AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion

CreativeJuiz

OuvrirFermer






Le forum est fermé. Vous pourrez nous retrouver sur notre nouveau projet ICI
-28%
Le deal à ne pas rater :
Brandt LVE127J – Lave-vaisselle encastrable 12 couverts – L60cm
279.99 € 390.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Saiwai Naoko

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Saiwai Naoko
Saiwai Naoko Viz-ind
Saiwai Naoko
Rang : Vagabonde

Messages : 161
MessageSujet: Saiwai Naoko   Saiwai Naoko Icon_minitimeLun 23 Sep - 1:14

Saiwai Naoko


    Âge : J'avais à peine la vingtaine quand je suis morte. Maintenant, bah ... Vous savez, on arrête de compter après 400 ans ...
    Race : Vizard par ennui, hmm ?
    Votre précédent rôle : Un quelconque siège à la sixième division ...
    Description de votre personnage :

    Je n'ai pas toujours été comme vous me voyez, là maintenant. Physiquement parlant, comprenez-moi bien.

    Mes boucles n'ont pas toujours été du vif écarlate, je me les suis teintes il y a peu. Mes yeux jades, j'ai usé de lentilles de contact pour leur égayer un brin. Il y a encore plus longtemps, mes traits étaient moins durs. Ils n'avaient pas encore connu la réalité. Mais ce qui reste toujours, en tant de siècles, est ce petit sourire en coin. Par dépit ou par insolence, il n'a pas souhaité se départir de moi, tel un vieux camarade. Malgré ce qui a été vu et vécu, il reste. Et je ne m'en départirai qu'à l'inéluctable fin.

    Mais celle-ci a-t-elle un sens quand on est déjà morte ? Je me perds dans la brume ...

    ... Vous me parliez ..? Vous souhaitez que je continue ? Ah, oui, je ... crois que c'est ce qu'il faut, nan ..?

    De quoi parlions-nous déjà ? De mon physique ? Je ne suis que banale, affligeante dans la banalité si ce n'était par les artifices dont je me suis dotée. Mon visage est peut-être de traits durs, mais ils sont surtout de traits fins et quelconques. Mon corps ne se démarque pas par des caractéristiques formidables, et reste dans la moyenne des femmes asiatiques, avec son mètre soixante et une petite cinquantaine de kilos, cinquante-cinq si on me mouille et qu'on m'habille de maille de la tête aux pieds.

    *rire*

    Cette cicatrice là, celle qui sabre mon œil droit ? Pendant une bataille, un Hollow gigantesque ! Un Gillian ! Il m'a balancé son Céro, j'ai paré mais pas assez vite ! Mais bon, je l'ai quand même abattu, hihi ... *sourire vague* Quoi ..? Je suis pas très crédible ? Bah. A force de mentir, ça finira par devenir vrai, nan ..? Parce que bon, en toute vérité, c'est qu'en nettoyant l'armurerie, j'ai eu un accident ... Et ça fait des chocapics. Et c'est pas glorieux.

    Hu ..? Oui, oui, j'suis réveillée, je reste avec vous ... Je ... Je me suis juste, égarée.

    Si je pouvais décrire ma personnalité, vous dites ? Hmm, c'est compliqué. Les choses ont changées. Beaucoup trop changées ? Oui, oui, oui ... Avant, une avait un devoir, un objectif à poursuivre. Elle était encadrée, elle savait d'où elle partait et où elle devait arriver. Maintenant ? Plus aucun repère, ou alors trop. Ou alors je ne les vois pas, qui sait ? Trop de liberté, beaucoup ... Trop. Les gens n'ont jamais su quoi en faire, de la liberté, oui ! Regardez aujourd'hui, ils courent tous, ils courent ! Ils parlent de liberté ! Mais ils courent nulle part, courent dans le vide ! Oui, trop de liberté ... C'était mieux à l'époque ... Il y avait des règles, une savait à quoi s'en tenir. Mais une est allée trop loin, et elle n'a plus que ça, la liberté ...

    Vous savez ... J'ai été instruite pour devenir un parangon de droiture. Un modèle de vertu, qui inspirerait son prochain. Mais une n'est plus ça, ou n'est plus tout à fait ça.

    ... Je ne suis pas claire ? Ce n'est pas clair non plus pour moi ...

    ... Dé-Désolée, je m'égare à nouveau ... De la brume, vous voyez ..? Nan ? Qu'importe ...

    J'apprécie ce monde, et l'autre. Ils ont tous une beauté qui leur est propre. Une beauté issue de l'ordre, de l'équilibre ? Je ne saurai qualifier équilibre, mais c'est ce qui sonne le mieux dans mon psyché un brin tordu. Maladroit. Est-ce que je vous ai parlée de ma maladresse ? *rire* Oh oui, terriblement maladroite, dans la vie comme dans la mort. Je me blesse toute seule, je me perds dans des endroits familiers, je fais n'importe quoi de mes mains, une vraie calamité en somme ! Pourtant, j'arrive à attirer la bienveillance de mon entourage. J'ai le rire facile, j'ai une répartie cynique qui peut avoir son charme, je suis assez attentionnée et ...

    ... Ah ..? Nous parlions ..?
    ... Ah, oui ... Cette discussion, la notre ...

    Vous savez, moi ... Ce que j'aime le plus, c'est contempler le ciel. Un ciel sans nuage, et vous avez un sanglant bleu dans lequel se perdre. Un ciel nuageux, et vous passeriez des siècles à deviner toutes les sculptures célestes. Il peut pleuvoir ou neiger, cela reste tout aussi beau. Sentir la pluie et la neige sur mon visage, sensations exquises. Donnez-moi juste un peu de musique de ma contrée, quelques barres de chocolat et vous ne trouverez pas femme plus heureuse que moi !

    Comment ça ? Ça n'a aucun rapport avec notre discussion ? Ah ... Oups ?

    Description de votre pouvoir :

    Une est une demoiselle douce, et une ne peut se battre qu'avec une arme à son image. Mon zanpakuto est un sabre tout ce qu'il y a de plus classique, avec un manche qui ne se démarque pas d'un autre.

    *Hurle, Hangyaku.*

    Spoiler:

    Hangyaku est un Zanpakuto un peu chelou, même selon mes propres critères. D'arme, il n'a que le nom. Sa forme, est celle d'une pipe chinoise, aussi grande que moi. Ce que ça me permet de faire ? Bah, je peux inspirer la fumée bleuâtre à l'intérieur, et je peux la souffler. Ça sert à rien ? Un peu, dit comme ça. Sauf que la fumée que je souffle est solide. Et que je peux lui donner la forme que je veux.

    Histoire :

    *Qui suis-je ..? Une bonne question, agréable lecteur.
    Je suis l'héritière de ceux pour qui la justice est l'unique voie. De ceux nés avec le devoir, et non le droit, de prendre les décisions qui mèneront leur peuple vers un plus grand bien. De ceux dont les annales comptent l'histoire de leur création jusqu'à leur extinction, à l'exception de 15 uniques jours. Nous sommes les rêveurs qui ont un jour souhaité avoir un Matin Calme.

    Mon nom est Hyuna, et j'appartenais à la dynastie Joseon.*



    Chapter I : Once upon a time ...



    Il y avait un crépitement. Le crépitement caractéristique des bûches se consumant dans l'âtre d'une cheminée. Mais il était partout. Il était puissant. Il me cernait, et les flammèches, flammes ... Partout. Et j'étais assise, attendant. Je me souviens que j'avais mordue ma lèvre inférieure, par réflexe. Je me souviens que j'étais étrangement calme, alors que je lissais mon hanbok. J'étais sereine. Résiliée. Et en même temps, je m'estimais chanceuse. L'être humain vit dans la crainte d'une mort inéluctable mais dont il ne connait jamais l'arrivée. Ce n'était plus mon cas.

    - Pardonnez-moi, princesse ...

    DosongJil était resté jusqu'à la toute fin. Il était garde royal, c'était son devoir. Il était née pour ça. Et je comprenais sa peine.
    Je m'étais contentée de sourire, un sourire un peu triste.

    - Il n'y a pas de place pour les regrets, à la toute fin.

    Il y eut un craquement sinistre.

    ___________________________________________________

    Père, pourquoi tout est si ... sombre ..?

    - Non !

    Réveil en sursaut. Sueurs froides, cœur qui bat la chamade, poigne d'acier à la gorge.
    Autour de moi, juste ma chambre. Pas de feu, pas de garde, juste moi dans mon lit. Quelques posters sur les murs, une fenêtre voilée de rideaux, un PC, des meubles tout ce qu'il y a de plus classique pour une chambre du XXI siècle. Alors, pourquoi tout me semble si ... Si ... Étranger ? Dans la pénombre, je devine des formes. Effrayantes. Mais alors que mon œil s'habitue, je vois les contours d’éléments anodins. Je pète un plomb ...
    Je retourne sous les draps, regarde le réveil matin. 4:54. Dans un peu plus de deux heures, je vais devoir me réveiller. Me saper, prendre une douche, et partir au taf. Et j'aurai encore une sale gueule, vu que j'aurai encore une fois dormi qu'à moitié. Je soupire, je me retourne. Peur de fermer les yeux.

    De voir à nouveau en grandeur nature, le sac de Séoul de 1592.


    Chapter II : ... There was a princess in an odd world ...


    Je ne sais pas pendant combien de temps, j'ai vagabondé au Rokungai. Je sais juste que j'avais l'impression de ne pas y être à ma place. Que les choses n'étaient pas comme elles devaient être. De ma naissance jusqu'à ma mort, je savais à quoi m'en tenir, j'avais à suivre les règles du palais, l'étiquette, les ordres de Père. Cette nouvelle liberté, cette misère ... Je ne savais pas quoi en faire. C'est naturellement que je me suis dirigée vers une organisation qui pouvait me donner cet encadrement dont j'avais tant besoin : L'Académie Shinô. Il me fallait passer l'examen d'entrée trois fois avant de le réussir. Je ne parlais même pas parfaitement la langue lorsque j'ai été admise. Mais au fond, ça n'avait aucune importance. On me comprenait, et je comprenais ce qu'on me disait. Je n'avais besoin que de ça pour servir. On m'a remis mon Zanpakuto, et dans les mois qui suivaient son nom se révélait à moi : Hangyaku.

    Et tout allait pour le mieux, au sein de la sixième division à laquelle on m'avait intégrée. Pas de poste de prestige, mais qu'importe ? Cela n'avait pas tant d'importance. Je crois.

    ___________________________________________________

    - Mais qu'est-ce t'as fait avec ton œil, toi ?!

    - Oh ça ? Je nettoyais l'armurerie quand, bah, j'ai trébuchée et les armes me sont tombées dessus !

    J'avais souri, de façon un peu maladroite. Maladroite, c'est ce qui revenait souvent à mon sujet.
    Takuma a passé sa main sur son visage, dépité. J'arrivais pas trop à l'en vouloir, je me dépitais moi-même. Je me contentais de revenir à ma tâche, à savoir le balayage de la cour intérieure.

    - T'es vraiment irrécupérable ...

    - C'ta mère qui est irrécupérable.

    - Même toi tu te permets d'être méchante avec moi ?! Et bah, j'suis vraiment au fond du trou ...

    Je me permets de rire, avant de lui balancer un petit caillou. Pas pour lui faire mal, juste pour l'embêter.
    Il me fait un signe de la main, contrit. Mon sourire s'accentue.

    - Ouais bah, on va aller à la cantine là, tu viens ?

    - Voui voui, j'te rejoins dès que j'ai fini !

    - Tarde pas trop, et évite de te paumer en route.

    - Tu me connais ...

    - C'est bien pour ça ...

    Il me sourit, je lui souris. Je le regarde partir, jusqu'à ce que sa silhouette disparaisse au coin d'un couloir.
    Là est ma place, définitivement.

    ___________________________________________________

    - Nao' ... Arrête de zoner ...

    - Hein ..?

    - Ta tartine va se casser la gueule, et tu vas encore te saloper le pantalon.

    - Ah. Ouais.

    Je secoue la tête, alors que je reviens à l'instant présent. Je suis assise sur une vieille chaise en bois, dans une cuisine exiguë. En face de moi, y'a Tomoe qui me regarde en fronçant les sourcils. Du coté de la porte, à ma gauche, y'a Soei qui contemple d'un regard vide le grille-pain'. J'ai toujours eu l'impression qu'il appréciait plus sa compagnie que la mienne. Je croque dans ma tartine, avec l'impression de mordre dans du carton. Carton goût fruits des bois, attention ! Je fais une grimace, toujours dans les vapes.

    Tomoe boit son café, alors qu'elle lit les news. Elle ne trouve pas ça intéressant, mais ça fait d'elle quelqu'un de normal. C'est ses mots, pas les miens ! Mais je dois avouer qu'on a bien besoin d'une dose de normalité, ici. Une colloc' avec deux Fullbringers, c'est compliqué, pour pas dire autre chose ...

    - 'faudrait penser à acheter des bières.

    Je rectifie ce que j'ai dit : C'est la compagnie du frigo' qu'il préfère.


    Chapter III : ... She had to choose between her two duties ...


    Vous savez, quelque chose que l'on ne vous dit pas quand vous intégrez le Gotei 13, c'est qu'une fois que vous devenez Shinigami, vos précédentes allégeances n'ont plus de valeur. Mais bon, c'est admis. Tout le monde le sait, de façon implicite. Ou alors, personne ne se souvient de sa vie, d'avant. D'avant la mort. C'est sûrement pour ça que c'est aussi simple pour eux, d'être aussi détachés des évènements se passant sur Terre. Même moi, je dois vous avouer, j'ai commencé à les prendre à la légère. Les guerres ? On les appréhende avec cynisme, c'est juste du travail en plus. Famine, génocide, épidémie ? La même. Quand on meurt, on arrive à prendre avec plus de légèreté beaucoup, beaucoup de sujets ...

    Alors, qu'est-ce que je faisais au milieu de ce camp militaire japonais, installé au sud de la Corée ?

    Trois fois rien. J'étais juste venue leur dire coucou. Hihi. Nan en fait. J'étais venue les tuer.
    Pourquoi ? Parce que c'était la deuxième fois. La deuxième fois en quatre siècles qu'ils envahissaient ma contrée. Et que cette fois, je n'allais pas attendre tranquillement d'être brûlée vive. Je marchais dans le camp, silhouette solitaire au milieu de soldats ne se doutant pas de ma présence. De leur fin. J'avais violée quatre ou cinq règles de la Soul Society, juste en me trouvant ici. Après ce que j'allais faire, j'en aurai violée quatre ou cinq autres.

    Je savais ce qui m'attendait, après ça. Et ça ne m'empêcherait pas d'aller jusqu'au bout. J'avais fait un sermet, à mon entrée au Gotei 13. J'avais hésité longuement, avant d'agir ... Mais ...
    ... Avant d'être Shinigami, j'étais une Joseon. J'ai promis à mon pays de le protéger. Et cette promesse transcendait la mort.

    ___________________________________________________

    - Vous avez quelque chose à dire pour votre défense ?

    - Nan.

    - Bien. Pour être intervenue dans les affaires des Humains, pour avoir provoqué un massacre d'envergure 2, usé d'un Papillon de l'Enfer pour un dessein fallacieux et pour avoir quitter votre poste, Saiwai Naoko, vous êtes condamnée à 500 ans d'emprisonnement au Quatrième Niveau d'Ujimushi no Su.

    Sincèrement ... Je ne m'attendais pas à mieux. Mais je n'ai pas pu m'empêcher de prendre ça légèrement.
    De garder le port altier et de sourire. Même si des raisons d'être heureuse, il n'y en a aucune. Ma dynastie vient de s'éteindre.

    ___________________________________________________

    Les jours passent et se ressemblent, ici. Quand je me réveille, je ne sais pas si il est jour ou nuit. Ou même quel jour il est. Ou même si un quelconque jour est passé. L'impression que je suis là depuis toujours. Depuis jamais. Il n'y a pas de ciel à contempler, juste un plafond qui se perd dans le noir. Mais est-ce que le ciel a-t-il un jour existé ? Est-ce qu'avant, ma vie d'avant, ma vie et ma mort, ont-elles été autre chose qu'un vague rêve ? Plus le temps passe, et plus je me le demande.
    Tout se perd, dans le noir, dans le vide, dans la brume. Tout a ce quelque chose d'irréel qui me fait douter de ma propre existence. Et parfois, il y a des hurlements. Mais viennent-ils d'autres captifs, de moi-même, ou de l'intérieur de ma tête ?
    Même ça, je ne saurai le dire. Tout est pareil, ici.

    Fuir, les hurlements me disaient de fuir. Puis, ils m'ont dit d'autres choses. Des choses dont je ne me souviens plus, empreints d'une malveillance sans précédents. Qui me hantent dans mes moments de léthargie. Des paroles blasphématoires ...
    Il y a eu d'autres hurlements, mais tout ceci se perd dans la brume ...

    Même cette explosion, je l'ai prise pour une vague divagation de mon esprit paumé. Même ce rayon de soleil, je n'y ai pas cru. J'ai pensé à un tourment de mes tortionnaires, mais ils ne m'en avaient jamais fait aucun. J'ai vu des silhouettes courir, fuir. Ce qu'il s'était passé ? Je n'en avais aucune idée. Mais une chose était sûre. Mon passé a un jour existé. Et si je veux avoir un futur, il serait mieux que je m'éclipse. Et vite.

    Je ne le savais pas encore, mais les Sternritters avaient lancé leur assaut sur la Soul Society.


    Chapter IV : ... And now, the tale is just waiting for a pen to write ...


    Je suis assise à un banc, là. Le parc est un petit parc de banlieue, et il n'y a pas beaucoup de monde. Ça se comprend, le ciel est couvert de lourds nuages gris. Et mon regard est rivé sur ladite voûte stellaire, attendant. Si le ciel avait été découvert, j'aurai pu voir le sillon sanglant laissé par le soleil sur l'airain du crépuscule. J'avais l'habitude de ce spectacle, et je ne m'en lassais pas. Aujourd'hui, je me suis faite engueulée. Pour changer. 'faut dire que je suis d'une maladresse ... Je comprends même pas pourquoi j'ai pas été virée depuis le temps. Ah. Sûrement grâce à mes copains d'ici. Ils se sont arrangés pour me trouver un corps artificiel. Des papiers, un appart', un job, une université. M'ont appris à vivre dans ce monde moderne. Avec tout ce genre de trucs dont les humains ont besoin.
    C'était pas aussi compliqué, à l'époque où je vivais.

    La pluie commence à tomber. Je sens les premières gouttes sur mon visage.
    Et je ne peux m'empêcher de sourire.

    ___________________________________________________

    - Vous avez été rapide.

    - Repérer une telle source de Reiatsu n'a rien de très compliqué, héhé. Mais t'aurais fait quoi, si ça avait été quelque chose de moins amical qui serait tombé sur toi ?

    - J'aurai fait ce que j'aurai pu. C'est pas comme si j'aurai eu le choix, de toutes façons.

    - Une réponse bien cynique, on va bien s'entendre toi et moi. Alors dis moi, inconnue, as-tu un nom ?

    - Saiwai Naoko.

    - Et qu'est venue chercher le Bonheur ?

    - Un endroit où l'être, heureuse.

    - Oh, bah ... On va pouvoir s'arranger, héhé ...


Dernière édition par Saiwai Naoko le Lun 23 Sep - 23:26, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1486-saiwai-naoko
Saiwai Naoko
Saiwai Naoko Viz-ind
Saiwai Naoko
Rang : Vagabonde

Messages : 161
MessageSujet: Re: Saiwai Naoko   Saiwai Naoko Icon_minitimeLun 23 Sep - 22:16

Juste pour dire que c'était terminé, j'espère que vous aurez une bonne lecture !

Bonne soirée ^^
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1486-saiwai-naoko
Chikusa Heiji
Saiwai Naoko Shi-cap
Chikusa Heiji
Rang : Nana Bantai Taisho

Messages : 557
MessageSujet: Re: Saiwai Naoko   Saiwai Naoko Icon_minitimeMar 24 Sep - 0:22

    Yo !

    Franchement, je le dis rarement comme ça, mais j'ai vraiment adoré ta présentation. Nickel. Le seul bémol, c'est que ton perso ne devrait pas se rappeler de son ancienne vie sur terre. Encore qu'elle aurait pu avoir quelques souvenirs, mais bon. Cette grosse incohérence devait te faire recommencer ta fiche, mais le staff s'est concerté et on a décidé que c'était bon, compte-tenu de la qualité de ta présentation.

    Validée au niveau 3 en tant que shinigami indépendante. Tu bénéficies de 20 PC pour réaliser ta fiche technique.

    Tu loupes de peu le niveau 4, mais c'est pas un mal. ^^

    Bon jeu sur BBS !
Revenir en haut Aller en bas
http://www.bleach-bsrpg.com/t1639-chikusa-heiji#12702
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Saiwai Naoko   Saiwai Naoko Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Saiwai Naoko

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Saiwai Naoko
» Ono Naoko
» Compatriote à l'arrêt [Saiwai Naoko]
» Le calme avant la tempête. [PV Saiwai Naoko]
» L'Intrusion de Chibi Karot à Karakura... Je suis Perdu! [PV Saiwai Naoko]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Bleach - Before the Shadows :: Archives :: Archives-