Avatar : Lucifel de Angel sanctuary

Parrain : Pas de parrain.

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Âge : En apparence 35 ans, âge réel 180 ans.

Race : Shinigami.

Siège demandé : N'importe quel siège me convient au sein de la 9ème division.

Description de votre personnage :

Shiban est un shinigami vieux de près deux siècle, cependant son apparence est celle d’un homme de 35 ans, âge de sa mort terrestre. Sa grande taille, environ 1m90 et sa forte musculature marque un contraste avec son poids et les traits fins de son visage. Ces yeux verts étincellants semblent être parcourus par de petits éclairs d’énergie. Les longs cheveux noir du shinigami sont parcouru de mèches blanches descendent jusqu’aux épaules de Shiban. Le jeune homme porte également une bande d’étoffe de lin au poignet droit, à la fois pour se rappeler de son passé dans le rukongai mais qui lui sert également dans ses entrainements. La tenue de shinigami que porte Shiban est quant à elle des plus classiques, seules les manches sortent de la norme en étant complètement déchirées.
Bien que d’un naturel sympathique, le visage de Shiban reste froid et déterminé. Beaucoup pense qu’il est distant et ne ressent pas de sentiment alors qu’en réalité il cherche toujours à comprendre chaque situation et à ne jamais laissé ses sentiments interféré avec son jugement.
Le corps tout entier du shinigami est marqué par tous les coups qu’il a reçus, et considère chacun de ceux-ci comme une preuve des erreurs qu’il a commises.

Description de votre Shikai (et bankai le cas échéant):

Le katana de base de Shiban est entièrement blanc. Sa garde est triangulaire et le bord de celle-ci est en or. La poignée de celui-ci est couverte d'une fine bande de soie blanche parcourue d'un liseré doré. Une fine chaine d'or pend du pommeau du katana; sur celle-ci est accrochée une plume.

Le shikai de Shiban est déclenché quand il prononce les mots : « Juge et condamne Hikarizen' ryouseigi » tout en levant le bras droit. Un grand flash lumineux aveugle son opposant pendant la métamorphose de son zanpakuto. La libération de son sabre déclenche une puissante vague d'énergie spirituelle qui détruit une partie de la tenue de shinigami de son porteur, laissant l'épaule et la jambe droite découvertes. Le katana se transforme en un imposant marteau de guerre dont le manche en fer est orné d'or, la tête du marteau est complètement revêtue d'or. L'arme du shinigami dispose de deux poignées permettant des frappes longues ou courtes en fonction de la situation. Le manche du marteau est terminé par une longue chaîne en or qui s'enroule autour du bras droit de Shiban, fait le tour de son torse puis serpente le long de sa jambe droite.

D'un point de vue technique, rien ne semble différencier ce marteau d'un autre, hormis son poids. Le marteau de Shiban est extrêmement lourd; il symbolise le poids de la peine rendue par la justice. Ce poids augmente considérablement l'impact des coups portés mais ralentit son porteur. Le Shikai de Shiban est une technique qui abandonne toute défense au profit d'un potentiel offensif servant à infliger une lourde punition à l'adversaire.

Le bankai de Shiban est déclenché en prononçant les mots « kyuukyoku Hikarizen' ryouseigi ». L'arme du shinigami devient un halo de lumière dorée qui forge une armure sur le corps même de son propriétaire. Des filaments de lumière blanche forment des ailes dans le dos de son porteur. Le marteau laisse place à un glaive de fer et d'or accompagné d'un bouclier carré que Shiban tient dans la main droite. Une longue lance dorée est également fixée dans le dos du porteur. Mon avatar représente le bankai de Shiban.

D'un point de vue technique, ce bankai renie l'offensive pour accroître la défense du shinigami. Le bouclier et le glaive permettent de bloquer de nombreux coups et l'armure que porte Shiban permet d'encaisser les coups ayant brisé la défense. La seule capacité offensive de son bankai réside dans la lance de Shiban qui inflige plus de dégâts si le shinigami est gravement blessé.

La différence de potentiel entre le shikai et le bankai de Shiban illustre l'équilibre fragile de la balance de Thémis.

(Je mentionne ici le bankai de mon personnage bien que je ne compte pas le posséder dès le départ, pour vous donner une idée de son pouvoir et avoir un retour sur celui-ci.)

Histoire :


Chapitre un : une vie terrestre emplie d'injustice


À l'heure ou j'écris ces lignes, il me semble improbable de brosser un portrait complet de Shiban sans parler de sa vie terrestre. Une vie courte, intense mais étrangement remplie d'injustice et de souffrance. Meiku Shiban est né par une belle soirée d'été au sein d'une famille profondément inspirée par la lutte contre le crime. Son père, procureur de justice comptait de nombreuses affaires à son actif, bien que rien ne puisse égaler la dévotion à la justice de sa mère, elle-même juge. Shiban eût une enfance facile, sa famille étant aisée, il ne manqua jamais de rien, de plus, le jeune garçon ne se détourna jamais du droit chemin et reçût une éducation teintée par de grandes valeurs : « justice », « honneur » et « respect ». N'ayant pas le talent de ses parents pour lutter contre la délinquance, le jeune homme décida tout de même de lutter contre ce fléau et s'engagea, à l'âge de vingt ans dans les forces de l'ordre de sa ville natale : Karakura. S'en suivirent deux années durant lesquelles il lutta corps et âme pour éradiquer le mal qui rongeait la ville et durant lesquelles il fût à maintes reprises décoré pour service rendu. La fin de cette deuxième année de service fût ponctuée par le premier évênement marquant dans la vie de Shiban, son mariage avec Shizumi, un jour de liesse qui marqua malheureusement le début du déclin de sa vie tout entière.

En effet, quelques mois seulement après leur mariage, le corps de Meiku Shizumi fût retrouvé inerte au domicile familial. La jeune femme gisait au milieu du salon, un trou béant niché entre ses deux yeux laissant écouler un flot de sang. Après une longue enquête pour tenter de déterminer le coupable, une analyse mît en lumière un fait terrible. Le pistolet ayant provoqué le décès de Shizumi n'était autre que l'arme de service de son jeune mari. Cette affaire marqua profondément la ville de Karakura et se hissa rapidement comme étant le scandale de l'année. Bien que clamant son innocence dans cette affaire, Shiban, alors âgé de vingt-deux ans à peine fût déclaré coupable et condamné à dix ans de prison. Cette déclaration attrista au plus haut point le jeune homme, non pas car il devrait passer les dix prochaines années derrière les barreaux, mais, car en ce jour, toutes les valeurs qu'il avait considérées comme étant l'essence de la vie venaient de mourrir. L'annonce de la culpabilité de Shiban eût également une autre conséquence. Sa famille le renia, il fut déshérité et plus personne ne voudrait reconnaître son appartenance à la famille Meiku. C'est la mort dans l'âme que Shiban rejoint le pénitencier qui serait son domicile dans les dix prochaines années.

Les cinq premières années de vie en prison furent terriblement difficiles pour Shiban. Il se retrouvait entouré de toute la vermine qu'il s'était juré de ne jamais côtoyé. Certains des caïds qu'il avait lui-même envoyé derrière les barreaux se firent un plaisir de lui présenter leurs amitiés et il passait le plus clair de son temps à l'infirmerie de la prison. Après cinq années de souffrance il demanda à changer de cellule pour éviter de subir le courroux des autres prisonniers. Sa demande fût acceptée et il fut conduit dans la cellule d'un certain Yugo Yamcha. Cet homme prit rapidement le rôle de meilleur ami aux yeux de Shiban. Au cours des quatre autres années suivantes, Yamcha et Shiban apprirent à se connaître, et Shiban apprit que Yamcha se trouvait lui aussi par erreur ici. Yamcha fût relâché six mois avant que Shiban ne puisse sortir de prison lui aussi et ces six derniers mois furent un enfer pour lui. Une fois sorti de prison, Shiban n'avait qu'une seule idée en tête, revoir ses parents et tenter de les convaincre de la terrible erreur dont il était la victime. Il n'eût pas cette chance. À peine sorti du taxi qui venait de le déposer devant chez lui, il entendit deux coups de feu et ressentit une terrible douleur à la poitrine. Il baissa les yeux sur son torse et remarqua deux rivières de sang qui coulaient le long de son corps. Avant même de pouvoir se retourner, il entendit ces mots :

« Voilà ce que mérite le fils de l'ordure qui m'a fait pourrir vingt ans dans une cellule ! »

Alors que le souffle de la vie semblait se dissiper dans son corps, Shiban était tétanisé, la voix qui avait prononcé ces mots n'était autre que celle de son partenaire de cellule : Yamcha. Sans le savoir, une nouvelle vie allait s'ouvrir à lui en tant qu'âme errante.

C’est un jeune shinigami qui envoya son âme à la soul society. Alors que son corps spirituel commençait son voyage entre le monde des hommes et celui des âmes, Shiban aspirait à une vie meilleure dans une sorte de paradis.


Chapitre 2 : Un paradis infernal


Alors que son corps se matérialisait à la soul society, Shiban ne savait pas encore où il avait mis les pieds. Le Rukongai, Isuzuri le 78ème district, l’un des plus mal famés. Sa vie là-bas risquait d’être plus difficile encore que son existence terrestre. Shiban analysa rapidement son environnement, une immense allée droite semblait être l’artère principale de ce lieu étrange. De part et d’autre de cette voie de circulation de petites rues en arc de cercle se dessinaient. Soudain, Shiban remarqua sa tenue, une simple étoffe de lin couvrait son torse et descendait jusqu’à mi-cuisse. Dans son dos un bâton en bois de deux mètres l’attendait. Machinalement, Shiban tenta de chercher dans ses poches, mais il se rendit rapidement compte que seule une petite bourse de cuir pendait le long d’une ceinture de corde. Le jeune homme n’eût pas le temps de méditer sur son accoutrement, il entendait crier juste derrière lui. En se retournant, il remarqua un groupe de trois personnes qui venaient de voler des marchandises sur l’étal le plus proche et tentaient désormais de fuir. N’écoutant que son courage, il se lança à leur poursuite.

« Les gars, on a de la visite, on va s’amuser un peu héhé ! »

Suite à cette déclaration, les trois hommes bifurquèrent dans une petite ruelle sur la droite. Shiban eût tout juste le temps de saisir l’imposant bâton dans son dos et de se préparer à combattre alors les trois hommes se jetèrent sur lui. Le combat qui s’en suivi fût bref mais intense, une fois les trois hommes à terre, il ramassa le sac volé et fît demi-tour en direction de l’étal du marchand.


Le temps semblait filer et les journées de Shiban semblaient être toujours les mêmes. Tous les matins et après une rapide collation, le jeune homme s’entraînait. Il cherchait non seulement à garder la forme mais également à se préparer à la dure journée qui l’attendait. En effet, jours après jours il traquait les délinquants qui sévissaient dans le 78ème district. Il se fît rapidement un nom dans ce quartier du Rukongai, et cette réputation lui joua rapidement des tours.
Alors qu’il se dirigeait vers la cabane qui lui était allouée, un sac en toile couvrit sa tête.

« Alors garçon, ça te plaît d’être le justicier du coin ? Ici il n’y a pas de règles, pas de lois et donc pas de justiciers. Pas vrai les gars ? »

La réponse ne fût pas verbale, Shiban se retrouva rapidement au sol, rué de coups et laissé pour mort au milieu de la rue.

Suite à cette rude défaite, Shiban intensifia son entraînement et jura de ne jamais plus se laisser trahir par ses cinq sens. Chacune de ses séances d’entraînement comprenait désormais un exercice bien particulier. Le jeune homme avait déchiré une manche de sa tunique et l’avait coupé et recousu pour former un bandeau qui lui masquait les yeux. L’entraînement en aveugle ne fût pas simple au départ, mais à force de persévérance, il parvint à frapper son mannequin d’entrainement de la même façon avec ou sans bandeau sur les yeux. Un jour, après avoir fini son entraînement, Shiban se surprit à avoir faim, une faim inexorable, qu’il n’avait jamais ressenti. Les semaines qui suivirent furent particulièrement difficiles pour Shiban, la faim lui tenaillait le ventre et celle-ci semblait s’accroître après chacun de ses entraînements en aveugle. Un mois après l’apparition de cette faim infinie, un autre événement marqua le quotidien monotone de l’âme errante.

Lors d’une de ses patrouilles dans les rues du rukongai Shiban remarqua que le sable d’une des ruelles était imbibé de sang. En suivant cette piste sanglante il tomba rapidement sur un shinigami blessé. Accourant à ces côtés, le dieu de la mort lui adressa la parole.

« Écoute moi bien âme errante, je sais qui tu es. Tes actions contre la criminalité dans ce district ne sont pas méconnues au seireitei … » Le shinigami blessé reprit son souffle avant de poursuivre.

« … Tu dois savoir que tu n’es pas armé pour lutter contre une telle corruption … Prends ce katana … il sera surement plus efficace que ce bout de bois … puisse t’il t’éviter le même sort que moi. »

Ces mots marquèrent la fin de la vie du dieu de la mort. Shiban visiblement troublé, resta un moment à genoux près du cadavre du shinigami. En se relevant il saisit le sabre blanc qui était encore juché sur le cadavre du soldat.

Malgré ce fait perturbant, la routine de Shiban reprit rapidement le dessus et ses journées se déroulaient toujours de la même façon. La seule différence notable résidait dans les entraînements du jeune homme. Il s’entrainait désormais avec le katana qu’on lui avait remis. Bien que disposant d’une portée réduite vis-à-vis de son arme précédente, le sabre se révélait plus léger, rapide et dangereux. Malgré l’aspect dissuasif de sa nouvelle arme, Shiban se trouva néanmoins rapidement dans l’embarras. Une nouvelle fois un règlement de compte dans les ruelles du 78ème district l’amena à combattre des criminels mais cette fois tout était différent. Alors que la plupart du groupe de délinquants gisait sur le sol, le chef de la bande se saisit d’une fourche et se rua dans le dos de Shiban. Le jeune homme senti une vive douleur à l’épaule et remarqua les cinq pointes de l’arme figées dans sa chair. Ne contrôlant plus ses mouvements frappa vivement le torse de son opposant avec la garde de son sabre et leva le bras pour lui porter le coup de grâçe.Une imposante main bloqua son poignet avant que le coup fatal ne puisse être porté, laissant assez de temps à son opposant pour prendre la fuite.


« Toi mon ami, tu as une chance incroyable, nous te cherchions et étions sur le point de faire demi-tour mais le pic d’énergie spirituelle que tu viens de dégager nous a mené à toi. »

« Qu… Quoi, vous me cherchiez mais pourquoi ? » Demanda Shiban visiblement surpris par cette déclaration qui ne s’accompagnait pas de coups.


« Nous avons remarqué récemment lors d’une patrouille dans le district que tu disposais du potentiel pour devenir un shinigami »

« Moi, un shinigami ? » le jeune homme ne connaissait que peu ces dieux de la mort, il en voyait rarement dans son quartier du rukongai et souvent, ils ne faisaient que passer.

« Tu viens de découvrir ton zanpakuto, et j’imagine également que tu meurs de faim… »

« Je ne vois pas le rapport » le coupa Shiban.

« Et bien c’est ton ticket d’entrée pour l’académie ! »

Le jeune homme ne sut pas quoi répondre, les idées virevoltaient dans sa tête, mais il accepta de suivre le groupe de shinigamis qui se trouvait devant lui, non sans leur poser un flux intarissable de questions. Une nouvelle vie débutait pour lui.

Les années qui suivirent s’enchaînèrent, sa formation de shinigami prenait beaucoup de temps, mais shiban continua ses entrainements en aveugle. Ses compétences au combat s’affinaient de jours en jours, mais il étudiait également la voie de la magie. Et même s’il n’était pas le plus brillant de tous dans cette discipline, il parvenait quand même à accomplir ce qu’on lui demandait non sans quelques accidents.

Ces longues années d’entraînement permit à Shiban de mieux comprendre l’organisation du seireitei, et d’apprendre un fait troublant : tous les shinigamis étaient en danger.
En effet non seulement ils devaient combattre les hollows mais un nouvel ennemis avait fait son apparition. Les instructeurs n’en parlèrent que peu, outre leur nom : les Maho Tsukaïs et qu’à cause de ces êtres un grand nombre de shinigamis de hauts rang avaient péri. Shiban n’avait jamais entendu parler d’eux, il faut avouer qu’il ne pensait qu’à éradiquer le crime dans le 78ème district, néanmoins il était maintenant conscient que la justice devait être rendu ici aussi.


Peu de temps avant que son séjour à l’académie ne se termine, il combattit un autre shinigami, c’est alors qu’il entendit de nouveau une voix familière :

« Shiban, si tu es capable de vaincre ton adversaire en ne faisant confiance qu’à mes sens, alors j’aurais une surprise pour toi. »

« Qui êtes-vous ? » pensa Shiban, ne voulant pas passer pour un imbécile face à son adversaire.

« Ne te préoccupe pas de ça, tu le sauras bien assez tôt, laisse-toi guider par ma volonté et ensemble nous vaincrons. »

Le combat débuta, Shiban ferma les yeux et fît confiance à cette voix mystérieuse que seul lui semblait entendre. Après plusieurs minutes, le combat prit fin. Shiban victorieux, leva son katana au-dessus de sa tête. Remarquant les regards inquiets et admirateurs à la fois de ses compagnons de classe, le jeune shinigami leva les yeux vers son arme, elle brillait d’une intense lumière dorée. Peu à peu la lumière s’intensifiait puis un flash de lumière dorée illumina la salle d’entraînement. Sous la décharge d’énergie spirituelle dégagée une partie de la tunique de shinigami de Shiban avait été désintégrée, laissant son épaule et sa jambe droite découvertes. En ouvrant les yeux, le jeune homme remarqua qu’une chaîne dorée serpentait du bas de sa jambe, autour de son torse et de son bras droit avant de rejoindre un énorme marteau de fer et d’or. Pris de stupeur le jeune homme lâcha sa nouvelle arme qui alla fracasser le sol du dojo.

« Voilà l’expression de mon pouvoir et je te permets de l’utiliser et ce pour une et une seule raison. Tu as été capable de me prouver ton sens de la justice tout au long de ces années de vie commune. Utilise-le à bon escient et impose la justice autour de toi. »

« Vous n’avez pas répondu à ma question, qui êtes-vous ? »

« Je pense que tu sais déjà que je suis ton zanpakuto, on a dû te prévenir que nous aussi avions une existence propre, mon nom est : « Hikarizen' ryouseigi »

Cet évènement marqua la fin de la formation de Shiban et il fût mandaté dans la 9ème division du gotei 13. Bien décidé à honorer son poste et à accomplir son devoir, Shiban se dirigeait maintenant en direction des quartiers de la 9ème division.

Bonsoir et bienvenue sur BBS !

Tout d'abord, je vais devoir te demander de changer ton avatar. J'entends bien que celui-ci représente le Bankai de ton personnage mais malheureusement nous demandons à ce qu'on puisse voir le visage de celui-ci pour savoir à quoi il ressemble en un simple coup d'oeil (c'est un peu le principe) donc l'actuel n'aide pas vraiment. Libre à toi cependant d'afficher cette image ailleurs pour illustrer ton Bankai bien évidemment, dans ta signature ou dans ta future fiche technique par exemple.

Ensuite, sache qu'il n'y a pas de problème pour intégrer la neuvième division mais qu'en revanche le staff ne gère que les places de capitaine et de vice-capitaine. Pour le siège que tu auras il te faudra voir directement avec ton capitaine (par un heureux hasard Yakushiji Tenzen, fondateur du forum °°) afin de voir lequel il souhaite t'attribuer mais en principe il ne devrait pas y avoir de problème !

Enfin, et ce n'est pas ta faute car ça n'a été révélé qu'assez récemment dans les scans (que tu ne dois pas lire j'imagine) mais en fait les zanpakutō ne sortent pas « de nulle part » ; ils sont remis à un moment donné du parcours académique sous forme d'asauchi (un sabre « vide » en gros) dans lequel le porteur infuse peu à peu son reiatsu au point que l'arme développe une personnalité propre. Après, tu peux t'arranger pour l'obtenir d'une autre manière (par exemple en volant celui d'un autre Shinigami, ce fut notamment le cas de Zaraki alors qu'il n'était encore qu'un habitant du Rukongai) mais le processus en vigueur est celui décrit ici.

Qui plus est, au cas où tu aurais le niveau pour prétendre au Bankai (et tu l'as, je te rassure tout de suite) il serait également bon de préciser la manière dont tu l'as obtenu sachant que c'est quand même censé prendre un bon moment. Enfin, compte tenu de l'âge de ton personnage, il serait logique qu'il ait été témoin même de loin des événements relatifs au background du forum, une allusion même légère serait donc la bienvenue.

Pour courage pour ces quelques petites modifications et à bientôt pour ta validation, donc !

Je te valide donc au niveau 3 en tant que Shinigami de la 9e Division. Tu disposes de 20 points de compétence à répartir lors de la création de ta Fiche Technique dans la partie privée de ta faction, que je t'invite à faire au plus vite.

Bon RP !