Teippei marchait dans les jardins de la quatrième division, les bras remplit de papier. La hauteur du tas s’élevait tellement qu'il n'arrivait pas à voir devant lui, devant se tordre le cou sur le côté pour savoir vers où allez. Il y a de ça une bonne demi-heure, on lui avait demandé de trier tous ses dossiers. Cela allait de l’almanach de la division au menu du mess en passant par les programmes des bals et autres associations du club de femme shinigami. Dans la pile se trouvait également pas mal de rapport de mission bien que la plupart ne constituaient que du banal quotidien. Ces derniers consistaient à aller nettoyer telle salle, telle division, le soin de quelques chevilles foulées ou d'os cassé après des entraînements trop poussés. Bref, de la paperasse.

Le travail qu'on lui avait confié était bon pour l'occuper jusqu'à la fin de son service passé vingt-et-une heure. Pas possible. No way. NO WAY !
Aussi, le blondinet avait pris la montagne de papier et foutu le camp, allant se promener dans les jardins thérapeutiques de sa division. De large ensemble de verdures, allant de l’ambiance zen aux forêts séparé du rukongai par l'énorme muraille, quelques kilomètres plus au nord. Il y avait également des espaces rempli de bambou, des petits prés, bref, ... une mosaïque de nature créée dans le seul but, que les patients puissent se refaire une santé physique et mentale à coup de longues balades. De très nombreux bancs étaient éparpillés à côté des chemins pour offrir des pauses à tous ceux qui manquaient de souffle.

Le Midorima quant à lui, était allé déposé son fatras dans l'un de ses jardins zen où chaque brin d'herbe était précisément coupé. Au calme, isolé, il avait foutu le tout sur une petite berge de galets jouxtant un jardin où des poissons multicolores trémoussaient. Son index droit se leva vers le ciel alors qu'un sourire sardonique s'affichait sur son visage. Son doigt se mit à danser, imprimant un rythme avant de se caler sur les trois syllabes que ses lèvres énonçaient à haute voix.

-Sha-ka-ho.

Son bras redescendit pour orienter le tir de feu vers les papiers vaguement réunis. L'ensemble s'enflamma immédiatement, réchauffant l'atmosphère frisquette de la matinée. Teippei finit par croiser ses mains dans son dos, observant le brasier consumé les centaines de feuilles en quelques secondes. Dans son esprit, des centaines de voix évoquaient leurs joies à ce dramatique accident qui libérait par le plus grand des hasards leurs après-midi. L'assemblée schizophrène opta pour un consensus : Ne pas travailler. Elles tentèrent bien d'influencer leurs propriétaires comme elles en étaient capables il y a encore quelques mois, en vain. Le shinigami se détourna donc de son œuvre, fier et heureux que pour stopper, sursautant de surprise.

Non loin, un homme l'observait, sa chevelure brune flottant au gré de la brise. Le membre de la Yonbantai ne l'avait pas du tout senti arriver, faut dire qu'il  n'était pas le meilleur traqueur qui existait. Pire que tout, l'inconnu arborait un haori blanc comme neige.

-Merde.

Passé la surprise, Teippei se calma. S'il était vraiment dans la panade, l'homme l'aurait arrêté plus tôt. On laisse rarement un shinigami brûlait des papiers, encore moins dans un parc où tout pouvait partir en fumée. Encore que le médecin aurait argumenté qu'il avait volontairement posé les rapports sur des galets pour éviter la propagation des flammes. Avalant sa salive, appréhendant la suite, il ne fit pas un mouvement envers le capitaine. Enfin, il choisit une initiative légère, histoire de sonder le nouvel arrivant, gagner du temps en se donnant une contenance avant de fuir en courant si besoin.

-Yo.

Alea jacta es.

Les jardins thérapeutiques de la quatrième Division, un endroit que j’adorais pour le calme que l’on y trouvait. J’avais beau ne pas être le moins du monde malade, ou ayant besoin de repos. Je ne désirait que me profiter du calme des lieux, un calme dont j’avais besoin, besoin pour supporter la pression qui m’était imposé. Et avec toutes ses activités mon Hollow s’agitait, j’avais beau avoir le contrôle je sentais le besoin d’avoir du calme. Oui tout ici était parfait pour que je prenne un peu de repos, et puis il fallait avouer que mon statue de Capitaine m’offrait la possibilité de profiter de ce genre d’endroit sans même avoir à me justifier. N’ayant pas peur des fantôme qui dirigeaient cette division. Oui tout était parfait, ou presque...

Cette tignasse blonde qui était arrivé avec une pile de dossier effrayante. Oui je l’avais vu venir de trop loin, lui m’ignorant tout simplement. Un sourire sur le visage je l’avais observé tracer son chemin dans le parc. Amusé par son initiative que je ne pouvais que redouter, surtout à partir du moment où il posa les rapport par terre sur des galets. Un sourire sur son visage qui en disait trop long. Je ne bougeais néanmoins pas, le laissant continuer son manège sans le déranger. Jusqu’où serait-il prêt à aller ?

Je le regardais d’un oeil amusé alors que je le vis tracer les signes à ce sort que je ne connaissais que trop bien. Un sort d’une puissance faible mais qui pouvait malgré tout se révéler d’une aide précieuse. Un sort que l’on enseignait à l’académie et qui était pour beaucoup le premier sort offensif qu’ils apprenaient. Je n’avais pas eu un cursus ordinaire de ce point de vue là de part mes capacités accrue dans cet art mais je pouvais comprendre pourquoi il était en tout point l’un des sorts de bases et il était en l'occurrence trop bien exécuté pour que celui qui soit en train de l’utiliser soit sous ses airs de joyeux lurons un simple amateur. Malgré tout en ma qualité de Maître en l’art Nécromancien je ne pouvais qu’être plus pointilleux que la moyenne et même si beaucoup s’en serait contenté je ne pouvais me satisfaire de la moyenne.

Un sourire sur mon visage alors que j’entendais le «merde» du jeune Shinigami, et que je m’approchais, me levant tranquillement, laissant l’effet de l’apparition d’un Capitaine se faire. Je calmais par la même occasion les échos de désapprobation qui commençaient à s’élever dans les gens qui nous entouraient. La vision d’un Capitaine avait un effet tampon car tout le monde s’imaginait déjà que j’allais engueuler le jeune Shinigami et le punir pour cette bêtise. Et bien non...

Pas si mal, mais franchement, pour une pile pareille, pourquoi ne pas y mettre les formes ? Shakkahô !

Là où le jeune Shinigami dont je ne connaissais toujours pas l’identité avait simplement fait brûlé le tas de rapport d’une flamme tranquille, le miens créa un véritable pilier d’énergie qui brûla instantanément la pile de dossier éteignant par la même occasion l’énergie précédemment libéré.

Voilà qui est mieux, non ?

Teippei observa le capitaine s'approcher, les paumes de main légèrement levé comme pour montrer qu'il ne voulait aucun mal. Peut-être faisait-il ça au public pour leur dire à eux de se calmer ? Car public il y avait. Tous arrivé en quelques instants, à tel point que le Midorima n'avait rien remarqué, encore. Une minute plus tôt, alors qu'il lançait son sort, personne n'était là à part le capitaine mais ceci était une autre histoire. Probablement que le sort de Kido avait attiré l'attention de ses collègues comme la lumière une bande de moustiques désagréable.

De fait, les quelques paroles du dirigeant d'une division, la dixième comprit le médecin au symbole dans le dos de ce premier, apaisèrent ses doutes. Sans laisser au shinigami de répondre, il utilisa lui aussi le canon de feu rouge pour réduire les quelques pages ayant survécu au premier incendie. Techniquement, il créa une colonne de flammes rouges qui s’éleva haut dans le ciel, éclairant tout le petit peuple d'une étrange teinte sanguine.

Un sourire confiant grandit alors sur les lèvres du blondinet. Apparemment il ne risquait rien avec cet homme aux longs cheveux corbeaux. Encore mieux, il passait en position de force par rapport aux rabats-joies attroupés. Plusieurs visages montrèrent leurs désapprobations de tout ça, aucun n'osa prendre la parole pour autant. Ce que ne manque pas de faire le Midorima. D'un rapide geste de la main, il sembla balayer l'air juste devant lui.

-Shù ! Shù ! Du balais !

Le schizophrène se retourna vers son sauveur inattendu. Ses yeux restèrent quelques instants sur l'ancienne pile de dossiers dont il ne restait plus rien. Même les galets semblaient plus noirs que précédemment, cramés nets sous la chaleur de l'attaque. Si son Shakaho avait ramené quelques âmes, que dire de ce jugement divin . La densité de l'attaque et les traces de reiatsu feraient un phare hautement plus appétissant pour tous ces petits moustiques assoiffés de ragot. Ce que ne manqua pas de faire remarquer le jeune homme.

-Hé bah dis donc... vous n'y allez pas de main morte vous... vous pensez pas que ça va faire un petit peu du bruit ? Et moi qui voulais discrètement me débarrasser de la paperasse... qui va remplir celle-ci à votre avis ?

D'un vague geste de la main, le Midorima engloba le petit coin censé être zen et reculé. Apparemment c'était le nouveau coin à la mode vue le nombre se passant ses cinq dernières minutes. Le shinigami s'en retrouvait au final assez agacé malgré la bonne tournure des événements.

-Ça vous prend souvent de venir secourir la veuve et l'orphelin comme ça ? Non pas que je critique mais votre haori n'aurait pas tendance à être grise au vu de vos actes plutôt ?

Le blondinet se faisait aucun ne mouron sur la bonté, la morale ou l'équité des capitaines. En réalité, il s'en foutait même royalement. Tant qu'il n'avait pas de soucis à cause d'eux ou trop de remontrance, ils pouvaient bien allez égorger des lapins garous ou trouver les statuettes de gadolphera. Aussi, levât-il son menton, apostrophant le leader de la dixième silencieusement.

-Et si tu me disais ton nom  « Capitaine » ?

Le jeune homme avait une étrange impression de partenaire dans le crime, tous les deux fautifs, se soutenant mutuellement car témoin des méfaits de l’autre. Impression encore plus étrange lorsque d'autres shinigamis en avait été témoin aussi. Toujours était-il qu'il se sentait plus en confiance qu'il ne le devrait peut-être.

-Moi c'est Midorima Teippei.

Mon acte avait semblerait-il rameuter plus de foule que je ne le pensais, et ma tentative de calmer les foules bien infructueuse. Je souriais bêtement en me grattant l’arrière du crâne, comme si j’avais réellement pensé que cela fonctionnerait, moi le grand Capitaine qui se voyait en tant que maître du Kidô. Oui j’avais l’air bien au milieu de toute cette foule, et les gars de la quatrième qui risquait de débouler d’un instant à l’autre. Comme je l’avais dit, je ne craignais pas vraiment leur instance dirigeante, qui n’existait pas et qui même si c’était le cas risquerait de m’engueuler un peu mais au final je n’avais qu’éteins le feu à ma manière ? Il fallait malgré tout que je trouve un moyen de désamorcer cette situation avant de me faire réellement taper dessus par les autorités dirigeante, et je ne comptais pas lâcher mon poste du gentil Capitaine du Seireitei.

Le spectacle est terminé, tout le monde retourne à ce qu’il avait à faire !

Dis-je avec une voix forte et autoritaire, sans laisser de place au doute. Je ne comptais pas laisser de la paperasse supplémentaire venir prendre place sur mon bureau pour une si petite affaire qui pouvait être réglé facilement. Il n’y avait qu’à hausser le ton et partir rapidement pour ne pas avoir de problème et tout serait réglé.

Et je suis Igarashi Shu Capitaine de la Dixième Division ! Et je ne vous venais pas en aide, je désirais simplement revoir un détail sur votre façon d’utiliser votre sort. Vous ne semblez de loin pas mauvais, mais votre problème aurait pu être réglé bien plus efficacement.

Lui répondais-je avec un sourire. Je ne désirais pas le moins du monde jouer au donneur de leçon même si en l’occurrence cela pouvait maintenant être le cas. Peut être serait-il intéressé d’améliorer ses capacités en art nécromancien, ou peut être pas. Après tout je ne faisais ça que parce que j’étais un perfectionniste qui avait tendance à trop en faire...

Bon par contre il est temps pour moi de m’éclipser, je ne vais pas attendre de voir les gars de la quatrième débarquer. D’ailleurs j’crois pas que pour toi non plus se soit une bonne idée de rester ici, non ? Si jamais tu veux d’autres conseilles, tu n’a qu’à me rattraper !

Lui lâchais-je avec un clin d’oeil avant de purement et simplement m’éclipser. S’il était assez malin pour comprendre que même pour lui il n’était pas bon de rester ici et bien il me suivrait, et je serais ensuite capable de lui offrir les conseils que je désirais lui offrir. Après tout il ne semblait vraiment pas mauvais dans cet art. Maintenant ce qui semblait important, c’est de savoir si oui ou non il allait me suivre.

Teippei écouta le capitaine se présenter et se justifier. Lui, il restait dubitatif de l'effet voulu par l'homme aux cheveux bruns. Surtout que pour se débarrasser d'une pile de papiers incognito, faire un fanal de plusieurs mètres de haut était loin d'être la bonne idée. Probablement qu'Igarashi Shu pour ne pas le nommer, n'avait tout simplement rien comprit de l'idée directive de ce petit incident. Peut-être pensait-il que le Midorima était juste venue s’entraîner à l'abri des regards indiscrets.. .Ce n'était pas comme s'il y avait nombre de terrains d’entraînement ou une division totalement dévouée à la nécromancie hein ?

Toujours était-il qu'il n'avait pas tort sur la suite du problème. Certes il n'y avait plus personne à l'heure actuelle mais cela ne saurait tarder. L'idée de recevoir une leçon, n'enchantait par contre pas du tout le jeune shinigami. Il pouvait tout aussi bien déguerpir à un autre bout des jardins puis revenir tranquillement à sa division... Ces conseils il pouvait se les foutre au cul ! Malheureusement, le dirigeant de la dixième division avait attisé sa curiosité. Au pire, Teippei pouvait toujours lui balancer un shakaho maison histoire de lui montrer qu'il pouvait aussi faire de grands feu de camp avec des hippies tout autour. Baissant le nez faire le sol, soufflant lourdement alors qu'il cédait au gradé, le shinigami disparut d'un schupo, ne laissant que des cendres dans ce coin reculé de la Yonbantai.

Le médecin mit un peu de temps à retrouver son collègue. C'est qu'il se déplaçait vite le capitaine ! Le jeune homme n'aurait pas dû être surprit mais son dédain au vu de la situation l'avait fortement sous-estimé le taisho. Toujours était-il qu'il finit par retrouver l'individu sur l'un des larges toits de tuiles parcourant le Sereitei. L'homme semblait l'attendre calmement ce qui ne manqua pas d'agacer le blondinet.

-La prochaine fois que vous souhaitez vous enfuir comme ça, je ne vous suivrais pas, que cela soit clair. Ha oui, second conseil, inutile de faire péter les colonnes de feu d'un claquement de doigt. Si je voulais montrer à tout le monde que je ne faisais pas mon boulot, j'aurais pu tout aussi bien le faire au milieu de ma division.

L'énervement du Midorima était particulièrement perceptible dans sa voix. Les quelques minutes qu'il avait passées à courir sans succès sur les toits n'étaient pas la meilleure expérience de sa vie. Maintenant qu'il s'était arrêté, son cœur et son tempérament prenaient un aspect plus calme. Les voix dans son esprit continuaient à gueuler que c'était inacceptable mais il en faisait fit pour l'instant.

-Alors, comment aurais-je pu régler la situation différemment ?

Là résidait la principale raison de sa venue. Tout était bon à prendre quand il s'agissait d’esquiver une montagne de paperasse, surtout lorsqu'on avait plus de grades et donc qu'on était en bas de l’échelle hiérarchique....

Me rattraperait-il, me rattraperait-il pas ? Qui sait ? Il semblait bien lunatique, et même si je pouvais passer pour l’excentrique sur le coup en ayant fait plus de tapage que lui cela n’était à vrai dire pas réellement mon but premier, je ne comprenais pas vraiment pourquoi il désirait brûler ces papiers, c’était peut être une demande de sa propre division, après tout cela n’était pas mon problème de savoir comment sa division pouvait gérer ses affaires. Non moi ce qui m’intéressait c’était de savoir pourquoi ne pas le faire rapidement plutôt que de créer un feu comme il l’avait fait ? C’était parfaitement stupide, non ?

Son arrivé se fit en grande pompe, et le ton qu’il employa avec moi ne me plut absolument pas, je devais l’avouer. Il semblait oublier à qui il avait à faire, et s’il ne désirait pas faire son travaille cela m’importait peu, j’avais désiré aidé, et s’il n’avait pas voulu me suivre il n’avait qu’à le faire, je vivrais parfaitement bien ma vie sans lui, alors son ton hautain il pouvait se le garder !

Je le regardais de haut, mon attitude avait changé du tout au tout. Je n’étais plus le Capitaine tout sourire que j’avais pu être jusqu’à présent, et si ma nonchalance avait pu être un trait de caractère que je montrais, il allait découvrir que je n’étais pas du genre à me laisser marcher sur les pieds, pas de la part d’un inconnu qui ne devait pas avoir le moindre rang dans sa Division.

Ce qui doit être clair c’est qu’en aucun cas je suis votre pote, n’oubliez pas à qui vous vous adressez Shinigami Midorima ! Je n’ai en aucun cas à me justifier de mes actes, je n’ai que faire de vos raisons et si vous désirez ne pas faire votre travaille vous n’aviez qu’a être plus malin que ça.

Sans même avoir relâché mon Reiatsu j’imposais de ma présence, je n’étais peut être pas le Kenpachi ou le Capitaine de la Neuvième Division pourtant il se dégageait de moi une aura de puissance et de sûreté de soit qu’il ne pourrait contrarier. S’il le faisait il savait les risques qu’il encourait. Je n’hésiterais pas à faire de lui un exemple s’il le fallait. J’avais récemment pris la décision d’assumer mes choix et de ne plus rien envier au autres. J’étais un Capitaine et en tant que tel j’allais assumer mes décision et mes Capacités à leur justes valeurs !

Maintenant déguerpissez d’ici et retourner à votre Division, je suis sûr que vous aurez assez à faire pour récupérer votre bordel ! Et n’essayer pas une seconde de m’impliquer dans cet incident, vous le regretteriez amèrement !

Je ne plaisantais pas et je pouvais être sûr qu’il s’en rendrait compte. J’étais persuadé qu’un homme dans sa position pouvait comprendre qu’avec un homme comme moi derrière son dos ses possibilités d’avenir s’amenuisait grandement, surtout que j’allais dès mon arrivée dans ma Division m’occuper de trouver mon Dossier pour trouver les informations que je désirais sur cet homme qui venait de me faire piquer ma première grosse colère sur un Shinigami. Et si je n’étais peut être pas si vieux ici que certains Capitaine j’étais sûr de pouvoir arriver à mes fins malgré tout !

Je n’attendais même pas qu’il soit partit pour tout simplement tourner le dos et repartir en direction de ma Division, s’il était trop bête pour comprendre que j’étais capable de l’aider à progresser et bien qu’il aille au diable, ça m’apprendra à vouloir être trop gentil avec des inconnu d’autres Division, j’enseignerais à ceux qui le désire de ma Division et à ceux qui viendrait me le demander d’autre Division, point barre !