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 Seisui Sanzo [Terminée]

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AuteurMessage
Seisui Sanzo
Seisui Sanzo [Terminée] Shi-shi
Seisui Sanzo
Rang : Troisième siège de la douzième division.

Messages : 6
MessageSujet: Seisui Sanzo [Terminée]   Seisui Sanzo [Terminée] Icon_minitimeSam 30 Nov - 21:19

    Avatar : Genjyo Sanzo de Saiyuki.
    Parrain : Nein.
    Comment avez-vous découvert le forum ? DC de Cajsa.

Seisui Sanzo

    Âge : 876 ans.
    Race : Shingami
    Siège demandé : Troisième siège de la douzième division.

    Description de votre personnage :

    Je me levais difficilement et m'assis sur le bord du lit, la bouche pâteuse, la tête comme une cocotte-minute, prête à exploser à n'importe quel moment. On aurait dit qu'on avait voulu passer ma cervelle dans le lave linge, l'instrument au nom un peu pourri qui servait aux humains...bah à laver leurs fringues. Je massais mes membres encore endoloris et plus particulièrement mes doigts qui avaient bien travaillé hier soir. J'étais dans ma chambre. Rin m'avait certainement trouvé sur l'atelier endormi ou ivre mort, bien que je fisse pas bien la différence entre les deux. Elle était gentille cette petite, elle prenait soin de moi malgré ce que je lui faisais endurer. Je devrais la remercier à ma manière un jour, mais bon, elle était certainement trop coincée pour ça et puis, ça aurait fait jaser. Autant continué à jouer le connard que j'étais, un rôle pour lequel je n'avais pas du tout à me forcer.

    Je me mis debout d'une façon plutôt chaotique et m'étendis comme un félin, même si je tenais pas vraiment de ce genre d'animal, j'étais même plutôt canin comme mec. Je fis quelques pas pour savoir si tout était ok, si par mégarde je ne m'étais pas pété quelque chose dans mon ivresse solitaire d'hier soir. Bon ça tournait un peu mais ça c'était normal. J'attrapais mon paquet de clopes – ramenées de la Terre, pas les conneries factices qu'on vendait au Seireitei – et en retira une que je mis dans mon bec. Je cherchais mon briquet avec l'élégance qu'on me connaissait et non sans émettre des grognements caverneux et le trouva dans un vase. Encore un coup de la loupiote pour me faire arrêter ça, finalement c'est deux claques dans sa gueule que je lui mettrais, ça lui apprendra à se soucier de ma santé ! Je tournais la petite molette, mais rien ne se produisit. Allez quoi merde... tout était contre moi ici ? Même la technologie ? Ma main porta l'allume-feu au niveau du visage pour voir si mes yeux embués d'alcool arriveraient à faire le bilan du petit gredin. Visiblement il manquait du gaz. Je le bazardais contre un mur d'une façon plutôt primaire et me dirigeais vers le coin où je faisais ma toilette.

    Après m'être passé de l'eau sur mon visage de déterrer, histoire de savoir si la samba qui se jouait dans mon crâne allait cesser, je me contemplais dans le morceau de miroir -pété lors d'une cuite assez violente – crasseux. Je pris la pose comme un apollon et esquissa un sourire, au moins j'arrivais encore à me faire marrer. Je repris mon sérieux et me regarda comme j'étais, ce qui ne me déplut pas vraiment, j'aurais pu être beaucoup plus moche que ça. Une carrure plutôt raisonnable j'approchais des deux mètres et des 80 kilos, je pouvais pas vraiment dire que c'était que du muscle, malgré ma gueule cassée d'Ostrogoth – un peuple de barbares terriens- j'étais plus du genre matière grise que du genre matière rouge. Mais bon je plaisais tout de même aux femmes, c'était le principal. Je passais mon index dans ma chevelure blonde, en bataille, comme d'habitude, c'était ça qui leur plaisait certainement, aux nanas, ça plus mes yeux d'une couleur assez étrange. Le violet, ça vous donne tout de suite un air mystérieux, un air de bad-boy. Généralement, elles ne restaient pas bien longtemps, préférant même parfois les bestiaux de la onzième à mon humble présence. Faut dire, j'avais fait mes gammes là-bas, ça laissait des traces.

    Je scrutais mon reflet, yeux dans les yeux, j'essayais de voir mon âme...ah mais je suis con, je suis déjà une âme, une âme bien pourrie. Si je pouvais employer une expression un peu cool pour me définir, je dirais que je suis un peu l’euphémisme du salop, un peu fourbe sur les bords, carrément gangrené au milieu et obsédé par celle qui me berçait depuis ma tendre enfance : la technologie. Peut-être pour ça qu'on m'avait pas gardé à la onze ? Un peu trop intelligent et bricoleur pour tous ses tocards. Selon eux, j'étais dérangé, timbré, frappé du bulbe et je vous passe les meilleures expressions et les plus fleuries. Alors bon, quand on a vu que je savais faire autre chose de mes mains que cogner les autres, tripoter les demoiselles et tenir un verre, on m'a assigné à la douze. Mais là aussi yavait que des cons. Trop intellectuel pour les brutes, trop brut pour les intellectuels, j'étais damné. Et puis, j'ai eu raison de tous ses snobinards, j'ai gravi les échelons, et paf me voilà, Sanzo, aka le Mécanicien – je tiens à la majuscule - ,l'archétype du salop cynique, avec le haori.


    Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant):

    Forme scellée:

    Midasu No Te [Main de Midas]:

    Sous sa forme simple, le Zanpakuto de Sanzo est un katana dont la taille de la lame est légèrement supérieure à la normale - 70 cm -. La Tsuba est de une forme rectangulaire pleine et d' une couleur dorée très foncée. La Tsuka quant à elle, est enroulée de bandes couleur noire et est ornée à intervalle régulier de petits fragments d'or cubiques. Pour ranger son sabre, le Mécanicien possède un fourreau, de la même couleur que la poignée, parcouru de fins filigranes mordorés qui semblent s’entrelacés autours du carcan de protection pour former des motifs complexes.

    Shikaï:

    Ō Wa Kogane No Te O Kagayaite Ita [Resplendi roi à la main dorée] :

    La formule longue du Shikaï. Sous sa forme libérée, la lame du Katana devient entièrement faite d'or. De celle-ci, des gouttes en fusion du plus précieux des métaux, perlent et suintent en abondance. Sanzo peut alors projeter ces émanations d'or et contrôle leur état, solide ou liquide et leur température. Le contact direct avec la lame recouvre par ailleurs d'or la matière organique ou non.

    Bankaï:

    Yûben Wa Gin, Chinmoku Wa Kin [La parole est d'argent, le silence est d'or] :

    Lorsque le pouvoir du Zanpakuto est à son paroxysme celui-ci libère toutes les richesses qu'il contient ou qu'il a contenu pour former un système doré complexe qui se greffe à la mâchoire de Sanzo , alors privé de l'usage de la parole. De ce système, s'échappe un flot d'or en fusion, que le Mécanicien peut manipuler à sa guise. Les propriétés du métal sont les mêmes que en Shikai, seul la quantité produite varie fortement.

    Histoire :

    L'enfance. (1141-1191)

    Que dire de mon super parcours ? Pas mal de chose à vrai dire. Pas de chance pour vous, je suis un mec plutôt loquace en plus. Alors on va commencer du tout début...du tout tout début. Je suis né dans une famille de riches du Seireitei il y a presque 900 ans de cela, une branche de la noblesse désormais éteinte, mais j'y reviendrais plus tard. J'ai eu la chance de ne pas voir le jour dans je sais pas quel district de bouseux du Rukongaï quoi que, je m'y serais peut-être senti plus à l'aise qui sait ? Mais déjà, il y avait quelque chose qui collait pas en moi, c'est fou hein ? Dès la naissance t'as la guigne qui te tombe dessus, comme si un mec surpuissant au dessus de tout avait dit « Toi tu seras mon défouloir ». Bref de toute façon je suis pas croyant. Donc ouais la chose qui collait pas vraiment, c'était que mes parents bah, ils s'aimaient pas vraiment. Une sale histoire en vérité, un mariage fortement arrangé par la famille de mon père, simplement parce que se sale vicelard de nobliaux avait des vues sur ma mère. On a donc promis à beau-papa un pont d'or en échange de sa fille, ce qui est assez con est paradoxale parce que si j'étais né avant – ouais c'est étrange comme concept- , j'aurais pu lui faire en vrai son pont ! Et donc lors du grand jour et bien ma chère génitrice pleurait plus qu'autre chose, ce qui au lieu d'un baiser lui valut une claque. Vous voyez ? Après comment voulez vous que je ne sois pas un connard fini ? Foutue génétique. Je tairais ici les détails de l'accouplement qui m'a engendré, plus douleur que plaisir, plus peine que amour. Et 9 mois après me voici, brayant ma haine à la face du monde, déjà énervé de respirer dans cette ambiance d'hypocrisie générale dans laquelle j'allais être élevé.

    Une mère malheureuse qui ne voyait en moi qu'une miniature de son tortionnaire, un père sévère et brutal, autant dire que mon éducation ne s'est pas vraiment bien déroulée. Aussi loin que je m'en souvienne, l'atmosphère de la maison Seisui était pourrie, gangrenée de mensonges, de violences et de haine. Heureusement pour le petit bonhomme que j'étais, on me laissait la plupart du temps dans ma chambre, le seul havre de paix de cette baraque de fous. Dans ma tanière, j'inventais et je dessinais sur mes feuilles de papier – je m'étais essayé aux murs une fois, je me souviens encore de la correction et du fait que j'ai du nettoyé seul -. J'étais plutôt doué même si mes croquis tournaient autour du même thème :machines et appareils divers s'entassaient dans mon antre. Alors on a décidé de m'offrir de quoi concrétiser les projets les plus simples , mes parents devaient se dire que ça m'occuperait assez longtemps pour passer outre leurs altercations. Une boîte en métal avec quelques outils, ça vous fait quand même bien plaisir quand vous avez un esprit de mécano comme le mien. Alors j'ai commencé à bidouiller, des trucs, des machins, des bidules, que du mécanisé, pas d'électronique, on s’abaissait pas aux trucs d'humains dans la maisonnée. Mes vieux s'en foutaient mais mon grand-père du coté de mon père lui, il avait l’œil pour reconnaître les petits génies. Souvent il m'aidait, il était un peu bricoleur lui aussi, il me donnait des conseils et toujours avec gentillesse, chose plutôt rare. Et puis, il est mort, emporté par la maladie, et je me suis retrouvé seul avec mes inventions dont je ne savais plus que faire. Et j'ai arrêté de bricoler. Mon univers s'est refait plus sombre. On a décidé qu'il était temps pour moi d'apprendre des choses plus intéressantes que le cambouis ou les écrous. Ma chère mère s'est chargée personnellement de m'éduquer. Autant vous dire que c'était pas triste. Elle ne voyait en moi qu'un rebut issu du sexe de mon père et qui avait grossi dans son ventre tel un parasite. J'eu donc le droit à l'apprentissage à la dure : baffes et humiliations. Mais néanmoins, je lui en voulais pas, elle n'était pas une mauvaise femme, elle était juste traumatisée par le calvaire qu'elle avait vécu et qu'elle vivait toujours et le reproduisait sur son fils, moi, dans une certaine mesure.

    Et puis, il y a eu ce soir, plus violent que d 'habitude. Je rêvais dans ma chambre à un monde meilleur, en faisant des cercles dans l'air avec mon doigt alors qu'une sempiternelle dispute avait éclaté. Je m'étais donc réfugié dans ma grotte et attendis que la tempête passe. Comme tous les gamins, j'étais mort de trouille. Mon père hurlait, il allait bientôt commencer à frapper. Je fermais les yeux. J'entendis ma mère criait et appelait à l'aide. Partagé entre haine et peur, je restais, là dans ma chambre, tétanisé. Je devais aller lui porter secours mais que pouvais-je bien faire ? La violence était mon quotidien après tout et je savais en faire abstraction malgré mon jeune âge. Au bout d'un temps, de cris et de pleurs, je décidais de me lever et d'aller voir fébrilement la raison du silence soudain qui c'était installé. Timidement, j’entrebailli la porte coulissante qui séparait ma chambre de la salle où avait lieu la rixe. Ma mère était là, prostrée par terre, je m'approchais doucement et pus distinguer que du sang coulait de son nez et de sa bouche. D'horreur, les larmes commençaient à couler sur mes joues.

    - Chiale pas Sanzo, elle ne méritait que ça cette garce.

    Je me retournais pour voir mon père, assis dans son fauteuil, en train de fumer une cigarette, il me montra sa main ensanglantée.

    - T'as vu ce qu'elle m'a fait ? Elle m'a manqué de respect une fois de trop. Il fallait qu'elle paye. Si je ne me fais pas respecter dans ma propre maison ou va le monde hein ? Oh mais fais pas cette tête là dis donc !

    Je fonçais sur lui, aveuglé par ma rage. Même si elle ne m'avait jamais aimé, elle restait ma mère, je tentais de le frapper mais une claque partit avant que je n'ai pu l'atteindre.

    - Petit con.

    Je me redressais et repartis à la charge. Je le frappais droit dans sa virilité, l'endroit dont il c'était servi pour souiller ma mère et engendrer le pauvre gosse que j'étais. Il gémit et tomba de là où il était assis. J'allais porter un autre coup, au visage cette fois alors qu'une voix se fit entendre dans ma tête.

    - Arch! Tue le Sanzo, vas-y , tue le.

    Je frappais et une fine poussière d'or apparut sur l'impact. La voix répétait les mêmes mots sans cesse et de plus en plus vite. Je m’apprêtais à délivrer une autre patate mais une main me stoppa. La voix se tut. Le Shinigami me ceintura et mon père se redressa, ivre de colère, il leva la main mais un autre ange de la mort s'interposa et l'emmena loin de moi, hors de la maison. J’espérais ne jamais le revoir, l'avenir se fit capricieux.

    - Il ne te fera plus de mal petit. Il sera puni, certainement emprisonné, pour ce qu'il a fait à ta mère, ne t'inquiète pas.

    Son collègue revint et ils parlèrent entre eux, en me jetant des regards en coin. Moi, je restais là, vidé de toute substance et de la poussière d'or sur les doigts. Finalement, ils se décidèrent à m’emmener avec eux et c'est comme ça que débuta ma vie de Shinigami.

    L'académie. (1191-1291)

    L'école des Shinigamis, pour les autres un endroit plein de promesses, pour moi, un calvaire. J'avais passé 50 ans de ma vie d'âme isolée du reste du monde, enfermé par des parents qui se disputaient tout le temps, sans rien connaitre du monde extérieur, alors être jeté soudainement dans une institution ou des centaines d'élèves se trouvaient cela avait de quoi perturber un gamin aussi dérangé que moi. Les premiers temps, je n'allais même pas en cours, trop effrayé du changement je restais dans la chambre qu'on m'avait assignée. Je tuais alors l'ennuie en fabriquant des petites maquettes en bois d'objets tout droit sorti de mon imagination. Le plus souvent, un instructeur venait me rabrouer, me dire de sortir, de rencontrer les autres et de suivre l'enseignement comme eux. Mais c'était vain et il n'insistait pas, au courant de la tragédie que je venais de vivre. Bien vite, je déprimais, le soir, je pleurais la mort de ma mère. J'étais tellement secoué, et croyez moi ça me fait mal au cul de vous dire ça, que je finissais par me fabriquer de faux souvenirs à son propos, des rêves heureux.

    Et puis un jour l'instructeur est venu me chercher, je me suis caché sous ma couette mais il l'a tiré avec violence. Je me suis protégé le visage avec les bras mais il s'est contenté de rire, de me rassurer et de me dire pas si gentiment que ça de me bouger l'arrière train. Je le suivis à travers les couloirs, un peu effrayé, certains élèves me dévisageaient comme l'inconnu que j'étais, d'autres nous saluaient poliment, le Shinigami m'accompagnant m'encouragea à leur répondre, ce que je faisais maladroitement en m'inclinant. Au bout d'un temps qui m'a semblé infiniment long, lui et moi on arriva au dojo. Pour me faire un choc, ça m'avait fait un choc. Ils étaient nombreux à s’entraîner avec passion à la pratique du sabre, de tous âges - j'appris bien plus tard que cela ne signifiait pas grand chose, regardez moi maintenant, un bel éphèbe auquel on donnerait une trentaine d'années et pourtant, j'approche doucement de mes 900 piges -. Alors que j'étais fasciné par les corps en mouvement, mon accompagnateur, me donna une bourrade dans le dos à laquelle je répondis par un regard d'incompréhension. Il réitéra la chose en faisant un signe de tête en direction de là où les autres élèves s’affairaient. Je pris un sabre d'entrainement sur un râtelier non loin de moi. Prenant mon courage à deux mains je m'avançais vers un gars dont le combat venait de se finir. Visiblement aussi âgé que moi, il se présenta - son nom, je l'ai oublié aujourd'hui -. Je saluais et me mis en garde d'une façon assez sommaire, reproduisant ce que j'avais vu auparavant. Il attaqua et je parais en catastrophe, son deuxième assaut fut pour mon visage et mon nez encaissa plutôt bien. Les os craquèrent. Sonné, je restais à terre et vis le visage de l'instructeur penchait au dessus de moi, il avait l'air soucieux. On m'aida à me relever et mon adversaire me tendit la main, gêné. Je la serrais et souris d'un sourire forcé. J'avais mal mais je savais distinguer cette douleur des mauvais traitements que j'avais enduré. Je repris mon bokken et l'agrippai bien en main, comme si j'attrapais mon destin. Je retournais au combat, mon opposant visiblement surpris et mon tuteur impressionné devant tant de combativité. À vrai dire, j'étais en colère, d'où cette personne humiliait l'enfant détruit que j'étais? Il n'avait pas le droit! Je ne le connaissais ni d'Adam ni d'Eve et il se permettait de m'infliger une défaite cuisante? Cette fois-ci, je me battis de toutes mes forces, avec l'énergie du désespoir, j'assénais chaque coup , imaginant mon père en face de moi. La haine est un stéroïde très puissant, à partir de ce jour là, je m'en suis servi comme une alliée. Le résultat du duel? Hmm est bien je me suis quand même fait dérouillé, mais c'était un beau combat je jure et puis de toute façon, le sabre c'était pas mon dada à l'époque. J'étais content d'avoir pu me défouler sur quelque chose.

    Les années passèrent et je devint un peu plus enclin à aller vers les autres et vers les filles notamment. Au fur et à mesure que je poussais, je voyais bien que je commençais à leur plaire et je dois admettre que j'ai su en profiter. Souvent je les décevais car incapable d'une relation longue...mais qu'est ce que je suis en train de raconter moi? Ça vous concerne pas en fait ma vie amoureuse! Bon je reprends donc. Je suivais les cours normalement et reçus mon Zanpakuto, enfin la coquille vide pour l'instant, comme tous les autres étudiants. Entre temps, je continuais à bricoler des trucs de plus en plus complexes avec du matos que je chapardais de droite à gauche. Des petits larcins qui me valurent de nombreuses sanctions à laver les uniformes ou d'autres tâches beaucoup plus ingrates. En dehors de ses petites activités, mes études me prenaient la plupart de mon temps et je pus bientôt voir en quelle matière j'étais plus ou moins doué, outre mon don pour bricoler et qui me valut bien assez tôt mon surnom de Mécanicien, dont j'étais si fier. Bref, ma vie était plutôt tranquille et mon esprit commençait à panser ses plaies.En restant tout de même méfiant à l'égard des autres je savais leur accorder une confiance relative, ce qui me valait des fois de passer pour un beau salop qui ne pensait qu'à sa belle gueule blonde.

    L’événement le plus marquant de cette centaine d'années vécues à l'académie fut certainement la découverte de mon monde intérieur et l'apprentissage du nom de mon Zanpakuto...ce vieux salop. Pour la petite histoire, j'étais comme les autres en cours pour méditer et essayer de dialoguer avec lui. Pour tout dire ce cours, je le passais plutôt à reluquer les poitrines et fessiers des nanas. Je m'installais entre deux d'entre elles, de préférence des jolies même si je suis pas trop regardant sur le visage, et comme la plupart du temps, tout le monde avait les yeux fermés, j'en profitais pour fantasmer. Et puis je me suis fait griller par l'instructeur qui c'était approché en fourbe derrière moi et qui m'adressa un taquet à l'arrière du crâne et me glissa quelques douces promesses de sanction à l'oreille. Il osait punir les besoins naturels d'un homme, c'est sur que d'après mes souvenirs lui il devait pas beaucoup en toucher des formes. Non sans émettre le plus bruyant des soupirs, ce qui me valut un deuxième taquet, je fermais les yeux et commençais à méditer. Et puis, je ne sais comment, je me remis à penser à ce soir là, où ma mère avait trouvé la mort. Même si j'estimais avoir passé l'âge de chialait, les larmes commencèrent à couler sur mes joues, mais c'était plutôt des larmes de colère. Ça ne semblait pas vouloir s'arrêter et puis j'entendis alors une voix familière mais pourtant que je n'avais entendu qu'une fois dans la vie. Je ne distinguais pas les paroles mais ça me fit bien flipper alors je rouvris les yeux. Bah je suis resté sur le cul un certain moment. Un monde doré s'ouvrait devant mes yeux. Je me levais pour mieux détailler et je remarquais que j'étais sur un chemin fait de dalles d'or massif qui montait vers un temple bouddhiste lui aussi, entièrement fabriqué avec le métal le plus précieux. Non loin de là coulait une rivière d'or liquide en fusion, qui bouillonnait. Ma première réaction fut d'essayer de me diriger vers le courant aqueux et d'y plonger le bras. Avant d'atteindre la surface, une main à la peau pelée m'attrapa le poignet. Je me retournais pour voir un vieux gars, au visage aussi attaqué que sa main, en kimono doré. Il était moche...vraiment moche. Il était blond, dégarni et était d'un style purement caucasien - avec du recul aujourd'hui je dirais germanique-.

    - Acht! Ne touche pas à ça malheureux! Tu risque de pétrifier ta main fissa!

    Son accent me sembla parfaitement adapté à sa gueule. Je dégageais ma main et me mis à sa hauteur. Mais quel vieux beauf avec son kimono à paillette, voilà ce que je pensais à le regardant et pourtant, on a tenté de me faire assimiler le respect d'autrui mais avec lui, je pouvais pas. Il ouvrit ses bras comme pour me faire un câlin.

    - Dans mes bras Sanzo! Tu as bien grandi dis donc! Tu es devenu un vrai animal! Ya! Une Sexy beast!

    Je reculais d'un pas et manqua de tomber dans la rivière d'or en fusion. Je repris mon équilibre et en pipant mot, je me décalais discrètement pour échapper à l'homme. Il partit d'un rire franc et me tendit sa main ornée de bague en or. Je la saisit avec méfiance et mes doigts furent recouverts d'une fine pellicule dorée. Les souvenirs revinrent alors... cette voix...je l'avais entendu le jour où ma mère était morte. Et cet or. J'identifiais la nature de la personne que j'avais en face de moi.

    - Acht! Che vois que tu as compris! Tu veux que che te dise mon nom pour que je te cède mes pouvoirs Ch'est cha?

    Ma première réaction, a été de tourner la tête pour voir où se trouver le chat dont il parlait. Dieu que je détestais cette accent et comme je le déteste toujours! Comment voulez vous entamer le dialogue avec ce mec là. Devant mon air dubitatif il rouvrit les bras une deuxième fois et m'adressa un mouvement de tête pour que je vienne.

    - Nein! N'est pas peur che ne vais pas te manger! Un petit câlin et che te dirais mon nom! Schnell!

    Je me laissai faire et il me serra contre lui. Sa peau été rêche. Dans un moment qui me sembla interminablement long je sentis son souffle à mon oreille et malheureusement pour moi...à travers son kimono, ses parties intimes contre ma jambe. J'essayais de faire abstraction de tout ça, de penser à autre chose et puis enfin, il me glissa ces paroles.

    - Gutes Kind! Che m'appelle Midasu No Te, mais tu peux aussi m’appeler Goldmember comme tu peut le sentir!

    Je me retirais assez violemment et le regardais: il était écroulé de rire.

    - Che rigole! Allez file!

    Je soupirais et ferma les yeux de lassitude. Je me retrouvais dans la salle de méditation, un peu sonné par la rencontre que je venais de faire, mon Zanpakuto était sur mes genoux. De grosses gouttes d'or liquide coulait de la lame entièrement faite de la même matière. L'instructeur était planté a coté de moi, et me tapa amicalement sur l'épaule. J'avais mon Shikaï.

    Le parcours au sein du Gotei. (1291-1517)

    Je sortis de l'académie quelque temps plus tard, mon diplôme de Shinigami en poche et mon Zanpakuto fière accroché à mon flanc. J'avais fière allure. Bien vite j'ai été affecté à la onzième division, mon caractère sulfureux avait fait croire aux instructeurs qu'une tête brûlée telle que moi n'avait sa place que là bas. À vrai dire, je m'en foutais, les membres de cette section du Gotei se prenaient rarement la tête avec des choses compliquées en plus d'être de très bons vivants! J'appris à boire, à me battre avec mes poings et à brûler la chandelle par les deux bouts. Des années de souvenirs, où je me suis fait de bons amis, maintenant presque tous morts. Parallèlement à cette vie que je menais, je continuais à construire, à inventer. Bientôt cela se sut que j'avais plus de matière grise que de muscles et la rumeur parvint aux oreilles du Vice-Capitaine de l'époque, un mec peu enclin à discuter de ma position. Faut dire qu'il avait déjà failli me sécher une fois parce que j'avais repris une fille sur qui il lorgnait. Pas de ma faute, il était moche et faisait fuir les donzelles. Mon succès il en était jaloux et en l’absence du Capitaine, il m'en faisait chier. Il s'occupait personnellement de mes entraînements si vous voyez ce que je veux dire. Et puis un jour, il c'est ramené chez moi, bourré, sans aucun droit, j'étais en train de bricoler un truc, penché à la lueur de la bougie. Il a détruit les créations que j'avais entassées. Même si la plupart étaient obsolètes ou inachevées je ne pu m'empêcher de rentrer dans une rage folle. Je me jetais sur lui et nous commençâmes notre pugilat. Heureusement pour moi, on nous a vite séparés et je ne nie pas qu'il aurait eu rapidement le dessus aux vues du monstre qu'il était. Sur cet incident, on choisit de m'assigner à la division scientifique.

    Même méfiance que pour la onzième, la douzième me regardait d'un œil mauvais, mais pour des raisons inverses. Je me souviens encore de ce qu'on disait à mon propos lorsque j'ai débarqué chez les intellos. Trop intello pour les brutes, trop brute pour les intellos. Sauf que contrairement à ce qu'on pouvait penser, j'étais plus intelligent et plus inventif que la plupart de ces corniauds qui se passaient de la pommade dès qu'un créer un truc parfaitement inutile. Je restais dans mon coin un moment et me contentais d'obéir, c'est dans cette passivité que je gravis les échelons doucement mais surement et que je m'élevais au dessus de tous au rang de Vice-Capitaine. Dès lors et avec l'appui de mon supérieur, je mobilisais des équipes pour s'inspirer de la technologie humaine et la mêlée à la notre. Je passais beaucoup de temps en reconnaissance sur Terre pour appréhender les nombreuses facettes de la science d'en bas. Et puis un jour, une expérience tourna mal, le laboratoire explosa et irradia d'une énergie spirituelle destructrice les gens qui s'y trouvaient. J'eus la chance de survivre, protégé par une vitre de contention. Mon Capitaine lui en revanche était en première ligne pour le feu d'artifice. Il périt avec une dizaine d'autres, me laissant à la tête de la division en attendant qu'un nouveau se présente. Personne ne semblait se présenter alors je vis l'opportunité pour moi de redoubler d'efforts quant à l'acquisition de mon Bankai à laquelle je travaillais secrètement mais dont toutes les tentatives s'étaient soldées par des échecs.

    Je réussis lors d'un mois de novembre plutôt tranquille, totalement par hasard au bout d'une énième tentative. Attirer le bougre n'a pas été facile, même si nous nous entendions plutôt bien il refusait de me donner les secrets de son arcane ultime. J'étais dans le laboratoire, de nuit, seul avec pour seule compagnie une bouteille de saké. Complètement beurré, je beuglais son nom qui résonnait en écho dans le bâtiment vide. Après quelques heures dans cet état lamentable, je me couchais, la tête entre les bras et m'endormis. Une étrange sensation parcourut mon corps et j'entendis une voix me chuchotait d'un air pervers.

    - Nein! Nein! Regarde toi et tu foudrais que che te donne mon pouvoir? Sale loque! Ya!

    Je me levais, les yeux troublés par l'alcool et pu voir que Midasu No Te me regardais avec sévérité. J'agitais ma tête et frottais mes yeux fatigués. Je n'étais pourtant pas dans mon monde intérieur. Je me levais péniblement. Une réplique de mon sabre sous sa forme libérée se trouvait dans sa main.

    - Che feut bien accepter ton défi mais si tu échoue...Nein pas de Bankai!

    Voilà qui était très tranché et je me demandais si les autres avaient des Zanpakuto aussi cons et chiants que le mien. Je me saisis de mon arme et glissa l'objet sur lequel je bossais tantôt dans ma poche, il était inachevé mais il pourrait toujours me servir. Je me mis en garde et le combat débuta. L'avantage du grammage d'alcool résidait dans le fait que mes mouvements, bien qu'imprécis, étaient imprévisibles. Néanmoins mon adversaire les para sans difficulté. Il commença à avoir raison de l'ivrogne que j'étais au bout de quelques minutes d'affrontement. Je trébuchais et mon arme m'échappa des mains. L'autre secoua la tête d'un air désespéré, déçu de la piètre prestation que je lui offrais. Je me rappelais alors la présence de l'instrument dans ma poche de kimono. Je l'activai en quatrième vitesse et le projetai sur lui. Même s'il n'était pas terminé, il était composé à 75% d'énergie spirituelle et celle-ci était très instable. L'explosion due au contact souffla les verreries et vitres du bâtiment avec force. Je repris mon souffle, Midasu No Te se relevait et se frottait le crâne même si aujourd'hui, je pense qu'il jouait la comédie. Je lui mis ma lame sous la gorge sans grande conviction, puis l'aidai à se redresser, du moins c'est ce que j'eus l'impression de faire. Il ouvrit les bras d'un air fier comme la première fois que nous étions rencontrés et je le serrais contre moi, franchement. Il disparut en liquide doré et un étrange mécanisme se forma autour de ma bouche et de mon cou, me privant de l'usage de la parole. Des mots résonnèrent dans mon crâne.

    - N'oublie pas Sanzo: la parole est d'argent, le silence est d'or!

    Je ne me présentais pas tout de suite au poste de Capitaine, j'avais autre chose à faire et je tentais de perfectionner mon Bankaï. Ce ne fut qu'après la disparition du nouveau qu'on avait trouvé entre temps - un bel incapable si vous voulez mon avis - , disparu lors d'une mission sur Terre que je continuai par la suite, que je décidais à me présenter. On fut d'abord réticent à cette montée en grade, déjà parce que je m'étais présenté de moi même et que la bienséance voulait qu'on propose à quelqu'un plutôt qu'il ne vienne demander, et puis aussi parce que mon caractère sulfureux posé quelques soucis d'ordre interne. Après une discussion assez courte et ayant expliqué calmement mes motivations - même si j'aurais aimé claquer le beignet à certaines personnes présentes dans la pièce ce jour là -, on décida de me nommer à la tête de la division et on me refila le haori. Une belle victoire que je savourais pendant une centaine d'années.

    La Prison. (1517-2017)

    Puis vint la partie la plus chiante de mon existence et qui occupa la plupart de ma vie. 500 ans exactement. Jusqu'à aujourd'hui où je suis retourné à la case départ en quelque sorte. Mais bon, je ne regrette rien de ce que j'ai fait. Pour la petite histoire, j'étais donc Capitaine depuis une centaine d'années et j'approchais de mes 400 ans d'âmes avec un parcours plus ou moins chaotique comme vous avez pu le voir précédemment si vous ne vous êtes pas encore endormis. J'avais enfin la stabilité, je donnais des ordres, je faisais de la paperasse et je dirigeais les recherches. À intervalles réguliers je me soûlais la gueule et je courrais après les donzelles. La belle vie quoi et en plus petit bonus, les gens respectaient le salop que j'étais. Mais il a fallu qu'un autre [salop] refasse surface. Et je vous le donne en mille de qui c'était.

    Un jour où je sortais du laboratoire, mon haori sur le dos, mon Zanpakuto à mes côtés et que je me dirigeais gaiement vers un les bordures du Seireitei pour rejoindre une fille dont le nom m'échappe mais dont le visage reste gravé en moi - une petite rousse absolument délicieuse -, je fus interpellé par un homme qui se trouvait droit devant moi. Je le reconnus sans peine au ton de voix et j'écrasais la cigarette que j'avais entre les dents, pris d'une haine qui refit surface en moi.

    - Ohé Sanzo! Tu es Capitaine? Je suis fière de toi mon fils!

    Je ne répondis pas et laissai mon enfoiré de père s'approchait de moi et me dévisager sous toutes les coutures. Il empoigna ma veste de Capitaine pour en éprouver le tissus.

    - Oh tu as grandit, il faut dire que 400 ans ça vous change un homme! Oh! Tout doux Sanzo! Range ça tu veux? Tu es toujours en colère contre moi à cause de ta garce de mère? Voyons c'est du passé tout ça!

    J'avais sorti mon Zanpakuto et le fixait, le regard vide d'émotion mais bouillonnant de rage, avant même qu'il est pu ajouter un autre mot, je prononçais la formule fatidique sous sa version longue.

    - Yûben Wa Gin, Chinmoku Wa Kin. Bankai!

    Dans une explosion d'énergie spirituelle, la lame de mon sabre fondit en un instant et vint se solidifier autour de ma bouche. Mon père fut soufflé et tomba à la renverse, il écarquilla les yeux et sa bouche forma un rond mais aucun son n'en sortit. Comme je l'avais dit précédemment, la parole est d'argent, le silence est d'or et un flot d'or en fusion se déversa sur le bourreau de mon enfance, engloutissant en un torrent doré les malheureux qui passaient par là. Pas de chance, j'avais rencontré le croque mitaine dans une rue passante. L'or noya plusieurs dizaines de malheureux, détruisit les échoppes en s'introduisant par les portes et les vitres qui n'avaient pas été soufflées par la déferlante d'énergie accompagnant la libération de mon pouvoir. Je ne pris même pas le temps de solidifier le tout, il était déjà mort et cet enfoiré ne méritait pas que je dépense plus d'énergie pour lui. Je relâchais la forme ultime de mon sabre et me massai la mâchoire. Je restais un long moment sur place dans cette scène d'apocalypse dorée, en fumant une cigarette. Les quelques survivants de la rue dévastée s'enfuyaient à toutes jambes prévenir les autorités qui devaient déjà être au courant de mon pétage de plombs. On tarda à m'arrêter et à m'emmener. Mon jugement fut de courte durée : j'étais démis de mes fonctions. On m'évita tout de même la peine capitale compte tenu du passé de l'homme que j'avais froidement assassiné. J'écopais d'un séjour de 500 ans, plus pour les dommages collatéraux que pour le meurtre en soi, dans la pire geôle du Gotei.

    Ma vie en prison, il est inutile de la narrer. Je passais mon temps à m'ennuyer et à concevoir dans ma tête des nouvelles machines, comme quand j'étais gosse. Voyant que j'étais pas vraiment un mec dangereux pour la société et pour les gardiens, on me transféra dans une cellule plus confortable où j'eus accès à du papier sur lequel je griffonnais des croquis. Je comptais les années qui passaient et je savais que l'heure de ma libération viendrait bien assez tôt. J'avais hâte de savoir la gueule qu'avait le nouveau Capitaine, yen avait certainement eu plusieurs d'ailleurs. Et puis on aurait besoin de moi, d'après ce que j'ai pu entendre, le Gotei a été salement dans la merde avec une affaire concernant des Quincy et maintenant, c'était une autre menace qui planait sur nos têtes.






Dernière édition par Seisui Sanzo le Mar 3 Déc - 18:12, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Seisui Sanzo [Terminée]   Seisui Sanzo [Terminée] Icon_minitimeLun 2 Déc - 17:53

Cette présentation est terminée!
Merci d'avance aux lecteurs et à la personne qui s'occupera de la validation.
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MessageSujet: Re: Seisui Sanzo [Terminée]   Seisui Sanzo [Terminée] Icon_minitimeMar 3 Déc - 17:46

Bonjour et (re)bienvenue sur BBS !

Deux p'tites choses :
→ Le haori c'est le manteau de capitaine, la tenue des Shinigami s'appelle un shihakushō.
→ J'pige pas trop pourquoi ton zanpakutō a un nom différent en forme scellée et en forme shikai sachant que seul le bankai est censé en avoir un différent.

Rien de grave cependant, mais j'ai préféré te le dire au cas où (et dans le premier cas pour que l'erreur ne se répète pas, pour le zanpakutō tu fais ce que tu veux même si c'est techniquement une erreur).

Ces pinaillages passés, 500 ans c'est un peu beaucoup « juste » pour avoir tué un type du Rukongai. Même si c'est avec ton Bankai et que ça peut être considéré comme une circonstance aggravante, et quand bien même les jugements sont relativement sévères, une peine aussi lourde pour un pauvre type sans importance (surtout vu les antécédents) ça me parait exagéré, d'autant plus quand ça implique un capitaine (ça se trouve pas au coin de la rue non plus).

Quand on voit que Mayuri dans les récents scans annonce avoir tué 28 000 mecs (même si c'est pour une bonne raison) sans que Yamamoto lève le petit doigt, je me dis qu'il y a une légère nuance... Ce problème peut cependant facilement être contourné (par exemple en disant que tu rases un district en activant ton Bankai sans faire gaffe ou un truc dans le genre).

PS : dernier détail parce que j'aime être chiante, mais daron c'est exclusivement pour le père en temps normal °° #ZBAF#

Merci de ton attention et bon courage pour les modifications !
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MessageSujet: Re: Seisui Sanzo [Terminée]   Seisui Sanzo [Terminée] Icon_minitimeMar 3 Déc - 18:13

Hello!

Modifications apportées!

Merci Melody!
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MessageSujet: Re: Seisui Sanzo [Terminée]   Seisui Sanzo [Terminée] Icon_minitimeMar 3 Déc - 18:56

Je te valide donc au niveau 3 en tant que Shinigami de la 3e Division. Tu disposes donc de 20 points de compétence à répartir comme bon te semble lors de la création de ta Fiche Technique dans la partie HRP de ta faction.

Comme tu dois déjà le savoir, nous ne nous soucions que des postes de capitaine et de vice-capitaine, il te faudra donc l'accord du capitaine de ta division pour y occuper le siège que tu demandes même si je doute que cela pose problème.

Bon RP !
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