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 Ganryû, la gastronomie, et les Yakuzas. [Pv : Nakashima Hisaka]

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Kichigai Ganryû
Ganryû, la gastronomie, et les Yakuzas. [Pv : Nakashima Hisaka] Hum-ind
Kichigai Ganryû
Rang : Fléau.

Messages : 261
MessageSujet: Ganryû, la gastronomie, et les Yakuzas. [Pv : Nakashima Hisaka]   Ganryû, la gastronomie, et les Yakuzas. [Pv : Nakashima Hisaka] Icon_minitimeMer 24 Sep - 23:12

ENCORE ! J'EN VEUX ENCORE ! ET VITE !

L'serveur en croit pas ses yeux, il m'tire une tronche d'quinze mètres, impressionné. J'crois pas qu'c'soit tous les soirs qu'il voit débouler un type au teint cadavrique... cadarique... cadavreux... oh et merde, un type qui a la peau pâle. Bref, qui déboule et r'clame d'la viande d'boeufs en masse, genre une dizaine d'assiettes, dix fois d'affilé. Ouai, gros porc qu'jsuis, j'ai r'commandé dix fois la même bouffe. J'me pose bien. C'est qu'c'tte ville m'plaît bien, les restos' ont rien à voir avec Krakuraka. Bien plus d'gueule, d'la meilleure bouffe et des serveuse qui donnent chaud.

Bah quoi trou d'cul, j'ai d'la merde sur l'tronche ? Non ? Bah va m'apporter ma viande putain !

Et il y va, en panique. J'lui en veux pas, j'suis quelqu'un d'impressionnant. Puis, c'normal d'se demander si j'suis pas en train d'me foutre d'sa gueule. Si j'ai l'pognon pour régler l'addition ? Laisse-moi rire, j'vais rien payer. J'vais même gagner d'la thune. Avant, j'déguste la meilleure viande d'boeuf du Japon et d'l'Australie, va savoir où c'est. C'comme l'vin, putain qu'il est bon, mais putain c'quoi la Californie ?! J'dois en être à ma troisième bouteille, j'suis faible c'soir question alcool. J'me déçois. J'suis au dernier étage d'l'endroit, vue spectaculaire qu'ils disaient.

C'que des gros immeubles éclairés vue d'plusieurs mètres d'hauter, à travers une énorme vitre pas bien résistante. J'me d'mande si un glandu a déjà testé sa solidité. Genre, combien d'fois il peut foncer d'dans avant d'la traverser. La barbac' arrive, j'bave, r'nifle bruyamment, pousse un cri d'excitation. Et j'dévore, avec l'art et la manière. La sauce dégouline d'partout, des morceaux r'tombent sur la table, j'm’empiffre et prend pas trop l'temps de mâcher. C'pour les faibles ça. La pièce est bizarr'ment vide, ou presque. Y'a qu'une autre table d'occupée, une femme qu'elle est bonne. Et belle. Et elle m'fixe, j'crois même qu'elle m'chauffe.

Arrêt sur image.

C'mouvement d'la langue sur ses lèvres pulpeuses, c'regard d'tentatrice, c'tte position sur l'chaise qui dévoile l'absence d'sous-vêt'ments sous la jupe, s'seins qu'elle expose fièr'ment. Bordel de. Elle m'veut oui ! Bouge pas ma belle, j'rapplique. J'avale un dernier morceau, j'saisis deux bouteilles et j'vais la r'joindre. Elle sourit, m'laisse m’asseoir et direct, son pied vient s'frotter à ma jambe. Ok. Celle-ci, c's'ra sans la forcer, légal et torride. J'suis dans l'bon. J'suis sûr c'est l'effet justicier qui fait ça, elles résistent pas à mon charisme évident !

Elle m'cause, m'avoue kiffer mes ch'veux. J'éclate d'rire, comblé. J'suis au bon endroit, au bon moment. J'lui sers un verre, normal. Elle boit, décroche pas mon r'gard. Les minutes passent, d'longues qui passent trop vite. L'heure tourne. Elle l'sait, j'le sais, 'va falloir bouger. Pourtant, avant même que j'me sois décidé d'partir, ça bouge autour d'nous. Des types en costards, des gueules d'truands et qui connaissant la dame débarquent. Ils hurlent, sur moi. J'rigole. Ils cognent, expliquent qui c'est la dame. La régulière d'leur patron. C'qui c'tte bande d'glands qui croient pouvoir m'enlever ma proie ?

J'vais l'briser.

Les gars, 'faut pas virer son os à un clébard qui a la rage. Maint'nant, j'vais vous arracher les couilles pour vous les faire bouffer. Et après, j'vous expédierai en colis à votre tocard d'boss. D'ailleurs, j'lui pisse à la gueule à c'tte merde.

Ils s'énervent, z'aiment pas être insultés. Les cons, 'sont pas de taille, z'ont aucun pouvoir, rien. Alors ouai, ils cognent vite et sec, mais j'encaisse facile. Et j'riposte lourd'ment. Des coups d'la puissance d'un obus. Ils tombent tous, les os brisés, les gueules démolies, le sang qui pisse. Reste un. Lui, j'le garde pour l'expérience. Un Japonais sait-il voler ? Moi j'pense qu'non. Et j'vais l'prouver. J'lui donne un couteau et une fourchette, qu'il prend sans trop comprendre pourquoi. J'lui fait comprendre d'pas réfléchir. M'approche d'l'extrémité, colle sa p'tite tronche d'looser contre le verre, et compte jusqu'à trois. Sept, un, trois. Feu.

Impact d'un corps contre le verre, bruit assourdissant du dernier qui s'casse et vole en éclats, un cri. Puissant, apeuré, qui s'éloigne et perd en puissance. Un Corps qui tombe en chute libre. J'mire, l’œil brillant d'folie, satisfait. J'me retourne vers la brune, elle pleure. J'comprends, elle a tell'ment appréciée qu'elle en chiale. C'normal, c'tait du beau travail. J'lui tends les bras, qu'elle vienne trouver du réconfort près d'moi. Elle s'approche, hésitante, avant d'se jeter sur moi. Une charge fougueuse, plein d'amour et d'excitation, gonflée d'admiration.

Éclair d'lucidité, c'la haine qui l'anime. Oh la salope, elle veut ma mort.

C'deux mains m'poussent d'toute sa force en arrière. J'trébuche, comme un gland qu'j'suis, et tombe. Tomber dans le vide, vide. Y'a d'l'incompréhension, puis d'la rage, puis un fou rire. Comme si une malheureuse chute de plusieurs dizaines de mètres pouvait m'crever. J'ai survécu à un dieu avec un bob, pétasse. Avant d'm'écraser comme une merde, j'recouvre mon corps d'une épaisse couche rocheuse, histoire d'amortir la chute. Bruit assourdissant, lourd impact, poussière et cratère qui s'forme. Un rire qui tranche l'tout, heureux qu'j'suis. La masse d'gens zieutent dans ma direction, s'demande c'qui a bien pu arriver.

'Faut dire que j'ai atterri tout proche d'corps d'l'autre que j'ai défenestré. J'prends pas la peine d'annuler ma technique, un héros doit garder l'anonymat. M'relève, observe la foule, ricane. Gueule un coup.

TOUT VA BIEN, HUMAINS ! J'SUIS VOTRE HÉROS ET J'AI L'SITUATION SOUS CONTRÔLE ! IL S'TROUVE QUE Y'A UNE BOUFFONNE QUI... EUH J'VOULAIS DIRE UN BONHOMME ! ET C'GARS ? IL EST MÉCHANT ! COMME LUI A MES PIEDS, C'TAIT UN MÉCHANT ! IL... IL... IL... Oh et puis merde, C'EST UN PUTAIN DE TERRORISTE QUI MENACE DE FAIRE SAUTER LE BÂTIMENT !

Gros silence gênant. 'Faut l'temps que ça percute. Hurlement, agitation, mouv'ment d'panique, voilà l'message est passé. Maint'nant ma grosse, à nous deux. D'un pas décidé, j'retourne à l’intérieur, direction l’ascenseur.
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Ganryû, la gastronomie, et les Yakuzas. [Pv : Nakashima Hisaka]

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