Avatar : Rigaldo (Claymore)
Parrain : Absolument personne.
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Âge : Plus de 100 ans, aucune autre certitude.
Race : Arrancar de base Vastro Lorde.
Votre précédent rôle : Arrancar errant dans le Yermo


Description de votre personnage :

Khardoro ressemble à un jeune homme dans le début de la vingtaine. Son aspect général présente une personne plutôt banale, car il est habillé de manière très simple, très ample. La première impression qui se dégage de Khardoro est plutôt fortuite. Croisé dans les rues de Tokyo, ou au coin d’un supermarché, les seules choses qui seraient restées dans nos mémoires auraient été la mini-jupe de la fille de l’autre trottoir ou le nombre de couche-culotte que la mère de famille a dans son caddy un peu plus loin. Khardoro passerait complètement inaperçu.
Dans le Hueco Mundo, cette apparence témoigne de son évolution. Donc s’il est évident qu’il est dérivé d’un Vastro-Lordes, il est souvent considéré comme plutôt faiblard au vu de son apparence.
Cependant, sous ses vêtements, se cache un homme solidement bâti. Sans aller dans l’exagération, il a un corps affuté pour le corps-à-corps.

Les cheveux noirs, coupés mi-longs, donnent des lueurs bleutées selon la lumière. Ils couvrent son front et descendent le long de ses joues, cachant l’absence de favoris. Imberbe, l’obscurité de sa chevelure contraste avec la couleur de ses yeux, gris clairs. Ils en sont même presque lumineux. Il ne porte rien sur la tête, considérant cela comme optionnel, donc sans intérêt. Ses yeux sont petits mais bien ouverts, une attention permettrait de se dire qu’il observe le monde qui l’entoure avec une grande précision. Son regard ne s’arrête jamais sur un détail, il a pour habitude de toujours observer, de tourner régulièrement la tête. Certains disent de lui qu’il serait nonchalant, il s’agirait plutôt d’une analyse perpétuelle de ce qui l’entoure. Tout ce qui fait partie de son environnement peut être source de danger, ou pourrait lui servir comme arme d’une façon ou d’une autre.
Khardoro a une bouche fine, les lèvres courtes fermées sur un faciès d’aspect blasé. Il ne sourit jamais. Cela dit, il ne tire pas non plus la tête, il semble plutôt détaché de ce qui se passe autour de lui. La réalité est en fait légèrement différente : il n’y porte simplement aucun intérêt.

Il porte un uniforme qui semble militaire. Sa veste brune ample est donc surmontée par des épaulières de la même couleur. La seule excentricité de cette veste est située aux manchettes, proches du corps et grises, qui remontent sur la moitié de l’avant-bras. Ce qui pourrait sembler être donc une lubie est pourtant la preuve de l’origine militaire du vêtement : ainsi, le poignet et la main est toujours libre de ses mouvements, indispensable pour les bretteurs.
Sous les épaulières, deux plaques de cuirs semblent être là pour être d’une quelconque protection. C’est une erreur, car un bon bretteur saurait les percer sans effort. Mais elles sont très utiles comme rangement, facile d’accès et cependant couverte par les épaulières, elles sont à la fois pratiques, efficaces et dénuées de tout intérêt esthétique. Enfin, plusieurs bandes de cuirs permettent de renforcer l’ensemble aux points d’usures les plus connus.

La ceinture, de cuir elle aussi, est pareille aux morceaux employés sur le veston. Elle fait la différence avec un pantalon entre le gris et le bleu clair, légèrement bouffant lui procurant une isolation thermique plus efficace, s’il en avait eu besoin. Le pantalon est sur la veste, et si c’est là une faute de goût, Khardoro n’en avait que faire. L’intérêt d’agir ainsi est simplement pour laisser l’accès à son porte-épée sur sa droite aisé et facile. Ce dernier était métallique et soutenu à la ceinture et par une large bande de cuir. Dans ce dernier se tenait son zanpakuto.

Son trou, celui d’hollow, est très peu visible. Simplement parce qu’il est situé dans sa main droite, dans sa paume.


Au-delà de l’image qu’il donne, il est important de mettre en évidence qui il est, ce qu’il pense, ce qu’il réalise. Il faut d’abord dire une chose très importante : Khardoro est un exemple de paradoxe. De façon générale, rien ne l’intéresse. Il est juste désintéressé de tout. Arrankar, il a évolué avec une rare intelligence, et a toujours vaincu. Sa montée en puissance, et la connaissance de ses limites, l’ont poussé à toujours s’attaquer à plus faible que lui. Il a ainsi toujours préféré se battre avec une centaine d’ennemis faibles avec la profonde certitude de les vaincre plutôt que d’affronter un adversaire fort et complexe qui lui apporterait tout autant de puissance, mais pour lequel il n’est pas sûr de gagner.
C’est ainsi qu’il est devenu Vastro Lordes.

Cependant, une rencontre l’a changé. Au hasard d’une rencontre, il a été poursuivi par un autre arrankar, qui l’a combattu et vaincu. Le goût de la défaite ne lui a pas plu, mais les raisons qui ont poussé son adversaire à le laisser vivre ont été pour lui une sorte de choc, provoquant presque une renaissance. Son seul but alors devint de le dépasser, de refaire son combat et de vaincre cet adversaire qui avait reconnu en lui quelqu’un à affronter à nouveau. C’est donc un orgueil blessé qui le caractérisait alors.

Dégoutté d’apprendre la mort de son ancien adversaire, Khardoro est détaché de toute chose, et ne recherche aujourd’hui que la possibilité d’accroître encore sa puissance. Il s’imagine, rêve de la puissance qui l’avait battu. Cette chimère devient son objectif, sans cesse plus grand. Vivre n’a aucun intérêt pour lui, sinon pour le combat. Le fait d’être toujours vainqueur, sauf cette fois-là, lui a procuré le besoin de l’excitation du combat. Seule situation où il se sent vivant. Son observation perpétuelle ne lui sert que pour ce but : son environnement pourrait être ce qui peut faire pencher la balance lors d’un combat.

Lors d’un combat, justement, il perd toute mesure. Il devient agressif, paranoïaque. Mais surtout, un sourire carnassier s’inscrit sur sa bouche pourtant si sereine d’habitude. Il recherche le combat, mais commence surtout à repousser les plus faibles, car ils ne lui procurent pas cette excitation, uniquement un surplus de puissance. Hors, la mort de Grimmjow aura été pour lui la preuve qu’il n’avait pas autant de temps qu’il le pensait : Il devait prendre plus de puissance plus vite. Et à l’idée de mourir dans un combat où il se serait donné à fond, comme il l’avait fait avec celui qui aurait dut être son Rey, cela ne le dérangeait plus, car il serait mort pour vivre.

Pour résumer, Khardoro est l’exemple de l’indifférence. Mais il est le plus gourmand, le plus avide de combat. Et il aime s’emporter dans des combats toujours plus ardus.


Description de votre pouvoir :


Sous sa forme scellée, le zanpakuto de Khardoro est de taille standard, avec une poignée dont le tissu est vert. La garde n’a rien de spécifique, sans fanfreluche, cette arme à l’image de son possesseur : simple mais efficace.



« Calienta, Vivificante ! »
(Chauffe, porteur de vie !)


Le zanpakuto commence à se fondre en Khardoro, et devient petit à petit une partie même de lui, jusqu’à n’être plus que des griffes.

Lui-même change radicalement d’apparence, des poils apparaissent et donnent ainsi naissance à autre chose, une bête.
Khardoro devient ainsi un lion, Roi des animaux, mais surtout maître en combat rapproché. Un lion sur deux jambes, avec des bras presque aussi longs que le reste de son corps. Seuls éléments semblables à ce qu’il était précédemment, ses yeux gris clairs et brillants, ainsi que le trou dans sa main.

Il ne combat qu’au corps à corps, et ses griffes sont redoutables. Mais dès qu’il touche son adversaire, il est alors capable de faire bouillir le sang de son ennemi. Il lui suffit en fait d’avoir une blessure ouverte sur son ennemi pour que son reatsu puisse y pénétrer et chauffer le sang.

Cependant, si il tient son adversaire, ou qu’il réalise un contact physique avec lui, il peut faire monter la température au point de faire exploser le membre touché.



Histoire : (25 lignes au minimum)
Au cas où vous vous poseriez la question, nous vérifions en résolution 1024*768

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