Avatar : Ruby Rose de RWBY
Parrain : Reroll de Arata Chansu.
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Âge : 139 ans, 18 ans en apparence.
Race : Arrancar de base Gillian
Rang demandé : Numeros.

Description de votre personnage :

C’est à moi ? Bien sûr que ça l’est sinon, vous ne seriez pas ici. Je vais commencer par mon physique, si cela ne vous dérange pas. Je suis de petite taille environ un mettre soixante de corpulence menue. Ma chevelure de jais recouvre mes oreilles et ma nuque sans cacher un trait de mon visage au tien cadavérique en harmonie avec mes yeux gris.

Le col de mon ensemble cache ce qui reste de mon ancien masque de gillian, comme le corsait que je porte dissimule ce trou béant au niveau du plexus solaire, m’aidant à ne pas toujours pensé à ce que je suis devenu. Pour finir mon autoportrait et bien, je risque d’être un peu abrupte. Ma jupe possède des dentelles, qui comme toute ma tenue est un mariage de rouge et de noir. Mes jambes habillées de collant sont fuselées à l’instar de mes bars et je porte des bottines au pied.

Voilà fini, enfin je peux partir… Pardon ? Ah, comment je raisonne… Et bien on pourrait me résumer à paranoïa. Il m’est inconcevable de ne pas me questionner si mes interlocuteurs hollows et sans doute shinigamis et reapers bien que je n’en ai jamais rencontré personnellement, mais les bruits qui court à leur sujet ne sont pas glorieux… L’explication ? Ah, eux… Il s’agit de savoir s’ils ne vont pas essayer d’endormir ma méfiance pour me dévorer ou me tuer plus facilement ou encore se servir de moi en tant que rouage dans je ne sais quelle machination. Enfin, cela est lorsqu’ils viennent me parler de manière amiable. Méfiance excessive ? Contenu que je survie depuis un certain temps, en fuyant toute forme de danger. Pesant chaque mot prononcé, me retournant à chaque murmure lointain. Je… dois reconnaître que je passe pour une folle ou pour une sacrée froussarde, mais l’avantage qu’avec cet état d’esprit c'est que je suis systématiquement sur le qui-vive. Le second inconvénient… que ça dévoile clairement ma faiblesse et mon peu d’assurance face aux monstres sanguinaires du Hueco Mundo. Ainsi que ceux qui rôde à Las Noches, ma naïveté ma fait croire qu’une forteresse d’une telle prestance n’abritait aucun fou sanguinaire ou avide de conquête. Mais si je suis pris au piège n’espérais pas que je me laisse abattre sans combattre. Je donnerais tout ce que j’ai pour exterminer mes ennemis, exploiterais tous les stratagèmes possible.

Mes projets ? Eh bien… *Non, je me suis trop mis à découvert*. Navré il me faut partir en courant…


Description de votre pouvoir :

Le nom de mon âme ? Elle se nomme El Interior Torment (les tourments intérieurs) enfermé dans une croix en argent autour de ma ceinture. Une fois prononcées ses paroles je me transforme en un spectre martyriser par ses conflits internes. Fantôme dont les traits du corps sont difficilement perceptible est entouré d’une aura de ténèbres violacée, mais suffisante pour n’y voir aucun épiderme laissant visible un visage osseux à qui il manque le nez et les oreilles. De mes yeux s’échappe en direction un parti des éclaires mes servent de pupille rejoignant ma chevelure de jais et d’azure s’entremêlant fuyant mon corps. Je partagerai mon désespoir à tout se me frappant, de par ma voix brisée, par la matérialisation de mes cauchemars. À un tel contact, je ne m’étonnerai nullement qu’ils mettent fin à leur jour eux même. En définitive, ils se blesseront eux même à son contact.

Histoire :

Où suis-je ? Allongée sur le dos, ma tête bascule mollement les yeux fermés, du sable ? Encore prisonnière de ce monde de croc et de griffe. Redressant mon dos en repliant mes genoux, cet à leur contacte que je réalisai le changement. Un sourire illumina mon visage, je riais pour la première fois depuis bien longtemps, des mois, des années ? Impossible pour moi de m’exprimer à ce sujet, ayant perdu toute notion du temps en ce lieu de nuit éternelle. Une joie trop éphémère, en me tâtonnant mon corps, après avoir vu et revu mes petites mains de dos et de plat. Mon cou avait une matière osseuse, comme celle de mon ancien visage ? Avant te tenté d’arraché cette partie de mon corps, je vérifiée un autre détail significatif de l'horreur noir que j’étais, se creux en dessous de ma poitrine est toujours présent. Donc même en arrachant cet os autour de ma gorge, il me resterait ce trou béant. Tombant à genoux, mes mains cachant mes pleurs, le cœur serrer par cet échec d’en finir avec cette vie de cannibalisme, je n’en peux plus de dévorés d’autres être prisonnier de leur carcasse damné. Qu’es-je fait pour mériter un tel châtiment ?


***

Je naquis le lundi vingt-deux mars en mille huit cent quatre-vingts. Dans une famille sans histoire, en accord avec les mœurs de son époque. Mon passage dans le monde des vivants, du moins de chaires et de sang ne fut pas des plus passionnants. Le passage à l’école primaire, pour ensuite finir toute sa vie en temps que tricoteuse à me de trouvé un mari et devenir ensuite femme au foyer pour s’occuper des enfants. Enfin peut-être que mon destin aurait pu être différent. Ce n’est pas comme si j’avais eu le temps de voir le monde terrestre évolué.

Pendant mes jours de congé, je m’occupai des roses de mon jardin et ce fut lors d’une de ses journées que le mauvais sort s’abattit sur moi. Ayant aperçu un outil au milieu de mon potager, j’ai voulu le ramasser avec trop de hâte et mis empala au niveau du poignet. Par réflexe je retirai ma main et me griffai dans les épines de mes rosaces. M’apercevant qu’après coup que le petit râteau était rouillé. Je le mis dans une corbeille avant de désinfecté la plaît comme je le put. Je n’avais préféré rien dire à mes parents et à mon petit frère pour ne pas les affoler, j’ai seulement expliqué qu’il s’agissait effectivement d’un accident avec un râteau, mais je passai sous silence l’état de l’objet en question.

Hélas, cela n’a eu que pour conséquence de repousser la nouvelle, à cause de cet incident j’avais contracté le tétanos au bout de deux semaines. Leur peur se lisait dans yeux ainsi que l’incompréhension, au fur et à mesure que mes difficultés à ouvrir ma mâchoire se faisaient grande, s’ajoutant à la raideur de mes bras et de mes jambes, mes frissons provoquant de grandes suées. Le médecin nous avait dit qu’il y aurait une chance que je m’en sorte, mais qu’il ne fallait pas trop si accrochée. Il eut raison, trois jours après je m’endormis pour un sommeil éternel, enfin pour mon enveloppe charnelle. Mon corps spirituel commençait à se réveiller dans un cauchemar perpétuel.

Au matin en ne ressent plus aucune douleur et fièvre, j’eut tôt fait de penser à une guérison aussi rapide qu’incroyable c’était produit l’espace d’une nuit. En sortant de mon lit pour annoncer la bonne nouvelle, un étrange sentiment s’empara de moi, sans trop savoir pourquoi je me retournai. Voir mon corps, la bouche ouverte, le dos arqué, ma gorge se serra une de mes mains la joignit comme pour éviter que l’on m’étrangle. Ma famille rentra peu après dans ma chambre. Ils éclatèrent en sanglots, mes tentatives pour leur montré ma présence fur veine et désespérés. Mes actes furent inutiles et je dus suivre le cours des choses sans pouvoir y interagir.

Passer à travers les murs et les gens était amusant au départ, cela me permettait également d’entendre des conversations à mon sujet, certaine était agréable d’autre pourquoi moins. Cependant malgré mes divers contacts d’âme errants je ne pus trouver de réponse à mon état, notre état. N’y même la raison pour la quel cette chaîne qui est apparût en dessous de la poitrine et encore moins le phénomène qui faisait que ses maillons se dévorait seul.

Ce qui devait arriver arriva, le lien parti dans le néant, comment j’ai vécu le changement ? Je ne serais trop le dire, quand je le réalisai mon corps était devenu une aberration sans nom. Les événements s’enchaînai sans que je puisse faire quoique se soit. Je partageais sa vision, sa voix, ses gestes, sauf qu’une fois la faim prenait le dessus. À partir de ses moments, c’était comme voir le monde sans aucun contrôle sur mon être. Assistant à mes propres crimes, le plus horrifiant et insupportable fut celui de ma propre famille, mon frère cadet… mon père… ma mère. Je revois encore leur sang sur mes mains… dans ma bouche. Toutes mes cries, toute mes tentatives pour l'empêcher fur vaine. Le choc émotionnel était trop intense, décrochant de la réalité en priant que quelqu'un me tue, mais personne pour accomplir cette besogne, les semaines passèrent, je me nourrissais d’humain, les normaux comme les transformés.

Le jour de ma reprise de consciences, je m’étonna de me retrouver dans un désert accompagné par de silencieux géants noirs au visage ou masque au nez incroyablement pointu et allongé. Ce qui me turlupina est pourquoi ? Pourquoi, mon visage n’est pas identique au leur ? Toujours sans réponse, marchant avec eu pour ne plus retrouver seul, je surpris à être à nouveau affamé, sauf que cette fois la contrôlait, enfin j’y hais naïvement cru. Tous ces colosses il n’en restait rien, avec leur mort je revis tous les meurtres commis pendant mon état léthargique, un carnage de trop, insupportable pour moi. Me saisissant la tête, la grattant durement avec mes griffes, je n’en pouvais plus. Prenant mon masque des deux mains, je parviens à arracher ce qui me servait de visage. De mon geste suivi une vive douleur me paralysant, me sentant rétrécir et me perdre, mes souvenirs… Non ! Pas eux, ils sont tout ce qu’il reste de mon humanité, impossible de les laisser partir sans combattre. Une lutte commença gardé conscience et sauvegarder mon passé…


***

Vagabondant en ses terres sauvages, le regard vide, mais les sens à l’affût. Ses silhouettes à la forme animale contre nature… Ont-ils encore une once d’humanité ? La généralité je n’en crois plus rien, ils ne sont plus que sauvagerie et incarnation du mal. Arraché comme certain m’appelai, la manière de l’exprimer donnée de façon limpide leur dégout et leur honte pour leur… notre espèce ? Leur stupidité ou étroitesse d’esprit ne me suffisait pas pour les tuer. Les fuyants dans l’espoir de les préserver ses malheureux condamnés a dévoré encore et encore pour satisfaire une faim qui les tiraillerai éternellement, jusqu’à une certaine limite. Certains parvient à ne me donner aucune échappatoire, m’obligeant à les réduire en charpie, un spasme de la carcasse et j’écrasai le membre jusqu’à que seul leur sang se déplace pour abreuver le désert. Je suis gentille, mais face à mon instinct de préservation... et j’avais un but, trouver le moyen de retrouver mon corps d’humaine.

À force l’ennui avait pris le dessus sur les périodes d’espoir et de désespoir, je savais qu’il avait d’autres personnes comme moi, mais où ? Alors que je vainquis un énième adjusdas m’agressant, je ressentis une autre présence dans mon dos. Faisant volte-face mon poing fermé partant pour le détruire, ma course se stoppa lorsqu’il entra dans mon champ de vision. Sur l’instant je crus voir le premier être vivant depuis des lustres. Avant de constater l’os de son masque, joie en demi-teinte, mais joie quand même. Cet arrancar, le nom des hollows qui ont arraché leur masque. Grâce à cet homme, j’avais appris bien des choses sur le nouveau monde où j’habitais. Mon état, mes ennemis naturels que je n’ai jamais vus, les shinigamis et surtout les reapers de ce que j'ai crus comprendre.

Ce qui me convainquit de le suivre, malgré ma méfiance, fut d’apprendre qu’un palais du nom de Las Noches servait de résidence à nombre de personnages comme nous, soudés autour du culte de Sima, dont le prophète et le roi du Hueco Mundo, Santo Pastor. Le plus attirant est sans aucun le fait que je n’aurais plus à me battre pour ma suivie tout les jours qui passe, si cette notion du temps est valable en un monde ou la nuit est sans fin. Je n’adhère pas à la croyance d’un dieu hollow originel, mais je ferais tout pour qu’il un lieu passible sur ses terres stériles qui puisse me donner le temps de retrouver un corps humain, grâce à la science, si cela est possible. Dans le pire des cas, je devrais vivre jusqu’à la fin des temps dans ma condition actuelle. Avec de la chance, cette citadelle et ses habitants rendront cet avenir supportable.

Je te revalide donc en tant que Números de base Gillian.

Tu ne perds rien du fait du changement gratuit accordé par l'ellipse et bénéficie en plus des 20 XP accordés à tous ceux rejoignant Las Noches. Ils ne sont pas comptabilisés dans ton profil mais tu es libre de les utiliser comme il te plaira. Je t'invite cependant à te relire vraiment attentivement et à être attentif aux fautes que tu peux faire, il y en a pas mal d'assez douloureuses (contenu = compte tenu ; que je survie → survis* ; corset qui devient corsait...) même si c'est déjà mieux que par le passé.

Bon RP avec ce nouveau personnage.