Âge : Mort en 1944.
Race : Arrancar, Vasto Lorde.
Rang demandé : Decima Espada.

Description de votre personnage : À quoi ressemble votre personnage ?


Vasto Lorde, un nom qui en fait trembler certains. Surtout dans le Hueco Mundo. Personnages terrifiants, horreur sans visage au masque blanc. Ce sont ceux qui ressemblent le plus aux hommes, et lorsqu’ils arrachent leur seconde peau, pointe leurs vrais visages. Virgo est un monstre de taille moyenne, culminant à près d’un mètre quintre vingt, comme un homme. Un mètre quatre vingt de barbarie et de haine. Un bandage couvre son cou, et des gants dissimulent ses mains. Une tenue rouge sang couvre tout son corps ; Tunique, cape de voyage et pantalon large. Son visage est blanc, terne. Presque banal tant il est régulier. On s’attendrait presque a le voir s’effriter tellement il paraît fragile. Seulement se sont deux blocs de glace grisâtres qui vous regardent, sales et délavés. Première anomalie. On s’attarde sur les détails pour découvrir l’horrible vérité… Un sourire sardonique sur des lèvres presque translucides. Mais surtout au fond, cette âme noire qui transparait par chaque pore de sa peau. Un monstre se taille une peau d’homme, mais ce n’est pas un déguisement qui voilera longtemps la nature profonde de la créature.

Spoiler:

Sa démarche est presque irréel, et ses pouvoirs bien réel eux. Son masque est une partie de la vérité. Un sourire peint en noir barre les traits blancs du Vasto Lorde. Au fond de ses yeux, n’existe pas d’humanité. Deux gemmes bleues de haine pure. Des excroissances terribles se dressent de l’autres cotés de son crâne. Protubérances aux tailles diverses qui triple son volume. Un nez grossier termine les traits du tueur. La créature grossit et prend de l’ampleur, elle n’a plus rien d’humaine.

Spoiler:

« La vérité, c’est que tu as bien fait d’avoir peur des monstres cachés sous ton lit. »

Description de votre pouvoir :

Comme nombreux espadas, en arrachant son masque une partie de son être se trouva enfermée matériellement. Se furent deux dagues qui trouvèrent grâce à ses yeux. L’une est arquée, se terminant presque comme une serpe. L’un de ses tranchant est hérissé, plutôt fait pour découper que trancher dans le vif. L’autre ne possède ni garde ni courbure. Un simple poignard de fer noir, au pommeau usé. Bien que l’un n’aille pas sans l’autre, les deux sont rarement visible ensemble. Judas et Abel ne s’entendent pas très bien.
Dans touts les cas, Abel ne chaume pas, et Judas sait se faire sentir pour les plus imprudents. Restant profondément un Hollow de la pire espèce, Virgo n’hésitera pas à sortir sa Ressurecion pour tuer son prochain.


"Liberacìon."

Ses dagues viennent couvrir ses gants, l’un du manteaux brumeux d’un blanc glacial, et l’autr noir comme de charbon. Les contours grouillent sur Abel, son gantelet gauche reste un lame et des ombres inquiétantes s’y floutent. La manière dont les doigts de Judas se raidissent et se déforment en fait également un instrument dangereux. Le principal attrait de cet équipement est son pouvoir étonnant : Tandis que Judas écrase et explose les masses, Abel libère et les éclate. .
Histoire :

Minuit sur une route de campagne. Le ciel est d’encre, et la foret sombre. Le chemin boueux s’enfonce encore profondément dans les taillis. Le pied au plancher, le conducteur de la jeep les défonce. Il roule vite, bien plus vite que jamais. Comme si sa vie en dépendait. C’était le cas. Le centre détruit, les forces armées le submergeait, donnant la charge. Une image de feu et de sang se tailla un chemin dans ses souvenirs. Une image douloureuse, laissant un gout amère. Celui de la défaite.
Il avait réussit à fuir dieux sait comment. Et depuis qu’il avait trouvé la Jeep il roulait à toute allure. La minuscule voiture grinçait, son châssis se tordait. Pourtant le docteur ne freinerait pour rien au monde. S’il se faisait attraper, c’était la mort. Il le savait, on ne laissait pas libre des gens comme lui. Pas lui.

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Le chemin se séparait en deux pour se perdre sur une berge glacée. L’un remontait vers le pont en un semblant de route, tandis que l’autre se perdait dans les marais entourant l’édifice. Choisissant de pousser dans la montée, omettant un gémissement de sa monture, le docteur commençait à reprendre de l’aplomb. Il pouvait très bien disparaître, changer complètement d’identité et mourir sous anonymat. Ainsi couvert pouvait s’offrir à lui une nouvelle vie, dans un nouveaux pays bien sûr. Un plan se dressait déjà dans son esprit.
Peut-être était ce la jubilation qui l’empêcha de le voir. Un gros rocher sur la route lui fit perdre le contrôle du véhicule. La roche fut propulsée et s’élança en défonçant la courroie. La moitié de la direction sur la route, la Jeep fonça à tout à allure. Elle s’arrêterait bien un jour.
Trois cent kilos d’acier percutèrent le mur de pierre blanche. Sans frémir, le pont venait d’écraser comme une mouche cet étrange envahisseur. La mort, est parfois un destin. Au détour d'un route, quand on s'y attends le moins. Noir.


***

Puis blanc. Total et aveuglant. Entier, sans une once d’ombre ni de lumière. Stérile, tout cet endroit était stérile. Les formes floues et vagues sur lesquelles il était se tordait sous ses pas. Brulante, parfois glacière, toujours blessantes. Il ne savait pas depuis quand il marchait. Tout ce qu’il savait c’est qu’il cherchait, sans relâche, obstinément. S’il réussissait à trouver ce lieu, alors oui, il gouterait la liberté. Qui était-il ? Il ne savait plus vraiment.
Plus le temps passait et plus il se sentait faiblir. Pourtant, on ne lui donnait pas le choix . Il sentait pulser en lui un sentiment exécréable : Survire par tout les moyens ! Une sensation qui lui rappelèrent un vague souvenir. Ternie de blanc, couvert de noir et de formes brumeuses. Un cri et la douleur. Aussi un jour fut-il étonné mais prêt à dévorer sa première âme. Un coup de chance. Il contournait un immense monticule rocheux et sablonneux sertie d’à-pic. Dans un renfoncement de la terre agonisait deux êtres monstrueux. Gigantesques, ils trônaient sur le flanc, touts les deux blessés à mort. Il sentit se réveiller ses instincts lorsque le dernier souffle de mort fut prêt à quitter l’être fabuleux. Ses mains grattèrent –si l’on pouvait appeler cela des mains- et trouvèrent sa bouche –rien qu’un trou immonde. Un trait fusa dans son esprit ; Menos Grande.
Il dévora conscieusement ces créatures pendant deux heures. Joie intense. Plaisir sauvage, comme un retour à l’essence même. La vie qui reprend ses droits à travers la mort. Goutant un plaisir interdit à l’homme par l’homme. Il n’était plus un de ses insignifiants cancrelats. Il était une créature supérieur, un sombre cauchemar.
Errant à travers le monde il prenait conscience de ses frontières, de sa place. Il apprivoisait son nouveau corps, et se tailla une réputation. On commençait à craindre le marcheur blanc, qui vibrait du massacre des siens. Rapidement un nom se forme, comme une bulle qui éclate ; Virgo Salamanq. Il ne savait pas ce que cela signifiait. Mais elle lui faisait comme une douce symphonie. Il devint un chasseur, vibrant de haine et de la peur. Lire l’acceptation de la mort dans l’œil agonisant.
Il se battit ; plusieurs fois laissé pour mort il se lassa rapidement de ce petit jeu. Et poussa une porte entrebâillé ; Celle du monde. Chassant d’abords les plus faibles pour se tailler un croc dans toutes la chaines alimentaires. Une sorte d’exploration du tableau de chasse du coin. Faire des provisions et repartir dans son désert intangible. Plus fort, et plus grand que jamais.
Première rencontre avec un escadron shinigami, première défaite. Le Hollow se terre et repart au Hueco Mundo. Mudissant son masque, symbole de sa force mais aussi de sa faiblesse. Il maudit et cracha. Lui, arrivé au plus haut stade de l’evolution, un Vasto Lorde ! Battut par d’infâme âmes qui reproduisaient des coutumes purement humaines. Il se battit violemment contre cette idée : Tout de rage et de dénégation pour ce monde en haut, tout là haut. Ne comptait que l’evolution et la force, cette mystérieuse force qui le poussait toujours plus sombre.
Etait-il vraiment arrivé au dernier palier de son évolution ? Un jour, alors qu’il traversait un des nombreux déserts des ‘Enfer’, Virgo assista à un curieux phénomène. Un Hollow, tout de blanc, venait tout de go d’enlevé son masque, produit un flash lumineux inhabituel dans le souffre du Huerco Mundo. Il vit, puis sentit cette force qui se dégageait alors de la minuscule silhouette. Il y gouta de loin et cela lui plût. Il voulait dominer touts les êtres, toutes les choses. Se tenir au dessus de leur tête et tenir leur sort entre ses mains.
La bête à faim.

Bonjour et bienvenue.

Je t'informe d'ores et déjà que nous préférerions que tu optes pour une autre langue que l'allemand pour ton pouvoir. Celui-ci est en effet réservé aux Quincy, tout comme le japonais aux Shinigami. Libre à toi bien sûr de ne pas avoir recours à l'espagnol si celui-ci ne te plait pas mais nosu te demanderons simplement de ne pas utiliser ces langues « signature » de chaque race. Merci de ta compréhension !