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 Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira

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Eyugun Akira
Eyugun Akira
Messages : 4
MessageSujet: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeLun 23 Juin - 15:51

    Avatar : Alibaba Saluja || Magi
    Parrain : //
    Comment avez-vous découvert le forum ? Sur un top site

Eyugun Akira

    Âge : 138 ans, 16 ans en physique
    Race : Arrancar
    Rang demandé : Vasto Lorde, Segunda Espada

    Description de votre personnage : La naissance détermine souvent l'aspect que l'on aura plus tard. Les traits familiaux ont peu de chance d'être oubliés comme de vulgaires socquettes. Seulement, pour ce qui est de la généralité, la nutrition ainsi que d'autres facteurs sont pris en compte pour modifier cette loi. Il est donc facile d'admettre que je ne suis, non pas uniquement formé de façon naturel, mais aussi que mes actions ont influencé ce corps. Pour ce qui est des détails, les voici.

    Ma silhouette atteint le bon mètre soixante-sept m'offrant une taille plutôt petite. Mon poids s'efforce à respecter les mesures de l'idéal pour atteindre les soixante et un kilogrammes. Pour ce qui est de l'allure, il penche plus vers la noble personne athlétique que vers le rond roturier. C'est peut-être à envier, mais je sais que vous aussi vous pourrez être aimé. Que votre forme soit simplement émincée, ou bien un peu rondelette, vous trouverez toujours une amante, sauf pour cas exceptionnel, n'abusons point.

    Rentrons désormais dans les détails en commençant par la partie supérieure. Tout en haut, mes cheveux blonds mi-longs tombent tout au long de mon visage, portant lui-même de beaux traits. Pour mes yeux, leur couleur jaune approche de près l'effroyable bijou ambre. Sa beauté est telle qu'elle envoûte au simple regard, chose que mes globes possèdent donc. Ma bouche est simplement fine et délicate, sans plus, exactement la même chose que pour mon nez. Il y a de quoi rendre les autres jaloux, mais le pire reste l'accompagnement de mon faciès d'un sourire. Je vous laisse juste imaginer l'effet que cela peut produire. Cela dit, on annonce souvent que je suis quelque peu efféminé, chose que je ne peux malheureusement pas niée.

    Côté vestimentaire, mes choix abordent toujours un peu d'ancienne noblesse, du coup, j'ai un habillement plutôt unique. Lorsque je ne suis pas habillé avec de simples vêtements, je repose sur mon ensemble spécial. Une toge d'un bleu marine qui enveloppe un vêtement plus léger, avec des nuances plus claires.

    Vous croyez que cette partie est déjà terminée ? Détrompez-vous, il me reste encore quelques renseignements à vous fournir. En particulier une décoration qui se trouve cachée par les vêtements. Pour être plus clair, il s'agit d'un magnifique tatouage, ou plutôt d'une qui s'est formée lors de ma renaissance. Celle-ci, situé sur l’omoplate, représente comme une aile démoniaque, qu'on dirait enflammée. De plus, mon fragment de masque se trouve au niveau de mon cou, comme si c'était un casque pour écouter la musique. Le trou quant à lui, celui de tous les Hollows ou Arrancars bien sûr, se situe sur mon bras gauche. Pour finir, j'ai deux cicatrices situées sur mon bras gauche. Voilà qui conclut ma description physique.

    __________________________


    Mais bon, comme vous le savez, pour réellement savoir qui je suis, il ne faut pas qu'uniquement connaître ma forme physique, mais aussi ma propre psychologie. Laissez-moi donc vous conter les principaux traits de cette personnalité.

    Aimable, voilà un terme qui peut me décrire rapidement. Le premier reflet se traduit donc par une aide de ma part, tant que cela n'induit pas en mal. Parfois, cette gentillesse me permet de faire des approches amicales, mais la profondeur de cette caractéristique m'a amené à conclure une chose qui changea littéralement ma vie.

    Je suis également protecteur, autre nature reliée à mon premier jet. Si jamais un soutien est demandé, jamais je ne refuserai. Il se peut même que ce soit le cas contraire, je proposerai aux gens s'ils souhaitent avoir quelqu'un pour les défendre, les aider, et ce, pour n'importe quelle situation. Même si je n'aime pas réellement me battre contre un autre être intelligent, il m'arrive d'avoir l'obligeance de le faire, afin de servir la justice, la vraie.

    On peut aussi m'accorder un point sur le domaine de la confiance. Je suis un homme de parole, je ne manquerai pas de la respecter. Si je vous accorde une chose, je le ferai ou vous le donnerai si c'est un objet. En tout cas, je tiendrai promesse, même si mille mondes sont contre moi. Elle ne doit simplement pas être pris à la légère. Il faut savoir si l'on peut la tenir, mais uniquement si l'on estime qu'elle est assez raisonnable pour avoir une raison de le faire. Dans le cas contraire, il est évident qu'un refus aura lieu, ce qui est rarement le cas. Malgré tout, il existe toujours des exceptions. De plus, respecter ces devoirs en va de mon honneur propre, cela va donc de soi que ceux-ci ne sont pas accordés de façon aléatoire.

    Étant habituellement d'un naturel souriant, calme et posé, je me suis déjà surpris à perdre mon sang-froid et agir contre mes volontés. On dit que toutes personnes ont leurs limites, cela compte aussi pour mon cas, et surtout dans ce domaine. J'ai tendance à exprimer ma colère d'une étrange façon. Mon caractère permute donc à la suite de cela, laissant paraître un esprit quelque peu sadique, bien que je joue certaines fois ce type de personnage par simple envie journalière. En fait, on peut même dire que...Non.

    Ce relâchement me cause parfois des ennuis, avec mes nombreux autres défauts. Par exemple, je pourrais dire que, même si j'ai annoncé plusieurs critères qui me contrediront juste après, ma soif de vengeance ne connaît de limite. Oui, je suis prêt à tout pour la satisfaire, et même à aller contre mes propres attentes. Et puis, sans détailler, je peux vous dire que j'ai tendance à parler un peu trop vite, comme vous l'avez sans doute remarquer. Je n'en dirais pas plus pour mes autres défauts, vous finirez bien par tout découvrir de vous-même, n'est-ce pas ?

    Pour conclure cette partie globale, je vais vous parler de ce que j'aime pratiquer dans la vie. Cela est plutôt simple, en dehors de mes préoccupations principales d'aider les autres, je ne peux me passer de faire quelques ravages combatifs tel l'entraînement. Étrange contraste n'est-ce pas ? Si vous voulez retenir une chose à propos de moi, retenez le fait que je suis étrange, et souriant.

    Description de votre pouvoir : En premier temps, mon Zanpakuto est quelque peu original. N'ayant pas la forme habituelle d'un sabre, le mien porte plus court et se résigne à l'état de dague.

    « Stern and dignified spirits of my power, unleash the embers and rekindles the flames ; Amon. »

    Bien que je n'ai réellement besoin que de la seconde partie de cette phrase pour libérer mon pouvoir et faire appel à ma resurrección, j'aime utiliser la totalité de cette formule. Lorsque cela se produit, des flammes entourent rapidement mon corps puis transcendent les limites afin de me flamboyer complètement, laissant alors place à ma nouvelle forme. Cela dit, je garde quand même beaucoup de traits humains. En dehors de ce détail, des écailles argentés recouvrent mon corps de mon torse à mes pieds. Des fils rouges sortant du milieu de mon dos se rejoignent au niveau de ma poitrine, créant ainsi comme une sorte de collier. En outre, des ailes flamboyantes se déploient, alors qu'un amas de flammes passent entre elles et ma tête pour se coller au bas de mon buste. Pour finir, ma dague se transforme en une imposante épée enflammée noire, auquel je peux modifier la forme. En autre, je peux soit garder sa forme d'antan, soit garder la nouvelle.

    Dans cette forme, il m'est possible de contrôler parfaitement les flammes. De plus, naturellement, je suis insensible à ce type d'attaque, ce qui aurait pour conséquence d'améliorer mes propres capacités de combat si je venais à en subir.

    Ressemblance:

    Histoire : Vous ne vous êtes pas déjà demandé pourquoi le monde est tel qu'il est ? N'avez-vous jamais songé à changer ce dernier ? Vous êtes-vous déjà dit qu'il aurait mieux fallu que votre naissance n'ait jamais eu lieu, afin de protéger des êtres qui vous sont chers ? Afin de ne pas souffrir ? Moi, il m'arrive souvent de méditer sur ces choses là. Laissez-vous retourner dans le passé afin de connaître mon histoire, pour que vous puissiez mieux me comprendre.

    Ere Meiji, 1868, surprise que voilà en cette année-ci. Cela faisait plusieurs jours déjà, plusieurs jours que l'on annonçait la venue d'un enfant. Alors que la dame se réjouissait de ce fait, son mari semblait plutôt inquiet. Leur salaire cumulé suffisait à peine pour qu'il puisse vivre correctement, et il fallait nourrir et s'occuper d'un nouveau-né désormais. Le père, de cet état d'esprit, fuit ses responsabilités, ne laissant plus aucune trace de lui. L'heureuse femme, qui attendait que son bien-aimé arrive avant d'accoucher, ne put voir son amour et fut obligée de commencer et terminer la naissance, avant que d'éventuels problèmes ne surviennent. Ce fut alors le véritable début d'une vie, le périple d'Eyugun Akira allait commencer, mon périple.

    Quelques heures suite à mon épanouissement, ma mère apprit la nature cachée de celui dont elle était amoureuse. Au début, elle ne croyait pas aux dires des médecins, personnes qui avaient informé cette dernière. Elle s'attachait toujours à l'idée qu'un empêchement avait dû arriver, ne lui permettant pas de venir assister à l'accouchement. Seulement, au bout de quelques semaines d'absence, elle fut obligée d'admettre qu'elle avait fait un mauvais choix en choisissant ce garçon. Abattue, lorsque ma jeune mère quitta l'hôpital, l'aura qui émanait d'elle n'était que mal voire dépressive. De retour à notre maison, elle s'effondra sur le sol, sur ses genoux, et cria sur son sort une bonne dizaine de minutes. Ensuite, elle se dirigea vers le berceau qu'elle avait acheté au préalable pour ma pomme, puis me serra contre ses bras.

    Décembre 1879, jusqu'à ce moment, ma mère arrivait à tenir en prenant un second emploi à mi-temps. Elle avait pu m'assurer l'éducation, ma propre croissance et un logement en bon état. Seulement, un drame arriva, puisqu'il vient toujours ce monsieur. Ayant eut l'accès à une prestigieuse école dû à mes capacités, je fus méprisé par mes camarades qui apprirent cela. Tous étant habituellement riches n'avaient que faire des pauvres comme moi. A la fin des cours, je fus entraîné par des senpaïs à l'arrière de l'école. Quatre...Cinq ! Cinq élèves de seconde année m'encerclait en souriant. Non, plus que cela même, ils pouffaient presque de rire, des rires démoniaques. Je savais déjà ce qui m'attendait à ce moment. Même si je voulais m'en échapper au plus vite, on me retenait, et je ne pouvais rien faire d'autre que de subir le sort qui m'était réservé.

    « Toi...J'ai entendu dire que tu étais pauvre, pas vrai ? On aurait dû le comprendre plus tôt, vu tes vêtements...Tu te permets d'avoir les faveurs des profs', d'être suffisamment intelligent pour nous foutre la honte, et tu n'as même pas les moyens pour payer quoi que ce soit ? En plus, tu te sens fier de tes accomplissements hein ? Tu te sens supérieur à nous...Nous, les gens comme toi, on les aime pas. 

    - Dommage, on aurait pu régler cela pacifiquement en restant sur de bons termes, mais à ce que je vois, vous n'avez pas assez évolué pour comprendre que la violence ne résout rien. En faisant cela, vous ne faites qu'aggraver votre situation. Cela prouve aussi votre idiotie... »

    Je n'eus le temps de continuer que son impulsivité s'empara complément de lui, l'obligeant à se soulager en me frappant d'un coup de poing tout en criant de me la fermer. Déjà à bout de nerf, il convainquit ses amis de lui venir en aide. Bien sûr, je n'allais pas rester sans agir. Si j'avais à être pris dans une baston, même à gros handicap, je me battrais jusqu'au bout. C'était cet état d'esprit qui me poussa à mêler mes poings dans la bataille, qui finit comme je l'aurais imaginé. Un bain de sang dont je n'en sortis pas vainqueur. Tout ce que je me rappelais ensuite, c'était qu'on m'avait abandonné près des poubelles, comme un vulgaire détritus.

    Je pus reprendre mes esprits à l'aide de l'infirmière. Je me trouvais dans sa salle, grâce à une camarade de classe qui m'avait trouvé par hasard. Elle semblait indifférente à propos des classes sociales et de la richesse des gens. Cela devait être le genre de personne qui aidait constamment les gens autour d'elle. Je ne pouvais rien lui offrir afin de la remercier, mais il semblerait que seule la réelle gratitude lui convenait. Dans ce cas, je m'inclinais normalement devant elle et lui présentais ma reconnaissance. Certes, c'était point approprié pour ce que je lui devais, mais cela suffisait. Je n'allais très certainement pas la recroiser un jour pour qu'elle me sauve une nouvelle fois.

    Suite à cette infortune, je fus renvoyé chez moi. Bien sûr, sachant ce qui était arrivé, ma mère me contraint de rester pour les prochains jours, et ce jusqu'à ce qu'elle puisse rencontrer les malfaiteurs pour les gueuler dessus. Même si elle s'était pris la peine de faire tout ça pour moi, je savais que le résultat serait maigre. Un petit « oui j'arrêterai » hypocrite et c'était oublié pour la dame. Croyant qu'elle avait réglé mes problèmes, cette dernière m'autorisa à reprendre l'école. De plus, elle m'offrit aussi des cours supplémentaires pour rattraper mon retard tout en évoluant.

    Seulement, elle était loin de se douter qu'elle avait empiré la chose. Mais comme je savais que j'allais être agressé une seconde fois, j'avais préparé un avantage qui me permettrait peut-être de gagner. Cette fois-ci, j'utiliserai une arme. Bien que ce ne soit qu'un bout de bois, ce bâton pouvait se révéler des plus utiles et me mener jusqu'à la défaite d'autrui si je m'en servais bien. Comme prévu, on m'emmena une nouvelle fois à l'arrière du collège, avec toujours les mêmes personnes. Pourtant, je n'avais pas envie de partir, je n'avais pas les sentiments identiques qu'autrefois.

    Brandissant mon arme en premier, je me jetai sur un des types, plein de convictions. Mes yeux reflétaient ma détermination et brillaient de mille feux. Je n'avais pas cette expression plutôt neutre de la dernière fois, j'avais changé rien qu'avec cela. Malgré tout, le choc passa, et je fus toujours perdant. Ils avaient réussi à me séparer de mon bâton, et en profitèrent pour m'avoir. Pourtant, je n'avais pas été jeté aux ordures. Quelqu'un put intervenir en débarquant, les faisant filer grâce à un certain art de combat. Ma combativité m'avait permis de voir brièvement les mouvements avant que je ne perde conscience. A mon retour, j'étais dans une pièce. Je n'étais pas à l'infirmerie, non, mais plutôt dans une sorte de salle d'entraînement.

    « Oh ! Tu es revenu à toi. Bien combattu. Désolé, j'étais tellement absorbé par ta motivation que je pensais que je ne devais pas intervenir. Je pensais que tu aurais pu les avoir...Cette brillance dans tes yeux...En tout cas, encore désolé. »

    C'était la personne qui m'avait sauvé de dernière seconde, mais je ne savais qui ça pouvait bien être. Il croyait que j'avais la force de les battre, peut-être parce que...Non, je ne savais pas vraiment en fait. Mais j'avais mon objectif, mon nouvel objectif. Cet étrange art, je voulais l'apprendre. Je voulais les faire goûter à ma souffrance de moi-même.

    « Ne vous en faites pas. C'est seulement mon incompétence qui ne m'a pas permis de les vaincre. C'est pourquoi...Je voudrais que vous fassiez de moi votre élève. Je voudrais apprendre ce style de combat.

    - Comment ? Tu veux connaître l'escrime ? Tu n'as pas déj...C'était donc instinctif. Mhm...Je suis désolé, mais je ne pense pas que tu puisses supporter tous nos entraînements. Ce type de combat est vraiment difficile à assimiler, ce n'est pas une voie que tu peux te permettre d'emprunter sans motiv...

    - Je veux apprendre. »


    Il voyait ma détermination, il ne pouvait pas seulement refuser comme cela. Il voulait me faire passer un test d'entrée. Mais pas tout de suite, je n'avais pas l'énergie nécessaire. C'était pour la semaine d'après. Il se présenta alors, et je fis de même. Une fois que je pus retenir le plan pour atteindre cet endroit, je revins chez moi. J'avais tout fait pour ensuite cacher cela à ma mère, et quand vint ce jour, je fus plus motivé que jamais. J'étais prêt à passer n'importe qu'elle épreuve. Mais celle que j'avais était un combat. Je devais me battre contre une personne, et ce n'était pas n'importe qui. Oui, c'était cette personne. Je devais faire un duel contre celui qui m'avait sauvé...En retard.

    Je devais donc le battre ? Mais...Avais-je le courage de...Non, je ne devais pas hésité. Il était beaucoup plus expérimenté que moi. D'après les bruits qui couraient, c'était un véritable génie. Si je me retenais, jamais je n'aurai de chances pour apprendre cet escrime. Une fois en place sur le terrain, et après les salutations, le match débuta. Rapide, c'était rapide. Son premier coup m'avait déjà touché. Cependant, je ne me laissais pas abattre, j'avais pu percevoir son attaque. La prochaine fois, je pourrais le contrer. J'avais discerner la vitesse qu'il mettait dans ce coup, et celle-ci se révéla être approximativement la même pour le suivant. De ce fait, je pus esquiver puis frapper sur sa côte gauche.

    Bloqué. Je ne l'avais pas encore eu, et je fus même surpris qu'il put parer. Seulement, si je restais comme ça, c'en était fini. Je continuais alors d'attaquer. Mon assaut ne fit pas mouche, je dus opter pour un coup plus basique, un estoc, c'était comme qu'on l'appelait. Mais cela fut facilement éviter par le monsieur qui put ensuite m’asséner une attaque au visage. C'était fini, mais je voulais vraiment prouver ma valeur. Je l'avais presque supplié. C'était comme une sorte de fierté, je ne voulais pas rester sur une défaite totale. On m'accorda alors cette demande.

    Cette fois-ci, c'était moi qui frappait en premier. J'essayais dans cette manche d'adopter le même style de combat. Pour ce faire, je fus obligé de tester tout ce qui me venait à l'esprit, après l'avoir vu. Même si la moitié de mes coups était paré, et l'autre moitié esquivé, je continuais à faire face. A un moment, je me trouvais dans une position plutôt délicate. Mon adversaire n'allait pas se laisser faire jusqu'au bout, et décida d'en finir à ce moment. Pourtant, ce ne fut pas le cas. D'un mouvement complexe, je pus tournoyer et passer dans le dos du jeune homme. Ceci me permit d'effectuer une attaque qui allait lui toucher, mais hélas, je fus pris dans la sienne avant. Résultat, rien qui ne vaille la peine d'être prononcé.

    Je pensais que tout était terminé pour moi, mais je me trompais. Les spectateurs étaient comme abasourdi de ma faible performance. Même si je ne m'étais jamais entraîné, même si mon style de combat était encore loin d'être celui de l'escrime, mon sauveur me permit de rester et d'apprendre petit à petit. De plus, le temps de mon apprentissage, je fus protégé constamment par cette personne avec qui je sympathisai rapidement.

    1883, l'art de l'escrime n'était plus vraiment un secret pour moi. De plus, j'avais même commencé à apprendre la phase supérieure, ou plutôt, la face noble de cet art, l'escrime royal. Ce n'était pas du tout au point, mais j'avais une base qui tenait la route. Grâce à cette discipline, je pus prendre ma revanche alors même que je me faisais attaquer.

    Seulement, tout ne pouvait aller aussi bien. Un jour, ma mère montra les symptômes d'une maladie pulmonaire, l'obligeant à survivre uniquement dans des bâtiments de soins. Néanmoins, les frais étaient beaucoup trop important pour me permettre de continuer les cours. Je fus contraint d'abandonner mes projets. Même avec mes notes, il m'était impossible d'y parvenir.

    J'étais obligé de me mettre au travail pour tout payer. Ce n'était pas vraiment le top, mais j'avais aussi pu économiser. De plus, ma mère se rétablissait aussi dans son coin. D'une certaine façon, j'avais tué mon avenir, mais j'étais quand même fier de moi. Entrer dans les forces de l'armée à seize ans, ce n'était pas une chose que tout le monde faisait. Non, à vrai dire, personne n'était assez fou pour le faire. Cela dit, c'était un bon moyen de revenu, et je n'avais pas énormément de choses à faire. Non, je ne devais que faire des rondes dans les quartiers de la ville. Je n'avais que cette mission pour le moment.

    Oui, pour le moment. Ce ne fut pas sans tarder qu'une bataille débuta. Les forces disponibles furent appelées, et j'étais dans l'équipe de premier assaut. Mêlant fusil et sabre, le combat m'allait être nouveau. Je savais pertinemment que je pouvais mourir à tout instant, mais je refusais de l'admettre. Au contraire, j'étais beaucoup trop optimiste. Je ne voyais pas le monde de la même manière. J'étais encore trop naïf. Je pensais qu'on pouvait gagner sans perdre une seule personne.

    Les liens qui nouaient les soldats étaient de plus en plus forts. Moi-même m'étais fait de bons compagnons que je sauverai en l'échange de ma vie. Cela dit, ce n'était que de simples pensées. Une fois sur le champ de bataille, tout se dévoila. Tout. La guerre n'était pas une bonne chose. La guerre ne pouvait se terminer sans aucune mort, et ce pour chacun des camps. Mes camarades tombaient alors qu'ils étaient en train de charger l'ennemi. Chaque jour était empli de peur, de colère, de rage, de pleures, de tristesses...Oui. J'avais compris ce que signifiait le mot vivre. Bien que la bataille fut courte, et que la victoire était totale pour les japonais, jamais je ne voulais revoir ce massacre.

    Tous mes amis étaient morts, les survivants avaient perdu de leur éclats. On pouvait dire qu'il n'était plus eux-mêmes. Non, j'étais seul. Retournant alors chez moi, je fis tout mon possible pour quitter mon poste. Toutefois, le destin s'acharnait sur moi. Alors que j'étais soulagé d'avoir pu rejoindre à nouveau une vie normale, j'appris que ma mère était morte de sa maladie. Que de mauvaises nouvelles.

    Quelques mois plus tard, alors que j'avais retrouvé de mes couleurs, il se passa quelque chose d'horrible. Une jeune fille, beaucoup plus jeune que moi, était morte devant mes yeux. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Non. Pourquoi avait-elle perdu la vie ? Je n'avais trouvé aucune raison à cet événement. Était-elle elle aussi malade ? Pourquoi ? Comment ? Étais-je maudit ? Attirai-je les faveurs de la mort en la répandant à ceux qui se trouvaient autours de moi ? Je ne comprenais plus rien, je ne voulais pas comprendre, je ne pensais même plus à rien.

    Je ne voulais plus voir de mort. Je ne voulais plus rien. Seul mon sourire niais restait, tout le reste s'était effondré. Il fallait désigner un coupable. J'étais parfait dans ce rôle. A ce moment, je n'essayais même pas de me débattre. Même si je savais que j'allais être exécuté pour cause d'avoir soi-disant tué cette fillette, je ne réagissais pas. La mort hein ? Ce fut rapide.


    La mort...C'était pas si différent de la vie. J'étais encore là, alors que je ne l'étais plus vraiment. J'étais encore choqué, mais cette émotion ne tarda pas à s'effacer. La mort n'était rien d'autre que ça ? J'étais en quelque sorte déçu, mais je m'en foutais aussi un peu. Je ne voulais rien faire, ni me battre, ni manger, ni jouer. Je me contentai d'attendre là, à l'endroit de ma mort. Après la mort, qu'il y avait-il ? Je voulais savoir, mais j'avais aussi peur. J'avais peur de l'inconnu.

    Un beau jour, je me rappelais de cet homme. Oui, celui-là, celui qui venait de passer devant moi. Mon ancien maître, celui qui m'apprit l'escrime. L'espoir me revint alors, je voulais parler avec lui, m'entraîner avec lui, m'amuser avec lui. Cependant, j'avais oublié. J'étais mort. Il ne pouvait pas me voir, ni m'entendre. Il ne sentait rien lorsque je le touchais. J'étais devenu...Un esprit. Je ne valais rien. Ma vie était...Finie ? C'est vrai. Je me reposais alors, et je fermais les yeux. Je n'avais plus qu'à trouver le sommeil éternel. De toute façon, je n'avais plus rien à quoi m'accrocher. Je n'avais plus personne à protéger. Et même, je n'aurai pu le faire.

    Soudainement, je me réveillai. J'avais faim. Comment était-ce possible ? Je n'en avais aucune idée, j'avais juste cette sensation qui me démangeait. J'avais tellement faim que mon esprit même ne s'occupait que de cette pensée. J'étais prêt à manger n'importe quoi. Me déplaçant tout d'abord très lentement, je me surpris à courir de plus en plus vite. Puis, je me jetais sur tout ce qui bougeait. Animal comme humain. Qu'étais-je bien devenu ? La question ne me venait même pas, juste cette envie de manger, de rassasier ma faim pompait mon esprit.

    Sans le savoir comment, j'avais réussi à me trouver dans un monde désertique au bout d'une certaine période. Cependant, ce n'était pas pour autant que j'avais d'autres idées en tête. Me déplaçant constamment, je pus remarquer rapidement que les formes de vie qui se trouvaient à cet endroit n'étaient que des monstres. Cela dit, ça ne m'empêchait pas de les manger. J'étais devenu un monstre.

    Le temps avait passé sans que je ne m'en rende compte. Tout ce que j'avais fait ces dernières années n'était autre que de m'engloutir de ces choses. J'avais enfin remarqué que j'étais devenu une de ces horreurs, autant en physique, qu'au mental. Je n'étais pas que dérangé mentalement, je m'étais carrément transformé.

    J'avais retrouvé l'esprit. Ou plutôt, j'en avais acquiert un. C'était comme si j'étais en train de vivre le chemin de la renaissance. C'était comme si je suivais la voie de la réincarnation. Malgré tout, même si j'avais de nouveau des pensées, cette faim ne m'était pas pour autant enlevé. Non, au contraire même. J'en voulais encore plus...Je devais en avoir encore plus, pour devenir plus fort. Quand avais-je découvert cela ? Au même moment que l'intelligence me revint.

    Plus j'avalais des choses, plus ma puissance se développait. Mais que m'arriverait-il si je ne mangeais plus ? Si je ne dévorais plus mes semblables ? Je ne préférais pas y penser. Ça me faisait trop mal...Trop mal de l'intérieur. Je devais encore le faire, encore plus, toujours plus, jusqu'à ce que ce vide soit comblé.

    Je n'étais pas dupe. Je savais que je n'étais pas le seul être intelligent en ce monde. Alors que je passais mon temps à chasser, je finis par découvrir un type, une chose dans le même cas que moi. Que devais-je faire ? La manger elle-aussi ? Juste la tuer ? La laisser ? Être...Ami avec elle ? Je ne savais pas pourquoi, mais cette dernière proposition me paraissait la plus idéale. Peut-être que cela faisait juste longtemps que je n'avais pas rencontré quelqu'un avec qui parler. C'était sûrement ça.

    Sans m'y attendre, c'était cet individu qui vint à moi. Par réflexe, je me mis sur mes gardes, mais il n'y avait rien à craindre. Apparemment, lui aussi souhaitait faire voyage ensemble. Seulement, comment savoir que ce n'était pas un piège ? Ses yeux ne me disaient rien. Son attitude ne le trahissait pas. Je n'avais d'autres choix que de le croire, après tout, j'étais prêt à propos la même chose.

    Voilà qui répondit à mes attentes, plusieurs années s'étaient déroulées mais rien. Non, aucune attaque surprise de sa part. Au contraire, la chasse était plus vivante, plus divertissante à ses côtés. En plus, le groupe s'était agrandi. D'autres personnes nous avaient rejoint, d'autres êtres intelligents. Cependant, même si l'on était plus, au final, on faisait la même chose. On chassait encore et encore, sans perdre cette faim. C'était comme si notre but même de cette vie était de nous nourrir.

    Une décennie. Une décennie...Je n'avais fait que ces quelques actions durant ce siècle, courir, manger. Quand allais-je m'arrêter ? Je ne le savais pas. Même si j'avais développé quelques relations, je savais que cela n'allait pas tenir. Après tout, ils n'avaient pas la force de continuer. Rien que le lendemain, je pus confirmer mes dires. Ils me demandèrent de les laisser, que j'aille chasser seul. Eux ne voulaient que glander et attendre que tout se finisse. Non, pas tous finalement. La première personne que j'avais rencontré après ma transformation me demanda une faveur.

    « Plutôt que d'abandonner bêtement, je préfère encore que tu me manges. Comme ça, je pourrais vivre à travers toi...Le feras-tu ? »

    Juste après ça, la masse de monstres se confièrent à moi. Son intervention leur fit changer d'avis. Eux aussi voulaient être en moi désormais. Bien que cela sonnait quelque peu pervers, je ne pouvais refuser leur demande. Après l'avoir fait, je sentis comme un changement. Je sentais comme un flot immense de pouvoir s'éveiller en moi. Mais d'un autre côté, j'avais encore ce sentiment. Je voulais devenir plus fort. Bien que je me disais que ma puissance était maintenant sans égal, j'en voulais encore plus. Bien que je m'étais de nouveau transformé, je voulais encore plus de puissance. Pourquoi ? M'étais-je embarqué dans un cycle de transformation infinie, où seules la solitude et la tristesse m'attendent au bout, alors qu'elles m'accompagnent déjà en chemin ?

    Après avoir longuement réfléchi, je me souvins d'une chose. Mon sourire était ma marque de fabrique, mais maintenant, où était-il ? C'était ce masque qui le cachait. C'était de sa faute. Si j'étais tout seul à ce moment, c'était de sa faute. Alors, pourquoi ne pas l'enlever ? Ça faisait mal ? Était-ce vraiment un gros problème ? N'avais-je pas déjà surmonté des défis plus grands ? Mais au final, pourquoi voulais-je avoir de nouveau ce sourire ? Je n'en savais rien. Je ne faisais plus qu'agir par pur instinct.

    Ce masque, j'avais décidé de l'enlever par tous les moyens. Après tous les essais possibles, je finis par le faire. Haletant encore, étant aussi à quatre pattes sur le sol, de grosses sueurs dégoulinaient de tout mon corps. Les écailles sur mon corps avaient disparu, j'avais retrouvé une peau humaine. J'étais redevenu humain ? Je ne savais pas ce qu'il s'était passé, mais après avoir vu un fragment de mon masque, je vins à penser que je n'étais pas complètement humain, que je l'étais qu'à moitié. Pourtant, je me trouvais toujours dans le même monde, ce désert infâme.

    Ce n'était donc pas le chemin de la réincarnation. Mais ça, je l'avais compris. Je le savais, mais je refusais de l'admettre. Ce côté idiot de ma personne, j'en avais parfois honte. Je risquais donc cette fois-ci d'être seul pour l'éternité. J'avais comme signé un contrat. C'était fini.

    Le temps passait encore, sans même que j'eus le besoin fondamental d'y prêter attention. Je me contentais de bouger, ici et là à la recherche d'un quelconque ami. Puis, on finit par me trouver. Aizen...Hein...Il était évident que j'étais heureux de le voir. De voir quelqu'un qui ne m'attaquerait pas, qui demanderait mon aide. Cela dit, maintenant que je pouvais me contrôler, je n'avais pas vraiment envie de me battre. Mais, le fait de pouvoir avoir de probables camarades m'enchantait tellement que j'acceptai son offre.

    N'ayant ni dévoilé ni usé de mes pouvoirs, je fus contraint d'avoir un gros nombre en tant qu'Arrancar. Toutefois, cela ne me dérangeait pas tellement. Après tout, j'avais quand même réussit à me faire des amis, ou au moins des compagnons avec qui parler. C'était agréable, d'une certaine façon. C'était réellement qu'à ce moment que j'appris les termes exacts de tout ce que j'avais vécu.

    Seulement, ça n'allait pas durer. Avec l'attaque du gotei 13, il y eut beaucoup de victimes. Ceux avec qui j'avais le plus d'affinité avaient péri durant l'affrontement. Aussi, un énorme ravage s'était produit dans le coin. Ça ne ressemblait plus à ce que c'était auparavant. Ce sentiment...Était-il réel ? Cela faisait tellement longtemps que je n'avais plus rien ressenti de tel. J'étais en quelque sorte énervé, énervé au point même de vouloir me battre.

    Grimmjow prit la relève se disant roi du Hueco Mundo. Ce dernier reforma une armée auquel j'étais fier d'appartenir. Même si je n'étais au sein des Espadas, cela me suffisait amplement, tant que je pouvais accomplir cette vengeance idiote. Me retrouver dans l'Exequias ou autre part, c'était la même chose.

    Cependant, c'était trop beau pour être vrai. Ce roi qui semblait un tant soit peu prometteur succomba. Il laissa derrière lui de nombreux combats, ces derniers visant à élire la nouvelle toute-puissance. Malgré tous ces ravages, rien ni personne n'avait réellement le talent de siéger sur ce monde. Au final, j'avais fini par prendre mes distances, ne voulant point me confronter à de tels risques d'affrontement.

    Cela dit, quelques temps plus tard, une sorte d'appel traversa mon esprit, mon âme. Je fus étrangement attiré à cet endroit, ce lieu où tant de Hollows avaient connu la mort, une seconde fois. Las Noches. Je n'aurai jamais pensé remettre les pieds en cet endroit, mais c'était plus fort que moi. C'était comme si le devoir m'appelait. Une fois sur place, un frisson me traversa le dos. Santo Pastor, la nouvelle Parole, le Messager. Rien que mes yeux se posaient sur lui que j'en avais des frémissements. C'était comme si j'avais un cœur, et qu'il battait la chamade.

    J'avais certainement l'air d'être un simple fanatique de ce nouveau mode de vie, mais les paroles de ce Santo réussissaient à faire briller mes yeux. J'avais envie de l'aider. Non, je voulais à tout prix lui servir, lui et aussi tout le monde. Bien que cela prit du temps, dû à ma persévérance et à ma réelle force, je pus atteindre ce premier objectif. Je n'aurais pas pensé occuper une place aussi importante, mais c'était encore mieux. Avec ça, je pourrais l'aider du mieux possible.



Dernière édition par Eyugun Akira le Jeu 26 Juin - 20:58, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeMer 25 Juin - 14:08

Bonjour et bienvenue sur BBS.

Le rang de Decima Espada auquel tu aspirais vient d'être attribué à quelqu'un d'autre, je vais donc devoir te demander d'en sélectionner un différent. Merci de ton attention !
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MessageSujet: Re: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeMer 25 Juin - 14:29

Changement effectué ^^
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MessageSujet: Re: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeJeu 26 Juin - 13:56

Faute d'indication, je préfère demander vu qu'elle avait été postée vide : ta présentation est-elle terminée ?
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MessageSujet: Re: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeJeu 26 Juin - 14:00

Ah, oui je pense xD
Désolé, j'ai oublié de le préciser x)
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MessageSujet: Re: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeJeu 26 Juin - 17:25

Sans encore avoir lu le reste, je peux alors déjà te dire qu'il va te falloir en changer la fin. Non seulement l'ascension au pouvoir de Grimmjow ne date pas d'hier (elle remonte à 2012), ce qui fait que tu n'aurais bien entendu pas pu être Segunda Espada tout ce temps (depuis deux ans tout au mieux, sachant que nous sommes en 2019 sur le forum), mais en plus le Hueco Mundo a - encore - changé de main et « appartient » maintenant à Santo. Le BG n'a pas encore été mis à jour suite dernier Event mais tu trouveras toutes les informations relatives ici. Je te laisse donc revoir ta présentation en conséquence avant de m'y pencher pour de bon.
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MessageSujet: Re: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeJeu 26 Juin - 21:01

Je ne sais pas si c'est tout bon, je ne le pense pas vraiment d'ailleurs, alors j'en suis désolé ^^"
Cela dit, j'ai modifié la fin comme demandé.

Merci x)
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MessageSujet: Re: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeSam 28 Juin - 22:30

Salut !

C'est bon pour la fin, pas de problème de ce côté là. ^^

Par contre, je dois malheureusement t'annoncer que tu n'as le niveau ni pour prétendre à une place au sein de l'Espada, ni pour prétendre au statut d'Arrancar de base Vasto Lorde. On pourra passer à la validation une fois ton histoire modifiée en conséquence.

Après concertation, le niveau 3 t'est accordé. De fait, ta place dans l'Espada est maintenue, mais la remarque quant a l'impossibilité de jouer un Arrancar de base Vasto Lorde tient toujours, ce statut étant exclusif au niveau 4.

Aussi, il serait bon de mentionner plus longuement certains éléments importants de la trame du forum, je pense entre autre aux Maho Tsukaïs.

Merci et bon courage pour les modif' !
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MessageSujet: Re: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeSam 5 Juil - 20:44

Cette présentation est-elle encore d'actualité ?
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MessageSujet: Re: Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira   Les cendres d'une vie ravive ma propre flamme || Eyugun Akira Icon_minitimeSam 12 Juil - 17:24

Présentation archivée.

Adresse-toi au bureau du staff si tu souhaites la continuer.
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