Un être humain, qu’est ce que peut bien être cette bête là ? On peut dire de façon vulgaire que c’est un cousin du singe ou que c’est un grand singe tondu. Au final la structure est la même, un tas d’os en mouvement avec des muscles et un tissu pour recouvrir le tout. Puis après bien sûr il y a quelques dérivés faisant de chaque être humain, un être unique. Et nous, et moi ? Que suis-je ? On peut dire de façon vulgaire que je suis un être humain dans un autre monde. Moi aussi j’ai deux bras et deux jambes avec un tronc au milieu et une tête pour commander le tout, la partie que tout le monde a au commencement. Puis la vie fait de nous ce que l’on est par la suite, un être unique de part son apparence et sa personnalité. Et moi dans tout cela ? Et bien vous allez avoir l’honneur, le privilège de lire ce que je suis et ce qui est en moi. Vous allez apprendre à me connaître par la lecture.

Je pourrais vous faire une description originale de ma personne mais l’envie ni est pas et puis pour moi l’originalité est un peu fouillé vous n’y comprendriez rien alors autant être strict et ordonné. De ce que je sache, quand un être en dévisage un autre il commence souvent par le haut et continue l’analyse en descendant alors je vais vous permettre de me dévisager. Si vous n’êtes pas légèrement attardés, vous savez qu’au sommet de l’homme se trouve sa crinière ou le désert. Pour moi ça sera la crinière à mon plus grand bonheur. Je ne dis pas que la calvitie est une mauvaise chose mais l’éviter le plus longtemps possible est préférable, vous comprenez ? Surement oui, passons. Donc au sommet, j’ai une touffe de poils plus communément appelée cheveux d’une couleur assez particulière car, depuis ma naissance, ces poils sont imprégnés de violet. Rare sont ceux qui possèdent cette couleur, enfin pour ma part je n’en ai pas croisé beaucoup. Ce n’est pas une honte pour moi, j’ai vu pire que cela comme des cheveux verts ou rouges ce que je trouve assez étrange même si je suis mal placé pour juger. Ne me déplaisant pas, je les ai laissés poussé pour que ces poils côtoient mon cou et avoisinent les épaules me donnant un certain charme selon moi. Enfin vous verrez toujours cette satanée mèche rebelle se dressait au sommet de mon crâne formant un point d’interrogation au dessus de ma tête, une énigme pour moi qui ait essayé de la dompter à plusieurs reprises.

Nous descendons légèrement plus bas et nous tombons sur ? Mes sourcils oui mais ça ce n’est pas vraiment intéressant… Ils sont fins et de la même couleur que mes cheveux. Donc nous allons plus bas et nous arrivons aux yeux. Pour moi c’est la partie la plus intéressante sur le visage. Un regard peut valoir un discours, un regard peut nous en apprendre beaucoup sur une personne. C’est la première chose à analyser chez un homme, pour une femme on regarde l’arrière pour commencer… Enfin ne nous égarons pas. Pour ma part, mes yeux sont semblables à l’ambre m’offrant un regard perçant et sournois ce qui est et n’est pas vraiment une bonne chose. Cela révèle quelques traits de ma personnalité sans que je n’aie besoin de parler de moi, même si j’adore parler de ma personne. Enfin bref, vous l’avez compris mon regard est ce que je préfère chez moi physiquement parlant. Le reste n’est pas vraiment intéressant, en descendant on tombe sur mon petit nez sans particularité. Mes lèvres plus ou moins fines se trouvent plus bas encore et n’ont aucune particularité. Pour finir il reste encore deux petits détails. Pour une raison que j’ignore j’ai les oreilles pointues mais ceci n’est pas vraiment visible grâce à ma chevelure violette. Ensuite, vous remarquerez la petite barbichette de couleur similaire recouvrant mon menton, me donnant un air diabolique ce qui colle assez à mon personnage.

Ensuite je vais parler de ma corpulence mais je serais bref car il n’y a pas grand-chose à dire. Je suis tout de même assez grand, on peut dire que j’approche le un mètre quatre-vingt dix mais ce n’est pas pour autant qu’on peut parler de géant ou de colosse. Je ne suis pas bâti tel une montagne, je ne suis pas un tas de muscles pouvant détruire un bâtiment à mains nues, loin de là. Je suis à un peu plus de quatre-vingt kilogrammes. Mais ne méfiez vous, je ne suis peut être pas un spécialiste du corps à corps mais je suis capable de frapper fort. Disons que je ne me laisse pas aller et qu’un bon entrainement de temps à temps peut me libérer, me défouler. Il y a un détail qui peut être intéressant… J’ai une croix latine tatouée dans le dos. Pour ce qui est du style vestimentaire je préfère gardait un peu de surprise, cela dépend vraiment du jour. Parfois je revêtirais mon uniforme de shinigami classique mais les autres fois je m’habille comme je le désire.

Bref. Il est vrai que le physique rend l’homme unique mais il n’y a pas que ça… La personnalité joue son rôle aussi. Cela parait simple non ? Définir une personne de part sa façon d’être, ses manies, ses envies et ses idées. Peut être que cela vaut pour nouveau-né mais pas pour nous, pas pour moi. Je vais essayer d’être clair et précis sans vous perdre au passage dans cette immensité. De prime abord, je suis quelqu’un de calme mais excentrique… Je sais que c’est un peu contradictoire mais je vais vous expliquer. Je sais garder mon calme dans toutes les situations, je n’ai pas tendance à m’énerver pour un rien et même si on me cherche je ne deviendrais pas un taureau courant après ce satané bout de tissu rouge oh que non bien au contraire. En effet, si vous me cherchez je répliquerais. Disons que je manie bien la langue dans tous les sens du terme… Enfin bref, disons que je souris à tout ce que l’on me dit et que je suis rarement contrarié. Je sais que si je dois me venger je le ferais bien. Je ne cherche jamais les ennuis, je les évite même où je m’y prépare à l’avance pour ne pas avoir à me fatiguer. J’aime prévoir, j’aime avoir raison et j’aime me balader sans avoir des responsabilités sur le dos mais bon, des responsabilités on en aura toujours. Si jamais on réussit à me sortir de mon calme, je me plonge dans l’histoire pour revenir à mon état initial. Croyez-le ou non, l’histoire me passionne et me calme. J’aime tout savoir sur le passé de l’univers, connaître jusqu’à ses moindres secrets, retranscrire les batailles légendaires et en tirer quelque chose. Et dès que je suis plongé dans une partie de l’histoire, personne ne peut m’en sortir… Je ne vous conseille pas d’essayer.

Je vous ai parlé de mon calme et de ce qui va avec mais je me dois aussi de vous parler de mon excentricité. Je vis dans l’excès, ma vie est un excès de tout en lui-même. Les péchés que les hommes ont condamnés sont mes petits plaisirs de tous les jours. Par exemple la gourmandise, je ne passe pas une journée sans me goinfrer de sucreries tel un mort vivant qui n’aurait pas eu sa ration de cervelles. Il y a aussi la paresse, je hais me fatiguer… La luxure ou mon vice d’analyser la gente féminine d’une certaine façon et tant d’autres que vous aurez le plaisir de découvrir par vous-même. J’aime le mystère, j’aime aussi le percer. Si quelque chose m’intéresse je m’y accroche jusqu’à vider cette chose de son intérêt… Cela peut être un objet, un évènement ou une personne. Mis à part ça je rigole souvent, je juge souvent et critique souvent par plaisir. J’aime me sentir supérieur et si au grand malheur je me retrouve face à quelqu’un de plus grand encore alors je le surpasserais par tous les moyens. J’ai un esprit très combattif même si je préfère être passif. Le plus gros problème et que si on me tire de mon calme habituelle je deviens très agressif et violent… Je peux même sombrer dans la folie même si certains vous diront que je le suis déjà. Je pense qu’on ne peut pas me qualifier de fou avant d’avoir vu de quoi je suis capable… On va dire que je suis unique.

Vous m’avez toujours vu me balader avec mon parapluie mais vous n’avez jamais vu mon Zanpakuto ? Il ne faut pas être un génie pour comprendre qu’il est dans le manche de mon parapluie. Il suffit de dévisser le manche en quelques secondes et le tsuka enrobé d’un tissu violet se dégage me laissant ainsi empoigner mon Zanpakuto dont la lame parfaitement droite ne fait pas plus de soixante-dix centimètre passant à travers le tsuba formant un losange en argent. Il ne me quitte jamais.


« Expires, Souffle de Jashin » Voilà les mots que je prononce pour libérer le pouvoir scellé dans ma lame. Le zanpakutô ne subit aucune modification, il reste tel qu’il était sous sa forme scellée alors que se passe-t-il ? Une sorte de fumée rosâtre s’évapore en partant de sa lame puis une puissante bourrasque repousse tout permettant à cette fumée de s’éparpiller plus vite. Et alors me direz-vous ? Là est le plus amusant, cette fumée à l’odeur sucrée me permet d’utiliser mon pouvoir comme je l’entends. Celui qui respire cette odeur peut voir ce qui sort de mon imagination, une sorte d’illusion que je modélise à ma façon. Je peux faire apparaitre un objet, une personne… Un rêve ou un souvenir. Bien sûr, il ne me permette pas d’attaquer mais d’occuper l’esprit de mon adversaire car même celui qui saura lire dans mon jeu ne pourrait faire la distinction entre rêve et réalité.


« Rêves, Esprit de Jashin » Une phrase que je prononce rarement et que peu de personnes ont eu la chance d’entendre. Le zanpakatu brille puis s’évapore. Le temps que l’adversaire s’en rende compte, le décor autour de nous a disparu. Il ne reste plus qu’un immense espace blanc que j’appelle moi-même « ma salle de jeu ». Pourquoi ? Parce que je peux y créer ce que je veux et mes illusions y sont encore plus réels que jamais puisqu’elles peuvent toucher mon adversaire dans cette espace ! Je peux faire de cette espace mon rêve ou son cauchemar… Souvent les deux se rejoignent. Vous allez me dire que c’est de la triche et que c’est impossible ? Je vous explique. Lors que de l’activation de mon bankai, mon zanpakuto brille et ouvre une porte vers mon esprit, l’esprit de mon adversaire y est aspiré. Nos corps ? Je ne me suis jamais posé la question mais je pense qu’ils disparaissent en attendant leur esprit. Bien sûr ce monde n’est pas sans limite. Mon adversaire ne peut mourir dans cet espace au risque de pouvoir prendre ma place, mon bankai s’arrête donc de lui-même avant sa mort. Si mon adversaire me tue, son esprit est éjecté et il se retrouvera face à mon cadavre. Si je n’ai pas une vision précise de ce que je veux faire voir, l’illusion se retourne contre moi. Si jamais je suis déconcentré, étourdi, fatigué ou dans le coma alors une faille, plus ou moins grande selon le cas, se créera permettant à mon adversaire de se libérer. Pour finir mon adversaire possède l’ensemble de ses pouvoirs en entrant, s’il a le bankai rien ne l’empêche de le libérer sauf si je lui mens sur les règles de ce monde mais ça c’est autre chose…

Remonter le temps, découvrir les secrets du passé et n’omettre aucun détail… Tel est passe-temps. Mais comment devenir l’historien de ce monde si je ne suis même pas capable de vous dessiner le chemin que j’ai emprunté pour en arriver là.

Alors que les premiers flocons caressaient et que cette petite brise glaciale s’engouffrait dans les abris de fortune du Rukongai, une âme s’éteignait pour laisser place à la mienne. Le sang coulait sur le sol, rejoignant la neige fraichement tombée. Moi j’hurlais comme tous les nouveau-nés venant d’ouvrir les portes de ce monde. Le cadavre sur le sol ? Celui de ma mère ne pouvant me donner dans de meilleures conditions. Triste sort pour cette femme qui ne voulait pas vraiment de moi mais qui ne pouvait faire autrement. Malheureusement l’autre parent était inexistant… Non pas qu’il est mort, il a juste disparu dans la nature. C’est une amie de ma mère, une femme sans grande importance qui me recueillit par pitié ou je ne sais quoi. J’étais un petit bâtard sans sang noble, sans particularité. J’ai grandi ainsi dans ces taudis qui entouraient le Sereitei, endroit de mes rêves. Il est vrai que je me suis toujours intéressé au monde qui m’entourait et que j’ai toujours voulu en percer les secrets. Des regrets de ne pas avoir pu être élevé par ma mère ? Non, son corps pourrissait composant maintenant le sol sur lequel je marche. Cette femme qui m’avait recueilli s’amusait à me lire quelques contes pour enfant, des légendes… Ce n’était pas ses aventures extraordinaires qui m’intéressaient mais déjà le fait de savoir si cela est vrai ou non, si ces histoires devenues légendes se sont réellement passées.

J’ai grandi en lisant tout ce que je pouvais trouver dans le tas d’ordure qu’est le Rukongai. Toutes les pages laissées à l’abandon sur le sol, je les récupérais même si elles n’avaient aucun intérêt. Je ramassais tous les livres jetés aux ordures, les nouvelles, les essais, les recherches ou les légendes. Et je savais que même plus tard je les aurais encore en tête grâce à ma très bonne mémoire. Je vivais comme un déchet me nourrissant d’autres ordures pour survivre et en apprendre plus. Mais vous croyez vraiment qu’un enfant passionné de lecture à sa place dans l’hostilité des quartiers malfamés du Rukongai ? Non, j’étais persécuté par les petites brutes n’ayant aucun respect mais je l’ai bien vécu. J’étais toujours su rester calme face eux, ça devait les agacer je pense et ce fut peut être une des causes de leur acharnement… Ils m’ont permis de me réveiller. Un jours, je suis allé plus loin dans la forêt en sachant qu’au moins l’un d’eux allait me suivre pour satisfaire ses pulsions. Il est venu et je l’ai attendu couteau à la main. J’ai lu la peur dans son regard et il a lu ma détermination dans le mien. Je souriais comme toujours et j’ai planté la lame dans sa poitrine sans regret… Pour moi Justice était faite, j’avais remplacé des années de souffrance par la mort. A partir de ce moment là, la légende du tueur des bois du Rukongai est née.

Plus tard, j’ai tenté ma chance pour sortir de ce trou et j’ai fais comme beaucoup d’autres jeunes. Je me suis inscris à l’Académie pour devenir un Shinigami. J’ai abandonné cette femme sans regret, j’ai tourné le dos à tous ce que j’avais fais mais je n’ai rien oublié. Je n’étais pas vraiment bon au kenjutsu… A vrai dire je me retrouvais souvent à terre assez vite et les instructeurs ne plaçaient aucun espoir en moi malgré ma grande maitrise dans les autres matières. Après tout pour eux, je n’étais qu’un déchet de plus venant souiller la Soul Society. J’excellais en kido, je faisais parti des meilleurs dans ce domaine et ça ne leur suffisait pas… Quelqu’un qui ne sait pas se défendre avec sa lame est-il inutile ou est-ce juste mon regard qui ne leur plaisait pas ? Je passais mon temps à lire tout ce que je pouvais trouver, en apprendre plus sur l’histoire de la Soul Society mais il y avait des lacunes… Des passages invraisemblables comme si la vérité voulait être cachée. Je me suis toujours juré de percer ces secrets et de connaitre toute la vérité dans ce monde. Puis un évènement auquel je ne m’attendais pas survint… L’adversaire que j’avais en face de moi au cours de Kenjutsu n’était autre qu’une des brutes s’acharnant sur mon sort lors de mes jeunes années. Il souriait comme si la victoire lui appartenait déjà… Je lisais ses pensées, je savais ce qu’il voulait et je me suis emporté. Je ne pouvais supporter son plaisir alors j’ai attendu le bon moment. Il s’est jeté sur moi, je me suis décalé sur le côté pour frapper son genou d’un coup sec. Il était à genou… Je n’ai pas hésité à donner le coup de grâce. L’instructeur m’arrêta sur le moment, déclarant ma victoire mais je voyais son regard, cette peur.

Les années passèrent et mon zanpakuto n’était toujours pas venu à moi. Je me posais de nombreuses questions, jusqu’à me demander si j’étais vraiment apte à être un de ces shinigamis. Je le rêvais pourtant, chaque nuit une voix venait murmurer à mon esprit l’envie de combattre. Je me suis toujours réfugié dans mes rêves, me créant un monde bien à moi où personne ne pourrait nuire à mon bonheur. Parfois, je le voyais… Ce sabre lévitait devant moi mais je n’osais pas le prendre. Une voix me disait de le faire mais j’étais comme paralysé. J’avais peur de prendre cette arme pour je ne sais quelle raison… Au final c’était mon imagination, je ne devais avoir aucune crainte face à cette arme. J’ai pourtant hésité, j’ai fais de nombreuse fois ce rêves et les murmures s’intensifiaient. Jusqu’à ce qu’une ombre vint s’incruster dans mon esprit pour me donner elle-même l’arme. Je ne sais pas pourquoi je l’ai prise à ce moment… Je me sentais en confiance comme si je venais de recevoir la clé du savoir. Au réveil, je le tenais. Zanpakuto en main, plus rien ne m’arrêtait. J’étais persuadé de pouvoir réussir tout ce que je voulais.

J’ai quitté l’académie en étant l’un des meilleurs de ma promotion et je fus intégré dans la cinquième division alors aux ordres d’Hirako Shinji. Capitaine que j’appréciais de par l’aura qu’il dégageait. J’ai passé quelques années à le servir et à servir la Soul Society mais je suis parti avec son autorisation pour une mission personnelle que je garderais secrète. Ce départ fut prononcé peu après l’arrivée d’Aizen Sosuke en tant que Vice-Capitaine. Je lu dans son regard… Cet homme cachait bien son jeu , lui et moi étions de la même espèce au final sauf que je ne suis pas aussi unique que lui et que le contrôle du monde ne m’intéresse pas. Je suis donc parti en expédition seul pour chercher ce que je voulais mais cela m’a pris de nombreuses années. J’ai toujours gardé un œil sur ce qu’il se passait à la Soul Society, revenant de temps en temps donner signe de vie. Mais je n’ai pas passé toutes ses années à courir après une chimère, je me suis entrainé aussi et je suis devenu plus fort que je ne l’étais. Il n’était pas question que je revienne au même stade qu’avant. Malheureusement, je n’ai jamais trouvé ce que je cherchais et le temps que je revienne… Tout avait changé.

Mon retour se fit peu après le départ du capitaine de la sixième division. Bien des choses avaient disparus… Mon dernier voyage fit que je n’étais pas au courant de la situation après le départ d’Ichigo à la Soul Society. Je fus bouleversé mais je ne me suis pas laissé abattre. Je me suis toujours douté qu’Aizen tenterait quelque chose et lors de mon voyage j’ai trouvé quelques traces prouvant la survie des Quincy… Mais je ne m’attendais pas à tout cela en même temps. J’ai donc décidé de prendre les choses en mains, abandonnant mes recherches pour cette fois-ci participait à la reconstruction de la Soul Society. Je suis moi-même aller voir le nouveau commandant en chef que je connaissais pour lui avoir déjà parler par le passé. J’ai demandé d’être promu capitaine d’une des divisions… Vous pensez peut être que j’ai demandé à être capitaine de la cinquième division ? Oh que non… Je ne me sentais pas apte à reprendre la place de mon ancien capitaine pour lequel j’avais énormément d’estime. Laquelle alors ? La sixième… Une division en ruine qui tient encore grâce à son Vice-capitaine. Pour eux, je n’allais être qu’un étranger sortant de nulle part et que peu de gens connaisse mais j’avais envie de faire renaitre cette division d’une tout autre façon. Il était temps que moi aussi je me mette à changer les choses. Il était temps que je mûrisse.