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|  Sujet: Kyōraku Taizo  Sam 2 Nov - 21:57 | |
| Kyōraku Taizo Âge : quarante-trois ans, très jeune pour un Shinigami
Race : Shinigami
Votre rôle : Fukutaishô de la Neuvième Division
Description de votre personnage :
Si on fait abstraction de son Shihakusho, Taizo peut aisément passer pour un enfant d'une douzaine d'années sans la moindre difficulté. Son jeune age - une quarantaine d'années pour un Shinigamis ne représentant finalement pas grand-chose - explique évidemment son apparence infantile. Et il est évident qu'il en joue aussi souvent que possible lorsqu'une occasion se présente à lui... Ainsi, lorsque son devoir ne l'appelle pas, il aime revêtir des affaires plus sobres pour se mêler aux autres enfants de son âge, que ce soit ceux du Rukongai ou ceux des familles plus nobles du Seireitei. Essayant ainsi à profiter de sa vie comme il l'entend.
Cheveux courts, yeux bleus, il n'est pas très grand de taille, n'excédant pas le mètre trente. Si cela ne le dérange pas, c'est seulement parce qu'il sait qu'il grandira avec le temps. Sa taille n'est ainsi pas une préoccupation même s'il lui arrive d'être la cible de quolibets de la part de ses camarades. Du moins était-ce le cas lorsqu'il était encore à l'Académie Shinigami. Un enfant reste un enfant et en cela, il ne diffère pas de ceux de son âge. Joueur, taquin, il adore passer des heures à s'amuser. Plus ou moins habitué à faire ce qu'il veut de par son appartenance au clan Kyōraku, il a toujours été épaulé par sa famille et entouré par cette dernière. Devenir Shinigami n'a jamais été un choix mais comme la plupart des membres de sa famille, il éprouve une fierté sans nom de pouvoir revêtir le Shihakusho. Une éducation moins stricte que dans d'autres familles aussi nobles que la sienne qui lui a donné la possibilité de s'épanouir au mieux.
C'est lorsque l'on se penche sur ses passe-temps ou ses jeux que l'on se rend compte à quel point il est dans un monde à part. Petit génie en herbe, Taizo passe le plus clair de son temps libre à étudier les sciences et à consulter les données qu'il peut récupérer auprès des membres de la Douzième division, par le biais des entrées que lui procure son nom de famille. C'est là qu'on remarque sa très grande intelligence et son sens pratique. Véritable touche à tout, le jeune garçon aime bricoler lorsqu'il en a l'occasion. Stockant ainsi dans ses quartiers une quantité remarquable de machines en tout genre et autres gadgets inventés.
Très curieux de nature, il reste une personne d'excellente compagnie auprès de ses camarades et de sa famille. Et s'il est joueur, il n'en reste pas moins profondément attaché à la notion de Justice que lui a inculquée sa famille. Ce qui explique d'ailleurs son appartenance à la Neuvième division. Ce qu'il fait, c'est dans l'intérêt de la Justice. Et si l'on peut être surpris de voir un Shinigami diplômé si jeune, il ne faut pas oublier le travail qu'il y a derrière. Et c'est précisément cette curiosité et cette recherche permanente du savoir qui le pousse à autant apprécier les combats : il s'agit à ses yeux du meilleur moyen de récolter un maximum d'informations sur une personne. Et il n'a pas totalement tort.
Bien entendu, son jeune âge lui fait se poser quelques questions quant à la légitimité de certaines actions de son unité. Mais c'est ainsi qu'il évolue.
Description de votre pouvoir :
Shōsha
Sous sa forme première, Shōsha est un Dōtanuki, semblable au traditionnel Katana, bien que sa lame soit plus épaisse et le sabre un peu plus lourd que son cousin. Par habitude, Taizo porte son Zanpakutô dans son dos, ne laissant que la Tsuba dépasser près de son épaule. Il lui est ainsi plus facile de dégainer son sabre lors d'un combat. Et, toujours selon lui, il n'apprécie pas porter une telle arme à la taille, ce qui explique qu'il la porte dans le dos. Sans doute à cause de sa taille plus petite que celle de ses compagnons d'armes.
Il s'agit d'un Zanpakutô de type Maléfice/Science. Utilisation de la radioactivité.
Shōsha kiseichū
Lorsque son Shikai se libère, ce dernier prend la forme d'un parasite mi-organique/mi-machine qui se fixe sur son avant-bras droit. Les pattes de la créature se figent dans la chair du Kyōraku, se connectant ainsi aux nerfs et aux muscles du bras. S'étendant sur tout le bras - du poignet jusqu'à son épaule - il dispose de deux sorties au niveau de la gueule de la créature, près du poignet, lui permettant de faire apparaître la lame réelle du Zanpakutô (une lame rétractable qu'il ne sort qu'en cas de nécessité) et un tube "éjecteur" lui permettant de déployer son pouvoir sous toutes les formes possibles et imaginables.
Un Shikai qui correspond parfaitement à la mentalité "touche-à-tout" du Shinigami. A noter que le Shikai est "vivant". En quelque sorte. Il réagit à certains stimuli et est capable de communiquer avec Taizo par télépathie grâce au contact qui les lie.
Shōsha yōsai
En libérant son Bankai, Taizo laisse au parasite la possibilité de se détacher de son bras et de s'éloigner de quelques pas. C'est là que celui-ci libère enfin son plein potentiel. Shōsha yōsai prend alors de l'ampleur pour finalement atteindre une taille plus respectable, soit cinq bon mètres. Quelques modifications physiques ont lieu en même temps.
Son corps s'allonge de plusieurs mètres et dispose désormais de douze pattes. Dix qui la maintiennent sur place et lui permettent de se déplacer librement. Et les deux dernières qui se trouvent au niveau de son buste, lui permettant de les utiliser comme de simples canons ou autres en fonction des besoins de Taizo. Ces deux-là sont sans conteste les plus importantes de sa panoplie offensive.
Deux autres canons apparaissent sur ses épaules, de plus petit calibre mais permettant à Shōsha de faire appel à ses pouvoirs particuliers. Il s'agit là d'une véritable forteresse sur patte, tout aussi capable de protéger Taizo que d'être un soutien offensif de taille dans un combat. Même sous cette forme, les deux êtres peuvent poursuivre leur conversation télépathique, ce qui est un atout considérable en combat. La forme physique de la créature est celle d'un scolopendre mais avec nettement moins de pattes.
Histoire :
Le début de l'apprentissage.
L'entraînement avait débuté depuis l'aube et il commençait à fatiguer. Son maître d'arme ne lui laissait aucun répit et le jeune garçon ressentait les courbatures lui saisir les bras. Porter ce sabre devenait plus dur au fil des passes, d'autant que la lame était lourde. Mais impossible de demander une pause, il connaissait déjà la réponse. Las, Taizo savait qu'il devait encore attendre. Depuis plusieurs mois qu'il était obligé de pratiquer l'art du Zanjutsu, il avait eu le temps d'analyser les petites manies de son maître. Faire le strict nécessaire et patienter le temps qu'il faudrait à son professeur pour cesser l'entraînement, voilà ce qu'il avait en tête pour le moment. L'esprit ailleurs, le jeune garçon n'était pas du tout à ce qu'il faisait. Et évidemment, son professeur le perçut, se servant de la faille béante que lui offrait son jeune élève pour frapper. La lame percuta l'épaule de Taizo qui en lâchait son arme de douleur. Les yeux embués de larmes, il s'assit par terre, sanglotant tout en se massant l'épaule endolorie.
Le maître d'arme reprit une posture passive alors que dans son dos approchait un homme aux riches habits. Dépassant le professeur, l'homme s'arrêta à hauteur de Taizo, se penchant sur lui et posant une main chaleureuse sur son épaule. Confus et peiné, l'homme semblait comprendre ses réactions. Ses yeux, aussi bleus que ceux du garçon, semblaient vouloir dire qu'il n'avait d'autre choix que d'agir ainsi. Père et fils restèrent ainsi de longues secondes. Alors le père aida son fils à se relever. Posant ses mains de part et d'autres de son épaule, il plongeait de nouveau ses yeux dans ceux de Taizo.
- Je suis fatigué. Je n'arrive plus à porter mon arme. Je veux arrêter.
- Je sais que c'est dur, mon fils. Mais n'oublie pas que tu es un Kyōraku. C'est difficile pour toi pour le moment et je sais que tu préférerais jouer avec tes amis. Je te promets que si tu fais encore un effort, tu auras toute l'après-midi de libre. J'ai même une petite surprise pour toi... Veux-tu la voir ?
Les larmes se séchèrent. Mais la gorge encore nouée, Taizo acquiesça de la tête. Souriant, son père lui ébouriffa les cheveux d'un geste et appela d'un signe de la main l'un des employés travaillant pour lui. Un plateau en argent entre les mains, ce dernier s'approcha et tendit le paquet au maitre des lieux. Non sans prendre le temps de remercier l'homme, le père de Taizo reportait son attention vers son fils, lui montrant le cadeau. Ce dernier n'attendit pas plus longtemps pour le déballer. Ses yeux s'illuminèrent alors qu'il déchiffrait le tire en relief qui apparaissait sur l'imposant livre que son père lui offrait. Les sciences étaient sans conteste sa matière préférée et celle dans laquelle il se sentait le plus à l'aise. Alors voir cet ouvrage le comblait de joie. Tout à sa contemplation, il ne perçut pas la discussion qui venait de s'engager entre son père et le professeur. Revenant vers Taizo une fois certaines choses clarifiées, il reprit le livre.
- Travaille encore un peu avec ton professeur et tu auras ce livre. Tu es d'accord ? Un tout petit effort et tu seras ensuite tranquille.
La carotte pour faire marcher l'âne. Et ça fonctionnait. Alors qu'il se penchait pour ramasser son arme factice, son esprit se focalisait enfin sur l'exercice. Pour un Shinigami, l'art du Zanjutsu était important. Ce pourquoi son père insistait tant pour que ce soit par ça que ses cours débutent. Faire travailler ainsi son jeune fils permettait d'assurer la pérennité du clan Kyōraku. Une réputation qui ne devait pas tarir et cela passait par cette formation si précoce. Taizo était encore très jeune. Mais débutait déjà son apprentissage pour devenir un jour Shinigami.
Académie - Premières années (2012-2014)
Les années étaient passées à une vitesse folle et finalement, il avait eu l'autorisation de son père de rejoindre l'académie Shinigami. Entre la guerre qui se terminait et les pertes nombreuses qui avaient secouées le Gotei 13, il était apparu comme une évidence que les familles les plus nobles puissent mettre à disposition les éléments capables de prendre la relève. Une étape indispensable pour qui rêvait de servir le Seireitei. Six années d'études l'attendaient mais ce n'était évidemment pas cela qui effrayait le petit Kyōraku. Rendre fier sa famille, son clan, et respecter ainsi ces traditions lui importaient beaucoup. Et Taizo était curieux de tout. Voir de ses yeux cet endroit, assister aux cours de ces Maîtres, échanger avec d'autres apprentis : voilà ce dont il avait envie.
Mais comme il s'en aperçut très vite, porter un nom comme le sien apportait son lot d'ennuis quotidiens. Entre les attentes des professeurs et la jalousie des élèves, il fut rapidement au centre des attentions. Être le cousin du nouveau Sotaishô ne pouvait qu'attirer l'attention sur lui, bien entendu. Les premiers mois ne furent pas les plus difficiles. Ses capacités s'avéraient être bien supérieurs à celles des autres apprentis de sa section et ses professeurs le rangèrent rapidement dans la case "génie". Taizo ne voyait rien de bien exceptionnel à réussir ces exercices alors qu'il y était habitué depuis son plus jeune âge. Mais si cela contentait ses professeurs, alors il n'y perdait pas au change.
Heureusement, son caractère jovial et bienveillant avait tendance à neutraliser les jalousies de ses compagnons de classe. Tant et si bien qu'il fut rapidement l'un des élèves les plus appréciés de cette période. Plus jeunes que la majorité d'entre eux, il bénéficiait de leur protection et de leur soutien. Et il profitait de chaque instant de répit pour s'amuser et construire sa propre existence. Oui, construire. Sa passion pour la mécanique et la science dans son ensemble était devenue si dévorante qu'elle ne le quittait jamais. Du soir au matin, il y pensait. Son cerveau analysait chaque moment pour en sortir quelque chose d'utile. Peut-être même un peu trop. Car très rapidement, les maux de tête apparurent. D'abord minimes, presque anodins, ces derniers prirent de plus en plus d'ampleur alors que les mois s'écoulaient.
Ce fut en fin de cette première année que son Zanpaklutô se révéla à lui. Les maux de tête qu'il avait depuis plusieurs mois s'étaient accentués à un tel point que ça le réveillait en plein sommeil. Cette fameuse nuit, le trouble qui s'empara de lui fut tel qu'il fut projeté à l'intérieur même de monde illusoire. Alors qu'il apparaissait dans cet endroit qu'il ne connaissait de nul part, une créature hybride se dressa face à lui. Une lumière émeraude nimbait la silhouette de la créature. C'est lorsque ses yeux croisèrent le regard de cette chose que Taizo sentit la peur le gagner. Cette femme ressemblait à un énorme insecte mais son visage était humain. Abstraction faite de ce corps étrange, la femme qui lui souriait aurait presque pu être qualifiée de "belle". Ce qui se dit ce soir-là, mystère.
Une chose est sûre toutefois. Combat il y eu. Et c'est en parvenant à vaincre cette entité qu'il débloqua le pouvoir qui sommeillait en lui. Juste avant de se réveiller, épuisé par cette confrontation intense, la créature lui glissa ces quelques mots :
- Je suis Shōsha. Nous sommes liés dès à présent. Dors maintenant, petit homme. Nous nous retrouverons bientôt.
Et alors que l'image se dissipait, ses yeux se rouvrirent. La découverte de son Shikai était une importante évolution pour un Shinigami. Mais plutôt que de pavoiser, Taizo tût cette information. Et garda secret sa découverte le plus longtemps possible. Porter son nom de famille lui suffisait, il n'avait pas besoin de rajouter en prime cette découverte passionnante. Ce fut toutefois un élément déclencheur. Car à partir de ce moment-là, Shōsha devint un professeur, une confidente. Et une amie.
Académie, quatrième années - Obtention du diplôme (2016)
- Hey Taizo ? Tu vas ou comme ça ? Viens jouer avec nous. Allez !
Levant le nez de son bouquin, le jeune garçon ne put s'empêcher de sourire alors qu'il voyait les autres enfants se rapprocher de lui. Du même âge que lui, du moins en apparence, ils ne parvenaient pas à comprendre pourquoi leur ami ne cessait de potasser ces livres. Bien sûr, il jouait avec eux le plus souvent possible mais depuis quelques jours, il n'avait plus lâché cet ouvrage. Il faut dire que la date de son examen de passage avait été avancée, du fait de ses talents et de ses connaissances plus importantes que la moyenne, et qu'il prenait cet honneur avec tout le sérieux dont il pouvait faire preuve. Quatre ans au lieu de six, voilà de quoi rendre fier son clan. Voilà de quoi satisfaire son égo.
- Désolé les gars. Là je ne peux pas. J'ai un exam' important. On se voit plus tard, d'accord ?
- Mais tu nous dis toujours ça. On veut jouer avec toi nous. Juste une partie ?
Les enfants ne comprenaient pas de quel examen pouvait bien parler Taizo. Après tout, ils ne connaissaient rien de tout ceci, eux qui vivaient au Rukongai. Rien du véritable monde auquel appartenait ce garçon avec qui ils aimaient tant jouer. Il était différent d'eux. Ils le savaient. Mais l'avaient accepté quand même. Lui et ses excentricités. Lui et son univers si décalé. Un instant, il se sentit coupable en voyant les mines attristées de ceux qu'il considérait comme des amis. Mais pouvait-il se permettre de rater un examen si important pour lui ? Définitivement non.
Leur adressant un simple signe de main alors qu'ils repartaient dans l'autre sens en chahutant, il rangea le livre dans son sac et prit la direction du Seireitei. En route, il ôta les guenilles qu'il avait emportées pour aller dans ce district afin de remettre son Shihakuscho. Ces petites escapades incognitos lui plaisaient. Pas seulement parce qu'ici, ils ne connaissaient pas son nom de famille mais aussi parce qu'il appréciait certaines zones du Rukongai pour effectuer ses recherches et tester ses petites expériences. Et pour dire vrai, il était devenu un vrai p'tit génie dans cette discipline. Combien avaient-ils été à se moquer de lui lorsqu'il affirmait à qui voulait l'entendre qu'il surpasserait un jour Mayuri ? Son père le lui avait toujours dit. Il fallait se montrer ambitieux, sans quoi on n'avançait pas. Et s'il avait mis la barre si haute, ce n'était effectivement pas sans raison.
L'examen en lui-même se déroula sans accroc. Préparé, il l'était depuis sa naissance pour dire vrai. Il était temps pour lui d'intégrer une des Treize divisions emblématiques du Gotei. Son cousin était un homme important... Mais Taizo était fier de dire qu'il ne devait sa réussite qu'à son travail.
Un génie à la Neuvième division
Il étudiait ce dossier près du lac se trouvant à proximité de sa division, allongé tranquillement près d'un gros rocher. Pour lui, ce n'était que de la détente. Des moments de quiétudes comme rarement il pouvait en profiter ces derniers temps. Les Mahô Tsukai accaparaient les esprits de chaque combattant et lui-même ne cessait de se creuser les méninges pour apporter son aide. Si la Douzième avait obtenu tout naturellement le droit de travailler sur les dossiers liés au Monolithe, il avait lui-même reçu l'autorisation de les aider sur certains chantiers. Ses compétences étaient suffisamment reconnues pour lui permettre d'obtenir un droit d'accès partiel sur les dossiers. Ce qui était toujours mieux que rien.
Posant le dossier un instant sur l'herbe, le jeune Taizo se massa doucement les tempes. Sa migraine le reprenait depuis quelques temps et il avait du mal à les supporter. Trop de travail. Ce qui ne l'empêchait pas de taquiner les membres de sa division quand l'envie le prenait. Devenir le Cinquième Siège de ce groupe avait été une surprise agréable, preuve également de la confiance que lui avait apporté son Capitaine sur ce sujet.
Et en parlant de ce dernier, il était rentré de sa mission sur Terre avec une mauvaise nouvelle. Plusieurs morts à déplorer au sein du Gotei. Dont celle de leur Lieutenant, Kagura Kamui. La nouvelle avait jeté un froid au sein de la division. Le Lieutenant avait toujours été un homme discret pour eux. Mais chacun savait qu'il était certainement le seul homme en qui Yakushiji-Taishô avait une confiance pleine et entière. La question de son remplacement n'avait même pas été évoqué, personne n'osant faire de pronostique. C'est à cela que Taizo pensait lorsqu'un Shinigami vint à lui pour lui annoncer que le Capitaine le demandait.
Et tandis qu'il rangeait ses affaires pour le rejoindre à son bureau, la seule question qui trônait dans son crâne était la suivante : "qu'ai-je fait ?"
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 Rang : Nana Bantai Taisho
Messages : 557
| | Sujet: Re: Kyōraku Taizo Sam 2 Nov - 23:57 | |
| Tout est nickel, mon petit ! xD
Validé vice-capitaine de la neuvième division au niveau 4 et sans la moindre perte en xp !
Have fun ! |
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