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 Maki Chiraki terminé ?!

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AuteurMessage
Chiraki Maki
Maki Chiraki terminé ?! Shi-shi
Chiraki Maki
Rang : Shinigami de la V éme division

Messages : 59
MessageSujet: Maki Chiraki terminé ?!   Maki Chiraki terminé ?! Icon_minitimeSam 30 Nov - 20:43

[list]Avatar : Revy de Black Lagoon.
Parrain :
Comment avez-vous découvert le forum ? Un ami avec qui j'écrivais sur un autre forum de Bleach, le site est mort.
Maki Chiraki

[list]Âge : Apparence vingt ans, réellement quatre-vingt-quatorze ans.
Race : Shinigami.
Siège demandé : La cinquième division.

Description de votre personnage :
Un mètre cinquante-six, le corps fin, la posture droite et froide, Maki à de long cheveux noir qui descendent jusqu'à ses reins, les yeux en amandes d'un vert émeraude, la peau blanche mais pas assez pour que la beauté japonaise en elle soit révélé, elle possède aussi un tatouage sur l'épaule droite qu'elle découvrira quelques temps après sa rencontre avec Gaijin.

On peut difficilement savoir quel caractère possède réellement Maki, elle s'isole et déteste la foule, elle préfère être à l'écart pour fumer et boire du saké tranquillement que de devoir avoir une vie social.
Bien évidemment il y a le jugement des autres, qui la considère trop froide et impolis pour être fréquenté sereinement, c'est à chaque fois avec beaucoup d'encouragement que les autres l’approchent. Il n'y a pas que ça, en général tout le monde l'exclus de son champs de vision car elle dérange, de par ce comportement renfermé mais aussi de par sa façon de regarder et de réagir: elle semble détacher de leurs réalités.

En tout cas, Maki n'est pas aussi détachée que ça, elle est simplement méfiante de nature et ne s'autorise pas de se montrer au grand jour.
Impulsive, caractérielle, sensible, sauvage et bornée caractérise réellement Maki qui a la fâcheuse tendance à abuser du tabac et du saké, ses seules vraies passions.

Mais…

Récemment, depuis sa rencontre avec Gaijin, Maki recommence à lutter contre sa peur maladive de la foule pour se créer de nouvelles perceptives et à force de courage et de ténacité, elle pourrait parvenir à montrer ce qu'elle cache au fond d'elle-même et d’affirmer enfin sa personnalité, sans cette voie qui la rabaissait constamment et la faisait douter de ses propre capacités. Ainsi débarrasser, Maki est prête à affronter ce qui se dessine sur sa route.



Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant):
Shikai: Gaijin (Etranger).

C'est un katana sans garde au fourreau entièrement gravé, le manche est entouré de cuir et de chrome. La lame de Gaijin est longue d'environ quatre-vingt centimètres et elle aussi gravé de Kanji mélangé qui apparaissent comme avoir aucune significations, les sillions qui creuse cette lame s'illuminent et miroitent une fois dans la main de Maki mais le plus étrange chez Gaijin, c'est que la lame est inversé.

Gaijin est un Shikai de défense, il suffit à Maki de le pointer en direction du ou des adversaires pour qu'il la recouvre d'un dôme protecteur et celui-ci à un diamètre d'un mètre autour de Maki. Mais comme tout bon protecteurs Gaijin n'est pas uniquement une barrière empêchant Maki d'être touché, dans un rayon de quatre-vingt centimètre autour du dôme, Gaijin affaiblis les attaques cependant il n'empêche en rien le concurrent de s'approcher mais si celui-ci a l'idée de toucher, de n'importe quels manière, le dôme il est violement repoussé hors du second dôme.

Bankai: Bâsan Chi (Madame feu).

"Oka-eri-nasai bâsan", lorsque ces mots sont prononcés le katana si banal de Maki s'illumine d'une teinte mauve miroitante pour ensuite exploser et faire apparaitre un nuage dense de reiatsu. Les particules de reiatsu restent ainsi une seconde avant de se diriger vers le buste et les bras de Maki pour ainsi former une armure de cuir et de métal et enfin dans sa main droite apparait Bâsan Chi qui se présente sous la forme d'une arme à feux particulière.

Longue d'environ un mètre, l'arme a la forme d'un fusil à pompe, sa crosse est en cuire, le canon et la gâchette sont chromée. Bâsan Chi est aussi doté d'une petite lame incrusté en son dessus qui est utile pour viser mais aussi pour bloquer et blesser dans les combats rapproché. Il faut aussi préciser que, bien évidemment, Bâsan Chi ne contient aucune balle dans son chargeur, l'espace dans ce compartiment de l'arme est conçu pour accueillir le reiatsu et le compresser pour créer des "balles" mais Maki préféré les appeler "projectiles".

Maki peut modifier les types de projectiles envoyé, selon le nombre d'adversaire elle peut éparpiller son reiatsu à la manière d'un fusil à pompe humain, tandis qu'en combat en duel, elle peut envoyer des projectiles uniques et de différentes tailles, bien sur Bâsan Chi ne peut envoyer des projectiles de la taille d'obus ou missiles.

Lorsque le projectile effleure ou bien s'introduit dans l'adversaire, le reiatsu de Maki explose pour causer des dommages interne ou bien superficiel mais une fois touché, l'adversaire deviens vulnérable puisque les balles suivante seront irrémédiablement attiré par les traces du reiatsu explosé mélanger au sang du concurrent.

*

Nous pouvons nous poser une question: Mais quel est le pouvoir de Maki? Elle ne contrôle aucuns éléments?! Le feu, non. L'eau, non. La terre, non et ainsi de suite.

Non, elle a seulement le pouvoir du sang, c'est à dire ?!

Lorsque Maki à mélangé son reiatsu au sang de son adversaire, il devient comme un aimant pour les projectiles suivant, il est alors munis d'une sorte de "puce de localisation". Nous savons bien sûr que chaque Shinigami ou autre personnages peuvent sentir le reiatsu de n'importe quel individu mais lorsque celui-ci disparait...personne ne peut le retrouver sauf en le cherchant par ses propres moyen, c'est là qu'interviens le don du sang de Maki.

La composition sanguine de chaque individu est unique, c'est sa carte d'identité et a moins qu'il ne subisse un changement génétique, Maki est en mesure de savoir où se trouve l'un des individu déjà touché par son reiatsu, non qu'elle puisse déceler sa propre trace, non, il lui suffit de dégainer Bâsan Chi et de tirer en prononçant le nom de la personne pour que son reiatsu se mette en chasse et explose à un mètre de l'individu, à la manière d'une fusé de détresse.





Histoire : Novembre 1942, Hamamatsu dans la préfecture de Nagoya.

Tout proche des côtes bordant Suruga-wan, prêt des résidences enneigé et plus précisément dans une veille cabane délabré est étendue le corps frissonnant d'une jeune femme de vingt ans à peine, couverte d'une veille paillasse souillé par la boue, elle tente vainement de calmer son souffle et stopper le claquement disgracieux de ses dents.

L'époque est rude, la guerre gronde pour ne plus s'arrêter, les gens finissent par rejeter toute influence étrangère, une sale époque l'ère Showa traduit comme "la vallée obscure".

Une longue plainte sort d'entre les lèvres de la jeune femme, son esprit reste focalisé sur la douleur du froid, la brulure dans ses poumons, la raideur dans ses extrémités mais surtout elle ressent la pire des douleurs, la honte. Elle pensait pouvoir réussir à ce sauver, à s'éviter la honte d'être une fugitive enceinte, une exclus, une aberration. Elle a honte de n'être pas à la hauteur de ses propres attentes, cette rude nuit apporteras enfin ce harakiri qu'elle ne trouvait pas la force d'exécuter. Elle n'avait pas d'avenir, elle avait tout détruit et plus rien ne pouvait être rebâtit sur ce champs de ruine.

Mariée trop tôt et trop vite installer chez sa belle-famille, Maki, avait prémédité sa propre perte. L'homme, Hiroki Shinwa, n'était pas l'homme qu'elle souhaitait épouser mais...avait-elle le choix? Non, elle n'était qu'un pion. Un pion sans aucunes valeurs car, elle était "vide" comme le disait si bien sa belle-mère avec dans le regard du dégout, stérile durant cinq longues années.
Monsieur et madame Shinwa avaient vue en Maki une prétendante de choix, le rang de ses parents étant particulièrement élevé et en plus, elle était gâtée par la nature bien qu'elle soit un peu moins blanche de peau, signe qu'elle ne prenait pas soins d'elle, néanmoins ce détails ne leurs parurent qu'être superflu. Ils l'éduqueront une fois mariée à leurs fils si brillant.
La famille Shinwa était réputé pour être la maison la plus ferme en matière de tradition et plus depuis 1933, lors de l'isolement du pays, ils étaient sévère et les réprimande souvent traduite comme particulièrement douloureuse... et malheureusement pour Maki, c'est exactement pour cela que ses parents avaient fait cette proposition de mariage.

Maki trainait la honte de ses parents, il faut dire que cette fille japonaise détonnait dans cet univers. Déjà petite, elle jouait avec les garçons enfin, contre les garçons un bout de bois dans les mains en pleine guerre entre samouraï et ninja, elle s'écorchait sans arrêt de toute part...ce n'était rien, juste des jeux d'enfants mais Mariko et Kato Chiraki s'inquiétaient.
Maki grandit sous l'œil malheureux de ses parents, ils se demandaient pourquoi les dieux les avaient autant punis, elle devenait têtu, elle répondait, criait, elle ne respectait personne et se battait toujours avec les garçons. Il était grand temps pour eux de l'éloigner et nettoyer leurs réputations.

Hiroki avait rapidement confirmé toutes les craintes qu'elle s'était faite en apprenant son mariage, elle n'était rien d'autre qu'un arrangement commode et une reproductrice d'héritier familiale, bien sûr elle n'élèverait pas ses propres enfant, c'était l'un des thermes du contract de mariage.
Ils voulaient la conditionner, au début elle a lutté mais après trois réprimandes au bâton, elle les laissa faire.
Elle perdit goût à la vie, elle perdit ses rêves et le feu dans ses veines, ce n'était plus qu'un corps.

C'est quand tout est perdu que jaillis subitement un événement déclencheur.

Cinq jours plus tôt, elle fût tirée de son sommeil, affolée, essoufflée et en nage par un rêve, une naissance. Le songe n'en avait pas l'apparence, Maki senti comme une sorte de vision, une vision étrange, celle de la naissance d'une petite fille au yeux étonnement clair mais rapidement les mains de sa belle-mère agrippe sa fille et l'enlève de ses yeux puis...plus rien, un endroit étrange apparait devant ses yeux, un endroit lumineux et paisible où les gens déambulent calmement, cependant parmi la foule, d'étranges personnage en tenu noir et blanches observent attentivement la foule, ils cherchent quelqu’un, l'un d'entre eux tourne ses yeux noirs vers les siens et l'instant d'après tous ces hommes se mettent à sa poursuite...

Maki sent soudain sont estomac se contracter pour ensuite se retourner, d'un bon rapide elle parvient à se lever et atteindre la bassine, elle ne rend qu'une flaque de bile acide mais avec ce symptôme inhabituel, elle se met à croire à la réalité de son rêve. Elle était enceinte et cette idée la submergeât d'un sentiment d'urgence, elle devait fuir pour ne pas se faire voler sa fille, quitte à tout perdre et devoir voler pour vivre!

Désormais, Maki est anesthésiée par le froid, sa respiration se ralentis dangereusement, la couleur de ses lèvres devenue bleu, ne présage rien de bon et bientôt, l'ombre de la mort s'approchera pour récupérer cette pauvre âme mais, pas maintenant.
La jeune femme se met à divaguée par le manque d'eau et de nourriture, elle ne parle pas, seul des grognements et autres bruits étranges sortent de sa bouche tandis que ses yeux se renversent pour ensuite rouler dans ses orbites, elle se revoit petite et vaillante, un sourire étend ses lèvres et ainsi de suite jusqu'à ce que les visions du passé cédé la place à un brouillard à couper au couteau...sa respiration deviens imperceptible et enfin, l'instant d'après son cœur s'arrête.

Une vie courte, une vie perdue, une vie inutile... Inutile?!

Dans le couloir de la mort, je marche seul.

Cette phrase, cette foutue phrase ne signifiait maintenant plus rien. Seul?! Quelle foutaise! Deux hommes en tenue noir et blanche la guidait dans un long tunnel, personne ne parlait et à aucun moment, ils lui avaient demandé de les suivre, elle leurs avait seulement accordé instinctivement de la confiance grâce au songe des cinq derniers jours.

Le rukongai était identique à ce qu'elle avait vue, les hommes partirent ensuite en direction du centre de la ville, la seireitei, on lui avait dit que c'était des sorte de justiciers, des protecteurs, des chercheurs enfin...ils avaient du pouvoir.

Dégoûté de se voir encore mise à l'écart, Maki, entrepris de se trouver un endroit au calme ou penser à cette vie perdue qu'était la sienne, à ce qu'elle songeait faire à présent que les choses étaient calmes. Elle resta sous un arbre pendant une vingtaine de jours, un pot d'eau a ses cotées, les yeux posé à l'horizon, l'esprit ailleurs.
Personne n'osait venir lui parler car bien évidement, elle affichait une froideur extrême, une manière bien dur pour ne pas souffrire mais tellement nécessaire pour son équilibre.

C'est ainsi qu'elle resta de longues années au rukongai, seul et plongé dans son passé, face à la douleur de ne jamais pouvoir donner naissance à sa fille.

Un jour, alors qu'elle marchait calmement parmi la foule, elle croisa deux jeunes hommes qui habitaient non loin d'elle et tout en fronçant les sourcils pour mieux les distinguer, elle vit qu'ils étaient habillé à la manière des Shinigami, intriguée la jeune femme fit plusieurs pas en leurs direction tout en tendant l'oreille.

-Il est dur le sensei! Se plains le plus petit des deux.

-Arrête! Ce n'est pas rien de devenir Shinigami en plus, nous ne sommes même pas parenté à l'une des grandes familles, alors il est clair que ce n'est pas facile pour nous. Le réprimande gentiment son aîné.

-J'ai mal partout et regarde...t'as vue la grandeur du bleu! S'exclame le premier sans faire attention au regard réprobateur de son compagnon.

-Bon, viens on va boire un verre.

Les deux hommes s'éloigne et Maki fait un pas de côté pour s'appuyer contre un mur, une main sur la bouche, le regard dans le dos des deux élèves, une idée germa pour ne plus la quitter.

Jours et nuits, Maki repensa à cette conversation et malgré les plaintes de l'un des hommes, elle s'imagina aller aux porte de l'école et décrocher une place mais... pour cela, il faudrait qu'elle se mêle aux autres, ça c'est plus compliqué.
Longuement, elle a retourné sa situation dans tous les sens et finalement elle décida de prendre sur elle et d'avancer, elle n'imaginait pas sa "vie" rester tel quel. Le lendemain aux aurores Maki se dirigea vers l'académie, décidé à y rentrer.

Face aux portes gigantesque de l'académie Maki senti sont cœur se serrer et plus encore, lorsque celle-ci s'ouvrit sur un personnage tout aussi intimidant.
Longuement les deux personnes ce regardent, se jugent puis finalement, l'homme l'invite à rentrer pour enfin, la conduire à l'écart afin de lui poser un nombre incalculable de question et malheureusement Maki compris qu'elle avait fait une erreur car comment une personne tel qu'elle, c'est à dire sauvage, peut s'engager dans le but de protéger autrui.

Personne ne l'avait protégé elle, alors comment savoir si elle pouvait parvenir à faire ce qu'elle n'a jamais envisagée?!

L'homme vît sont trouble néanmoins contrairement à ce qu'il pouvait dire ou faire, il la guida dans une série de couloir animé par des bruits de luttes, des murmures invocateurs et autres entrainements, il la fit s'arrêter face à une porte et lui posa cette question.

-Fais-tu aux autres ce que tu n'aimerais pas que l'on te face?

Face à lui, Maki ouvre la bouche pour répondre, comme une évidence.

-Je ne suis pas comme eux, je ne me mêle pas aux autres donc, je ne pense pas agir dans ce sens.

Il acquiesce comprenant un peu mieux qui se cachait derrière ce visage impénétrable et c'est bien pour cela qu'il ouvrit la porte du cours des premières années, la surprise se peint sur le visage de la jeune femme puis, il lui dit.

-Je te donne t'as chance, à toi de ne rien gâcher et de ne pas me faire regretter cette décision.

Maki lâche un long soupire puis, tout en regardant les autres élèves dans le dojo, elle se met à murmurer en guise de réponse.

-Tous ont regretté un jour de m'avoir avec eux.

*

Maki restait constamment à l'écart mais elle veillait à ne pas déranger les autres par ce trait de caractère et donc, elle fût surnommé l'ombre et parfois l'étrangère, elle ne leurs en voulait et puis de toute façon elle s'en fichait, son entrainement était la priorité absolu.

Normalement, il suffit de six ans à l'académie pour atteindre le statut de Shinigami hors pour Maki, il lui fallut sept ans pour la simple est bonne raison qu'aucun zampakuto l'attirait.

La seule est unique personne avec qui elle ouvrait la bouche sur plus de deux mots, l'ancien, lui avait donné rendez-vous au coucher du soleil quelques jours plus tard afin de parler de cet incident plutôt préoccupant.

-Que ce passe-t-il Maki? Pourquoi refuses-tu de prendre l'un des zampakuto de la salle des armes?

-Je ne les sens pas. Résume-t-elle le regard froncé.

-C'est tout à fait normal, seul ton reiatsu lui donne son âme...

-Ce n'est pas ça. Le coupe-t-elle plongé vers l'ultime ligne de lumière à l'horizon.

Agacée la jeune femme se lève et déambule légèrement sur les tuiles rugueuses du toit de l'académie, comment pouvait-elle dire les choses, enfin cette chose qui c'était produite avant sa mort et qui c'était réveillée, il y a un an de ça.
L'ancien se lève à son tour et plaque l'une de ses mains sur l'épaule de cette élève spéciale.

-Maki, raconte-moi pourquoi tu ne peux pas?

-Parce qu’il n'est pas apparu. Souffle-t-elle anxieuse.

L'ancien l'observe avec surprise puis, il l'incite à poursuivre d'un hochement de tête. Maki reprend tout en s'accroupissant.

-Avant que je ne meurs, j'ai fait un rêve et dedans il m'annonçait la venue au monde de mon enfant, une fille mais en plus, il ma montrer le rukongai et certains Shinigami. Je n'ai pas eu l'enfant mais, j'ai rencontré certains de ces Shinigami.

Pendant deux longues minutes elle reste silencieuse, retenus par les nouvelles images qui s'étaient incrusté dans sa mémoire, celles d'un zampakuto traditionnel mais particulièrement bien gravé et incrusté de pierres. Il allait la prendre pour une folle mais maintenant qu'elle avait commencée.

-La nuit avant que l'on aille dans la salle d'arme, j'ai rêvée d'un zampakuto particulier très simple mais bien travaillé, c'est comme s'il m'appelé. Au début j'ai crûs que ce n'était qu'un rêve puisque l'âme du zampakuto n'est pas censé avoir une âme pour le moment à moins qu'il n'appartienne à quelqu'un...mais là, il était seul, comme un ronin en l'attente d'un maître qui veuille de lui.

-A quoi ressemble-t-il? S'intéresse l'ancienne.

-C'est un katana sans garde, en bois sculpté et incrusté de pierres. Décrit-elle fatiguée mais soulager qu'il ne se moque pas.

L'ancien se relève et l'observe un peu plus intrigué car ce sabre, il le connait et il n'a jamais trouvé un seul propriétaire, il n'attire jamais le regard des autres à un tel point qu'il l'avait lui-même enlever de la salle pour l'enfermer dans l'un de ses coffres et l'oublier.
Sans plus rien dire, il saute du haut du toit et pénètre dans le bâtiment, Maki à sa suite, à grandes enjambée l'ancien traverses les couloirs pour enfin arriver devant son bureau.

Maki observe la scène sans trop savoir quoi penser jusqu'à ce que l'ancien revienne et l'entraine dans une petite remise attenante au bureau et là, au centre d'un tas de feuilles volante, elle le voit.
Une vague de joie puissante l'envahie et sans attendre la moindre parole de l'ancien, elle tend la main et saisit sont bien.

*

Un peu moins d'un mois plus tard, Maki sent le désespoir envahir ses ambitions.

Aucune division ne veut d'elle et pire encore, personnes ne semble s'être aperçut de sa présence au sein de la Seireitei et encore moins de sa présence à l'académie, les rares personnes l'ayant remarqué s'efforcent de baisser les yeux et de tracer leurs routes. Inexistante!

Maki bouillonnait de rage, de frustration et encore ce n'était rien, hein?! Comment ça, ça ne peut être pire?! Si, elle est toujours incapable de rentrer en communication avec son zampakuto pour savoir son nom. Elle doute, se méfie de ce sabre et s'il n'était qu'un simple bout de métal très bien travaillé...
C'est vrai, personnes ne l'avaient envisagé jusqu'à ce qu'elle en rêve, ça faisait combien de temps qu'il restait dans l'ombre? Le vieux avait dit quoi déjà? Deux cents, trois cents ans?! Il y avait anguille sous roche....

Agacée de tourner en rond, Maki lance un regard mauvais en direction de ce bout de métal puis l'empoigne et se relève pour aller faire ses ablutions nocturnes.
Elle prépare sa plongé dans un bain bouillant par un prêt lavage rigoureux, vingt minutes suffisent à nettoyer chaque partis de son corps et pour être franche, c'est une libération pour son esprit tourmenté...pouvoir ne rien penser le temps du nettoyage avant de replonger vers les noirceurs de ses troubles était une libération, son corps en était témoins.
Si souvent malmener par sa propriétaire, il retrouve sa valeur féminine en s'étirant, faisant apparaitre l'objet des ardeurs masculine et des rivalités. La lueur des lanternes disposé dans la pièce vacillait, dessinant des ombres fantomatiques sur la pâleur de sa peau et illuminait les cicatrises accumulé par le temps.

L'endroit était apaisant et si bien isolé que rare étaient ceux le connaissant. Un paradis aux yeux de Maki qui se releva pour passer dans la petite pièce à sa droite, la baignoire d'un autre temps l'attendait, fumante et accueillante, mais avant de s'immerger la jeune femme se penche vers la trappe métallique sur le côté et l'ouvre, l'insert se révèle avec dans la gueule un Amat de braise et peu de bois au goût de Maki, elle nourrit alors le feu et referme la porte, enfin, elle rentre dans le bain en relâche un soupire d'aise.

Il ne dure pas longtemps, ce moment de paix.

Dix minutes seulement après l'immersion, Maki tourne les yeux vers le zampakuto posé à ses pieds, distraitement elle se sort une cigarette et l'allume tandis que son regard glisse sur l'arme, d'un geste vif elle le dégaine et observe longuement sa lame inversée.
Elle tire sur sa clope et recrache la fumée bleuté en direction de la lame qu'elle fait tournoyer afin de créer un bref tourbillon, elle effectue ça jusqu'à ce que la cigarette arrive à sa fin.

-Je savais que tu étais spéciale mais...regarde toi! T'as lame est difficilement maniable, j'ai dû tout revoir, tout repenser, réajuster mes réflexe...

Elle s'interrompt en pensant pour elle-même "seule" puis baisse le regard et une larme viens se perdre à la surface de l'eau fumante, elle reprend la voix plus sombre.

-Tu trouve que ce n’est pas déjà assez difficile pour moi! Les autres ne me voient pas...qu'est-ce que je raconte, je...fuis les autres.

Nouvelle pause, elle s'essuie les yeux d'un revers de main et ce coupe au moment de replonger son bras, elle lâche une série de jurons et attrape son linge humide pour recouvrir la plaie.

-C'est pas croyable d'être aussi... Putain, j'en ai marre. Souffle-t-elle dépitée.

Elle tourne le regard vers la lame et repère une trace de sang, elle approche le linge puis interrompt sont geste, la trace venait de disparaitre. D'un bond elle s'assoie et regard plus attentivement le zampakuto, elle l'avait pas imaginée, la trace était là mais maintenant plus rien!
Le visage froncée par l'intrigue, Maki pivote l'arme dans tous les sens puis elle s'arrête et lance un regard à la tâche sang sur le bandage de fortune, l'instant d'après elle avait la plaie à deux millimètres de la lame puis...


Maki se retrouve enfermé dans une pièce de dix mètre carré, sans porte, ni fenêtre.

Vêtu d'une simple robe de chambre imprimé, la jeune femme se lève et tourne dans cette espace réduit, la surprise l'emporte sur la panique, elle réalise à peine l'importance de la situation.

Les minutes défile, Maki est incapable de trouver une issus, les murs sont solides, le plafond trop haut pour être atteint et le sol, lui aussi impénétrable... non, elle ne savait pas comment sortir de cet endroit et la frustration montait néanmoins, elle ne baissait pas les bras.
Elle utilisa en tout premier toute sa force pour essayer de fragiliser l'un des murs mais au bout d'une trentaine de minutes elle abandonna, elle n'y arrive pas et le truc en plus c'est que la portée de ses coups semble diminuer à l'approche du mur.
Elle ne pouvait pas rester ici indéfiniment!

Elle se rassit en tailleur et se mit à réfléchir, rapidement elle vint à cette conclusion: s'il c'était réveillé quand il était au contact de son sang alors pourquoi ne pas sortir d'ici grâce à ça.
La plaie à son bras était absente et rien dans cette pièce pour l'aider, elle lâche un soupire puis regarde les ongles de sa mains droite, dur et bien limé, ça fera l'affaire.
Il ne lui faut pas longtemps pour entamer sa peau et encore moins pour faire apparaitre l'hémoglobine puis, elle se relève et par vers le mur, enfin elle applique la plaie contre celui-ci et attend. Les secondes passent et toujours rien, Maki s'en les larmes de rage monté puis n'y tenant plus, elle hurle.

- Ouvre-moi!

Du plat du poing elle martèle le mur rageusement, elle voit alors des fissures se créer alors avec plus d'entrain elle envoie ses poings contre la faille, fragilisant d'avantage le mur qui finit par céder l'instant d'après, inondant la pièce d'une vive lumière orangé.

Le bras en guise de visière, Maki parviens à apercevoir les abords d'une ville immense, grise et sans vie puis en bas des buildings, elle voit ces centaines de personnes déambuler rapidement, tous ont la même expression de méfiance et de dégoût quand il croise ou percute quelqu'un, sa lui donne des frissons.
S'adaptant à la lumière, elle baisse le bras et fait quelque pas vers la foule hostile et s'y engouffre.

Rapidement Maki est entrainée par la foule, par moment elle est carrément porté par la foule, elle finit par suffoquer et avoir la tête qui tourne alors avec force de coups de coudes et excuses inutiles, elle parvient à sortir de cet enfer.

Les mains sur les hanches elle reprend ses esprit et regarde dépité ce spectacle, puis un brouhaha haineux attire son attention vers un groupes d'une trentaine de personnes, rassemblé en cercle vers un coin de mur, intriguée la jeune femme se rapproche du remue-ménage et tend l'oreille.

-Tu vas crever! ... T'es une aberration de la nature! ... Sale étranger! ...Va en enfer!

Maki senti la colère monté en elle puis prenant son courage à deux mains, elle se mêle au groupe et s'approche de la personne prise à partis, tout en voyant le visage haineux des agresseurs, en plusieurs enjambées, elle arrive à la limite entre eux et le malheureux.
Son sang se glace en voyant sous ses yeux le corps d'une jeune fille, les habits en lambeaux, du sang plein le visage, les yeux terrorisée, Maki sent son cœur sauté dans sa poitrine, elle effectue une volte-face vers la foule dans le mouvement envoie sont pieds dans la première rangé, ils tombent effaré tandis que les autre marques une surprise.

-Reculez tous! Grogne-t-elle mauvaisement.

Le groupe garde le silence une secondes de plus pour reprendre de plus belle leurs menaces, Maki senti glisser dans sa mains un objet familier, le temps qu'elle s'aperçoive que c'est son zampakuto, plusieurs hommes s'approche chacun munis d'un katana.

Maki recule et lance un regard vers la fille, elle s'y reprend à deux fois...elle à disparut, elle retourne sont attention vers les hommes et dégaine sa lame, elle bloque plusieurs attaques et les envoie bouler d'un coup de pied puis, elle regarde sa lame inversée et rage intérieurement, la seconde suivante elle effectue une coupe en diagonale et tue deux hommes.

Plus le combat avance et plus Maki se sent à l'aise, le maniement ne deviens plus qu'un élément secondaire puisqu'elle s'aperçoit qu'elle ne peut tuer plus, elle fait un bond de côté et s'enfuit à toute vitesse dans le dédalle de buildings.

Elle court ainsi longtemps, le regard souvent en arrière pour s'assurer d'être débarrassé pas suivis et finalement, elle s'accorde le repos à l’abri des regards, dans une ruelle.
Elle reprend son souffle et s'essuie le visage après quoi, elle temps son zampakuto devant ses yeux et sourit fièrement, un bruit attire son attention et elle tombe nez à nez avec la jeune fille, surprise Maki la regarde puis tourne les yeux vers son sabre qui à disparut.
Une voix d'adolescente se met alors à parler.

-Tu m'as protégé, pourquoi?

Maki l'observe longuement, plus aucune trace de sang, ces habits sont intacts et son visage parfait, les yeux clairs de la jeune fille l’étudient à son tour et Maki décide finalement de hausser les épaules et de dire.

-Tu en avais besoin.

-Et si leur décision était juste? Réplique-t-elle.

-Non, ce n'était pas juste ce qui s’est passé.

-Quitte à te faire tuer?

-Je suis abonnée aux causes perdues. Souris Maki fatiguée. Que m'as décision soit juste ou pas, ce n'est pas la question, je n'aime pas ce genre de spectacle, c'est tout. Termine-t-elle calmement.

La jeune fille croise les bras sur sa poitrine puis fait une grimace tout en fixant Maki, elle fait quelques pas vers elle puis fait apparaitre le zampakuto dans le creux de sa main et dit en regardant amoureusement la lame inversée.

-Tu semble bien supporter le handicape de cette lame.

-Elle tranche remarquablement bien en tout cas. Confirme Maki en observant la lame scintiller.

-Maki, comment te sens-tu? Demande la jeune fille subitement.

-Que...Je ne comprends pas?

-Comment te sens-tu face aux autres? Précise patiemment la jeune fille.

Maki l'observe totalement prise de court, elle avait souvent pensé à sa position face aux autres mais jamais personne ne lui avait demandé de le dire et donc, de mettre une réalité sur ce fait. C'est comme s'humilier publiquement et Maki sent une boule se former dans sa gorge, elle se sent incapable de le dire, la jeune fille se penche en avant et pose une main sur l'épaule.

-Il faut que tu le dises. Murmure-t-elle doucement.

Les larmes aux yeux Maki baisse la tête et grimace tant la réponse et difficile à sortir.

-Je me sens mise à part... Je suis comme une étrangère. Réussit-elle à prononcer.

La jeune fille affiche alors un large sourire et tout en écartant un pan de cheveux du visage de Maki, elle lui tend le zampakuto.

-Etranger mais pas seul. Annonce-t-elle doucement.

Maki regarde son arme et la prend puis elle la regarde sans trop bien comprendre, la jeune fille fait un sourire en coin et lui dit.

-Je suis Gaijin.

Elle fait un geste vers la lame et la touche du bout des doigts.

-Ce que tu as fait, je le ferais pour toi.

Maki sursauta et se retrouva dans son bain, nez à nez avec un homme!

Ni une ni deux, elle envoya sa mains sur la joue du voyeur et tout en enjambant la baignoire le fit sortir de force de la pièce et refermer la porte. Une main sur Gaijin, l'autre sur sa poitrine elle tente de reprendre ses esprits et calmer son rythme cardiaque.
Elle hurle ensuite à l'intention du voyeur.

-Sortez!

Des bruit de pas se font entendre pour finalement s'éloigner, Maki souffle un bon coup puis regarde Gaijin et sourit car maintenant elle pouvait allait à la recherche d'une division l'esprit tranquille.


Dernière édition par Maki Chiraki le Mer 4 Déc - 17:42, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Maki Chiraki terminé ?!   Maki Chiraki terminé ?! Icon_minitimeDim 1 Déc - 11:15

Bonjour et bienvenue sur BBS !

Euh, en l'état, je t'avoue être dubitative à propos de ton zanpakutō. En effet, la libération du Shikai est censée se caractériser par un changement de forme radical ou l'obtention d'un pouvoir (voire parfois les deux). En l'occurrence, ton sabre à toi reste une épée à ceci près qu'il perd juste sa garde et qu'il est plus joli à regarder. Il ne te procure donc aucun avantage concret et je vois mal quelles techniques tu vas pouvoir en tirer...

En l'état, ce que tu décris comme étant ton Bankai sied plus à ce que nous pouvons attendre de la part d'un Shikai en fait. Après c'est toi que ça regarde et si tu souhaites laisser les choses en l'état en toute connaissance de cause il n'y a pas de problème mais je préfère soulever ce point avant ta validation par simple précaution. D'ailleurs, c'est plus anecdotique mais le nom du Bankai est censé être différent de celui du Shikai (soit quelques mots en plus, soit carrément autre chose).

Tant qu'à y être, j'aurais tendance à penser que les deux dernières lignes sont une erreur de copier-coller et qu'il vaudrait peut-être mieux y remédier ! °°
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MessageSujet: Re: Maki Chiraki terminé ?!   Maki Chiraki terminé ?! Icon_minitimeLun 2 Déc - 13:38

Merci.

Je vois, de toute façon j'étais trop indécise lorsque j'ai fait ma fiche et plus particulièrement pour le zampakuto donc, je vais y remédier, merci.

J'espère simplement que mes changements vont convenir, puisque j'ai rechanger la forme de mon Bankai, maintenant manque plus que sont nom.
*_*

Au travail!
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MessageSujet: Re: Maki Chiraki terminé ?!   Maki Chiraki terminé ?! Icon_minitimeMer 4 Déc - 0:45

J'ai terminée il me semble.

A vous de me dire.
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MessageSujet: Re: Maki Chiraki terminé ?!   Maki Chiraki terminé ?! Icon_minitimeMer 4 Déc - 15:31

    Yo et bienvenue Maki !

    Avant de te valider, je vais te demander de bien vouloir étoffer tes descriptions. Elles ne valent pas 10 lignes. Encore une ou deux lignes "complètes" et le compte y est. ^^
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MessageSujet: Re: Maki Chiraki terminé ?!   Maki Chiraki terminé ?! Icon_minitimeMer 4 Déc - 17:02

Oh crotte! *_*

Au travail!

Merci
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MessageSujet: Re: Maki Chiraki terminé ?!   Maki Chiraki terminé ?! Icon_minitimeMer 4 Déc - 17:43

Et Voila!

J'espère que ça convient.
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MessageSujet: Re: Maki Chiraki terminé ?!   Maki Chiraki terminé ?! Icon_minitimeMer 4 Déc - 18:49

    Validée au niveau 2 en tant que shinigami de la 5ème division. Tu bénéficies de 15 PC pour réaliser ta fiche technique.

    Tu n'auras malheureusement pas droit au bankai avant d'avoir atteint le niveau 3.

    Bon jeu sur BBS !
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MessageSujet: Re: Maki Chiraki terminé ?!   Maki Chiraki terminé ?! Icon_minitimeMer 4 Déc - 20:23

Reçu, merci!
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