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 Zora Marquesa ( Présentation terminée)

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Zora Marquesa
Zora Marquesa ( Présentation terminée) Arr-num
Zora Marquesa
Messages : 25
MessageSujet: Zora Marquesa ( Présentation terminée)   Zora Marquesa ( Présentation terminée) Icon_minitimeLun 11 Fév - 23:49

Zora Marquesa

Âge : Sa longue errance dans le Hueco Mundo a altéré sa notion du temps. Depuis combien d'années était elle là? Quelle âge avait elle? Elle n'en savait rien et d'ailleurs, la Marquesa s'en souciait peu. Néanmoins, on peut facilement attribuer un peu plus de la vingtaine à ce personnage énigmatique.

Race : Arrancar de type Adjuchas

Rang demandé : Fraccion de la Cuarta.

Description de votre personnage :

Zora avait gardé les manières qui étaient propres aux nobles de l'époque dans laquelle elle vivait avant de quitter la Terre contre son gré pour rejoindre le sable blanc du presque vide Hueco Mundo. Même si elle n'avait que quelques bribes de souvenirs de sa vie passée, elle avait inconsciemment conservé dans sa façon d'être les us et coutumes pour lesquels elle avait était formatée dès sa naissance dans une haute lignée de l'Espagne du XIV eme siècle. Hormis sa façon gracieuse et élégante de se déplacer et de mouvoir des objets, faisant bien attention dans chacune de ses actions à l'empreindre d'un soin et d'une légèreté aérienne, presque irréelle, elle toisait d'un regard de mépris les personnes qu'elle jugeait inférieures à sa condition. Elle prenait néanmoins bien soin à conserver une attitude désinvolte, presque rebelle pour ne pas ressembler à ce qu'elle jugeait comme une grande farce de son temps, tous ces gens s'échangeant des politesses et tous les autres devant s'y plier: quelle mascarade indigne pour son esprit si développé. Car c'est bien sur ça que le personnage repose, un esprit vif et aiguisé, entrainer dès le plus jeune âge à régler des problèmes de son temps. On lui a tout enseigné, la musique, les mathématiques, le latin, le théâtre, les manières, la littérature et tout cela avec les meilleurs professeurs qui pouvait y avoir à son époque. Un intellect supérieur qu'on avait décidé qu'elle aurait pour compenser sa chevelure rousse qui aurait pu la mener au bucher si seulement le sort n'avait pas décidé qu'elle aurait un sang d'une valeur bien plus importante que celui des travailleurs manuels qui arpentaient les rues de Londres où on l'avait envoyé faire ses études, ses parents, très croyants et qui ont vu dans sa crinière de feu, un mauvais présage pour la famille. C'est donc sans amour et dans la rigueur qu'elle fut éduquée, ce qui explique assez bien son caractère méfiant et méprisant vis-à-vis de tout être existant.

Si l'on s'attarde sur son physique, la demoiselle peut aisément être rangée dans la catégorie beauté sauvage. Un visage harmonieux où venaient se greffer de magnifiques yeux gris entourés de longs cils dont un seul battement suffirait à faire fondre le coeur de plus d'un gentilhomme et en dessous un nez élégant et droit. Pour parfaire le tout une bouche fine, qui avait pris l'habitude de mâchonner sans cesse une tige de métal de son vivant, habitude qu'elle avait repris une fois son masque brisé. Aspect de son faciès qui avait changé depuis sa venue au Hueco Mundo et sa lente évolution en Arrancar : son teint avait pris la blancheur du monde où elle évolue maintenant. D'étranges marques sont d'ailleurs apparues sous ses deux yeux, formant deux sortes de larmes noires, donnant un aspect énigmatique à la rouquine. En parlant de ses cheveux, elle les avait raides et longs, et laissait volontaire une ou deux mèches passées devants ses yeux ou sur les côtés pour encadrer sa tête. Pour le reste du corps, Zora atteint difficilement le mètre soixante-dix pour soixante kilos environ. Pour sa corpulence, elle possède néanmoins des formes généreuses pouvant éveiller les sens les plus primaires des mâles de toutes races.

Les vêtements qu'elle porte actuellement, elle les a trouvés lors d'un passage sur Terre, dans une boutique de déguisement. Sa tenue se compose d'une robe du type victorien de couleur verte sombre et marron très clair dont le corset desserré est lassé sur le devant. Autour de son coup un foulard de dentelle noire sur lequel est posé un imposant pendentif doré orné d'une émeraude. Le reste de sa panoplie est composé d'un chapeau à larges bords, toujours dans le style victorien, agrémenté de petits morceaux de tissus, de dentelles et autres froufrous qui faisait la folie de l'Angleterre de cette époque et d'une paire de chaussures noires à talons . Elle porte quelques bijoux en plus de son collier, notamment des anneaux dorés aux oreilles et un assortiment de bagues. Pour le reste, elle portait toujours à la main son Zanpakuto, une fine lame cachée dans une ombrelle de soie noire dont la délicate apparence n'était qu'une façade pour semer la mort.


Description de votre pouvoir :

Prolifera Pestilence (Prolifère Pestilence)

Lorsqu'elle prononce cette phrase, Zora revient à sa forme originelle et se voit alors offerte la possibilité d'exploiter la puissance brute que lui confère la ressurecion. L'apparence qu'elle possède alors est pour la moins hideuse. Un crâne de corbeau revêt entièrement sa tête, cachant son joli visage et ne laissant apercevoir que la crinière rousse de la créature. Sur son dos, de grandes ailes noires tombent vers le sol, trop encombrantes pour qu'elles puissent servir un jour à quitter la terre pour le domaine des cieux, et la Fraccion les traine inlassablement. À la place de ses pieds des sabots de bouc lui permettent une posture stable de bipède. Pour parfaire cette panoplie de monstruosités, des griffes semblables à des serres de rapaces viennent orner l'extrémité de ses membres supérieurs. Le pouvoir qu'elle possède est alors une exhalation pestilentielle porteur de maladies. Plus le combat s'éternise, moins le malheureux à de chance de s'en sortir si jamais il a respiré le souffle nauséabond.


Histoire


XIVeme siècle - Londres.

L'attelage se hâtait dans les rues de la capitale du royaume d'Angleterre. Les sabots des deux chevaux composant le véhicule martelaient avec vigueur le sol jonché d'immondices sur lequel les rats grouillaient et de çà et là se bataillaient pour une quelconque pitance souvent composée de maigres restes laissés par les humains encore en vie. Une odeur âcre flottait dans l'air mélangeait senteurs de déchets et de cadavres, deux éléments qui envahissaient maintenant le parterre boueux de la noble ville de Londres. Les étales avaient laissé place aux piles de morts que l'ont entassé pour brûler. Seules quelques personnes s'aventuraient dehors, les autorités ayant mis en garde la population sur la virulence et la dangerosité de la maladie ayant envahi l'Europe du sud de l'Angleterre jusqu'à la Grèce. Parmi les courageux, des médecins commandités pour analyser les infestés mais également pour purifier la glorieuse cité. Leur masque à l'allure de corbeau pour se protéger sommairement de l'épidémie, achevait d'offrir une vision démoniaque et malsaine au malheureux qui oserait sortir en ses temps funestes.

"Plus vite je vous pris" furent les seuls mots prononcés ce matin par la jeune femme en passant la tête par l'entrebâillement de la calèche, un mouchoir de soie noire tamponné contre son nez pour ne pas inhaler les odeurs pestilentielles, au cochet qui la conduisait vers une destination connue seulement d'eux deux, avant de se rassoir sur la confortable banquette rouge. Zora Marquesa, descendante d'une grande famille d'Espagne, regardait d'un air songeur le terrible spectacle qu'offraient les rues de sa ville d'adoption. Elle n'avait que faire que les petits gens souffrent, tant que cela ne la concernait pas. Non, ce à quoi elle pensait en observant cette scène par la fenêtre de son carrosse c'était tout simplement à ses proches qui étaient restés dans son pays d'origine. Elle soupira, s'enfonça un peu plus sur son siège et ferma les yeux. "Oh et puis ils peuvent bien tous mourir". Ses paroles furent susurrer pour elle-même, son seul serviteur étant obsédé par la mission qu'elle lui avait confiée, à savoir l'emmener chez le professeur et médecin Gordon Barrow, un des meilleurs praticiens du continent. La phrase qu'elle avait dite, la cause en était simple. Zora était née d'un sang plutôt respectable pour l'époque, mais d'une mauvaise couleur de cheveux. Ses parents très croyants, voyant en sa tignasse rousse un signe du mauvais sort, l'éloignèrent en l'envoyant faire son éducation à Londres où ils avaient alors quelques contacts. La jeune femme avait alors grandi avec deux choses : une intelligence et une vivacité d'esprit peu commune et une haine profonde du genre humain, notamment des gens qui se disaient proches d'elle.

Le moyen de locomotion s'immobilisa signe qu'elle était arrivée à bon port et son valet vint la tirer de ses pensées en lui ouvrant la porte. Il lui tendit la main pour l'aider à descendre et la conduisit jusqu'à l'immense porte en chaine avec pour ornement une plaque de bronze indiquant les compétences du maitre des lieux. En attendant pour qu'on daigne leur ouvrir, les gens se faisant plutôt méfiants en cette période obscure, elle put tout à loisir observer le spectacle que pouvait offrir une ruelle londonienne du XIV eme siècle pendant la grande pandémie. Non loin de sa position gisait un malade, plein de bubons qui agonisait à même le sol et laissait échapper des relents de pourriture. De ce qu'elle avait pu lire sur les divers maux qui pouvaient surgir, Zora déduisit qu'il n'était pas seulement assailli par la peste mais également par la lèpre, d'où l'odeur qui émanait de la créature qui n'avait presque plus rien d'humain. Elle détourna son regard de dégout, le dirigeant vers la petite fenêtre qui venait de s'ouvrir où une paire d'yeux l'inspectait de façon suspicieuse. Le petit volet de fer se rabattit et on entendit le loquet de la porte se déverrouiller. Elle indiqua d'un geste à son accompagnateur de l'attendre dans le hall et suivit la femme jusqu'au cabinet du docteur. Elle prit la liberté de s'assoir dans un des sièges faisant face à un homme dans la fleur de l'âge qui observait des notes d'un air concentré. Elle ne put s'empêcher de remarquer le masque en forme de corbeau, sur une étagère derrière lui et eut un frisson de dégout. Il lui accorda enfin l'attention qu'elle méritait, se leva et lui fit un baisemain."Marquise, que me vaut l'honneur de votre visite?". Pour toute réponse, elle détacha son corset sans complexe, ce qui fit détourner le regard de l'expert visiblement gêné devant tant d'impudeur, les joues rosies. Elle enleva ensuite son chemisier pour libérer sa poitrine galbée. Cette vision normalement magnifique pour tout homme ayant les goûts considérés comme standard de l'époque était salie par un minuscule bubon en dessous du sein gauche de la jeune femme. Le médecin reprit tout son professionnalisme et observa la chose, il leva les yeux vers ceux de Zora d'un regard inquisiteur et celle-ci hocha de la tête lui accordant le droit de palper l'objet de sa visite. Lorsqu'il finit son osculation, elle se rhabilla, attendant le verdict pendant que Gordon Barrow ne se rassoit à son siège, de l'autre coter du bureau, d'un style très certainement avant-gardiste pour le siècle."J'ai bien peur que cela ne soit le mal qui jonche les rues qui n'ait pris possession de votre corps Marquise." Sans laisser transparaitre la moindre émotion, la Marquesa accepta cette décision en se levant de son siège et en effectuant une courbette à l'intention du docteur. À quoi cela servait-il de remettre en doute son diagnostic? Elle ne c'était déjà que trop renseigné sur la question pour savoir qu'elle était condamnée, elle avait juste besoin de la confirmation d'un expert et maintenant, elle l'avait. Elle quitta la pièce et rejoignit son vassal qui l'attendait, il lui ouvrit la porte de la demeure, la conduisit jusqu'au carrosse utilisé précédemment et l'aida à s'y installer. L'attelage se remit en branle et prit la direction de la riche habitation où Zora résidait depuis qu'elle était toute petite. Elle acceptait la douloureuse et trop lente agonie qui allait précéder sa mort.

******

Elle décéda en peu de temps, la maladie ayant été particulièrement agressive envers elle. Les médecins se succédaient avec leur masque de corbeau pour empêcher d'être contaminés eux- mêmes par la peste qui ne cessait de se répandre dans toute la ville et dans toute l'Europe. Au seuil de la mort, elle n'eut aucune pensée pour sa famille qui était venue la voir quelques jours avant pour la première fois. La vérité est que malgré le fait qu'elle soit mourante et que les bonnes moeurs voulaient que ses proches lui rendent visite, ces derniers n'osaient l'approcher et la considérait avec dégout. Qu'était elle de plus à leurs yeux qu'une inconnue malade? Tout au mieux, elle avait autant de valeur qu'une cousine éloignée pour eux. Elle ne leur adressa pas la parole et la seule fois où elle ouvrit la bouche se fut pour cracher un jet de bile sur sa mère qui demeurait à son chevet. Elle tirait d'ailleurs de cette action une certaine satisfaction malsaine, elle avait sa vengeance et sa rancune était pour le moment satisfaite. Maigre consolation par rapport au destin qui l'attendait.

A sa mort, son corps fut dépouillé de tout habit et jeté dans une fosse unique, privilège dû à sa condition, où on l'incinéra comme tous les autres pestiférés. Son âme malheureusement, n'eut pas la chance d'être sauvée par les Shinigamis pour être envoyés dans l'idyllique Royaume des âmes. Elle s'octroya le fait de se lamenter tandis que la chaine qui la reliait au monde des vivants s'érodait lentement.

Période inconnue - Hueco Mundo.

La créature arpentait inlassablement le sable du désert blanc du Hueco Mundo à la recherche d'une proie. Seulement une chose pour elle comptait désormais: survivre. Malgré l'aspect repoussant, le sort avait décidé de la doter d'armes particulièrement efficaces pour se défendre et attaquer dans un monde n'obéissant qu'à la règle du plus fort. Un souffle pestilentiel, porteur d'une maladie incapacitante et altérant les sens des plus forts et tuant les plus faibles, ajouté à une solide paire de griffes pour lacérer ses victimes et à un bec pouvant briser plus d'un Hierro était la panoplie du Hollow autrefois connu sous le nom de Zora. Elle avait eu de la chance, en quelque sorte d'être tombée à cette époque, ici. La grande peste qui ravageait les nations civilisées de l'Occident avait emmené son lot d'âmes n'ayant pu être récupérée par les Anges de la mort tout comme elle. Ce malheureux évènement terrestre faisait alors du vaste et vide désert, un terrain de chasse de prédilection pour toute créature équipée d'atouts suffisants pour se faire une place dans ce milieu hostile.

La technique de chasse de la créature était simple, elle se cachait de façons fourbe dans le sable en s'y enterrant à l'aide de ses pattes avants griffues. Elle attendait alors qu'un malheureux se présente, certainement en quête de nourriture ou d'une proie plus faible que lui. Elle jaillissait alors de sa tanière, le saisissait de ses membres supérieurs et à partir de ce moment- là, deux opportunités s'offraient à elle: soit elle brisait le hierro et le corps de sa victime en une fine pulpe sanguinolente avec son bec osseux, soit elle lui crachait à la gueule un nuage nauséabond de son haleine emplie d'une maladie affaiblissant considérablement les sens et les capacités physiques. Elle n'avait plus qu'a dévoré l'âme du Hollow qu'elle avait à sa merci, que celui-ci soit mort ou tout simplement dans l'incapacité de bouger.

Pour l'instant donc, elle était en quête d'une proie plus importante qu'à son habitude. Elle avait tué nombreux de ses semblables qui erraient dans le vaste et vide désert blanc qui composait la majeure voir l'intégralité du Hueco Mundo et avait emmagasiné une puissance non négligeable. Un désir primaire la poussait donc à rechercher plus de défi. Elle marchait depuis un petit moment déjà, à vrai dire, elle n'avait que ça à faire, trainant ses lourdes ailes qui laissaient une trace dans le sable ce qui était gênant en soi car on pouvait la suivre facilement. Mais son niveau de réflexion n'était pas assez avancé pour en déduire qu'elle pouvait être tuée à cause des marques qu'elle faisait dans le sol. Soudain, elle fut alertée par un mouvement sous le sable, à quelques mètres d'elle. Une protubérance ondulait doucement et se mouvait à une faible allure. Elle s'en approcha donc, sans discrétion, et ouvrit sa gueule. Une boule d'énergie noire s'accumula et se projeta à bonne vitesse sur la créature qui se déplaçait sous le sol. Une formidable explosion souleva une épaisse couche de poussière et de sable. Un hurlement grotesque de rage provint de l'impact et un gigantesque Hollow à l'aspect de serpent surgit , fouettant l'air de sa queue visiblement couverte d'un épais hierro de façon aléatoire mais vive. L'extrémité toucha la Pestilence de plein fouet et l'envoya valsée. L'autre se projeta alors sur elle, gueule ouverte. La fin approchait pour la créature autrefois nommée Zora qui était dans l'incapacité de se déplacer, acculée contre un rocher. La gigantesque mâchoire se referma, juste devant elle, dans un claquement . Le Hollow s'effondra, mort, une autre créature à l'aspect de scorpion se tenait sur son dos, son aiguillon de sa queue plantée dans l'épaisse carapace, du poison suintant de la plaie. Un grognement guttural sortit du bec de la Pestilence, qui pouvait passer pour un remerciement.

Depuis cet évènement elle suivait le Scorpion, formant avec lui une sorte d'équipe même s'ils ne pouvaient tous les deux pas l'exprimait comme tel. L'un ou l'autre aurait pu attaquer et tuer l'autre mais depuis le sauvetage in-extremis de la Pestilence, une sorte de pacte s'était écrit entre eux. Ils étaient un formidable duo, et gagnaient progressivement en puissance, même si le Scorpion la dépassait en force, elle n'était pas en reste. Mais cet accord ne dura pas longtemps, et elle perdit lors d'une chasse son acolyte de vue. Elle continua alors à suivre son destin, seule, comme ci de rien n'était.

******

Après de longues années, son errance la mena à proximité de Las Noches. Son instinct aiguisé lui conseillait de ne pas s'approcher des bâtiments, une puissance formidable et donc un danger potentiel pour un simple Hollow comme elle y résidait. Elle se contentait donc de chasser aux alentours, dans la plus grande méfiance, prête à disparaitre au cas où elle ressentirait une trop forte énergie. L'avantage d'être près de cet endroit qui abritait le roi du Hueco Mundo c'est que seuls les plus forts pouvaient se permettre de s'y approcher sans être tués.

Ce jour-là, la Pestilence flânait, sur un promontoire rocheux. Cela faisait quelques jours qu'elle n'avait rien trouvé à se mettre sous la dent. Il n'était pas dans son habitude de se sédentariser et elle allait certainement s'enfoncer dans le désert blanc pour retrouver une activité régulière. Une forte énergie spirituelle la fit se lever, la mettant sur la défensive. Une personne montait sur le perchoir où elle c'était mise. La gueule ouverte, une bile verte lui coulant sur le menton, elle était prête à cracher la maladie à son possible adversaire. La personne qui se présenta, même si elle avait radicalement changé, elle la connaissait bien. Le Scorpion se tenait droit devant elle, sous une apparence humanoïde. Il s'approcha d'elle. "Toi."Il avait prononcé ce simple mot avec une certaine nostalgie dans sa voix. Elle n'eut pas le temps de réagir que le point de l'Arrancar s'écrasa sur son masque, l'éclatant en divers morceaux. L'énergie spirituelle que produisit la métamorphose créât un trou béant. Au milieu, se tenait la belle jeune femme à la crinière de feu qu'elle avait été autrefois, même si quelques détails avaient changé, comme les deux marques sous ses yeux et son teint blafard. Le Scorpion lui tendit la main."Comment t'appelles-tu?". Même si elle n'avait aucun souvenir de sa vie d'antan un nom lui vint à l'esprit, jaillissant en elle comme une explosion de lumière, lui apportant la réponse à la question."Zora". L'autre sourit."Viens avec moi et sers moi Zora, il est temps de payer ta dette."


Dernière édition par Zora Marquesa le Jeu 14 Fév - 19:30, édité 1 fois
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Zora Marquesa
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Zora Marquesa
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MessageSujet: Re: Zora Marquesa ( Présentation terminée)   Zora Marquesa ( Présentation terminée) Icon_minitimeJeu 14 Fév - 1:30

Présentation terminée ! Merci d'avance à toi, ô toi qui va lire cette histoire.
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Messages : 399
MessageSujet: Re: Zora Marquesa ( Présentation terminée)   Zora Marquesa ( Présentation terminée) Icon_minitimeJeu 14 Fév - 15:17

Yoh !

Je te valide au niveau 3 en tant que Fraccion de la Quarta !

Tu disposes de 20 points pour faire ta fiche technique, pour le reste tu connais.

Bon RP !
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MessageSujet: Re: Zora Marquesa ( Présentation terminée)   Zora Marquesa ( Présentation terminée) Icon_minitime

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