Des sauts dans le temps. C’est probablement ce à quoi cette technique pourrait être affiliée, du moins, en apparences. Son utilisation consiste en une séquence de plusieurs sonidos rapides, mais de courte portée. Ainsi, le Vasto Lorde donne vraisemblablement l’impression de progresser par le biais de légères téléportations, chacun de ses pas dévorant une courte distance d’une rapidité stupéfiante. Effectif sur un tour, un usage au tour suivant équivaut à une nouvelle consommation d’énergie.

Son pouvoir lui octroyant une parfaite connaissance du squelette humain, Ace est en mesure d’y cibler les secteurs les plus frêles. C’est en couplant cette compréhension des os et la vélocité de son style de combat qu’il lui fut permis de développer une pareille technique. Tournoyant autour de son antagoniste, le Vasto Lorde crible ce dernier de coups de ses phalanges d’où se concentre une forte densité d’énergie spirituelle, ayant pour unique objectif le bris de son ossature.

En recouvrant cette forme chimérique, la densité osseuse de l’Arrancar accroit. Autrement dit, au terme de sa Resurrección, les os de ce dernier sont sujets à un important endurcissement, leur conférant une solidité susceptible de pouvoir confronter l’assaut d’une lame. Cette faculté est celle qui accorde crédibilité aux os qu’il extirpe de son corps, leur conférant la résistance d'une authentique arme.

Sous sa simple volonté, c’est une véritable arme en os qui émerge de son épaule. Légèrement plus courte qu’une épée conventionnelle, cet instrument n’en reste pas moins une authentique œuvre de finesse. Aussi solide qu’une véritable lame, sa nature d’os ne lui offre toutefois pas un tranchant semblable, son léger atout offensif résidant plutôt à son extrémité aiguisé.

Les rudiments de ce pouvoir. Sous sa simple volonté, l’Espada fait jaillir des épines osseuses d'une partie ou d'une autre de son corps. Utilisées au corps-à-corps, ces arêtes aux extrémités affutées visent principalement à augmenter la dangerosité de ses attaques à mains nues. Ainsi, s’il est vrai qu’un simple coup de coude de l’Arrancar est redoutable, un tel assaut devient d'autant plus inquiétant s’il est livré alors que cette habileté est en fonction.

En activant cette technique, l’Arrancar se voit octroyer la capacité d’expulser ses phalanges du bout de ses deux doigts armés comme s’il s’agissait de pistolets. Ces fragments d’os fusent alors à une vitesse raisonnable, offrant une force de frappe décente sur une courte à moyenne distance. La cadence de ces « tirs » restant à sa discrétion, l’Arrancar accentue ainsi sa nature imprévisible. De faible consommation, ces projectiles peuvent toutefois rapidement gruger une importance quantité d’énergie spirituelle si utilisés sans discernement.

Sous sa forme libérée, l’Arrancar recouvre sa queue d’antan. Cette technique consiste à accélérer la croissance de sa colonne vertébrale jusqu’à ce qu’elle émerge du bout de sa queue, fusant dès lors vers l’ennemi à une vitesse vertigineuse. Principalement destinée à perforer de cette seule attaque, il n’est cependant pas rare qu’elle ne soit là qu’en soutien, livrant de simples assauts à titre de cinquième membre. Rétractable, il s’agit là de l'une des seules techniques de l’Arrancar pouvant agir sur une courte à moyenne distance.

Contrairement à l’habitude, cette excroissance n’émerge pas de l’Arrancar sous forme solide. D’abord liquide, les os suintent à travers les pores de la peau du bras pour ne se solidifier qu’ensuite, octroyant une résistance éphémère au membre ciblé. Principalement utilisée pour contrer une technique de niveau égal ou inférieur, cette faculté permet également de renforcer la puissance du bras le temps d’un assaut. Toutefois, utilisé offensivement ou défensivement, ce bras osseux ne reste actif que le temps d’un unique usage, la fine couche immaculée se fissurant immédiatement après impact, laissant la peau nue à nouveau.

Adoptant une posture défensive, l’Arrancar se met à tournoyer sur lui-même, extirpant des épines acérées de son corps en mouvement. Progressivement, cette manœuvre prend de l’ampleur, le nombre de projectiles s’intensifiant au même rythme. À son apogée, cette habileté donne l’impression d’un tourbillon crachant ses os à une vitesse prodigieuse.

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Version plus élaborée du « Brazo De hueso. » D’abord liquide, les os suintent à travers les pores de la peau de l’Espada. Se solidifiant par la suite, cette substance prend alors la forme d’une fine couche osseuse, octroyant une incroyable résistance à l’ensemble du corps de l’Arrancar. Émergeant généralement afin de contrer une technique de niveau égal ou inférieur, cette armure osseuse, au contraire de la version précédente, peut être maintenue. Cependant, son maintien empêche l'émergence d'autres os. Une deuxième technique de niveau équivalent désintègre tout bonnement cette couche sans une forme quelconque d'absorption des dégâts.