Âge : Deux cent ans et toutes ses dents.
Race : Shinigami évidemment.
Siège demandé : Capitaine de la Cinquième division.

Description de votre personnage :

Il y a beaucoup à dire sur la jeune Margaret Murnau, déjà il faut savoir qu’elle est beaucoup plus jeune que la plupart des capitaines et que cela se voit sur son caractère mais, surtout sur sa façon de se comporter avec les autres et évidemment sa façon de se tenir. Il faut dire qu’en plus de ses talents de Shinigami, la demoiselle dont le physique rappel celui d’une adolescente de dix-sept, dix-huit a absolument tout pour plaire. Sa magnifique chevelure rousse lui permet de ne jamais passer inaperçu et la fait parfois ressembler à un renard hyperactif ou encore à un feu follet si vous préférez une image un peu plus élégante et poétique.

Du haut de ses longues, belles et fines jambes la capitaine de la cinquième division est un vrai personnage de roman. Fière et arrogante, mais dotée de toutes les caractéristiques de l’adolescence, elle tente de cacher cela en se tenant droite et en gardant le menton haut mais, il est évident que cela est loin d’être suffisant Elle est fière de ce qu’elle est et cela se ressent dans sa démarche, elle est cependant totalement incapable de prendre une démarche féline ou sensuelle et ce malgré une allure féline. Surement parce qu’elle ressemble plus à un chaton capricieux qu’a une lionne. La rouquine est donc beaucoup plus proche de la lolita que de la belle bimbo envoutante et plantureuse. Cependant et même si elle n’a pas les arguments d’une vraie bimbo comme Matsumoto Rangiku, la terrible Margaret a quand même été gâtée par le destin.

Même si elle ne pèse pas plus d’une cinquantaine de kilogrammes la nouvelle capitaine de la cinquième division est quand même une bonne combattante dotée d’une résistance qui force le respect. Toujours vêtue de son kimono noir de shinigami et de son haori blanc de capitaine, celle que l'on surnomme « Gretchen » apporte une grande importance à son apparence, elle veut toujours être tirée à quatre épingles tout en étant originale. Alors elle n’hésite pas à rajouter quelques petits accessoires de décorations. Notamment un long et large ruban rogue qu’elle utilise comme une ceinture pour fermer son kimono. Il lui arrive aussi d’arborer quelques bijoux, jamais trop extravagants ou voyants mais, toujours très beaux. Son accessoire favori étant une jolie bague en or incrustée de quelques petites pierres précieuses qu’elle a acquise alors qu’elle n’était encore qu’une simple étudiante à l’académie des Shinigami. Lorsque ses mains et ses poignets ne sont pas ornés de bijoux, ils sont recouverts de longs gants noirs qui montent jusqu’au niveau des coudes.

Ces fameux bijoux en tendances à cliqueter et à s’entrechoquer dès que la belle rouquine s’énerve. Mais ces objets ne sont pas essentiels car nul besoin de bijoux pour deviner les changements de comportements et d’habitudes de Margaret. Tout est dans le regard ! Ces changements se lisent dans les grands yeux bleus du capitaine Murnau, de beaux yeux couleur azur qui – tout comme ses cheveux roux – rappellent ses origines germaniques. Non la Shinigami n’est vraiment pas très douée pour cacher ses émotions, il faut dire qu’elle a un visage extrêmement expressif et qu’avec son petit nez de poupée, sa bouche rosée et ses belles lèvres fines elle n’est pas très douée… non… elle est incapable de cacher ses émotions et passe de la joie à la haine, du bonheur à la tristesse, du calme à la colère extrêmement rapidement.

Même si elle est quelques fois silencieuse et arrogante, Margaret est généralement moqueuse et sarcastique. Elle prend ses amis et ses ennemis de haut ce qui la rend particulièrement insupportable et elle n’hésite jamais à arborer un grand sourire prétentieux, parfois même carnassier lorsqu’elle prend l’ascendant sur son opposant. Et quand je parle d’opposant, je ne parle pas simplement d’un Hollow ou d’Arrancar mais, simplement d’un Shinigami avec qui elle est en train de débattre.


Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant):

Sous sa forme scellée le zampakuto de la belle Margaret Murnau est plutôt original. En effet contrairement à la plupart des autres zampakuto qui ont généralement la taille d’un katana normal celui de la nouvelle capitaine de la cinquième division a la taille d’un Tantô. Cette petite taille lui permet notamment de le dissimuler dans les longues manches de son haori de capitaine et de le sortir de façon discrète et rapide. Et lorsqu’elle n’est pas cachée, cette arme au fourreau d’ébène richement travaillé est rattachée aux hanches de la rouquine par un long ruban rouge qui lui sert également de ceinture. Il est néanmoins très rare de voir « Brunhilde » (Princesse Cuirassée) attachée à la taille de la jeune shinigami qui ne le sort que pour les réunions du Gotei 13 et les cérémonies officielles.




Jōsha no tame no junbi o shi nasai
Brunhilde




Pour libérer son Shikai, la rouquine doit prononcer la phrase : « Jōsha no tame no junbi o shi nasai Brunhilde » ( Littéralement « Prépare toi pour la chevauchée Brunhilde » ) après ces quelques mots le Tantô de Margaret grandit jusqu'à prendre l'apparence d'une épée de taille normale et de style européen. Le talon de la fameuse épée est orné de gravure représentant des walkyries en train de charger alors que les quillons prennent la forme de deux ailes de pégase. Mais ce n'est pas tout, bien au contraire. Car cette nouvelle épée n'arrive pas seule, arrivant elle fait aussi apparaître un gantelet en argent couvert de runes et de quelques gravures de walkyries semblablement à celles que l'on retrouve sur l'épée. Une épaulette vient également se poser sur l'épaule droite - logique - de Margaret.

Mais tous ces accessoires ne sont pas là que pour faires beau… oh non ! Bien au contraire ! En effet une fois qu’elle a déclenché son shikai, Margaret est capable de faire le bras recouvert du gantelet n’ importe où dans un rayon de vingt-mètres. Cette attaque est assez étrange et surtout assez surprenante puisque les adversaires de la rouquine ont toujours beaucoup de mal à comprendre pourquoi son bras disparaît et lorsqu’ils comprennent ou celui-ci est réapparut il est généralement déjà trop tard. Il est déjà arrivé que des adversaires résistent au premier coup d’épée et c’est pour cela que la belle est capable de contrôler son bras à distance et de lui faire enchaîner les parades. Elle ne peut cependant pas le laisser à « séparer » d’elle plus de cinq minutes. A la fin de ces cinq minutes elle doit impérativement le faire réapparaître à sa place d’origine. Il faut aussi savoir que son bras met environs dix secondes pour disparaître et réapparaître à sa place ou à un autre endroit.




Hei no norimono ya watashi no teki
Brünnhilde





« Hei no norimono ya watashi no teki Brünnhilde» (ou littéralement « chevauche et fauche mon ennemi ») ce sont les mots que la jeune femme prononce pour déclencher son Bankai. Après cela une tornade entoure Margaret et son / ses ennemi(s) puis au bout de quelques secondes le vent s’arrête et l’on peut apercevoir plusieurs pierres recouvertes de runes dans un rayon de trente mètres autour de la capitaine de la cinquième division. Enfin l’épée se courbe afin de prendre la forme d’une faucille. Tout comme le gant et l’épaulière de tout à l’heure, les pierres qui entourent la rouquine ne sont pas la pour être jolie. Non ! Elles empêchent l’ennemi de s’enfuir mais, surtout elle permet à la rouquine de doubler sa force et sa vitesse mais, surtout elles permettent à Murnau de se téléporter dans n’importe quelle partie de la zone entourée. Oh cela a l’air extrêmement puissant mais, puisqu’elle est encore jeune et qu’elle ne le maîtrise pas encore totalement elle ne peut pas maintenir son Bankai en place plus de quinze minutes. C’est pour cela que toutes les cinq minutes des pierres disparaissent affaiblissants ainsi son pouvoir… Une fois arrivée à la fin du compte à rebours la belle rousse est obligée de repasser en mode shikai ou pire… de remettre son épée sous sa forme originelle.



Histoire : (25 lignes au minimum)


• Budapest - Octobre 1846

« Papa ? Papa ? » La jeune Margaret alors âgée de huit ans avançait difficilement au milieu des flammes et des débris. Elle ne savait pas ou plus vraiment ce qu’il c’était passé quelques minutes auparavant. Un bruit sourd puis une explosion… oui c’est ça ! Une explosion ! Tout en cherchant dans ses souvenirs et en regardant autour d’elle la pauvre rouquine passa une main sur son oreille et elle se rendit compte qu’elle saignait, qu’elle saignait des oreilles et qu’elle n’entendait plus très bien. La seule chose qu’elle arrivait encore à entendre était les cloches et les cris des pompiers et des gardes… des gardes… Oui ! Ils étaient là parce qu’elle devait défiler avec son père dans les rues Budapest afin de transmettre les amitiés de l’empereur Ferdinand Ier d’Autriche au peuple Hongrois… C’est ça ! Elle était assise avec son père sur une petite calèche… Mais alors ou était-il ? Apeurée la petite fille regarda à droite, puis à gauche avant de l’apercevoir allongé sur le son. Elle couru le plus rapidement possible afin de le rejoindre et de s’agenouiller devant lui. C’est là qu’elle se rendit compte que son père était en sang et qu’il lui manquait une partie de la jambe gauche. « Gretchen » ferma les yeux puis secoua la tête de gauche à droite comme pour tenter de se persuader que tout cela n’était qu’un rêve et qu’elle allait bientôt se réveiller ! Elle avait déjà perdu sa mère elle ne voulait pas perde son père ! Non ! Mais une main posée sur sa joue la sortie de ses pensées et la força à ouvrir de nouveaux les yeux, dans un effort exceptionnel Mr. Murnau avait levé son bras afin de posée sa main sur la joue de sa fille, de son seul enfant. Il lui murmura ensuite quelques mots mais, la rousse ne comprit absolument rien… ou presque puisqu’elle devina tout de même un « Je t’aime » qui sonnait étrangement, un « je t’aime » qui ressemblait à un « adieu ». Margaret était une fille intelligente et elle comprit rapidement que son père était en train de mourir, alors elle s’époumona et hurla au secours jusqu’à ce qu’un homme courageux ne brave les flammes pour la rejoindre. Ce héros anonyme resta silencieux pendant quelques secondes, comme choqué par la scène qu’il avait sous les yeux, puis il souffla un bon coup pour tenter de sauver le porte parole de l’empereur d’Autriche… L’inconnu fit tout ce qui était en son pouvoir pour sauver Monsieur Murnau mais, rien… non ! Rien ! Après avoir tout essayé, il donna un énorme coup de poing dans le sol, puis se releva, attrapa la main de la petite rousse et l’amena à l’abri avec lui… La jeune Margaret Murnau avait survécu à un attentat mais, au fond elle n’avait plus rien, ni père, ni mère, ni frères et sœurs… Elle n’avait même plus d’oncles ou de tantes… Et c’est pour cela qu’après les obsèques de son pauvre père elle fut envoyée chez des cousins éloignés à Berlin en Allemagne.

• Berlin - 1856

La belle Margaret était assise dans un coin de la maison berlinoise de ses cousins elle brodait sans trop faire attention à ce qu’elle faisait. En vérité elle était plus occupée à fixer l’horloge murale qu’à travailler… C’est fou ce que le temps passe doucement lorsque l’on s’ennuie. Mais alors qu’elle était en train de s’endormir, une voix extrêmement désagréable la fit sursauter. C’était la vieille cousine Ygrid. La rousse la haïssait ! Elle détestait sa voix de crécelle, son regard arrogant, son nez tordu et bosselé et surtout son attitude de perfectionniste. Même si son père l’avait toujours poussé à sortir le meilleur d’elle-même il ne l’avait jamais obligé à travailler pour qu’elle soit la première en tout ! Oh heureusement « Gretchen » était une fille brillante, elle avait le don de toujours réussir tout ce qu’elle faisait mais, ce n’était jamais suffisant pour cette rabat-joie d’Ygrid qui lui demandait toujours plus, qui lui demandait de toujours faire mieux… Mais se jour la Margaret excédée par les insultes et les ordres de sa fossile de cousine se leva de sa chaise et la gifle de toutes ses forces ! La Murnau avait déjà un sacré caractère et surtout elle n’avait pas ou plus la langue dans sa poche ! Alors elle dit ses quatre vérités à celle qui l’élevait depuis plusieurs années et alla se rassoir dans le coin. Malheureusement cette imbécile d’Ygrid n’en resta pas là et vexée elle ordonna à Margareth de quitter la maison ! D’ailleurs elle ne laissa pas une seule seconde de répit à l’adolescente, elle la releva manu-militari et elle l’accompagna jusqu’à la porte avant de la pousser violemment sur le trottoir ! La jeune fille tomba au sol… Et alors qu’elle était en train de se relever elle entra en collision avec une diligence… Et c’est ainsi – de façon assez médiocre je l’avoue – que se termina la vie physique de Margaret.

Des nouvelles ?

Faute de réponse de ta part, présentation archivée. Elle pourra cependant être remontée sur simple demande de ta part dans le bureau du staff si tu refais surface et que tusouhaites la continuer.