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 Yamaguchi Izuko [Terminé]

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Yamaguchi Izuko
Yamaguchi Izuko [Terminé] Shi-ind
Yamaguchi Izuko
Rang : Ange de la défaite

Messages : 19
MessageSujet: Yamaguchi Izuko [Terminé]   Yamaguchi Izuko [Terminé] Icon_minitimeLun 29 Avr - 22:06

Yamaguchi Izuko

    Âge : 843 ans environ, 14 en apparence.
    Race : Shinigami
    Votre précédent rôle : 9ème Kenpachi de la 11ème division (1553-1815)

    Description de votre personnage :

    Jadis une combattante redoutée par tous, avec raison d'ailleurs, Izuko n'en demeure pas moins une gamine en apparence. On ne lui donnerait en effet pas plus de treize ou quatorze ans, et son apparence malingre ne laisse rien présager de ses capacités réelles. Se déplaçant presque toujours dans un Gigai, depuis aussi longtemps qu'elle peut se souvenir, Izuko est une adolescente aux cheveux blonds pale, avec de grands yeux bruns souvent cachés par ses mèches. Elle porte un uniforme de collégienne du secondaire standard, avec un col marin bleu ciel et une jupe plissée, à ceci près qu'elle ne se départit jamais d'une longue écharpe mauve masquant la partie inférieure de son visage. Elle assortit également cette écharpe d'une paire de cache-oreilles, mauve également, qu'elle porte été comme hiver pour une raison qui n'appartient qu'à elle. Elle est étonnamment mature pour son age apparent, et fait volontiers des avances aux hommes plus âgés, ne se considérant pas comme la gamine qu'elle est, pourtant, au dehors. Elle adore la violence en général, et se départit parfois de son Gigai pour regarder une bonne bagarre en pleine rue en étant aux premières loges. Lorsqu'elle se départit de son Gigai, d'ailleurs, Izuko porte toujours ses cache-oreilles et son écharpe, mais ceux-ci sont à présent de couleur blanche. L'écharpe est plus courte, et semble faite des restes d'un haori, bien qu'elle n'en aie pas conscience. Elle déteste sortir de son enveloppe charnelle, cette action la faisant se sentir... anormale, ce qui est d'ores et déjà le cas puisqu'elle ne vieillit pas.

    Description de votre pouvoir :

    Mekajiki (Espadon)

    Sous sa forme scellée, Mekajiki est un wakizashi court, ne dépassant pas les quarante centimètres, et la jeune fille le tient dans un étui contre sa fine jambe, sous l'un des pans de son Shihakusho lorsqu'elle daigne quitter son enveloppe artificielle, c'est à dire presque jamais. La poignée est recouverte d'un Mekugi bleu ciel, ou des fils d'or viennent broder des motifs marins. La lame est quant à elle des plus basiques, bien qu'étant très peu courbée, donnant un aspect de cutter géant à cette forme scellée courtaude.

    Tsukisasu, Mekajiki (Shikai)

    Une phrase qu'elle ne prononce que très rarement, bien que la forme ultime soit encore plus rare. Mekajiki prend alors sa véritable apparence, c'est à dire une claymore dans le plus pur style écossais de deux mètre dix de long, que la jeune fille manie pourtant avec une aisance étonnante. Le pouvoir de cette lame est basique, puisque la moindre plaie occasionnée à ses adversaires se gorge de sel créé a partir de son reiatsu, décuplant la douleur sans atténuer les plaies pour autant. Le potentiel sadique de cette arme est donc assez conséquent, en plus de sa capacité a trancher absolument n'importe quoi comme du beurre.

    Moguru, Mekajiki (Bankai)

    Dans cette forme ultime, Mekajiki devient encore plus massive, atteignant sans peine les deux mètres cinquante. L'arme devient une lance d'hast, avec une poignée égale à la lame en longueur et renforcée de saphirs étincelants au niveau de la garde, en forme de gouttes d'eau. En tant qu'ancienne Kenpachi, Izuko manie cette arme avec une expertise redoutable, utilisant son pouvoir avec stratégie. En effet, en plus de décupler la douleur cette arme inflige de la pression sur des zones localisées, si l'adolescente décide de l'utiliser pour expédier des ultrasons a son adversaire. Celui-ci ressent alors une pression intense digne de la fosse des mariannes sur la partie de son corps touchée, ce qui suivant sa résistance peut équivaloir a un désintégration en règle ou a des plaies ouvertes, au mieux, sans l'effet salé toutefois.

    Histoire :

    Il y avait un avant et un après la Soul Society pour Yamaguchi Izuko, et c'est pour cette raison que l'histoire telle que je vais vous la conter ne s'étend pas sur sa vie avant la mort, puisqu'elle ne s'en souvient absolument pas. Pas un détail, niet, nada de nada.
    Pour tout un chacun ici-bas, cette fille aux yeux immenses et à la démarche féline n'est qu'un élément du décor parmi d'autres. Un visage dans la foule, une étrangère dans le bus, rentrant chez elle ou elle vit seule, un appartement sobre du centre ville de Karakura. Personne n'y fait vraiment attention et elle ne parle pas beaucoup, de toute façon. Mais elle est là. Toujours là, même si elle veille a changer d'uniforme scolaire de temps à autres ainsi que de couleur d'écharpe afin de ne pas éveiller les soupçons. Elle change également de couleur de cheveux, depuis que cette possibilité existe, mais garde toujours cette tignasse volumineuse et désordonnée.
    Le seul détail qui attire l’œil est sa grâce toute féminine et sa confiance en elle, qui irradie telle une aura mystique. Elle est trop jeune pour être désirée sans honte, et pas vraiment belle non plus. Mais elle fait tourner des têtes.
    Ce corps souple et agile, elle l'a toujours eu. Réflexes éclair, adresse impressionnante, c'est son quotidien. Pas d'assiettes cassées ou de moquette tachée dans son petit deux pièces, puisqu'elle rattrape tout au dixième de seconde. Et pourtant, elle ne s'en étonne plus. Elle sait que son corps est un artifice en qu'en réalité elle n'est que pure âme. Elle sait aussi que d'autres cachent leur jeu de cette manière. Mais elle ne cherche pas à les aborder. Elle les fuit, au contraire. A Karakura et depuis quelques années, elle fait partie d'une bande de loubards des rues menée par Zenshiro Guriko, qu'elle appelle Onii-Chan pour l’embêter. Aucune de ces petites frappes n'est au courant du réel pouvoir de la jeune fille, cela dit, mais elle s'attache à eux, car elle se sent entourée.
    Izuko, dans sa vanité, se veut unique, surnaturelle, aussi fantastique que les programmes de science fiction et les comics et autres mangas dont elle raffole. Elle chasse ces silhouettes en noir qu'elle distingue la ou les autres ne voient goutte de son esprit aussitôt qu'elle le peut. Une alarme sourde quelque part à l'intérieur de son crane la met en garde contre une éventuelle situation gênante si elle était repérée, bien qu'elle ne sache vraiment à quoi s'attendre.
    Elle sait, c'est tout, et ces hommes et femmes en noir qu'elle voit arpenter sa ville depuis des siècles sont pour elle synonymes de sang, de brutalité et de mort prématurée. Car elle se souvient de quelques flashs, épars et disséminés, ou elle se voit régner sur son petit monde, crainte et respectée comme seuls les plus grands le dont, un gorille aux traits indistincts à son coté, à ses ordres. Toujours le même flash, ou elle fuit, également. Elle court a perdre haleine et se perd dans la foret bordant Karakura. Et la mémoire, sa mémoire à elle, bien réelle et palpable, prend le relais à partir de ce moment là.
    Elle a erré longtemps, mendiante entre les mendiants, dans un japon évoluant à la vitesse d'un régiment de cavalerie au galop. Les samourais perdaient leurs dernières batailles contre l'occidentalisation et l'ouverture au reste du monde que subissait le japon. L'ère des shoguns était mourante face au soleil rougeoyant d'un empire dont les drapeaux se levaient déjà, implacables. Et une légende naquit à son sujet, a cause de sa propension à se tenir au milieu des batailles, invisible pour le commun des mortels, s'enivrant de l'odeur de la poudre et des cris des mourants. Elle était le fantôme de la défaite, pour certains des combattants, sinistrement immobile dans la boucherie. Elle-même ne savait pourquoi elle avait cette propension a regarder la violence sans pour autant l'aimer, amour vache. Et la petite mendiante au coin d'une rue, puis d'une autre, observait et vieillissait sans en faire montre. Des secondes, des minutes, des années au son des pièces tombant dans le fer blanc d'un gobelet tendu à bout de bras. Mais malgré la faim, elle ne maigrissait pas. Elle ne prenait pas de poids. Sa poitrine restait celle d'une gamine quand elle aurait voulu la voir s'épanouir et devenir aussi femme que celles qu'elle regardait passer avec envie le long des échoppes du marché.
    La lassitude des journées passées à errer et à demander l’aumône finit cependant par toucher a sa fin, puisque contrairement aux autres sans-abris elle avait eu des années, voire un bon siècle et trois quarts pour économiser. Elle eut finalement de quoi s'acheter un petit appartement vers l'an de grâce 1991, posant ses maigres possessions terrestres au sol dans ce qui fut son seul soupir de soulagement en des siècles. Enfin, un semblant de vie avait été insufflé a son corps. Dansant entre les meubles avec toute la grâce qui était la sienne, elle troqua les haillons contre un uniforme de collégienne, et put enfin errer a sa guise sans avoir de regards de commisération.
    Encore aujourd'hui, elle ne se souvient que peu de sa vie avant la mendicité, avant d’être un conte raconté aux enfants crédules pour manger leur soupe, avant d’être cette fille inchangée par les siècles, au regard si mélancolique.
    Elle passe son temps à parcourir Karakura, à prendre des photos volées, des instants de la vie de ses contemporains du jour, à épier et à écrire un journal, livre relié de noir sans préface mais dont l'intrigue ferait pâlir un historien. Présente lorsque la bombe atomique frappa son pays, elle s'était arrangée pour se trouver au centre exact de la déflagration, contemplant la destruction et l'anéantissement de toute vie depuis l’œil du cyclone après. Elle sentait là ou la mort allait frapper à l'avance. Elle était plus que jamais l'ange de la défaite et du désespoir.
    Et pourtant, elle n'a pas toujours été ainsi, et pour mieux comprendre cette enveloppe charnelle et cette vie qui est la sienne, on doit se tourner vers les archives du Gotei 13, lesquelles regorgent d'information sur les divisions et leurs officiers supérieurs, mais aussi sur le nombre exact des carpes koi ayant peuplé l'étang dans le quartier général de la neuvième depuis 2000 ans.
    Mais c'est les chronologies et les récits qui en découlent qui nous intéressent.

    L'historien du royaume des âmes Kato Kenichi a écrit un livre d'un intérêt certain, nommé « grandeur et décadence de la division du combat à travers les ages », original de par sa propension à allier histoire et recettes de cuisine spécial combattants avec brio. Il y détaille les différentes époques et les capitaines correspondants, décrivant a la fois leur physique, leur réputation et leurs pouvoirs, le seul manquant à l'appel étant Kiryu Kenpachi, puisque Kato a été malheureusement tué peu après sa nomination dans des circonstances douteuses.
    La période entre 1431 et 1950 est celle qui nous intéresse, puisqu'elle détaille Yamaguchi-Kenpachi, son prédécesseur et son successeur et la façon dont la succession s'est déroulée. Tout d'abord, Matsuda-Kenpachi, de son vrai nom Matsuda Yoroi, resté dans l'histoire comme un vieillard acariâtre avec une nette propension pour les exécutions de ses subordonnés en public. Selon lui de telles pratiques n'amèneraient que les meilleurs des meilleurs dans sa division. Un portrait en pied le montre chauve, d'un age avancé, avec une impressionnante paire de bacchantes.
    Cependant cet état d'esprit lui attira bien des inimitiés, y compris celle qui lui serait fatale, puisqu'en 1552 il exécuta Yamaguchi Saito, père de celle qui a peine quatre semaines plus tard le provoquerait en duel rituel.
    Saito, quatrième siège de la onzième division à l'époque, avait refusé de relayer des ordres au front, défiant la moralité de son capitaine qui ordonnait que les blessés soient envoyés en première ligne afin de tomber comme des hommes et non « comme des lavettes impotentes ». Citation originale du capitaine Matsuda, ici. L'exécution à guichets fermés qui suivit eut l'honneur de compter dans son premier rang la fille adoptive du condamné, Yamaguchi Izuko, qui avait rejoint la division seulement deux ans auparavant. Très attachée a son père, elle ne détourna pas le regard lorsque sa tête tomba, faisant preuve d'une dureté d'esprit inaccoutumée chez quelqu'un d'aussi jeune.
    Et ce fut sur les dalles, sous forme de longues giclées rouge carmin que s'exprima pour de bon cette détermination, alors qu'une gigantesque lance venait priver le capitaine Matsuda de ses deux bras, puis le transperçait de part en part au moyen d'une puissante onde de choc.
    Un dessin imagé des derniers instants de ce combat accompagne cette note, avec un Matsuda défiguré et une gamine couverte de sang au sourire froid à quelques mètres de lui, de trois quarts, lui tournant déjà le dos. La page suivante montre la même gamine en haori, une écharpe noire drapée autour du cou.
    La légende explique que si elle porte cette écharpe, c'est avant tout pour dissimuler une cicatrice courant d'un coin de sa lèvre au milieu de sa joue, souvenir de son combat avec son prédécesseur. Yamaguchi Kenpachi réussit l'exploit, pendant les 257 ans de son règne, de concilier humanité et manque cruel d'empathie a toute heure du jour.
    Comprenez : Une capitaine adorable tant qu'on ne lui demandait pas de service donné, et qui perdait toute forme de chaleur lorsqu'on lui demandait d'aider quelqu'un a se sortir des ennuis dans lesquels il s'était fourré. Pas d'excuses aux autres divisions pour les écarts de ses subordonnés, mais des relations cordiales avec ceux et celles qui étaient a leur tête. Une note manuscrite en bas de page indique que Kato lui-même pensait qu'elle jouait un rôle, n'était jamais vraiment elle même et n'était en réalité qu'une façade, cachant quelque chose de bien pire.
    Bien sur, cette dernière éventualité ne fut jamais vérifiée, puisque le 6 Janvier 1815, lors d'une expédition au Hueco Mundo, l'expédition emmenée par Yamaguchi et son lieutenant Kiganjo, celle qui était à la tête de la division du combat disparut dans la foret de Menos, l'expédition rentrant sans elle après avoir passé des jours, voire un mois, a la rechercher. On évoqua une désertion, l'éventualité que la capitaine soit tombée au combat étant hautement improbable pour la plupart de ceux qui avaient un avis sur quelque chose au Seireitei.
    Combattante ayant remporté de nombreux duels, elle était en effet considérée, outre sa longévité inégalée au poste de Kenpachi, comme une tueuse hors pair. Tous ceux qui l'avaient vue combattre savait qu'elle aurait écrasé n'importe quel Hollow sans même sourciller.
    Et pourtant, nul ne sut ce qui se passa dans cette foret, et Kiganjo fut promu au poste de capitaine, devenant ce qu'il avait toujours rêvé de devenir. Bien sur, il n'avait pas osé provoquer une capitaine qu'il considérait comme une petite sœur, la respectant et l'appréciant trop pour ça. Mais il porta le Haori en son honneur, quoique ses boniments au fil des années finirent par faire croire à un certain nombre de ses contemporains qu'il avait battu celle qui l'avait précédé à la loyale, en duel. C'était ainsi que Kiganjo voulait bâtir sa propre légende, laquelle se termina abruptement sous la lame d'un chien enragé venu des tréfonds du Rukongai, dénommé Zaraki.
    En toute objectivité, la capitaine avait du être prise par surprise et mise hors de combat, puisqu'elle aimait a être sa propre éclaireuse. Sûrement un traumatisme crânien et une longue période de coma, puisqu'elle était a présent amnésique. Et sûrement qu'elle a profité d'un Garganta pour se retrouver sur terre. Mais ce ne sont là que racontars de conteur, et moi je dois m'en retourner au comptoir afin de commenter une autre chopine. Allez, voyageur, poursuivez votre route, et bonne chance, espérons que l'ange de la défaite ne vienne pas tourmenter vos rêves les plus paisibles.

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Chikusa Heiji
Yamaguchi Izuko [Terminé] Shi-cap
Chikusa Heiji
Rang : Nana Bantai Taisho

Messages : 557
MessageSujet: Re: Yamaguchi Izuko [Terminé]   Yamaguchi Izuko [Terminé] Icon_minitimeMar 30 Avr - 18:00

    Mis à part les descriptions que je trouve courtes, tout est nickel, vraiment. (:

    Validé au niveau 4 en tant qu'indépendante. Tu bénéficies de 25 PC pour réaliser ta fiche technique.

    Tu connais la maison ! Have fun ! :3
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http://www.bleach-bsrpg.com/t1639-chikusa-heiji#12702
Yamaguchi Izuko
Yamaguchi Izuko [Terminé] Shi-ind
Yamaguchi Izuko
Rang : Ange de la défaite

Messages : 19
MessageSujet: Re: Yamaguchi Izuko [Terminé]   Yamaguchi Izuko [Terminé] Icon_minitimeMar 30 Avr - 18:28

Merci bien ! J'étofferai donc ces descriptions pour ma Fiche Technique, je prends note.
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MessageSujet: Re: Yamaguchi Izuko [Terminé]   Yamaguchi Izuko [Terminé] Icon_minitime

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Yamaguchi Izuko [Terminé]

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