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 Jorge Albino

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Jorge Albino
Jorge Albino Arr-ind
Jorge Albino
Rang : Sexta Espada

Messages : 36
MessageSujet: Jorge Albino   Jorge Albino Icon_minitimeVen 2 Nov - 23:41

Jorge « Lo Blanco » Albino

    Âge : Moins de 30 ans d'après son apparence, mais il a perdu la notion du temps depuis son arrivée au Hueco Mundo (il doit avoir plus de 900 ans)
    Race : Arrancar
    Rang demandé : Vastro Lord / Sexta Espada

    Description de votre personnage :

    Etant un Vastro Lord, Jorge a retrouvé son corps pré-hollowmorphose presque à l'identique suite à son arrancarisation. Ce corps cependant, peu de personnes l'ont vu, car il porte en permanence une grande cape blanche, coiffé d'un capuchon non moins blanc, recouvrant une combinaison moulante noire sans manche qu'il ne découvre que pour le combat. On peut alors constater que sa combinaison noire moulante retiens péniblement une musculature tracée qui, avec son mètre quatre-vingt cinq, donnent à Jorge une allure inquiétante et dangereuse. Cette apparence lui a valu durant sa vie et après sa mort de surnoms allant « d'envoyé du Ciel » à « visage de la Mort ».

    Comme son nom l'indique il est albinos depuis sa naissance, sa peau ayant une pâleur quasi spectrale et ses pupilles la couleur du sang. Ses longs cheveux argentés sont coiffés en une queue-de-cheval, avec quelques mèches cachant son front, et plusieurs de ses veines du visage sont apparentes, laissant des marques bordeaux sur sa peau blanche. Un chiffre « 6 » est tatoué sur un avant-bras droit et, enfin, un gouffre à la place du cœur et une boucle d'oreille sur l'oreille droite, vestige de son ancienne forme que chaque Arrancar obtiens lors de sa transformation, confirment son statut de Hollow.

    Celle-ci s'est produite naturellement, contrairement à beaucoup de Hollow qui ont obtenu cette forme grâce à l'Hôgyoku sous le règne du Shinigami renégat Sôsuke Aizen. Il éprouve par ailleurs une assez grande fierté de ne pas avoir participé aux desseins du tyran, qui se présentait en libérateur pour finalement opprimer son peuple. SON peuple. C'est à partir de cette période qu'il commença à ressentir de l'empathie pour les Hollow, qu'ils soient de plus faible niveau que lui, ou bien d'autres Arrancars, qu'il commença à les considérer comme ses congénères.

    Dans le même temps, il ressentait (et ressent toujours) des remords pour avoir littéralement « bouffé » tous ceux qui se dressaient sur son chemin (ou même pour assouvir son insatiable soif d'âme), d'avoir été une bête sauvage ayant marché sur des milliers de cadavres pour retrouver son humanité, qu'il ne retrouvera jamais. Les Hollow sont tout ce qu'il lui reste, mais il va devoir les « éduquer » s'il veut que le Hueco Mundo cesse d'être un terrain de chasse continuel. Tel est le tribut qu'il s'est imposé pour toutes les vies qu'il a volé.

    Ainsi, Jorge tente de transmettre aux autres Hollow des valeurs telles que le sens de l'honneur, la pitié ou la solidarité, afin de créer un sens de la communauté, de faire disparaître la loi du plus fort, de redonner de l'espoir, et unifier le monde des Hollow sous le règne du roi Jaggerjack.

    Cependant il reste très renfermé sur lui-même, ne se dévoilant que très rarement aux autres. Car s'il est optimiste, il n'est pas stupide et sait très bien que faire confiance à la mauvaise personne peut se révéler fatal en ce monde. Aussi il a prit l'habitude d'agir plutôt que de parler, car si les mots ne signifient pas grand chose pour la plupart des habitants du Monde Creux, ils respectent ou au moins craignent les forts. Mais lorsqu'il se décide à parler, on se rend compte immédiatement qu'il s'agit d'un altruiste, qui fera tout ce dont il est capable pour donner un avenir autre que la mort au Hueco Mundo. Mais derrière tout ça ne se cache-t-il pas un désir secret d'avoir une véritable famille ?
    Description de votre pouvoir :

    Scellé, Caballero n'est ni plus ni moins qu'un simple javelot... A l'exception qu'il est de la même couleur que les yeux de son porteur, à savoir rouge sang. il semble d'ailleurs luire lorsqu'il le fait verser , comme si il exprimait sa joie de provoquer la souffrance, ou de provoquer la mort d'un être. On pourrait alors le considérer comme l'expression du côté obscur de l'Arrancar : sanguinaire, sans pitié, sans remord. Néanmoins il s'en sert remarquablement bien, et fait preuve d'une remarquable précision quand il effectue un lancé.

    Spoiler:

    « Arrepientete, Caballero ! », ou « Repens-toi, Caballero ! » dévoile la véritable forme de Jorge. L'albinos est alors recouvert par son Hierro, qui prend une couleur bleu nuit (à l'image de son reiatsu) et modèle une armure complète de chevalier. Les cheveux de l'Arrancar se mettent également à pousser, changent de couleur eux aussi, et font office de panache ornant son heaume. Caballero change également de forme, devenant une épée bâtarde conservant sa couleur de sang.

    Ainsi paré, ce chevalier en quête d'absolution sème la mort parmi ses ennemis, les taillant en pièce à coups d'épée, qui peut désormais concentrer puis relâcher son énergie en elle afin de trancher avec des lames de reiatsu. Son armure lui offre également une protection supplémentaire, lui permettant de résister à des attaques plus puissantes qu'à l'accoutumée.

    Histoire :

    A chaque fois que je lève la tête vers le ciel, c'est comme si tout ce que j'ai fais durant ma vie devait me mener précisément ici, au Hueco Mundo. Je suis né avec la Lune dans son manteau d'obscurité, et même dans la mort elle continue de veiller sur moi, refusant de céder sa place à l'astre du jour. Et a raison, quand on sait que c'est lui qui m'a tué... Je n'ai pas vraiment de souvenirs de mon enfance. Pas que ma vie fut très longue, mais je crois que la première chose dont je me souviens est la mort de mes parents.

    C'était dans le sud-ouest du Royaume des Francs, sous le règne de sa Majesté Henri Ier. A l'époque, on ne m'appelait pas Jorge Albino, mais Georges l'Albinos, ou encore Georges LeBlanc, et encore un tas d'autres surnoms en rapport avec ma pâleur naturelle. Nous étions de simples roturiers, sans ambition et sans avenir. Nos journées consistaient à se lever avec l'aurore, travailler la terre toute la journée sous le soleil, la pluie ou le vent, nous coucher avec les animaux et manger quand nous le pouvions. Malgré mon handicap, j'aidais ma famille aux champs, couvert d'une cape et d'un capuchon pour me protéger la peau et les yeux, ce qui m'a obligé à grandir assez vite. De temps à autre, mon père m'emmenait chasser (ou plutôt, braconner) en forêt, m'apprenant à me servir d'une arme (je m'étais fabriqué un épieu en bois), à pister les animaux et à me défendre contre les bêtes sauvages. Vers 13 ans déjà, j'étais assez proche de ma taille d'adulte, dépassant même mon géniteur. C'est également vers cette période de ma vie que je me suis rendu compte que j'étais... Différent. Vraiment différent.

    Je n'avais aucun trait commun avec mes géniteurs, et j'étais nettement plus grand que mes pairs, même pour mon âge. Depuis que j'étais enfant, des bruits couraient sur moi, comme quoi mes parents m'avaient retrouvés bébé sur une colline, abandonné, probablement un bâtard dont on espérait qu'il se ferait dévorer par les loups. Je n'y avais jamais vraiment prêté attention (je ne savais pas ce que le terme « bâtard » signifiait, encore moins que mes parents ne l'étaient pas vraiment), mais l'éventualité, aussi douloureuse fut elle, commença à me trotter dans la tête. Quelques mois plus tard, mes parents furent emportés par la maladie. Sur son lit de mort, mon père me révéla la vérité sur mes origines, m'expliquant qu'il n'aurait pu avoir d'enfant à cause d'une maladie honteuse, mais que lui et sa femme m'avaient aimé comme si j'étais la chair de leur chair.

    Il me quittèrent à l'aube. J'avais beau m'y être préparé, mon univers s'écroulait autour de moi. J'étais doublement seul, car j'ignorais ou se trouvait ma vraie famille, et je venais en plus de perdre la seule que j'avais. Je ne pouvais pas vivre seul, mes oncles et tantes (ou plutôt, les frères et sœurs de mes parents adoptifs) n'avaient pas de place pour accueillir une bouche supplémentaire. Je ne voulais pas vivre dans la rue et mendier ma peine. J'étais perdu, désemparé. Je me suis donc dirigé le plus naturellement du monde vers la spiritualité et la religion, allant demander conseil au prêtre du village (un homme âgé, bon et sage), qui après l'enterrement m'avait proposé d'aller le voir si j'avais besoin de quoi que ce soit.

    C'est ainsi qu'il me proposa de rester pour l'aider à entretenir l'église, ce que je fis pendant près de 3 années. J'avais pris l'habitude, le soir, de monter sur le beffroi pour admirer le coucher de soleil, qui était pour moi un véritable soulagement car je pouvais enfin sortir sans être couvert. Entre les prières, le père Juan (il était originaire d'Hispanie) m'apprenait à lire, à écrire et à compter, ainsi que la morale et le catéchisme. Il comptait sans doute sur moi pour lui « succéder », que je devienne un homme de Dieu et que je disperse la bonne parole une fois qu'il ne serait plus... Mais je ne voulais pas de cette vie là. Sans le vouloir, il m'avait donné un but... Ou plutôt, il m'avait donné un moyen de payer la dette que j'avais envers lui.

    Parfois, il me racontait ses histoires sur son pays natal, au-delà des Pyrénées. Il est né dans la ville de Santiago de Compostela, un lieu de pèlerinage très important. Ma mère adoptive m'avait raconté qu'elle l'avait effectué avec ses parents, lorsqu'elle était très jeune. Le nord de la péninsule était tout ce qu'il restait de l'ancienne Hispanie, dont la majeure partie était sous le contrôle des maures. Mais depuis quelques siècles, une guerre était en cours pour rendre l'Hispanie aux Chrétiens. « Una Reconquista », comme il le disait avec son accent du sud. Il m'a aussi avoué qu'il a toujours voulu voir à quoi ressemblait la péninsule Ibérique à nouveau unifiée, sans l'Andalousie. Moi je rêvais d'autre chose que répandre la parole du Seigneur, ou répandre des graines dans la terre. Je voulais faire une bonne action, et la réponse me semblait évidente : je devais reprendre l'Hispanie aux Maures.J'ai revendu tout ce que j'avais hérité de ma famille adoptive pour m'acheter un javelot, une épée et des vivres pour mon voyage. Sachant qu'il ne pourrait pas m'enlever cette idée absurde de la tête, le père Juan m'offrit son cheval en me disant qu'il me serait plus utile qu'à lui.

    J'ai suivi un groupe de pèlerin partant pour Saint-Jacques de Compostelle, pour m'enrôler dans l'armée du roi Alphonse VI. Si au début tout le monde doutait sérieusement de mes capacités, il ne m'a fallu que de lancer mon javelot sous l'entrecuisse d'un officier pour les persuader qu'il fallait mieux m'avoir avec soi que contre soi. J'ai donc subis l'entraînement des recrues, les corvées, les abus de pouvoir et les crises d'autorité, les châtiments corporels et toutes les joyeusetés de la vie en caserne. Et fatalement, j'ai commencé à voler des vies sur le champ de bataille. Le fait d'être entièrement recouvert dans une armure ne me gênait pas le moins du monde, puisque j'étais habitué à l'être en permanence. Nous subissions bien entendu des revers, mais les soldats chrétiens repoussaient petit à petit les guerriers maures vers le sud du pays.

    J'ai passé plus de 10 ans à guerroyer en Hispanie. Beaucoup pensaient que j'étais un des meilleurs lancier de ma génération, que j'entrerais dans la légende. Mais après 10 ans à faucher des vies, à tromper la mort, j'ai finis par me rendre compte du ridicule de cette guerre. Chacun disait être dans le bon camp, que l'autre était partisan du mal. Moi, tout ce que j'ai, ce sont des hommes tuer d'autres hommes. Si au début ma promesse au père Juan me donnait la force d'affronter mes ennemis, c'est la routine qui guida mon bras par la suite. Et puis... Je suis tombé malade. Pas suite à une blessure non. A force de faire preuve d'imprudence, le soleil a fini par me punir. Je suis mort en quelques mois... Malgré tout, j'étais toujours là.

    J'ai erré jusqu'au village pour essayer de revoir le père Juan, et lui dire que j'étais désolé d'avoir tout gâché. J'ai alors appris qu'il était mort de solitude quelques mois après mon départ. C'est la douleur d'avoir perdu pour la deuxième fois ma seule famille qui m'a transformé en ce que je suis devenu aujourd'hui...

    Une fin insatiable. Tout ces monstres, comme je suis devenu, si appétissants... Combien de temps s'était-il écoulé ? Aucune idée. J'avais juste très faim. Je n'étais plus qu'une bête, mais je ne m'en rendais pas compte. Je venais de trouver mon paradis, après tout : une nuit éternelle, la Lune nous baignant de sa douce lumière pour l'éternité ! Je ne souffrais jamais de la faim, car tous mes semblables étaient mes proies. J'étais à l'abri du malheur, car le malheur n'existe que par la conscience. Et enfin, j'étais à l'abri de la maladie, car j'étais mort. Mon seul problème, c'était ses guerriers qu'on appelle les Shinigamis. Délicieux par ailleurs, mais bien plus dangereux que le menu fretin que constituent les Hollow de plus bas niveau que moi. Et un jour, je finis par évoluer. Je ne suis plus seul, mais des milliers d'autres Hollows sont avec moi. Ils vivent avec moi, voient avec moi, mangent avec moi. Nous sommes bien plus puissant qu'auparavant, et cela me conviens pendant un temps.

    Mais au fur et à mesure, je me rend compte que j'en veux plus. MOI. Les autres voix se sont tues, et me revoilà à nouveau seul. J'ai toujours faim, mais plus au point de m'empêcher de réfléchir. Je suis plus fort que lorsque je suis arrivé, mais malgré tout... Cela ne suffit pas. Je me rend compte du monstre que je suis devenu. D'ailleurs, sont-ce vraiment mes souvenirs ? Ou bien sont-ce un amalgame de tous les esprits habitants le Gillian que j'étais ? Lorsque j'en arrivais à cette remise en question de moi-même, j'avais toujours le même réflexe : aller manger un petit truc, je penserai plus facilement le ventre plein. Et ainsi je continuais à accumuler les âmes de tout ce qui passait à portée. La vie dans le Hueco Mundo me rappelait les parties de chasse avec mon père : il était facile d'attraper mes proies dans le Bosque, car je connaissais parfaitement le terrain. Je ne sentais plus passer les jours depuis longtemps... Après tout, qu'est-ce que le jour, sans soleil ?

    Un jour, je me réveille. Je n'ai pratiquement plus faim... Pratiquement. Je me sens si léger, j'ai l'impression de pouvoir tout faire. Ma vie d'humain, tout ce temps passé dans le Hueco Mundo, ca me semble être un rêve dont je viens de me réveiller. Peu importe ce que j'ai pu être avant, désormais j'étais au sommet... Et maintenant ? Que faire ? J'étais au sommet de ma gloire quand je suis tombé, dois-je à nouveau mourir pour recommencer à un autre niveau de conscience ? Est-ce que c'est ça, la vie après la mort ? Un éternel recommencement ? Et comment tuer un mort ? Si je n'ai plus de cœur, j'ai encore une tête... Est-ce que c'est toujours efficaces ? Et qu'est-ce qui se cache derrière ce masque ?



    Lorsque je me suis réveillé (je l'admet, j'ai perdu connaissance à cause de la douleur), je me suis rendu compte de trois choses : je m'étais raté, je n'avais plus faim, mais surtout j'avais... De la peau. J'avais retrouvé mon corps d'avant la maladie, à l'exception que j'avais une sorte de boucle d'oreille attaché au lobe droit. Mais comme cela ne me gênais pas, je décidais d'en faire abstraction. Je ne sais pas ce qu'il s'est réellement passé, mais je me sentais plus... Humain, qu'auparavant. Et puis, il y avait ce javelot rouge à mes côtés... Pendant un certains temps j'ai continué à vivre comme un sauvage, même si je ne l'étais plus. Je me serais bien trouvé des vêtements, mais ou trouver ça dans un monde ou il n'y a aucune norme sociale ? Et puis, quel besoin ? L'ombre était un habit suffisant.

    Le temps a passé. Après mon Arrancarisation, je suis resté caché de tous, ignorant s'il y en avait d'autres comme moi ou si j'étais unique. Un jour, le traître d'Aizen est arrivé, et les Arrancars ont commencés à pulluler partout. Il y a quelques temps, j'ai entendu dire que le Hueco Mundo avait un nouveau chef. Un ancien serviteur d'Aizen, qui s'était autoproclamé roi et qui manifestement était assez puissant pour asseoir sa domination. De mon côté j'avais pris mes résolutions. J'ai décidé que je ferais quelque chose de cette nouvelle vie qui m'a été offerte. Un nouveau souverain est apparu. Il avait forcément besoin de soldats. J'ignorais quel genre d'homme il était, mais je savais que j'aurais probablement besoin de sa force pour unifier ce monde. Et c'est ainsi que je suis allé me présenter à sa Majesté le roi Grimmjow Jaggerjack afin de proposer mes services et mon allégeance...
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Melody MacKenzie
Jorge Albino Hum-ind
Melody MacKenzie
Rang : Ϟ Espiègle Valkyrie

Messages : 2108
MessageSujet: Re: Jorge Albino   Jorge Albino Icon_minitimeSam 3 Nov - 8:17

Bonjour et bienvenue sur BBS !

Je te valide au niveau 4 en tant qu'Espada Morsa, tu devras donc adapter ta Resurección en conséquence. Tu peux dès à présent utiliser tes points de compétence pour aller préparer le café.

Vraie validation:
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Jorge Albino

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