AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

CreativeJuiz

OuvrirFermer






Le forum est fermé. Vous pourrez nous retrouver sur notre nouveau projet ICI
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 Kai Umezawa [Fiche achevée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Umezawa Kai
Kai Umezawa [Fiche achevée] Shi-vic
Umezawa Kai
Rang : Ni Ban Tai Fukutaisho

Messages : 52
MessageSujet: Kai Umezawa [Fiche achevée]   Kai Umezawa [Fiche achevée] Icon_minitimeSam 14 Sep - 16:10

Kai Umezawa

    Âge : 187 ans ayant conservée l’allure d’une jeune femme de 26 ans.
    Race : Shinigami
    Siège demandé : Vice-Capitaine de la Seconde Division.

    Description de votre personnage :

    Froide. Froide de visage et de caractère. Certains ont évoqués une « fleur au regard assassin » en posant les yeux sur Kai Umezawa, et c’est sans doute là la description la plus honnête que l’on a pu faire de la « jeune » femme. Dépourvu du charme sensuel des femmes plus raffinés, Kai se fond dans le décor là où d’autres se complaisent à briller sous les feux aguicheurs des attentions de la foule. Discrète, insignifiante, invisible. La shinigami de la seconde division est n’est qu’un de ses multiples visages anonymes que vous croisez tous les jours, un visage que vous ne reconnaîtrez qu’au dernier moment comme étant celui de votre mort. Kai a su travailler son apparence et ses déplacements pour arriver à cet art de la discrétion. Femme d’allure plutôt menue avec sa silhouette svelte et élancée, presque fragile, le premier coup d’œil ne devine aucun danger sous ce masque de banalité. L’individu plus expérimenté lui sait reconnaître le maintient parfait de la jeune femme, le corps légèrement tendu, prêt à bondir. Comme il peut percevoir une musculature fine et souple, ainsi qu’un regard acéré, autant d’indices sur sa rapidité mortelle et ses réflexes surhumains. Sa finesse et sa délicatesse apparente ne sont en effet qu’artifices et illusions pour tromper l’esprit et l’éloigner de la mortelle vérité : Kai Umezawa est une des tueuses les plus redoutablement efficientes de la Seconde Division. Ses mains au teint presque nacré sont plus habituées au touché du sabre qu’au maniement du pinceau du calligraphe. Ses pieds élégants ont exécutés plus de prise mortelle que de pas de danse. « Il faut se méfier de l’eau qui dort », jamais dicton ne fut plus convenablement adapté pour une personne que pour la shinigami.

    Car en effet c’est bien un reflet sans trouble qui se peint sur le visage de Kai Umezawa. Aucune expression ne vient trahir les pensées qui s’agitent en elle. La jeune femme est un mur impénétrable, un miroir pour l’âme de son interlocuteur, ce qui a généralement le don de mettre mal à l’aise. Pourtant l’âme n’est pas totalement absente de ce visage que l’on se surprend à trouver presque agréable au regard quand on s’y attarde. Les traits y sont fins, comme ciselés par la main experte de quelque maître orfèvre. Son teint pâle est agréablement mis en valeur par le contraste offert par sa chevelure d’un noir corbeau, et ses yeux semblables à des onyx dont la froideur n’a d’égale que la pureté. Ces yeux ont vu la mort. Chaque soldat qui a vu la guerre peut reconnaître dans ce regard dur et dénué de pitié, la marque de ceux qui porte le poids des vies qu’ils ont ôtées. Les fins sourcils sombres accompagnent des cils longs qui mettent étonnamment en valeur ce regard si particulier et intriguant. Mais la beauté ne trouve pas réellement sa place sur ce masque froid et impénétrable que Kai arbore. Le mystère y est davantage à son aise, et la shinigami prends soin de s’en revêtir tous les jours en se masquant d’un foulard sombre qui dissimule sa bouche et remonte jusqu’à son nez fin. Sa chevelure coupée courte, s’éparpille en mèches désordonnées sur son front plutôt bas. Vous ressortirez toujours avec une certaine sensation d’insatisfaction après avoir contemplé le visage de la vice-capitaine. Un sentiment qui vous agacera un instant avant que le souvenir même de la jeune femme ne s’évapore de votre mémoire, car Kai Umezawa n’a pas vocation à être remémoré, mais soyez assuré que elle, elle ne vous oubliera jamais.

    Femme de terrain et assassin émérite, la vice-capitaine reflète ces titres coutumiers par sa tenue vestimentaire plus que dépouillée. En surcroît de son shihakusho traditionnel, la jeune femme a su apporté ses modifications personnelles à son uniforme : elle s’est ainsi adjoint une mince cotte de maille tressée en dessous de ses vêtements, et a taillé son kimono de façon à faciliter ses déplacements et son aisance de mouvement. Efficacité, rapidité, confort, sont les maîtres mots que Kai a su s’imposer et suivre durant toute sa carrière au sein des Armées de la Cour. Ses chaussures sont légères mais renforcées sur le devant et le talon pour accroître la force des coups portés, et dans la droite ligne des enseignements des Forces Spéciales sa tenue comporte de nombreuses poches dissimulées. Rien néanmoins ne la distingue à première vue du reste de la troupe, si ce n’est quand elle porte son bade de vice-capitaine autour de l’épaule, une marque qu’elle doit encore s’habituer à porter et qu’elle considère comme un aimant à attention assez déplaisant. Alliant l’efficacité au confort, elle place son zanpakutô dans un étui de hanche, à disposition immédiate de sa main et pour pouvoir frapper dans le même mouvement. Ce dernier point achève de montrer qui est Kai Umezawa : une tueuse expérimentée et qui reflète la philosophie de la Seconde Division dans ses moindres aspects.

    Kai Umezawa [Fiche achevée] Ka_bmp10

    « L’assassin est sans honneur ». Là où le soldat des Armées de la Cour est assuré d’une mort glorieuse ou honorable au combat, le sabre tiré dans la lumière, les membres de l’Omnitsukido agissent dans l’ombre et aucun écrit n’est rapporté quant à leurs exploits. Leurs actes sont placés sous le sceau du secret tout comme leur identité, et le plus souvent leur mort sera anonyme. C’est le sacrifice que les membres de la Seconde Division consentent pour protéger Soul Society, le fardeau de se salir les mains de rouge pour que l’étendard du Goteï 13 reste immaculé. Kai Umezawa accepte pleinement d’endosser cette charge et s’est ainsi peu à peu forgé sa propre conception de l’honneur et une vision du monde, fruit de son expérience mais également de son vécu. Femme au tempérament froid et calme, elle ne laisse pas aisément transparaître ses émotions. En effet la vice-capitaine est dotée d’un sens du détachement presque effrayant, considérant que la vraie lâcheté de l’assassin est d’avoir des remords. Trouvant fierté dans son statut d’outil de mort elle met un point d’honneur à achevé ses missions jusqu’au bout. Nourrissant un profond respect pour le protocole et la chaîne de commandement, une vie passée à exécuter les tâches les plus basses pour le compte de Soul Society lui a néanmoins enlevé une grande part de ses illusions. Elle fait ainsi preuve d’une honnêteté crue et dépourvue de formules alambiquées, un trait de caractère qui transparaît parfois dans un cynisme aigre et son sens de l’humour morbide. Kai connaît les convenances d’usage mais choisie délibérément parfois de ne pas en user. C’est entre autre cette particularité qui a nuit à son avancement, sans poser plus de soucis que ça à la jeune femme qui n’est pas particulièrement ambitieuse.

    En effet la jeune femme a appris à chérir son anonymat et la discrétion, considérant que ce sont là des protections efficaces et surtout nécessaire pour continuer à servir au sein de la Seconde Division. Elle méprise ainsi les fiers, les orgueilleux et les vantards, faisant preuve de son talent naturel pour voir la véritable nature des gens au premier coup d’œil. Cette faculté d’observation a contribué à construire sa, discrète, réputation au sein de sa division. Attentive, concentrée, patiente, Kai démontre des qualités essentielles de l’assassin, en surcroît de son absence totale de pitié et de jugement. On ordonne, elle exécute. En personne intelligente et intuitive, elle connaît le sort réservé à ceux qui posent des questions au sein du Goteï 13. C’est là une marque supplémentaire de son sens inné de la survie et d’adaptation, ce n’est en rien le signe que la jeune femme mésestime le prix de sa vie, bien au contraire. Profondément marqué par son enfance mouvementée et la répudiation de sa mère, elle voue une haine froide et franche envers les membres de la noblesse. Même si elle n’a jamais fait part de ses récriminations elle reste profondément outrée par les inégalités qui existent entre l’aristocratie du Seireteï et le reste du Rukongaï. Peut être peut-on y voir ici une marque du sens de la justice chez la shinigami, mais si l’on s’aventure à la questionner sa réponse risque fort de vous décevoir. Parmi les valeurs que défend la vice-capitaine se trouve : la loyauté à sa division et ses camarades, l’exécution de ses missions, le respect de la force et la discrétion. Elle n’accorde aucun crédit à des notions ou des termes flamboyants comme « l’honneur », « la pitié », ou encore « la justice », tout simplement parce qu’elle a pu constater par elle-même combien ces mots étaient vide de sens.

    Tous les moyens sont bon pour la jeune femme pour parvenir à ses objectifs, et elle n’aura aucun remord pour cela à planter une dague dans le dos d’un ennemi pour ce faire. Impitoyable envers ses ennemis comme envers elle-même, elle peut faire preuve de perfectionnisme qui lui tient lieu de fierté. Doté d’une aura mystérieuse et indéchiffrable, elle aime à plonger ses interlocuteurs ou ses ennemis dans la confusion. Elle considère par ailleurs tout ceux qui l’entoure comme des adversaires potentiels, elle se garde ainsi bien de faire étalage de ses talents martiaux, Kai Umezawa est une femme prévenante et d’expérience. Plus que le talent c’est bien son intelligence, et sa compréhension des rouages de Soul Society, qui lui ont permit de rester en vie. Bien qu’à même de gérer des troupes, et de donner des ordres, pouvant faire preuve d’une autorité naturelle, elle se sent plus à l’aise dans son rôle d’indépendante dissimulée dans l’ombre. Ce bref portrait dépeint vous pouvez déduire par vous-même que la vice-capitaine de la Seconde Division n’est pas à sous-estimer même si elle fera tout pour faire en sorte de vous fourvoyer, avec un résultat souvent mortel…

    Description de votre Shikai:

    Comme il sied à un digne membre de la Seconde Division : le zanpakutô de Kai se présente dans sa forme scellé comme un wakizashi sans garde et dans un fourreau sombre. Outil de mort simple et totalement dénué d’esthétique.

    Spoiler:

    Kokuen-Fumée Noire, tel est le nom que la jeune femme a réussi à extirpé des tréfonds de son âme pour nommer cette part d’elle-même.
    Phrase de libération du Zanpakutô : Taimeiki Kokuen ! Soupire, Kokuen.

    Spoiler:

    Le wakizashi de la jeune femme se fond en un énorme shuriken pliable, dont les pales tranchantes et à l’allure agressive se déploient autour d’un cercle de métal auquel est relié une longue chaîne lesté d’un poids. Arme étrange s’il en est, Kokuen peut être manié de bien des façons par la jeune femme : projeté par le biais de sa chaîne ou encore être replié en une unique lame pour les besoins du corps à corps. La shinigami a appris à s’approprier son arme et en joue à sa façon comme une danse, faisant tournoyer l’engin de mort autour d’elle à l’aide de sa chaîne.

    Zanpakutô de type « foudre », Kokuen, , est également un relais idéal pour le reatsu de la jeune femme qui peut communiquer son énergie spirituelle à son arme pour augmenter le tranchant de celle-ci, ou encore créer des « lames » de foudre.

    [Bankaï: si le staff estime que je peux avoir le bankaï je veux bien le prendre x)]

    Histoire :

    Kai Umezawa [Fiche achevée] Ac1_bm10

    Personne ne naît poignard en main. Nous sommes tous les produits de notre destin, que nous ayons choisi celui-ci ou que nous l’ayons subis. Certains empruntent la charrue, d’autres le pinceau, et certains le sabre. Kai Umezawa n’était pas destiné à emprunter la voie des assassins. Aucune tâche ineffaçable ou de lourd passif ne venait obscurcir un avenir qui semblait radieux pour elle. Un avenir que partageait tout ceux ayant le privilège d’être né et de vivre au sein de la noblesse du Seireteï. La nourriture, les plaisirs et les loisirs ne manquaient pas pour ceux de la haute. Ainsi Kai passa ses premières années à l’abri du besoin, mais même au sein de l’aristocratie une hiérarchie demeure. Fille illégitime du chef d’une famille de noblesse mineure sous le patronage du clan Kyoraku, celui-ci avait toléré et même apprécié la présence de sa mère sous le statut de concubine favorite. Chérie par ce père qui voyait en cette enfant une source d’amusement et de loisir supplémentaire, il en vint bientôt à ressentir fierté et orgueil lorsqu’on lui annonça les prémisses naissant chez la petite fille d’une future force spirituelle. Les signes ne trompaient pas et le vieil homme se mit bientôt à exhiber cette frêle enfant comme on montre sa dernière acquisition de choix. Il était bien entendu hors de question que Kaï n’en vienne un jour à porter son nom, ou n’aspire à la succession au sein de la famille, mais ce don précoce fût exploité par sa mère comme un moyen supplémentaire pour rester aux côtés de son seigneur. La jeune concubine avait connu le Rukongaï et après avoir goûté aux privilèges de l’aristocratie elle ne souhait pas y retourner.

    Son rang lui accordait un toit luxueux et de la nourriture en abondance mais éveillait également les jalousies et les passions, notamment celle de l’épouse légitime du chef du clan. Celle-ci avait supportée jusqu’à l’extrême limite l’insulte qu’était la présence de cette femme et de cette enfant vivant sous son toit. La rupture survint lorsqu’un enfant légitime et héritier fût donné au chef du clan. L’effet éphémère de la nouveauté était passé et la lassitude conjuguée aux demandes pressantes de son épouse poussa le noble à congédier sa concubine pour qui il n’avait plus aucun usage à présent. Dépouillée de ses biens, de son rang et irrémédiablement souillée par sa réputation, la jeune femme autrefois favorite ne trouva pas même le courage d’affronter les regards moqueurs en restant dans les premiers districts du Rukongaï où le jugement de la population était parfois aussi acéré que la morsure d’un poignard. Bannie, honteuse, paria dans la haute société, elle trouva refuge avec son enfant dans le District 78- Inuzuri. Le désenchantement fut complet : la crasse, la pauvreté et la famine furent les nouveaux quotidiens de la mère et de la fille. Si l’ancienne concubine se laissa glisser dans la lente déchéance, tel ne fut pas le cas de sa jeune fille si particulière. Ici elle pouvait laisser derrière elle les faux semblants, tout paraissait plus réel qu’au sein du Seireteï. Elle s’adapta à une vitesse surprenante pour quelqu’un qui n’avait connu que l’opulence durant la plus grande partie de sa vie. Ses débuts furent difficiles néanmoins, et elle dut apprendre à la dure à voler pour manger et combattre pour avoir le droit de marcher dans les rues. Comme tant d’autres elle fit partie de ses bandes de vermines écumant les maigres marchés du District, au plus grand désarroi de sa mère qui continuait à s’enfoncer dans ses illusions et ses rêves passés.

    Kai savait qu’elle ne renouerait jamais avec les richesses d’autrefois et elle ne s’en sentait pas plus mal. Ici elle se sentait presque dans son élément, sa force spirituelle allait en s’éveillant elle pouvait se mesurer à plus fort qu’elle. Sa vie n’avait néanmoins rien d’idéal et sa mère en fit les frais. Des voleurs peu habitué à une résistance acharnée de leur victime sans doute, avait préféré se débarrasser de cette folle et vieille femme pour s’emparer de ses maigres possessions. Difficile de dire si la jeune fille en ressentit un quelconque chagrin. Cette femme l’avait élevée et avait pris soin d’elle, mais depuis leur arrivé ici elle n’avait plus été que l’ombre d’elle. Kai n’avait continué à vivre qu’avec le souvenir lointain et éteint d’une vieille concubine, aucune larme ne lui vint. Son dernier point d’ancrage mort, elle décida de quitter les lieux pour s’aventurer vers l’inconnu. On disait la vie plus aisée dans les districts intérieurs, aussi se joignit-elle aux massifs flux de voyageurs et de réfugiés qui partaient à la recherche d’une vie meilleure.

    Kai Umezawa [Fiche achevée] Ac2_bm10

    Il y a certaines marques qui ne s’effacent pas, et celle de la pauvreté en est une. Malgré sa vie nouvelle dans les quartiers plus cléments du Rukongaï, la jeune femme n’en subissait pas moins le jugement que sa mère avait tant redouté. La crasse sous ses ongles, la pauvreté de sa tenue, et son langage ordurier étaient autant d’indices révélant son passé difficile à vivre au sein des plus démunis. Kai ne tirait en effet aucune fierté à partagé quelque part des origines nobles, le spectacle qu’offrait chaque jour les longues processions luxueuses de passage par chez elle la renforçait dans son sentiment. Les riches et les aristocrates étaient une espèce à part, méprisante et méprisable. Bien que sa force spirituelle ne fût plus un mystère à présent, elle refusait de mettre sa force au service de ce qu’elle considérait comme une force militaire de répression au service de la noblesse. Mais parfois nos principes sont aisément balayés. La jeune femme ne croyait en rien et la survie était son unique souci, mais soudain fut attisé en elle le désir de trouver un sens à son existence lorsqu’elle fût confronté à nouveau à un passé qu’elle avait cru possible d’oublier. Ce père qui l’avait renié se retrouva un jour face à elle. Bousculée dans ses sentiments et incapable de réagir, le vieil homme qu’il était devenu ne su pas reconnaître son propre enfant et passa tout simplement son chemin. La colère, la honte et la haine s’emparèrent tour à tour de la jeune femme. Elle n’avait été rien pour cet homme qui vivait dans l’opulence, et sans doute disparaîtrait-elle à son tour sans n’avoir rien été pour personne. Une détermination prit naissance en elle : le désir de forger son propre destin et l’aspiration à une plus grande existence s’emparèrent d’elle.

    C’est poussé par ce nouveau vent qu’elle s’adressa à l’Académie, faisant part de son désir de rejoindre les Forces de la Cour. On jugea son potentiel de force spirituelle suffisant pour poursuivre les études adéquates. Affecté à un programme de formation des officiers car détecté comme un potentiel à suivre, l’enquête approfondie du Goteï 13 sur ses origines la détourna néanmoins du chemin que suivirent ses camarades. Séparée des autres, soumis à un interrogatoire sur ses motivations, elle échappa de peu à une incarcération préventive de par ses opinions subversives. Néanmoins les Forces Spéciales y virent là un profil de choix propre à rejoindre leurs rangs. Sa formation fut donc particulière en tout point de vue. L’assassinat, l’art de la discrétion et de l’illusion, les arts des intrigues politiques, tels furent les enseignements qu’on lui communiqua. On lui révéla qu’elle était dédiée à rejoindre un jour cette force de l’ombre qui veillait sur Soul Society et ses habitants en agissant à la racine. Son incarcération dans le Corps fut sanglante. Son baptême du feu au contact d’un groupe de Hollows entraîna la mort de plus d’une dizaine de ses camarades. On l’intégra à la Seconde Division, le Keiratai, en charge de la sécurité du Seireteï : le corps des patrouilleurs. Elle démontra ses talents en survivant à ses missions. Faisant preuve d’initiative et d’une force indéniable, elle fût considérée comme un talent brut qu’il fallait forger. Sa réputation au sein de l’Omnitsukido commença à voir le jour. Elle eut bientôt l’occasion de démontrer un autre de ses talents qui décida ses supérieurs à la promouvoir. L’incident eut lieu lors de sa seizième mission spéciale. Des troubles avaient été déclarés proche du Seireteï : des agitateurs non Hollow faisaient montre de leurs mécontentement envers le Goteï 13.

    Elle découvrit avec ses camarades un petit groupe de shinigamis qui protestaient contre une décision d’autorité d’abandonner à son sort un de leur compagnon s’étant révélé comme un Vizard. La situation suggérait une incarcération immédiate des fauteurs de trouble pour éviter d’ébruiter l’affaire et garantir la pérennité des Forces de la Cour. Kai identifia le meneur du groupe : un membre haut placé de la troisième division qu’elle exécuta promptement, devançant ses camarades. Cette initiative particulière parvint aux oreilles du capitaine de la première division des Forces Spéciales qui intégra la jeune femme au sein de sa division. Bien qu’ayant devancée ses prérogatives, Kai avait fait preuve des talents requis par le Keigun : une absence totale d’hésitation. Une qualité qu’elle renouvela en exécutant de nombreuses missions d’assassinats et d’exécutions. Elle prit bientôt une certaine place au sein des Forces Spéciales, travaillant ses talents au contact des meilleurs, apprenant pas à pas ce qu’était être un Shinigami, sans aspirer à une promotion au sein de la Seconde Division. Son plus grand coup d’éclat au sein du Keigun fut l’exécution de son propre père. La division n’avait pas tergiversé avant de lui assigner cette mission en compagnie de deux autres de ses camarades. Il s’était rendu coupable de participer à un complot visant à déstabiliser la famille Kyoraku. Le Goteï 13 ne pouvait tolérer une teille atteinte indirecte envers un de ses capitaines. Cette mission cependant fit date au milieu de la kyrielle de visages anonymes de ses victimes. Une voix se fit entendre en elle, et peu à peu la jeune femme compris que cette voix avait toujours été là. Le murmure s'était simplement fait plus audible, et à présent que son âme était réellement en paix elle parvenait à l'entendre. Cette voix lui révéla son nom: Kokuen, et avec ce nom vint le pouvoir. Dotée d'un shikaï, élément prometteur et guerrière accomplie; alors qu’elle pensait avoir trouvée sa place, un changement plus que radical survint.

    Kai Umezawa [Fiche achevée] Ac3_bm10

    Eloignée du conflit opposant Aizen et les capitaines de la Cour, elle participa néanmoins à autre conflit majeur du Goteï. L’invasion Quincy sema la mort et la destruction au sein des forces du Seireteï et les Forces Spéciales ne furent pas épargnées. Appelés à lutter aux côtés du capitaine Soi Fon, l’Omnitsukido essuya sa part de pertes et la jeune femme vit périr nombre de ses camarades et apprit également à ses dépends les limites de sa force actuelle. La victoire survint et elle fut distinguée ainsi que nombre de ses pairs qui avaient fait preuve de courage dans cette épreuve. Elle grimpa les échelons au sein du Keigun et son nom parvint même aux oreilles du capitaine de la Seconde Division. Décidée à perfectionner ses talents, elle se prépara pour l’inévitable bataille qui s’ensuivrait avec l’équilibre nouveau des forces qui s’installait entre Soul Society et le Hueco Mundo. C’est ainsi qu’elle participa comme membre mineure à la mission mandatée par le nouveau capitaine-commandant au Hueco Mundo où elle révéla de nouveau sa valeur au creuset de la bataille. Faisant partit du cortège des blessés on décida en haut lieu après son rétablissement de lui accorder un siège officiel au sein de la Seconde division. Un honneur qu’elle pensa refuser de prime abord. Fréquentant de loin le nouveau capitaine qu’elle ne jugeait guère digne de porter le nom de commandant de la Seconde Division de par son comportement haut en couleur, elle apprit néanmoins à respecter sa force et son autorité.

    C’est donc presque malgré elle qu’elle fût nommée au poste de vice-capitaine après la rétrogradation du précédent : Torero Mazeru. La jeune femme accédait à un tout nouveau plan et côtoyait à présent les puissants du Goteï, s’habituant peu à peu à ce nouveau poste, bien que goûtant peu à cette nouvelle notoriété. Son badge encore récent sur son bras, elle voit cette nomination comme une nouvelle mission, un défi qu’il lui faut relever, et se sent prêt à accorder tout son soutient à son nouveau capitaine.





Dernière édition par Umezawa Kai le Mer 25 Sep - 16:11, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1413-kai-umezawa
Chikusa Heiji
Kai Umezawa [Fiche achevée] Shi-cap
Chikusa Heiji
Rang : Nana Bantai Taisho

Messages : 557
MessageSujet: Re: Kai Umezawa [Fiche achevée]   Kai Umezawa [Fiche achevée] Icon_minitimeDim 15 Sep - 11:02

    Rebienvenue !

    Comme dit sur la cébé, tu verras ton bankai sur ta FT.

    Validée au niveau 4 en tant que Vice-capitaine de la 2ème division. Tu bénéficies de 25 PC pour réaliser ta fiche technique.

    Have fun ! (:
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1639-chikusa-heiji#12702
Cheyenne
Kai Umezawa [Fiche achevée] Rea-gen
Cheyenne
Rang : Général tout frais

Messages : 630
MessageSujet: Re: Kai Umezawa [Fiche achevée]   Kai Umezawa [Fiche achevée] Icon_minitimeDim 15 Sep - 12:36

Du coup, va bien falloir que l'on se rencontre, vu que j'avais même pas eu le temps de faire un rp avec mon ancien VC XD
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t2564-cheyenne#21964
Umezawa Kai
Kai Umezawa [Fiche achevée] Shi-vic
Umezawa Kai
Rang : Ni Ban Tai Fukutaisho

Messages : 52
MessageSujet: Re: Kai Umezawa [Fiche achevée]   Kai Umezawa [Fiche achevée] Icon_minitimeDim 15 Sep - 14:06

J'vais t'mettre au boulot moua tu verras ! Pour sûr qu'on va Rp. Je peux même le commencer pour tes beaux yeux si tu veux bien.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1413-kai-umezawa
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Kai Umezawa [Fiche achevée]   Kai Umezawa [Fiche achevée] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Kai Umezawa [Fiche achevée]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Umezawa Kai
» Fiche Technique de U.R.I
» Fiche de Bartolomé Cromwell
» Fiche d'Isagoras (terminé !)
» Alejandra Selès [Fiche technique]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Bleach - Before the Shadows :: Archives :: Archives-