domaine des Dieux de la Mot, les Shinigamis. Je ne me sentais pas prête, manque de confiance, je sentais que cela l'agaçait, mais elle ne dit rien, se montrant patiente.

    Ce fut ma rencontre avec l'un de ces dieux qui me poussa à suivre les directives d'Eirin. Ce shinigami ne m'était pas inconnu, j'avais un sentiment de déjà vu. Ce fut lui qui vint à moi, qui me rappela notre première rencontre, alors que j'étais encore vivante. Il parut intrigué par ma sœur, mais rien de plus. En sa présence, je me sentais faible, j'avais faim, plus que d'habitude. Il se présenta, Hachiro Ukitake 8ème siège de la 13ème Division, ce qui nous fit rire, Hachiro signifiant 8ème fils. Il est membre d'une famille de la petite noblesse et me conseilla de rejoindre l'académie, se proposant de nous parrainer. Eirin me suivit, rejoignant elle aussi cette institution, cela me surprit, je ne savais pas qu'elle désirait-elle aussi devenir Shinigami. Elle me confia, que cela n'était nullement son désir, mais qu'elle resterait avec moi, où que j'aille et quoique je fasse. Cet attachement me fit peur, mais notre lien était devenu si fort que je ne pouvais la laisser. Notre formation ne fut pas aisée, mais nous parvinrent à obtenir notre diplôme, lorsque le choix de la division vint, ce fut naturellement que je choisis la 13ème, Eirin me suivit dans ce choix ...

    Je m'installai chez elle et devins sa sœur, de nombreuses familles se créaient de la sorte dans le rukongai et cela ne choqua personne. La vie que nous menions n'était pas celle qui lui était réservée, celle à laquelle elle se devait. Plus d'une fois, je la poussai à devenir une Shinigami, l'assurant qu'elle en avait le potentiel et la rassurant sur ma présence à ses côtés. Ce ne fut pas mes mots qui la convainquirent, mais ceux d'un autre. Un shinigami du nom de Hachiro, il n'avait rien de spécial, malgré son uniforme, son rang au sein de sa division et son origine sociale. Elle le regardait avec des yeux pleins d'admirations, cela m'énerva, elle pourrait être bien plus qu'il ne le sera jamais.

    Mais grâce à lui, je peux l'accompagner à l'académie, la suivre dans cette voie qui fera d'elle ce à quoi elle aspirait depuis ma création. C'était pour elle que j'avais été créée, pour me battre à ses côtés, faire d'elle une redoutable shinigami. Elle décida de le suivre, de rejoindre sa division. On lui remit une lame, celle-ci n'était rien qu'un substitut, qu'une réplique.


    ... Je n'arrive à rien avec mon zanpakuto, je ne ressent pas ce lien dont on m'avait parlé à l'académie. Eirin me rassure, me dit que cela n'est rien et que je n'ai pas besoin de lui, que je l'ai-elle et que cela suffit. Elle ne peut pas comprendre, a la différence de moi, elle ignore son épée, ne la considère pas comme étant un prolongement d'elle, ce qui fait d'elle un shinigami. Pourtant, elle semble maitriser l'art du Zanjutsu, savoir instinctivement comment utiliser au mieux son arme. Lorsqu'elle l'utilise, on dirait que c'est elle la lame, qu'elle ne fait qu'un avec, je la jalouse un peu. De toute façon, je préfère l'art du Kido, ces deux formes le Hado et le Bakudo se rapprochent de ce que le moine m'ont enseigné de mon vivant. Eirin aussi maitrise cet art, me signifiant que ce dernier est plus dans sa nature. Je ne comprends pas ce qu'elle essaye de me dire. Une nuit alors que nous sommes de garde devant les portes de la division, elle tente de me dire quelque chose, mais je ne la comprends pas, cela l'énerve et elle se mure dan son mutisme. Malgré mes difficultés à maitriser, à éveiller mon zampakuto, je parviens à gravir les échelons de ma division. Eirin semble vouloir rester derrière moi, préférant me servir, m'assister, pourtant, il est clair qu'elle m'est supérieure. Achiro et moi commençons une relation, Eirin n'apprécie pas. Nous nous montrons discrets cela pourrait être mal vu. Mais nos sentiments grandissent, je m'éloigne de ma soeur peu à peu, je perçois sa déception, sa tristesse. Même lorsque je lui annonce que je vais épouser Achiro, je sens qu'elle me désapprouve, mais elle me souhaite d'être heureuse et me rappelle qu'elle ne me quittera jamais. Mon mariage a deux conséquences sur ma vie, la première est que je rejoins une famille noble retrouvant le statut qui avait été le mien durant ma vie humaine. Eirin aussi rejoint cette famille, mais cela ne semble pas la toucher. La deuxième conséquence est que je suis muté au sein de la 8ème Division. Eirin ne peut me suivre malgré ses demandes, nous nous voyons peu, je perçois un changement dans son attitude, elle devient plus solitaire, une mélancolie semble la gagner. Je ne parviens toujours pas à éveiller mon zanpakuto, je commence à douter de moi. Ma soeur me manque, sa présence me rassurait, me faisait me sentir forte ...

    Je regarde ma soeur essayait de créer un lien avec son zanpakuto, mais peut-on appeler cette lame de la sorte. Je sens de la tristesse pour l'Asauchi, il mérite mieux. Je commence à penser que ma présence, ma matérialisation à ses côtés peut lui porter préjudice. Mais lorsqu'elle entendra enfin mon nom, alors tous les tords seront effacés. Le temps passe, elle progresse au sein de sa division, je l'assiste autant que je peux. Je sens qu'elle s'éloigne de moi, se rapproche de ce shinigami. Je suis partagé entre la joie que je perçois chez elle et la frustration de la voir me repousser. Elle ne s'en rend même pas compte et cela me désole encore plus. L'annonce de leur mariage a créé chez moi un sentiment de colère, de jalousie. C'est à moi qu'elle est liée, à personne d'autre, moi seule peut lui apporter ce dont elle a besoin. Mais son bonheur est sincère, tout comme l'amour de son époux. Comment aurais, je pus imaginer, la déchirure que cette union allait causer en moi, entre nous. Nous sommes séparées, on me l'arrache, la colère est vite remplacer par l'amertume, la tristesse, la mélancolie. Je ne suis rien sans elle, je n'ai aucune autre raison d'exister qu'elle. Le peu de foi que l'on peut se voir, m'arrache toujours plus de joie. Je dois faire quelque chose, l'obliger à m'entendre, à entendre mon nom. J'essaie durant une nuit, où nous nous retrouvons seule, sous la lune. Elle me parle de son bonheur, me fait part de ces inquiétudes à mon sujet, me dit que je lui manque. Je lui sur sure mon nom, mais elle ne l'entend pas, je réessaye plus fort, ses yeux se voilent un instant, l'effet du sommeil. Elle finit par s'endormir sur mes genoux, je lui chuchote mon nom espérant que le voile des rêves lui permettent de l'entendre.

    ... J'ai rejoint Eirin, cela fait trop longtemps que je la délaisse, je m'inquiète pour elle. J'ai appris qu'elle se relâchait dans son travail, faisant preuve par moment d'irrespect et d'insubordination. Nous nous retrouvons sous la lune, je lui parle, elle m'écoute, il me semble qu'il en a toujours été ainsi de notre relation. Ais je une, seule fois écouter ce qu'elle me disait, il semble que cette fois-ci, elle essaye une nouvelle fois de me faire entendre, comprendre quelque chose. Mais la fatigue de la journée, ce rappel à moi et le sommeil m'étreignent peu à peu. Je crois rêver, j'entends une voix lointaine me chuchoter quelque chose, un nom, Bourei, le reste m'échappent et je finis par m'endormir. Mon rêve est peuplé de fantômes, aucun n'est agressif, ils semblent me guider, vouloir me diriger vers une personne importante pour eux, pour moi. J'aperçois une silhouette éthérée, mais je me réveille. Je suis dans ma chambre, dans mes quartiers au sein de ma division, mon Zanpakuto à mes côtés, sa forme est différente, du moins il me semble. Le temps que je me frotte les yeux, il est redevenu ce que j'ai toujours connu. Suite à ce rêve, je sens que j'ai dépassé un stade, atteins un nouveau. Eirin me sourit d'un sourire attendu, me félicite, jure qu'elle avait toujours eu confiance en moi, lorsque je lui annonce que j'ai éveillé mon zanpakuto, que j'ai presque réussi à le percevoir dans un rêve. Maintenant que je possède enfin de shikai, j'atteins les grades supérieurs, je suis nommée 5ème siège, après quelques années au sein de la 8ème division.

    La période est troublée par des événements tragiques qui secouent jusqu'aux fondations du Seireitei. Suite à la trahison de plusieurs capitaines, une guerre éclate avec le Hueco Mundo, le monde originaire des Hollows. Ce fut suite à cette guerre que je connus ma deuxième mort et appris le nom de ma soeur, ce nom qu'elle avait essayé de me dire depuis notre première rencontre ...

    Il semble que mes prières furent entendues, elle est sur la bonne voie, bientôt, nous serons enfin réunies et je pourrais me tenir à ses côtés. Je sais que la route est encore longue et que rien n'est gagné, mais cela me réconforte. Mais des nuages sombres menacent, des trahisons, la menace d'une guerre, elle n'est pas prête, elle n'a pas entendu tout mon nom. Tout le Gotei 13 est concerné, nous devons défendre des humains, empêcher que les plans du traite aboutissent. Je crains pour sa vie, sans elle, je ne suis plus rien, notre éloignement m'a fait prendre pleinement conscience de mon existence, je ne veux pas que celle-ci s'arrête de la sorte. Par chance, son rang l'empêche de se retrouver sur le champ de bataille, les ennemis étant trop puissants. Cette guerre prend fin avec l'emprisonnement du leader de cette machination et de la mort de ses lieutenants. Malgré tout le Gotei 13 a été secoué, affaiblit, doit prouver que sa force est toujours présente, surtout que tous les Arrancars, ces Hollows supérieurs n'ont pas été tués et continus de représenter une menace potentielle. Notre surveillance du monde des humains se fait plus attentives, d'anciens shinigamis ayant fait leur apparition dotés des pouvoirs de Hollows. Nous devons nous assurer qu'ils sont seuls, que nulle autre menace ne guette. Ma soeur est envoyée dans le Hueco Mundo, elle participe à la surveillance de ce monde. Elle risque de partir trop loin, je ne pourrais plus veiller sur elle. Je demande à la suivre, à la rejoindre, exhorte son mari à appuyer ma demande. Celle-ci est acceptée, je suis soulagée. Comment aurais, je pus deviner que cette mission allait tout changer pour moi.

    Nous traversons un passage et arrivons en territoire ennemi. Les Hollows aussi ont souffert des préparatifs de guerre, mais nous devons rester sur nos gardes. Qu'importe ce que dit le commandant de notre escouade seule ma soeur m'importe et le fait que nous allons enfin pouvoir combattre cote à cote, comme il se doit. Ce n'est qu'au bout de plusieurs jours, que nous rencontrons les premiers hollows. Notre infiltration est un échec, le combat s'engage, nous parvenons à éliminer nos ennemis, quelques blessés à déplorer dans nos rangs, mais rein de sérieux. Hatsuka n'est nullement blessée, nous veillons l'un sur l'autre. Mais cela ne va pas suffire, est-ce cette victoire, notre suffisance, la bêtise de notre leader, mais nous tombons dans un piège. Ils sont plus nombreux que nous, des Menos les rejoignent, je suis blessée, mais rien en comparaison à la scène dont je suis témoin. La dureté du combat, m'a éloigné de ma soeur et celle-ci s'est retrouvée submergée. Sa maitrise du Kido, ne lui est d'aucunes aide. Le temps que je la rejoigne, un Hollow est en train de lui arracher le bras avec sa gueule, se plante ma lame dans son crâne avant qu'il ne puisse la mordre à la gorge. J'enrage, je libère mon pouvoir, je frappe sans pitié et scrupule me nourrissant de leur énergie, je ne peux leur pardonner ce péché, ni les absoudre. Ma lame ne nettoie pas leur âme, elle les vide de leur substance. C'est alors que j'entends mon nom, elle m'appelle, j'accours à ses côtés, du sang trop de sang coule de sa blessure. Des larmes coulent sur mes joues, c'est alors que je ressens le changement en elle. Ce n'était pas que ma douleur, ma haine, c'était la nôtre, le Hollow qui l'a mordu lui a laisser un présent.

    Nos ennemis sont mis en déroute, mais un grand nombre de ceux venus avec nous, sont morts. Notre leader, semble dire que ces Hollows avaient dû servir de cobaye pour la traite. Je ne l'écoute pas, ne l'entend pas, il ordonne de rassembler les blessés, de soigner en priorité ceux qui peuvent encore marcher. Nous devons retourner à la Soul Society, notre point d'extraction est loin. Les blessés dont l'état est trop critique doivent être sacrifiés. Je refuse, si elle meurt, je meurs moi aussi, je ne suis rien sans elle. Pour l'instant, ils ne savent pas, je peux la sauver, il suffit que je lui transfère de ma force, de mon essence. Ensemble, nous pourrons surmonter cette situation, repousser l'échéance, voire la faire disparaître. Tous mes efforts, ne servent à rien, je sens le mal la gagner alors que sa vie la quitte. Son visage si paisible, si joli, se tord de douleur, un cri veut se libérer, mais je l'étouffe. Mes larmes inondent mon visage, j'entends de nouveau les ordres du leader, mais je les refuse, il ne comprend rien. Il me repousse, je me dresse face à lui, la pointe de ma lame posée sur sa poitrine. Son regard s'élargit, ce n'est pas mon geste, mais ce qu'il voit derrière moi qui en est la cause. J'ose tourner la tête et je le vois, ce masque tant de fois reconnus, tant de fois briser. Mais le pire est l'orifice qui se forme et le cri de douleur qui s'échappe de la gorge de ma soeur. J'oublie celui que je menaçais, me jette sur ma soeur, lui arrache le masque, je me brise deux doigts. Ma main essaye de recouvrir le trou, je lui transfère mon réiatsu, je l'implore de m'appeler, de dire mon nom. Ensemble rien ne nous impossible, nous terrasserons tous nos ennemis. Je l'entends, dan un cri, j'aurais explosé de joie, si l'obscurité n'était pas venue m'absorber, je me noie, me dissout, est la fin ?

    Le champ d'un oiseau, la douceur d'un rayon de soleil sur ma peau. J'ouvre un oeil, je me sent si faible, Achiro est à côté de moi, son visage exprime du soulagement, ses larmes coulent sur mon visage. Je ne comprends pas ce qu'il me dit, je suis si loin, mais pourquoi semble-t-il heureux de me voir, ou est ma soeur, sa femme. Je veux lui poser cette question, mais aucun mot ne sort de ma bouche, puis de nouveau, le noir, l'obscurité. Je ne suis pas seule dans l'obscurité, je sens leurs présences, mais ne peux les voir. Un nom se fait entendre, mais je ne le comprends pas, des sanglots semblent l'accompagner. L'autre présence se cache, tel un prédateur, ne prononce aucun mot. Combien de jours, ais, je passé entre des phases de réveil et cette obscurité. Je commence à comprendre ce que l'on me dit, mais pourquoi me nomme-t-on du prénom de ma soeur. Je suis toujours aussi faible et ne parviens pas à parler. On m'explique que j'ai perdu une grande partie de ma force spirituelle et que quelque chose semble empêcher ma guérison. Achiro me regarde comme il regardait ma soeur, me dit d'avoir confiance, que tout va s'arranger. Seule l'obscurité m'apporte la paix, je sens en elle, une force qui m'apaise, qui m'appelle, l'autre reste caché.

    Je comprends les paroles, elle n'arrête pas de m'appeler par mon nom, celui qu'elle m'a donné. Elle m'apparaît, chassant l'obscurité, nous sommes dans un cimetière, de nombreuses tombes et squelettes s'y trouvent. Je reconnais ce lieu, c'est mon monde, mon royaume, elle ne devrait s'y trouver. Elle me parle, m'explique que je suis elle, qu'elle n'est qu'un souvenir, un fantôme, une partie de mon pouvoir. Me dit de ne pas craindre l'autre, qu'il ne peut rien contre moi, qu'il est sien et qu'il m'appartient. Atsuka, ma soeur, mon autre moi, m'explique que nous avons fusionné, du moins que nos reiatsus l'ont fait, elle ne sait comment. Elle s'excuse de ne pas m'avoir entendu plus tôt, mais elle est heureuse, car maintenant, nous serons à jamais ensemble, vivant l'une en l'autre, à jamais liée.

    Il me faut plusieurs mois, pour ne serait-ce, que retrouver un peu de force, l'obscurité n'est plus. Ce n'ai qu'au bout d'autres longs mois, que je parviens à me lever seule. J'ai annoncé à Achiro qui j'étais, il ne m'a pas écouté, me dit de me reposer. Son comportement m'agace, mais dois-je lui en vouloir, le visage qu'il voit est celui de sa femme et non le mien, c'est sa voix qu'il entend, ses mots à elle. Je suis reconnue comme apte pour le service, juste à temps pour faire face à une nouvelle guerre. Cette dernière n'a jamais connu son pareil. Devant la force de nos envahisseurs, toutes nos défenses cèdent, personne ne semble pouvoir les arrêter. Achiro veut me faire évacuer, mais je n'appartiens pas à sa division et je n'ai aucun ordres à recevoir de lui. Je suis un shinigami et n'abandonnerais pas mes compagnons. Nombreux sont les nôtres qui se font balayer, tuer, même certains capitaines chutent face à cet ennemi. Ce ne sont des Hollows, mais des Humains, des Quincy qui viennent réclamer vengeance. Je lutte aux côtés des membres de ma division, la 8ème. Cette guerre dura bien trop longtemps, nous n'étions pas prêts à faire face à de tels ennemis. Outre leur puissance, ces derniers volèrent les pouvoirs de certains zanpakutos et les retournèrent contre nous. Lorsque le premier capitaine mourut sous les coups de nos ennemis, je pus sentir le moral de mes compagnons chuter. Moi-même, je sentis la morsure du doute, la crainte, mais la mort ne m'était pas inconnue, ni la peine qu'elle entraîne chez ceux qui restent. Plus cette guerre durait, plus le désespoir semblait s'abattre sur nous. Mais outre le désespoir, toutes guerres permettent aux survivants et participants de s'améliorer, s'aiguiser et c'est ce qui m'arriva.
    Lorsque l'ennemi est enfin détruit, peu des nôtres restent encore debout, jamais le Gotei 13 avait tant souffert. Le temps des larmes était venu, tout comme celui de la reconstruction. Il nous fallut près de trois ans pour nous reconstruire, Achiro ne fut pas là pour assister à cette reconstruction, il fit partie de ceux pour qui je versai des larmes. Durant les trois ans qui suivirent, je continuais à m’entraîner, à apprendre à maîtriser ce pouvoir que j'avais hérité et qui s'était mélangé au mien. La reconstruction du Gotei 13 valut à certains des montées en grade afin de remplacer, les morts et permettre à cette institution de continuer à fonctionner. Mais une autre menace vint et nous frappa, le coup fut violent et lui aussi fut cause de nouveaux changements.

    La nouvelle menace frappa sans s'annoncer, encore une fois personne ne fut épargné. Moi qui pensait que la précédente menace avait été la plus violente, je découvris rapidement que je m'étais trompé. Même si nous nous étions relevés, nous avions perdu de notre puissance et cela se fit ressentir. Devant la puissance de cette nouvelle menace, beaucoup perdirent confiance et désertèrent, abandonnant leurs frères et leur devoir. Je ne fus pas de cela, je restais fidèle à mon poste. Personne n'arriva à identifier clairement ce nouvel ennemi, toutes les factions cherchaient à comprendre, mais les blessures du passé, ne se referment pas facilement et la suspicion était toujours de mise. Ce chaos profita à nos ennemis qui frappèrent Karakura, mais nous étions trop occupées à régler les problèmes de désertions et ce soulèvement populaire dans le Rukongai. Cette guerre, dura près de deux ans, les victoires allant des uns aux autres. Lorsqu'une guerre perdure, impliquant diverses factions, il n'est pas rare de voire certaines s'allier pour faire face à leur ennemi commun. Ce fut chose faite, mais nous allions apprendre, à nos dépens que toutes les alliances ne sont pas avantageuses. Mais dans les premières heures de celle-ci, elle semblait tenir toutes les promesses faites. Peu à peu, nous parvînmes à repousser l'ennemi, à réduire ses forces. Puis vint le jour fatidique, le jour qui aurait pu annoncer notre victoire et la fin d'une guerre millénaire. Mais il n'en fut rien, le seigneur, le roi du Hueco Mundo, prouva une nouvelle fois toute la vilenie dont étaient capables les siens. Il assassina notre leader suprême, lui portant un coup fatal, alors que notre ennemi était vaincu. Mais ce qui arriva par la suite, n'avait pas été prévu, ni par ce traître, ni par nous. Une nouvelle force fit son apparition, nous crûmes qu'il s'agissait d'un nouvel ennemi, nous avions peut-être raison. Mais pour l'instant, ils écrasèrent ce qui restait de l'ennemi, de tous les ennemis et révéla leur identité, Reaper. Ces êtres étaient similaires à nous, appartenaient à la même force. Leur chef avait pris la décision d'intervenir, considérant que nous étions trop faibles pour résoudre les problèmes qui se dressaient face à nous. Ils décidèrent de s'installer, et ce, de manière définitive à nos côtés, mais sans vraiment appartenir à notre armée. Le coup de cette guerre fut terrible, bien plus que les précédentes. La ville de Karakura fut totalement détruite, brisant l'équilibre des âmes et favorisant l'apparition de Hollows à travers le monde.

    Cela fait maintenant deux années que la guerre est finie, mais le Reapers sont toujours présent. Un nouveau commandant fut nommé, non sans que cela créé des remous au sein de ce nouveau Gotei. Je sens les tensions qui parcourent notre armée, les Reapers nous surveillent, jouant le rôle d'une police interne. Je suis heureuse que ma soeur ne soit plus de ce monde, pour voir cela. Il est loin le Seireitei qui l'avait fait rêver, à moins qu'il ne s'agît de mon rêve. La nomination d'un nouveau commandant, entraîna par la même, la nomination de nouveaux officiers afin de remplacer ceux qui avaient péris. C'est ainsi que je reçus une missive, m'annonçant ma nomination à un poste et un grade supérieur à celui que j'avais obtenu jusqu'à présent. Un nouveau défi se présentait à moi, serais je digne de ce dernier ?


Dernière édition par Ukitake Eirin le Mar 4 Nov - 22:52, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Eirin Ukitake [terminé]   Eirin Ukitake [terminé] Icon_minitimeMar 4 Nov - 16:06

Bonjour et bienvenue sur BBS !

Tout d'abord, je t'informe que pour les pseudos à consonnance nippone, nous utilisons le sens adéquat - à savoir en commençant par le nom de famille. Je te demanderai donc d'inverser le tien, ce que tu peux faire toi-même par le biais de ton profil. Par ailleurs, il est bon de savoir que tu prétends à un poste de vice-capitaine, mais encore faudrait-il savoir de quelle division ! Je te demanderai donc de la préciser par la même occasion. Enfin, il n'y a pas de raison logique à ce que ton Bankai (si tu l'obtiens) possède plus d'une forme, les seuls exemples connus dans le manga à ce jour ayant trait à des cas très spéciaux et à des modifications irréversibles. Je te laisse donc modifier la description de ton zanpakutō en conséquence.

Bon courage et merci de ta compréhension !
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MessageSujet: Re: Eirin Ukitake [terminé]   Eirin Ukitake [terminé] Icon_minitimeMar 4 Nov - 16:13

Bonjour,

j'ai apporté les modifications demandées et merci.
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MessageSujet: Re: Eirin Ukitake [terminé]   Eirin Ukitake [terminé] Icon_minitimeMer 5 Nov - 7:34

Je te valide au niveau 4 en tant que Capitaine de la 13e Division. Tu disposes de 25 points de compétence à répartir comme tu le souhaites lors de la création de ta Fiche Technique dans la partie HRP de ta faction. Je t'invite à t'acquitter au plus tôt de cette formalité afin de pouvoir prendre part aux Missions et Events que nous organisons fréquemment. Si tu as des questions, n'hésite pas à les poser dans le bureau du staff.

Bon RP !
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MessageSujet: Re: Eirin Ukitake [terminé]   Eirin Ukitake [terminé] Icon_minitime

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