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 Gaia [terminée]

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Slovodan Mitrovic
Gaia [terminée] Hum-ind
Slovodan Mitrovic
Rang : Raijin

Messages : 91
MessageSujet: Gaia [terminée]   Gaia [terminée] Icon_minitimeJeu 27 Juin - 9:00

Gaia

    Âge : 200 ans et des poussières.
    Race : Arrancar - Adju'
    Rang demandé : Fraccion du Primera

    Description de votre personnage : À quoi ressemble votre personnage ? (10 lignes au minimum)

    Gaia apparaît de deux manières bien différentes aux yeux des étrangers. Deux apparences qui ont deux origines bien distinctes et qui pourtant se rejoignent parfois. De sa vie précédente, la jeune femme a gardé cette habitude de s’habiller dans des teintes bicolores. Ses vêtements de « tous les jours », bien loin des gardes robes blanches de ses confrères rappel fortement son passé de nonne. De fait, elle porte de large aplat constitué d'une robe noir partant de sa gorge à ses pieds. Une ceinture de cuir gris resserre le tissu sur sa taille et lui permet de retenir sa large claymore dans son dos.

    Car peu importe son style vestimentaire, la fraction du primera portera toujours son épée avec elle. Aucun fourreau autre que quelques accroches dans son dos pour y tenir son arme de prédilection. De jour comme de nuit, l'épée ne la quitte pas à plus d'un mètre. On pourrait estimer ceci normal quand une telle épée retient tous les pouvoirs d'un hollow mais même quand certains se contentent de la porter au côté sans jamais la dégainer, Gaia quant à elle n’hésite pas à l'utiliser.


    Son principal style de combat devient un art de l'épée qu'elle perfectionne depuis maintenant des années, depuis qu'elle s'est arrachée son masque. Son masque a d'ailleurs quasiment disparu de son apparence, tenant plus du monceau de chair brisée qu'autre chose. En réalité sous la frange blonde qui pend sur son front, repose un bandeau d'os blanc telle une couronne attendant d'être portée avec fierté, révélé au monde entier. Cela correspond parfaitement à l'état d’esprit de la demoiselle qui a voué sa vie à servir son seigneur, le Primera Espada depuis peu. Elle a ainsi mis sa volonté de gouverner le monde de côté, pliant le genou avec fierté. Fier de le servir. Fier de l’emmener au sommet du Hueco Mondo.


    Pour lui, elle serait prêt à tout. C'est ceci qu'elle s'est juré. Quitte à mourir dans sa tâche dans le seul but de le protéger. Presque trop protectrice, si elle se laissait aller à ses instincts, elle trancherait tous ceux qui voudrait poser la main sur son maître. Les autres cafards de ce monde ne le méritent pas tout simplement. À peine elle-même, en offrant sa vie et son épée s'approche de ce statut...

    Le masque de Gaia est donc placé sur son front, presque hors de vue. Lors de l'arrachage pourtant, une large trace a été laissé au niveau des yeux. Une cicatrice légère mais définitivement là. Le genre qui attrape le regard surtout quand le visage de sa propriétaire est si gracieux. Car la Fraccion est belle, très belle même. Fine et musclé, doté de longs cheveux blonds flottant au vent, ses robes ou armures moulent son corps de guerrière comme son corps de femme ne laissant que peu de chose à l'imagination.



    Lorsqu'elle porte ses habits de religieuse, bien qu'elles ne les considèrent pas comme tels, tout le noir est rehaussé par quelques touches de blanc. De longs gants lui montent jusqu'au-dessus du coude comme des collants lui arrivent à mi-cuisse. La jeune femme n'accorde que peu d'importance au nombre de centimètre carré de peau à l'air libre. Elle pourrait se balader nue que cela ne la dérangerait pas plus. Pour Ezequiel par contre, par respect, la voici couverte de la tête aux pieds. Elle ne lui a pas demandé son avis là-dessus, s'imposant ce devoir en plus des autres aussi naturellement que quelqu'un respire.

    Vient pourtant le temps des combats. La magnifique échange alors sa robe pour un ensemble de plaques : épaulettes, gantelet, jambière ou encore bottes d'aciers. Un attirail lourd, peu élégant, totalement pensé dans le sens pratique. Sa force d'Hollow lui permet d'agir à sa guise, gardant force et vitesse malgré le poids. De même, elle manie sa claymore, dépassant les deux mètres d'une main sans aucun souci. Le fait d'en attraper la garde avec ses deux mitaines est simplement pour frapper avec une puissance accrue.

    Vous avez déjà pu le comprendre, Gaia est une fraction loyale dans une vie rythmée par le devoir. Elle se met une pression terrible pour répondre aux attentes de son seigneur car rien d'autre n'importe. Son but est simple, emmener Dark Ezequiel au sommet. Sommet du monde, sommet du Hueco Mondo, sommet de l'univers s'il le faut. Elle a plus de mal à naviguer dans les troubles rivières politiques qui affluent à Las Noches mais son désir de satisfaire le Primera la force à s’améliorer de jour en jour. De fait, la jeune femme n'a que peu de loisir. Son boulot passant avant tout et ce n'est qu'une fois celui-ci terminé qu'elle se permet d'errer plus négligemment. Mais même ainsi, elle tente de garder un œil sur son maître, objet de toutes ses pensées.

    Finalement, ce nom... Gaia. Un nom qu'elle c'est elle-même arrogé dès l'époque où elle n'était qu'un Menos Grande. Il représente la Mère Terre. La puissance du sol, la solidité. C'est de cette terre, factice ou non qu'elle estime tirer sa puissance. C'est cette solidité, ce roc, qu'elle veut devenir.

    Que cela soit son épée ou ses ronces, elle coupera tous ceux sur son passage.




    Description de votre pouvoir : Il s'agit ici de décrire rapidement votre pouvoir afin que nous puissions déjà statuer dessus.

    Chiwonagasu... Rosa Negra ! (Fait couler le sang, rose noire).


    Lorsque Gaia libère ses pouvoirs, elle redevient la reine des ronces. Recouverte de ses végétaux dans une forme humanoïde, elle est capable de les faire pousser à volonté pour créer diverses formes allant d'animaux mus par sa volonté à de simples épées entortillées. Dotée d'un large spectre de possibilité, elle peut aussi bien créer des pièges pour enfermer l'ennemi ou projeter des ronces à distances

    Histoire : (25 lignes au minimum)



    Chapiter 1 : Breathe of a Life.


    Loyauté avant tout. Voici ce qui m'a été enseigné il de ça des centaines d'années. Mon nom s'est perdu dans les abîmes de l'histoire tout comme celle de ma mémoire. Si je me souviens de mon existence précédente, ce n'est que par le prisme des rêves, la clarté de la mort. Je suis né dans une famille noble et puissante à l'aube du dix-neuvième siècle. Une période dangereuse pour les miens. Une période qui me verra périr comme tant d'autres. Je me rappelle encore étrangement du blason de ma maison. Il était gravé dans le poche d'entrée, l'aigle étendant ses ailes protectrices et majestueuses au-dessus d'un carré où un basilic reposait, éventré. Nous étions les protecteurs du mal, comtes des montagnes et des marches d’Espagne.

    Je suis né dans une famille nombreuse et aimante selon les critères de l'époque. Très tôt on m'enseigna les lettres et les comptes pour pouvoir gérer ma propre maison un jour. Très tôt je vis des potentiels maris également. Pourtant, alors que mon père négociait d'une main et nouait des alliances de l'autre, je ne me voyais nulle part autre que dans les bras du seigneur. L'appel de la religion, plus fort que tout me poussa à m'éloigner des miens et des promesses de vie grasse. Grasse de richesses physiques mais pauvre d'esprit. J'ai souvent plaint ce qui n'était presque plus les miens alors que j'avais trouvé le bonheur dans la pauvreté. On me confia à un ordre de sœur, me plaça dans un couvent. Un couvent particulièrement honorable, bien entendu. Il ne faudrait pas viser plus bas que ce que me permettait ma haute naissance.

    J'ai donc trouvé le salut dans une vie de prière, plongé en mon for intérieur, écoutant que mon Dieu, me désintéressant du monde extérieur. Quelquefois seulement, je rendis visite à mes parents. Le plus souvent lorsqu'ils avaient besoin de se rassurer sur l'au-delà, de faire des dons ou que je leur prodigue quelques conseils. Ils avaient bien un prêtre mais les liens du sang les poussaient de préférence à mon encontre. Je ne les refusais pas mais ne les encourageait pas non plus.

    Mais mon époque a voulu la monter d'une chose ridicule. Une vague bleue teinté de sang. Si les intentions étaient bonnes, elles ne tardèrent pas à baigner dans le chaos et la barbarie. J'ai beaucoup appris durant ces quelques années. Su moi. Sur mon Dieu. Je l'ai beaucoup questionné mais au final, j'ai choisi de faire acte de foi. Croire en lui, croire qu'il l'avait décidé et que cela était son plan. Aussi, lorsque vint mon heure, à peine âgé de dix-sept ans et que je me faisais égorger pendant qu'on me volait ma virginité, je n'eus pas peur. Je me suis défendu bec et ongles oui, j'ai refusé la lame mais je n'ai pas eu peur. Je savais que, enfin, je pourrais me baigner dans sa lumière.

    Que n'avais-je tort. J'étais coincé dans les limbes. Pas totalement morte mais pas totalement vivante non plus. Invisible aux yeux de tous, intangible mais bel et bien consciente de mon état. Cela ne dura que quelques jours mais ce fut les plus horribles de ma vie. Durant ces instants de solitude extrêmes, même préparé par ma vie terrestre, je ne ressentis pas cet abandon d'une force sensationnel. C'est là que j'ai perdu la foi. Un tel simulacre d'existence ne pouvait exister avec un Dieu bienveillant. Je ne méritais pas ça, pas après toute une vie passée à prier et à servir le seigneur. Aussi pleurais-je. Je maudis tout être ayant jamais existé et plus que tout, celui qu'on m'avait fait adorer. J'ai fui des jours durant s'en savoir où j'allais, emmagasinant en moi colère et haine. J'avais passé dix-sept années à refouler mes plus bas instincts et sans l'aide de mon protecteur, il grossissait en moi avec plus d'envergure. Je m'en gorgeais même.

    Presque malheureusement, un jour, même ma haine ne fut pas assez forte. La douleur prit alors place en moi. Une douleur sensationnelle que j'avais refoulée sans même soupçonner son existence. Une douleur telle qu'elle vous immobiles sur place. Je devins une larve recroquevillée sur moi-même, hurlant le mal qui me terrassait jusqu'à m'en briser les cordes vocales.


    Chapitre 2 : La faim justifie les moyens.

    Dans ces conditions on est prêt à tout pour que cela cesse. S'arracher un bras, se crever les yeux... cela paraît rien en comparaison. Pour ma part je ne fis rien de tout ceci, seulement car la douleur de ma chaîne m’empêchait de bouger ne serait-ce qu'un pouce. Bien des années plus tard, grâce à une nouvelle éducation et surtout une nouvelle conscience j'apprendrais que cette chaîne était la cause de tout. Les derniers restes de mon humanité y était métamorphosé, me gardant sur terre dans le mince espoir d'être envoyé au paradis. Aucun ange ne vint pourtant me montrer la voie jusqu'à Saint-Pierre. Il en découle une haine de ses « dieux de la mort » encore aujourd’hui. Car ILS ont fauté. ILS m'ont abandonné. Et par eux, Dieu le Père est le plus pécheur de tous.

    Mon errance prit donc fin dans un dénuement le plus total. J'étais la souffrance faite âme et lorsque les derniers morceaux s'en furent, je m’effondrais en moi-même. Quasi littéralement, un vide se créant dans cette enveloppe me servant de corps. Quelques secondes plus tard, je n'avais plus mal. Je n'avais plus rien d'ailleurs. Vide dans le fond comme dans la forme. Vint ensuite la faim. Ce fut une période bénie après le calvaire. J'avais traversé le tartare et étais arrivé aux Élysée comme le disaient les textes classiques. Une faim insatiable. Je me rappelle encore de nos chiens lorsque j'avais à peine cinq ou six ans. Ils mangeaient tout ce qu'ont leurs donnaient, se goinfrant en quelques instants. Je faisais de même. La Révolution avait amené des torrents de morts, me permettant de continuer à dévorer sans cesse. Je n'avais aucunement besoin de me déplacer, devant le prédateur ultime. Le haut de l’évolution. Parfois, nostalgique, je repense encore à ces précieuses nuits éternelles. Des moments d'une facilité et d'un bonheur sans fin.

    Vinrent alors les premières rencontres avec mes semblables. Il y eut ces moments étranges, incapable de choisir entre allié et ennemis. Des minutes ou personnes ne bougent. Au début, ce fut sporadique, chacun dévorant les âmes alentour avant de continuer sa route. Les années passantes, le charnier qu'était la révolution amena toujours plus de morts avec les guerres de l'empire. Mais même celui-ci finit par s'éteindre et ne laisser que des landes d'êtres vivants. Alors, il ne resta plus que types d'âmes alléchantes. Celles des shinigamis et celles des confrères hollow. Autant dire que la première fois que vous rencontrez l'un des porteurs de shikahusho, si vous survivez, vous y repensez à deux fois avant de l'attaque. Ce fut mon cas. Attiré par un hollow gigantesque, camouflé même de par sa masse, je le vis se faire sectionner comme s'il n'était rien. Un instant, la peur se mêla à ma faim, quelques choses vous poussant à fuir, aussi vite et loin que possible. Depuis ce jour, je choisis de m'attaquer à plus petit que moi.

    Ce que je fis de manière encore plus acharnée jusqu'à viser des êtres plus larges que moi-même. Plus je mangeais et plus j'avais faim, plus je mangeais. Engagé dans un cercle sans fin je me rendis à peine compte de mon changement de statut. Aujourd’hui encore, il m'est presque plus difficile de me rappeler de ma période Gillian que de ma vie terrestre. Toujours motivé par un seul élément, je traversai les barrières spirituelles pour arriver dans le monde de sables blanc. Nous étions nombreux à nous déplacer comme une meute placée sous le même étendard. Pendant un temps incalculable, je fis pleine partie de cette meute. Un jour pourtant, j’ouvris les yeux. Tout autour de moi exister des hollows, des âmes appétissantes qui me montraient aucune animosité ou protection. Perturbé, je finis par céder à mon envie principale, dévorant à pleines dents mes compatriotes. Hurlant ma joie dans le ciel noir.


    Chapitre trois : Une épine dans une botte de Hollow

    Une nuit, je ressentis de nouveau cette étrange sensation qu'est la douleur. Je me sentais torturé, percé sur toute la longueur de mon corps lourd et sombre. Je me sentis me déchirer de l’intérieur, éplucher par mes propres forces. Mes hurlements de joie c'étaient vite transformé en cri de souffrance. Lorsque j’ouvris mes yeux. Mes vrais yeux, pas d'immondes simples fentes de menos, j'étais sur le sable blanc du Hueco Mondo. Je haletais, crachait mes poumons même, ressentant leur présence pour la première fois. Tout mon corps était embourbé dans des liquides mauves, bouillit de ce que j'étais auparavant.

    Ma main crispé sur les innombrables grains de sable, j’aperçus enfin sa texture, son étrange aperçut rêches et torturés, recouverts de piques et de fils. Une fois debout, je pus me contempler dans toute ma splendeur. J'étais magnifique !

    Ma chevelure flamboyait des couleurs du brasier, tombant profondément dans mon dos. Sur tout mon corps, des ronces s’emmêlaient dans un dessin précis, un labyrinthe que seule Lucifer lui-même aurait pu créer. Comment l'harmonie d'un tel chaos d'apparence était possible ? Je n'en savais rien mais j'en avais les larmes aux yeux. Je suis alors devenus reine. Reine d'épines, reine chasseresse. Reine vengeresse. Mes serres s'enserraient profondément dans les corps de mes camarades hollows, prolongeant mon existence encore et encore. J'étais la mort incarnée...jusqu'à ce que je le rencontre.

    Dark Ezeiquiel. J'ignorais tout de lui, je m'en moquais royalement d’ailleurs. À mes yeux, il n'était qu'une proie parmi tant d'autres. Un simple goutté sur mon chemin vers la grandeur. Ce n'est pas à moi de conter notre rencontre. Pas réellement tout du moins. Je n'étais que trop dans l'erreur. J'étais ambitieuse et en voulant voler trop haut, mes racines ont lâché le sol. Mon retour sur terre fut des plus douloureux. Ce fut une chute sensationnel, difficile, autant mentalement que physiquement. En tout point, il était meilleur que moi. Pour la première fois, la toute première fois je compris le terme de « Roi ».

    J’eus l’impression de regarder le soleil lui-même tellement je me sentis minuscule, inutile. Aussi, lorsqu'il me laissa partir, je n'en demandai pas plus. Fuyant aussi vite que possible, je partis me cacher aux confins du Hueco Mondo. Pourtant, en moi, une seule volonté existait : Revoir cet étranger. Trop impressionné pour me l'avouer à moi-même, je continuais mon existence solitaire, acquérant puissance et pouvoir comme une danse de dragons jumeaux. Les légions Quincy vinrent quelque temps plus tard régner d'une main de fer dans nos terres froides. J'eus ma part de combat, même aux extrémités de mon monde. Rien de bien valeureux ou glorieux. Mais je n'en avais cure car, il n'existait plus qu'un but ici : Survivre. Grandir. Retrouver la seule lumière de la nuit éternelle.

    Dans ma routine meurtrière, je finis pourtant par heurter un mur. Un mur contre lequel je me battis sans cesse avec toute mon énergie puis tout mon désespoir. Ce fut alors avec ce désespoir que j’abandonnai toute idée de passer ce mur. La rage m'envahit, le dégoût me prit à la gorge. Dans un geste totalement suicidaire, j’agrippai mon masque, l'arrachant dans une gerbe de sang et des hurlements à terrifier les morts. Le monde déjà enténébré ne devint plus qu'une succession de teinte plus sombre les unes que les autres seulement pour me réveiller encore une fois sur le sable blanc.

    Telle la roue, j'étais revenu à mon point de départ ou tout du moins le croyais-je. Dans ma main droite, là où je pensais apercevoir mon masque brisé, une immense claymore reposait, s'enfonçant dans le sable des dunes. Alors enfin, un rire démoniaque s'échappa de mes lèvres. Je sentais mon reiatsu s'agiter en moi. Plus chaotique mais plus puissant, plus destructeur. J'avais mis le mur à bat. Je l'avais réduit en miettes et n'en étais sorti que plus forte. Enfin. Enfin. Lorsque je me relevai, c'était le dos droit et la tête haute. Je pouvais enfin le retrouver et plier mon genou avec fierté.



Dernière édition par Gaia le Jeu 27 Juin - 10:10, édité 3 fois
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Melody MacKenzie
Gaia [terminée] Hum-ind
Melody MacKenzie
Rang : Ϟ Espiègle Valkyrie

Messages : 2108
MessageSujet: Re: Gaia [terminée]   Gaia [terminée] Icon_minitimeJeu 27 Juin - 9:15

Rebienvenue,

Juste pour te dire que tu ne pourras dans tous les cas pas être Vasto Lorde puisque même certains membres de l'Espada ne le sont pas alors que celle-ci est censée être constituée des dix plus forts. Il ne serait donc pas cohérent d'en avoir en-dehors de celle-ci mais qui sont néanmoins rattachés à Las Noches.

Merci de ton attention !
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Slovodan Mitrovic
Gaia [terminée] Hum-ind
Slovodan Mitrovic
Rang : Raijin

Messages : 91
MessageSujet: Re: Gaia [terminée]   Gaia [terminée] Icon_minitimeJeu 27 Juin - 10:09

Prez terminé patron o/
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Chikusa Heiji
Gaia [terminée] Shi-cap
Chikusa Heiji
Rang : Nana Bantai Taisho

Messages : 557
MessageSujet: Re: Gaia [terminée]   Gaia [terminée] Icon_minitimeSam 29 Juin - 13:52

    Yosh !

    Validé au niveau 2 en tant que fraccion du primera. Tu bénéficies de 15 PC pour réaliser ta fiche technique.

    Bon jeu sur BBS ! :3
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MessageSujet: Re: Gaia [terminée]   Gaia [terminée] Icon_minitime

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Gaia [terminée]

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