Il y a des jours où tout va mal. Et d'autres où tout va bien. Aujourd'hui ? Et bien, pour le moment, c'était un jour mitigé. Ou du moins, Yoshiko avait l'impression que tout partait plus ou moins en sucette depuis que ... Et bien, depuis qu'elle était devenue Capitaine de la Huitième Division. Il y avait quelque chose qui n'allait pas à dire vrai. Elle avait l'impression que ce n'était plus ça. Il lui manquait quelque chose. Quoi ? Peut-être cette insouciance dont elle faisait preuve, et ce même si la jeune femme l'avait toujours. Néanmoins, comme elle avait, à présent, des responsabilités, elle ne pouvait plus faire n'importe quoi. Elle ne pouvait plus se balader, le nez levé vers le ciel, en se fichant de tout et de rien. Elle ne pouvait plus faire de séjours sur la Terre sans prévenir les autres. Elle ne pouvait pas se rendre dans le Rukongaï, enfin, à la bordure du Rukongaï, près de la forêt, sans prendre la peine d'en parler à ses hommes. Parce qu'elle devait être joignable à n'importe quel moment. Surtout si ... Et bien, surtout si quelque chose partait en sucette. Et depuis quelques temps, avec les différentes attaques et tout ça, oui, ça partait en sucette, pour sûr. Sa relation avec Tōjō ? Et bien, heureusement qu'il y avait cela. Parce que sans Tōjō, sans son homme, qui sait si Yoshiko n'aurait pas baissé les bras depuis longtemps et qu'elle s'en serait retournée sur Terre. Déprimée la petite Yoshiko ? Oh, on a tous un passage à vide de temps en temps, n'est-ce pas ?

Quoi qu'il en soit, les mains dans le dos, son haori sur le dos, la jeune femme marchait. Elle marchait souvent. Pour s'oxygéner l'esprit. Pour penser à autre chose. Elle en avait besoin parfois. Surtout quand elle venait de signer tout un tas de papiers. Ce qui était le cas. Elle aimait bien faire de la paperasse. Néanmoins, y'avait des jours où ça lui sortait par les trous de nez. Et dire que ... Et dire qu'elle avait gérer deux divisions en même temps durant quelques semaines. La sienne, et celle de Tōjō. Pas une mince affaire cette histoire. Ca avait été un peu compliqué, d'ailleurs, surtout que la Septième n'avait plus aucun Shinigami gradé, hormis les sièges. Tōjō étant aux bons soins de la Quatrième, et elle à la Huitième, brèfle, il était vrai que ça n'avait guère été facile. Mais au moins, d'une certaine manière, Yoshiko avait pu rester proche de Tōjō. Là, elle trouvait que c'était ... différent. Va trop savoir pourquoi d'ailleurs. Peut-êter parce qu'elle ne le voyait pas de la même manière. Peut-être parce qu'ils ne se parlaient plus de la même manière. Ou peut-être bien qu'elle se posait trop de questions et qu'elle affabulait un peu. Que voulez-vous ? La jolie brune était sans cesse en train de se poser des questions. C'en était pénible d'ailleurs. Mais c'était ainsi. Des questions. Encore et encore des questions. Et pas de réponse. Fallait qu'elle arrête de se faire du mal.

En parlant de se faire du mal, et bien ... Et bien, disons que la jeune femme, qui elle aussi avec le nez levé -ça lui arrivait souvent, trop souvent d'ailleurs- percuta quelqu'un. Ou on la percuta. Difficile de dire qui était en tort. Ils devaient tous les deux l'être. Pas de haori. Ce n'était pas un Capitaine. Mais cela ne voulait pas dire pour autant qu'il n'était pas un haut gradé. Après tout, combien de fois Yoshiko avait quitté les quartiers de sa Division sans ce haori ? Souvent. Bien trop souvent. Et ça avait pu lui jouer quelques tours d'ailleurs. Maintenant, quand elle devait sortir, et bien, elle faisait en sorte de ... et bien, de ne pas partir sans ce haori qui la caractérisait à présent. Elle ne voulait pas qu'on lui fasse la morale ou que sais-je encore. Mais passons. Il n'y avait pas de mal. Fort heureusement pour elle d'ailleurs. Avec le sourire, parce qu'elle n'était pas du genre à perdre ce si joli qui la caractérisait, la jeune femme écouta les excuses de son interlocuteur -qu'elle ne connaissait pas au passage-. Il se présenta tandis qu'il avait la main levée, attendant que Yoshiko la lui serre. Et elle la prit. "Excuses acceptées. Mais je crois que les torts sont partagés. Parce que moi-même je ne faisait pas vraiment attention." avait-elle ajouté dans un sourire. D'une certaine manière, c'était un moyen comme un autre de ... et bien, de faire connaissance avec un autre personne. N'est-ce pas ? Du moins, quand on ne se fait pas mal. Fort heureusement pour Yoshiko. "Il n'y a pas de mal. Rassurez-vous." Tout allait bien pour elle. Juste un peu de poussière, mais y'avait pas mort d'homme non plus. "Yoshiko Aokiji." Elle aurait pu rajouter le Miloë mais il était toujours succint. Enfin, de trop, elle trouvait. "De la Huitième Division. Et vous ?" Elle remarqua alors son brassard. "Nouveau Vice Capitaine de la Onzième à ce que je constate." Il n'était pas tombé sur le Capitaine le plus ... Comment dire ... Shinjirô pouvait être spécial. "Vous avez commencé il n'y a pas très longtemps, non ?"

Quand bien même il était en tort, enfin, façon de parler, Yoshiko était obligée d'accepter ses excuses. Pourquoi ? D'une part, parce que la demoiselle était sociable. Et qu'elle n'aimait pas se faire des ennemis ou bien rester fâchée avec quelqu'un très longtemps. Oui, bon, s'il le méritait, enfin, si cette personne le méritait, elle pouvait ne pas lui adresser la période pendant un long moment. Néanmoins, elle préférait avoir de bons rapports avec tout le monde. Dans la mesure du possible. Enfin, bien évidemment, ça ne passait pas toujours avec les autres. C'est la vie après tout, n'est-ce pas ? De deux, parce que le jeune homme avait pris le soin de s'excuser. Et honnêtement, ce n'était pas donné à tout le monde. Dans le sens où certains ... Et bien, certains bousculaient les gens, en passant près d'eux. Et ils ne disaient rien. Pas d'excuses. Rien du tout. Et parfois, certains s'amusaient à dire que c'était l'autre qui était responsable. Et c'était appréciable d'avoir des excuses. Quand bien même Yoshiko était tout aussi responsable que lui pour cet accident. Et puis, la jeune femme était toujours sur ses deux jambes. Elle n'était pas blessée. Il n'y avait pas mort d'homme. Elle n'avait rien. Elle n'allait donc pas lui faire la gueule, n'est-ce pas ? Ca ne serait pas sympathique de sa part. Mais passons.

En tout cas, le jeune Shinigami était content. D'ailleurs, il n'hésita pas à lui dire qu'il appréciait le fait que ... Et bien, qu'elle allait bien et qu'il ne lui était rien arrivé de grave. "Ne vous inquiétez pas pour moi. Quand bien même je suis d'apparence une femme frêle et fragile, je n'en suis pas moins quelqu'un de solide." Avait-elle ajouté en un sourire. Une grande force se cachait en elle. Oh, bien évidemment, si elle se retrouvait contre Shinjirô ou bien Tenzen, la jeune Shinigami n'aurait aucune chance et elle se ferait rétamer bien correctement à dire vrai. Elle n'osait même pas y penser d'ailleurs. M'enfin, là n'était pas réellement la question. Un nouveau Vice Capitaine. Il était peut-être temps de faire connaissance avec ce jeunot, non ? De savoir qui il était, de quelle Division il pouvait venir et tout un tas d'autres petites choses de ce genre. Faire connaissance. Ni plus. Ni moins. La jeune femme aimait bien apprendre à connaître les autres. Karot en vint à lui demander comment elle savait qu'il était de la Onzième et Lieutenant surtout. Elle tapota sa propre épaule, histoire qu'il remarque qu'il avait ce petit brassard sur le côté, sur son épaule. "Ca ne trahit pas. Et puis, j'ai ouïe dire qu'il y avait de nouveaux promus." Après, elle aurait très bien pu mettre à côté et se tromper.

Karot lui avait proposée de marcher un peu. Et de discuter un peu avec elle, par la même occasion. "Et bien, oui, marchons un peu." Elle aimait bien marcher. Enfin, ça ne la dérangeait pas. Elle aimait aller et venir, ne pas avoir de but précis, se promener comme ça. Rien de plus. Rien de moins. Et si elle pouvait en apprendre un peu plus sur son interlocuteur, pourquoi pas ? "Cela ne fait pas très longtemps que vous avez été nommé. Je me trompe ?" lui avait-elle demandé tandis qu'elle commençait à marcher. Lentement, mais sûrement.

Tout comme son interlocuteur, Yoshiko eut un petit rire amusé. C'est souvent les plus petits détails auxquels on ne fait pas réellement attention. La preuve avec Karot du fait que ... Et bien, il ne se rappelait plus qu'il portait ce brassard et qui faisait de lui ce qu'il était : un Lieutenant. "Vous finirez par vous y habituer. Soyez-en certain. Pour ma part, je n'ai jamais craint d'avoir ce brassard. Et parfois même, je l'oubliais complètement." Ca lui était arrivé souvent. Du moins, surtout les premiers temps. Elle qui avait toujours été simple Shinigami. Troisième siège, certes, mais simple Shinigami. Elle avait un peu viré rouge quand elle apprit qu'elle revenait, mais qu'elle ne revenait pas comme siège. Mais comme Lieutenant. Ca lui avait fait peur, pour sûr. Et ses craintes s'étaient bien vite envolées avec l'aide de Tōjō. Une chance d'ailleurs que ça soit lui et personne d'autre. Parce que Yoshiko n'était pas certaine que si ça avait été un autre, elle aurait fait le déplacement. A dire vrai, non. Elle était certaine de ça. Un autre que Tōjō aurait eu un refus. Ni plus. Ni moins. Elle n'aurait pas pris la peine d'ouvrir la porte. Elle n'aurait pas pris la peine non plus de l'écouter, de le laisser parler. Tout simplement. Elle était bornée ? Oui, mais en ce temps là, elle aimait sa tranquillité. Et seul quelqu'un avec qui elle avait été proche aurait réussi à la sortir de sa torpeur et de sa solitude profonde. Et qui mieux que Tōjō pour le faire ?

Quoi qu'il en soit, ils marchaient. Tranquillement. Côte à côte. Quoi de mieux que cette rencontre pour faire connaissance ? Yoshiko n'avait pas eu l'occasion de le croiser jusqu'à présent. Autant faire connaissance, non ? Apprendre à le connaître. Elle n'aimait pas rester dans le vague. Voilà pourquoi ils marchaient tranquillement, côte à côte, et qu'ils échangeaient quelques paroles. Karot lui expliqua qu'il n'était pas là depuis très longtemps. Mais qu'il prouvait sa valeur. Yoshiko n'avait pas eu l'occasion de côtoyer beaucoup Noboru à dire vrai. Mais elle en avait eu vent par rapport à son Capitaine, Shinjirô. Mais aussi par rapport à celui qui avait été son propre Capitaine, et qui était son amant par la même occasion. Tōjō lui en avait parlé à quelques reprises à dire vrai, et elle savait qu'il méritait amplement sa promotion. D'ailleurs, ils avaient été promus en même temps. Dingue mais vrai. Mais possible que Noboru soit bien plus à sa place qu'elle même. Dans le sens où, parfois, elle avait l'impression que ce poste de Capitanat, ce n'était pas pour elle. M'enfin. C'est ainsi. "Ne pensez pas cela. Si on vous a nommé, c'est qu'on a vu en vous des choses. Et outre le fait que vous apportez du sang neuf à nos troupes, je suis sûre que cette promotion était amplement méritée." Se voulait-elle rassurante ? Oui. Mais elle le pensait. Parce qu'on ne nommait pas des idiots ou des imbéciles. C'était un poste important après tout. Fallait que le Capitaine ait confiance en son Lieutenant. Et vice versa d'ailleurs.

En tout cas, Karot lui retourna la question. Il voulait savoir lui-même si elle était Capitaine depuis longtemps. Elle pencha la tête légèrement sur le côté. "Et bien, ça fait quelques mois maintenant. Juste après la dernière attaque sur Karakura qui a fait de lourdes pertes." Attaque à laquelle elle n'avait pu participer. On avait préféré la cantonner au Gotei 13. On ne fait pas toujours ce qu'on veut dans la vie, n'est-ce pas ? "On en parlait un peu avec mon Capitaine. Mais je n'aurais pas pensé que ça serait survenu aussi rapidement." Surtout que .. Après tout, par rapport à certains, elle avait été absente longtemps. Et ça faisait à peine trois ans qu'elle était revenue. Certains avaient plsu d'expérience. Plus d'ancienneté. Mais non, c'était elle qu'on avait choisi. Y'avait des fois où, bien évidemment, elle se demandait si c'était à cause de Tōjō, et du fait qu'elle couchait avec lui, qu'elle avait obtenu cette promotion. Et parfois ... Parfois, elle se disait que c'était, tout simplement, une mise à l'épreuve, histoire de savoir comment elle s'en sortait et si elle avait les épaules pour. Mais bon, elle essayait de ne pas trop chercher à comprendre à dire vrai. "Et ce n'est pas très reposant comme promotion, comme vous pouvez vous en douter. Néanmoins, j'ai toujours été douée pour ce qui est de la paperasse. Ca me fait un certain avantage." Si on pouvait dire ça comme ça. "Et tout se passe bien à la Onzième ? Shinjirô n'est pas trop dur ?" Yoshiko se rappelait encore de la fois où il l'avait mouchée à la réunion des Capitaines. C'était resté dans un coin de la tête. Et ça resterait sans doute toujours d'ailleurs.

Tout en écoutant ce que Karot lui disait, la jeune brune eut un hochement de la tête. Elle savait très bien que la Onzième Division, et bien, c'était une Division assez spéciale. Elle n'avait toujours connu que les combats et les bagarres. A chaque fois qu'un nouveau Shinigami voulait accéder à la plus haute place de cette Division, c'était un combat. Et ça se soldait par un blessé. Voire un mort dans le pire des cas. Yoshiko se disait que ça serait bien si les choses changeaient. Mais elle savait que ça ne se produirait jamais. Pourquoi ? Parce que ça serait changer l'âme même de la Division. Et il ne fallait pas le faire. Parce que si toutes les divisions se ressemblaient, à quoi bon ? Ne valait-il mieux pas qu'elles soient, justement, toutes spécialisées, afin de pouvoir mieux répondre à l'urgence ? Une chose était sûre. Yoshiko n'avait jamais été à la Onzième Division. Et elle n'irait jamais. Parce qu'elle n'avait pas l'esprit du combattant à dire vrai. Elle était pacifique. Elle utilisait sa tête plutôt que sa force ou bien ses poings. Ce n'était pas son genre de foncer tête baissée. Du tout même. Voilà pourquoi on lui aurait proposé d'en prendre les rênes -chose improbable d'ailleurs qui n'arriverait jamais-, elle refuserait. Elle ne pouvait pas. La Huitième lui allait bien, même s'il fallait encore qu'elle trouve une voie, un chemin à suivre pour sa Division. "Je comprends tout à fait. Je connais la réputation de la Onzième Division et du fait que l'accession à certains grades est bien différent que pour les autres Divisions. La loi du plus fort." s'était-elle contentée de dire. Bien qu'elle trouvait cette idée tout de même stupide, elle la respectait. Une coutume ancestrale, on la respecte, et ce quand bien même elle est un peu farfelue, n'est-ce pas ?

Quoi qu'il en soit, Yoshiko avait brièvement parlé d'elle. De sa promotion. Elle n'était pas vraiment rentrée dans les détails. Tout ce qu'elle avait dit, c'était que sa nomination avait été faite après la grosse attaque sur Karakura. Et elle n'avait rien rajouté de plus. Elle n'avait pas dit que la précédente Capitaine avait été déchue de son poste. De toute manière, Karot devait plus ou moins être au courant. Enfin, peut-être pas dans les détails du fait qu'il n'était pas à la Huitième et qu'il ne s'intéressait peut-être pas de ce qui pouvait se passait dans les autres Divisions mais bon. Yoshiko n'avait jamais envié la place d'Otsu ou bien de Tōjō. Elle n'avait jamais pensé qu'elle briguerait cette place un jour et qu'elle porterait le Haori. Comme quoi, la vie nous réserve bien des surprises. "Nouveaux promus, façon de parler. Nous étions déjà là bien avant cette promotion." Ce qu'elle voulait dire par là ? Qu'ils n'étaient pas vraiment nouveaux. Qu'ils avaient eu l'occasion d'accomplir quelques faits d'armes tout de même. Ils avaient été reconnus par leurs pairs. "Si nous en sommes là, c'est grâce aux autres qui nous font confiance." Sans Tōjō, elle n'aurait pas ce poste. Elle le savait. Elle serait encore derrière lui, à le suivre comme un petit chien, et à faire tout ce qu'il détestait faire. L'idée n'était pas déplaisante. Si elle était revenue, c'était pour lui. Et pas pour un autre. Parce qu'il lui avait demandé de bien vouloir l'accompagner. Elle ne regrettait pas. Même si, parfois, elle se disait qu'elle pourrait bien être tranquille dans son trou. A ne demander rien à personne.

Histoire de changer un peu de sujet, et tout en poursuivant leur marche, ils en étaient venus à parler, quelque peu, de la Onzième. Yoshiko voulait savoir comment ça se passait pour lui. Shinjirô avait un fort caractère, de ce qu'elle avait pu en voir. Elle eut un hochement de la tête. "Disons que je le connais quelque peu. J'ai eu l'occasion de converser avec lui lorsque j'étais encore Vice Capitaine, lors de ma précédente affectation." Elle se rappelait encore de la fois où il s'était pointé dans le bureau de Tōjō, pensant trouver ce dernier. Mais il était tombé sur la jolie brune et ils avaient eu une longue discussion. Ils avaient parlé de choses et d'autres, de ce qu'elle pourrait faire pour s'améliorer, et tout un tas de choses. "Et effectivement, il est un peu craint des autres. Il a un caractère bien à lui." Et il n'avait pas sa langue dans sa poche. Pour sûr. S'il avait quelque chose à dire, il n'hésitait pas à le dire ouvertement, quitte à se faire des ennemis. Mais il devait bien s'en foutre. "Je ne le crains pas. Je le respecte simplement." avait-elle dit dans un hochement de la tête. "Il y a beaucoup à apprendre auprès de lui. Nous avons conversé à quelques reprises et j'ai appris beaucoup de choses à chaque fois." Il n'était juste ... pas très diplomate. Mais ça, c'était dans son caractère. Le soleil était à son zénith. "Je suis désolée. Mais je vais devoir y aller. J'ai encore beaucoup de choses à faire. Et je me doute que ça doit être votre cas aussi, non ?"

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