Avatar : Poison © Street Fighter.
Parrain : Nope.
Comment avez-vous découvert le forum ? Ha, j’m’en souviens plus. Partenariat ou top-site, sans doute.

Âge : 279 ans.
Race : Shinigami.
Siège demandé : Shinigami de la Seconde Division, membre de l’Unité de Détention.

Description de votre personnage :


R’garde où tu vas, sinon je t’envoie baiser l’plancher.
Soixante-quinze kilos répartis sur un bon mètre quatre-vingts, voilà un rapport rarement observable chez le sexe féminin. Ces preuves numériques ne laissent aucun doute quant à l’allure générale de la gonzesse, soit un monstre à la peau légèrement basané ayant une musculature assez bien développée. Sa démarche est lourde, à croire que transporter une paire de nichons bien garnis - voire un peu trop - à longueur de journée rend les déplacements difficiles. Étant peu courtoise, Ryūko offre deux choix à ceux qui se mettent en travers de son chemin : fuir en se jetant corps et âme sur le côté afin d’éviter la collision ou se prendre en pleine poire un poing aux phalanges terriblement solides, enroulées dans de vieux bandages. Elle ne fléchit jamais ; ce sont les autres qui le font.


J’pue le bubble-gum ? Alors arrête d’respirer, ça t’fera du bien.
Une chevelure joliment colorée en un rose fushia dont les mèches pointent du nord au sud en passant par l’est et l’ouest. Cette mosaïque chaotique est repérable sur plusieurs kilomètres et se termine au niveau des reins, où une faible démarcation laisse entrevoir une pâle cicatrice. Il semblerait que la créature oublie de se peigner avant de sortir au grand jour et que chaque matin la situation s’aggrave. Retardataire, lève-tard, flemmarde, telle est l’impression qu’elle dégage avec sa coiffure quelque peu bordélique. Certains auront la prétention de lui attribuer une odeur particulièrement forte, qu’elle s’entêtera à nier dans le seul but de faire l’innocente quant à l’utilisation du parfum. Ce parfum à saveur de gomme à mâcher, dont elle se saupoudre pour réduire les effluves de sueur qui parsèment son corps et atténuer la senteur de fumée venant des nombreux cigares qu’elle consomme en l’espace d’une journée, est l’unique secret - pas si secret - qu’elle conserve, préférant qu’on lui concède une image de garçon manqué, celle-ci s’accordant mieux avec son attitude belliqueuse.


Observe et apprends qu’la simplicité c’la clé d’la vie. On te vexe, tu tapes.
Son regard bleuté est toujours teinté de malice, de colère ou de profonde lassitude. Plaisantine professionnelle, elle adore placer les gens de son entourage dans des contextes sociétaires comiques pour pouvoir rigoler de leur tronche. Que son rire gras et vexant atteigne les victimes ou non, la plupart d’entre elles sont incapables de la rattraper pour lui régler son compte. Outre ce passe-temps qui colle mauvaise réputation à son gros popotin, Ryūko est connue pour être impatiente. En effet, elle peut se montrer très colérique lorsqu’on lui en donne les bonnes raisons. Généralement lors d’un combat engendré par une insulte, son caractère fulminant se matérialisera en de longs sourcils froncés, une mâchoire étroite dont certaines dents sont manquantes, un petit nez retroussé avec un supplément de narines fumantes ainsi que des joues rondes, gonflées, écrevisse. Ce qu’elle déteste par-dessus tout ? La critique non constructive.


Chaussettes ou pas d’chaussettes, telle est la question.
À contre coeur, Ryūko revêt l’uniforme traditionnel des Shinigamis lorsqu’elle se promène aux alentours de la Seireitei. Son kosode paraît cependant plus étroit au niveau de l’abdomen, la largeur de ses épaules et son tour de poitrine en étant les causes. Elle s’est d’ailleurs permise d’y découper les manches et le résultat ressemble beaucoup à l’ensemble porté par les deux anciens commandants-en-chef de l’Onmitsukidō, Shihōin Yoruichi et Soi Fon, à défaut que son dos à elle reste couvert. Toutefois, dès qu’elle a l’occasion de s’éloigner des bureaux de sa division, la jeune femme s’amuse à se couvrir d’une courte camisole - dont la propreté est à douter - ainsi que de shorts noirs déchirés au bas, des vêtements qui lui viennent d'un récent voyage sur Terre. Un collier sombre s'ajoute aux menottes métalliques qu’elle garde toujours sur elle, au cas où elle aurait à arrêter des têtes brûlées pendant sa pause. Ryūko ne chausse pas de soulier, excepté des talons hauts aux couleurs variées lorsque l’envie lui prend.

Description de votre Shikai :

Sous forme scellée, le Zanpakutô de Ryūko se résume à une mince lame obscure, rattachée à un petit manche en fil de fer dont la longueur totale fait à peine quatre-vingt-dix centimètres. Deux plumes aux couleurs vives sont attachées à l’extrémité contondante de l’arme ; on ne sait s’il s’agit d’une simple décoration ou s’il y a anguille sous roche.

Elle n’a toujours pas activé son Shikai.

Histoire :

Le chaos régnait partout. Le bruit des combats dissimulait à peine les innombrables plaintes des soldats blessés ou à l’agonie. La terre était tapissée d’un rouge si intense que le ciel semblait avoir pris sa couleur. Les morts étaient nombreuses, trop pour améliorer l’humeur des troupes du Gotei 13. Tout semblait perdu, l’honneur, la volonté, la vie...

Pourtant, chaque âme oeuvrait à sa façon pour réduire la menace à néant. Tout le monde participait à la bataille. Tout le monde ? Non. Certains profitèrent de la situation, des lâches qui fuirent la Soul Society, préférant la liberté à la captivité. Les chaînes qui retenaient les criminels, les barreaux qui séparaient la folie de la raison, les portes qui contenaient fureur et sauvagerie, tous ont éclatés pendant l’assaut des Quincy. Plusieurs personnes peu recommandables prirent la poudre d’escampette ce jour-là, dont le meilleur exemple restera Aizen Sôsuke, une enflure comme on n’en trouve plus de ces jours. Il s’est volatilisé en laissant derrière lui tous ses anciens camarades, les laissant se démerder avec la destruction du fameux repère pour les âmes errantes du Japon. Mais ce n’est pas lui le problème. C’est cette ombre qui l’a suivi et qui s’est barrée sans explication.

Je le sais parce que j’étais présente. J’ai vu l’ombre passer sous mon nez et je l’ai tout de suite reconnue. Si rapide et si discrète, comment ne pas reconnaître ma propre façon de me déplacer ? J’étais celle qui lui avait appris à en faire autant. Sans perdre une seconde, je la pris en chasse. Il avait l’intention de fuir, mais il n’en avait pas le droit. Il était un criminel, oui, néanmoins il ne pouvait en aucun cas laisser des collègues, des amis, à leur triste sort. J’allais le lui en empêcher.

Bouh:

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